Play-Alongs Bekannter Stücke Aus Irland Schottland Wales Dem Cornwall und Der Bretagne-Martin Tourish is an accordionist composer and musicologist from Co. Donegal now based in Dublin. Celtic music is in his blood for his ancestors were noted collectors of dance music manuscripts dating back to the 19th century. With many recordings to his credit he now offers his expertise to performers wishing to explore the rich culture of Irish and other Celtic music on a variety of instruments. ?World Music Celtic? presents material from the Irish Scottish Welsh Cornish and Breton traditions. It makes no great technical demands on the players but Tourish points out that notation of this music is often ?skeletal? hence it is important to gain a knowledge of theindividual traditions in question and naturally he offers plenty of information on performance practice. The collection spans three centuries from the blind bardic harpists of the 18th century to the international performers of the present day. Tourish accepts that this volume can only scratch the surface of a multi-faceted genre but hopes you will see it as a stepping stone to delve deeper into recordings festivals and the very communities whence this music comes. ?World Music Celtic? is available in four formats each with complete recordings and backing tracks on CD: as solo versions for violin flute or saxophone (with piano) and in an ensemble version for two melodic instruments (C Bb or Eb) piano guitar bass and bodhrán.

1001 Nights in the Harem. Par SAY FAZIL. 'My Violin Concerto consists of four movements whose inspiration is loosely connected with Scheherazade’s One Thousand and One Nights. The first movement is set inside the harem; a variety of women from the harem are introduced, each with her own different personality. The second movement is a frenzy of dance – in effect a party night with an abundance of different types of dance music. The third movement depicts the next morning and consists primarily of variations on a well-known Turkish song. The fourth movement begins dramatically, but develops during the course of the movement more and more into a reminiscence of all the previous events and the work culminates dreamily in a happy mood with sensuous oriental sounds. As appropriate for an oriental soundscape, the orchestra includes a series of Turkish percussion instruments such as a kudüm or bendir, but also glockenspiel, marimba und vibraphone, celesta and harp. It is however the solo violin which tells the story and also accompanies the listener through the entire work. The violin part is highly virtuoso and unites the four movements into an intensely atmospheric whole in which the solo violin soars off into a solo cadenza between each movement, sometimes accompanied by one of the percussion instruments. As is customary, the present piano reduction is initially intended as an aid for the study of this work, but during my tour programmes with Patricia Kopatchinskaya and Burhan Öçal we have utilised this material to create a trio version for violin, piano and percussion.' Fazil Say/ Répertoire / Violon et Piano

It made its creator world-famous and added a towering masterpiece to the standard repertoire: Max Bruch’s First Violin Concerto In G Minor. Now it’s appearing at last in an urtext edition from Henle.Bruch himself was not always overjoyed at his work’s popularity: 'I can’t listen to this concerto anymore ' he once complained to his publisher Simrock 'do you suppose I’ve only written one concerto?' By now theBruch Concerto has found a permanent place in the world’s concert halls. Henle’s edition provides not only a razor-sharp urtext for the solo part but a preface that alone is worth the price of the volume: who could haveguessed that the concerto went through a convoluted genesis with multi-layered revisions and that some of the changes go back to the famous violinist Joseph Joachim?

Par BONIS MEL. C'est en 1998 que nous nous sommes plongés dans les archives musicales de Mel Bonis conservées par sa famille dans une cave. Concernant ces trois pièces, une simple chemise de partitions a été retrouvée. Elle portait la mention manuscrite : 'Trois pièces pour violon avec accompagnement de piano (orgue ou harpe), Mel Bonis, 1910.' L'ordre des morceaux, non précisé, est un choix de la présente édition, de même que la décision de publier la troisième pièce, le Largo, jugée pourtant sévèrement par l'auteur puisqu'elle avait écrit en marge du titre : 'Mauvais' ! Chacune des pièces n'existait qu'à l'état de manuscrit : conducteur et partie de violon séparée. L'Andante religioso porte la dédicace 'A mademoiselle Sophie Baudot, affectueux souvenir'. Elle est datée de 1910. L'Allegretto, également en date de 1910, est dédié 'à Raphaël Kellert'. Pour cette page, le matériel comporte des annotations et montre des signes évidents de travail en répétition. Signalons que, entre 1908 et 1913, le trio russe Kellert, dont Raphaël était le violoniste, a interprété des oeuvres de Mel Bonis dans diverses salles parisiennes. Le Largo, dont le manuscrit de violon porte également des marques de travail, est dédié 'à Paulin Gaillard'. L'Andante religioso et le Largo, plus ambitieux dans leur propos que l'Allegretto, déploient une belle ligne de violon qui échappe au genre modeste du morceau de salon et, pour ce qui concerne le Largo, cela explique notre volonté de le conserver dans le triptyque malgré les réticences dont nous avons fait état. L'Allegretto possède un charme double, celui de son temps et celui de son auteur, et il faut entendre cette notion de charme dans son acception profonde, c'est-à-dire dans la capacité de saisir et concentrer le parfum d'une époque, et de le restituer avec une puissance d'évocation qui n'appartient qu'à la musique./ Répertoire / Violon et Piano

Par PEPIN CAMILLE. Lorsque Claire Bodin [1] m'a proposé d'écrire une pièce en hommage à une compositrice du passé, j'ai choisi de rendre hommage à Lili Boulanger (1893-1918). Compositrice et orchestratrice hors-pair, elle était également une très belle femme, généreuse et courageuse, oeuvrant à l'arrière du front pour les civils et soldats mobilisés durant la Première Guerre Mondiale - et cela malgré la maladie et sans jamais cesser d'écrire. Première compositrice à remporter le Grand Prix de Rome en 1913, elle ouvre une voie jusqu'alors non reconnue aux femmes. Son succès éclaire la présence féminine dans un domaine jusque là 'réservé' exclusivement aux hommes. Rendre hommage à Lili Boulanger, c'est non seulement rendre hommage à l'incroyable femme et musicienne qu'elle était, mais aussi à cette voie qu'elle a ouverte aux compositrices des générations futures. J'ai choisi d'écrire une pièce inspirée de la mythologie hindoue, en hommage à sa Vieille Prière Bouddhique achevée en mars 1917. Indra sera ainsi créée en mars 2017 - soit cent ans après la conception de l'oeuvre de Lili Boulanger ! Indra est le dieu de la guerre et de l'orage. Ses attributs sont l'éclair et l'arc-en-ciel. Doté de pouvoirs magiques, Indra affronte le serpent Vrtra qui retient les eaux célestes, faisant ainsi souffrir le monde d'une grande sécheresse. Indra le combat et délivre les eaux du ciel en transperçant les nuages. Tel est le mythe qui m'a inspiré. J'ai eu envie d'écrire une pièce rythmique, puissante et énergique, pour rendre hommage à la force et au courage de Lili Boulanger en tant que femme artiste. Lui rendre hommage aujourd'hui sans prendre en compte sa condition de femme est un luxe que l'on ne peut pas encore se permettre. Qui plus est, il m'a semblé tout naturel de choisir ce thème plein de vigueur pour cette oeuvre dédiée à la pianiste Célia Oneto Bensaïd et la violoniste Raphaëlle Moreau qui en feront la création. Tout l'enjeu de cette oeuvre était de représenter cette force et cette volonté : comment rendre cette vivacité et cette fougue de l'orage - de ce combat - avec seulement deux instruments ? J'ai ainsi conçu une pièce alternant des épisodes nerveux et pulsés - guerrier - à des épisodes plus légers et dansants - vif, aérien. J'ai recherché des sonorités martiales en pensant véritablement l'oeuvre d'une façon 'orchestrale' avec des appels de cors ou encore des coups de grosse caisse. Un bref épisode aux couleurs flûtées sur un tapis scintillant de harpe - magique et incantatoire - rappelle les pouvoirs magiques d'Indra avant de retrouver la nervosité et la pulse initiales. / Contemporain / Répertoire / Violon et Piano