Featuring some of the world's greatest pieces of music from a variety of different genres the 'Top Ten' series contains music for everyone. Whether you're a beginner who wants to know the best classical pieces to learn or amore experienced player looking for the ultimate Piano songs to add to your repertoire we have a 'Top Ten' for you! Each piece comes with interesting background notes to give you that extra bit of insight. The TopTen Most Calming Pieces To Play On Piano contains ten of the world's most relaxing Piano pieces composed by some of the best-known composers of the last two hundred years including Frédéric Chopin Jules Massenet Philip Glass and Yiruma. We've roamed freely across the past two centuries of music to create this tranquil Pianoselection for you. There's a piece each by Chopin and Liszt two major stars of the early Romantic era; a couple of jewels from the Parisian belle epoque by Satie and Massenet; unforgettable melodies from the pens of Dvorak andRachmaninoff; while closer to our own time there's beautiful music by Philip Glass Neil Cowley and Ludovico Einaudi. Let life's stresses melt away as you take a deep breath and lose yourself in these precious musicalmoments...

La Sonate en Ré majeur est la dernière des six Sonates K. 279?284 que Mozart emporta dans ses valises lorsqu?il s?apprêtait à se rendre vers Paris en septembre 1777. Il rapporta à son père qu?il exécuta ces sonates avec succès déjà à Munich, Augsbourg et Mannheim.

Il les pourvut de nombreuses indications de dynamique et trouva aussi en ce qui concerne leur forme des solutions inhabituelles, comme par exemple le lent Rondeau en Polonaise qui fait office de mouvement central de la Sonate en Ré majeur.

Jusqu?alors réunies dans les recueils (HN 1 et 3), ces six sonates sont désormais éditées séparément avec, en sus, de nouvelles préfaces.

Mozart a dédié cette sonate à un certain Freiherr Thaddäus von Dürnitz, ce qui explique qu?on l?ait souvent appelée la «Sonate à Dürnitz». De ces six premières sonates c?est conteste la meilleure, la plus brillante et celle qui requiert le plus d?habileté technique. On peut comprendre pourquoi Mozart l?affectionnait particulièrement et qu?il ait continué à l?exécuter lui-même.

C?est de cette incomparable lorsqu?elle était interprétée sur un des nouveaux pianofortes de Stein.

1er MOUVEMENT Une première version du début du premier mouvement rédigée sur une page et demie a été supprimée par Mozart. Il a commencé à réécrire la version définitive au bas de cette même page. Le matériau thématique de ce mouvement d?ouverture (et, à un moindre degré, celui des mouvements suivants) est disposé sur une échelle plus vaste, presque plus orchestrale, ce qui constitue une rupture avec le ton d?intimité des premières sonates. L?effet de tremolo dans les mesures 13 à 16 et les annonces répétées à l?unisson du premier thème peuvent très bien se lire comme la réduction d?un tutti orchestral. Le deuxième thème, ligne mélodique plus souple, sans accompagnement dans sa mesure d?introduction, contient une chaîne descendante de premiers renversements ? formule harmonique fort prisée aux siècles baroque et classique (il y a des passages analogues dans les thèmes subsidiaires de l?ouverture de l?Iphigénie en Tauride de Gluck et le premier mouvement du Concerto Italien de Johann Sebastian Bach). Cela fonctionne comme un passage de solo par opposition aux entrées de tutti qui suivent dans la mesure 30. Le développement traverse un cycle de tonalités mineures avant le début de la réexposition dans la mesure 72.

2eme MOUVEMENT Mozart a intitulé le second mouvement: Rondeau en Polonaise. Il s?agit donc d?une danse. Les quatre premières mesures constituent une forme de dialogue (comme le thème du premier mouvement de la sonate précédente en sol majeur) et Mozart les soumet à des variations avec un certain bonheur. Il accentue le contraste entre l?exposition et la contre-exposition par des indications de dynamique.

3eme MOUVEMENT Le dernier mouvement de la sonate est une suite de variations joyeuses qui est un régal pour le pianiste, et présente, jusqu?à la variation en adagio les caractéristiques d?une gavotte. Le don spécial de Mozart pour l?écriture en variations s?y manifeste de la manière la plus brillante. L?impression superficielle de forme diffuse ne résiste pas l?examen approfondi: il ne serait guère facile d?oublier une des douze variations ou d?en ajouter une. La variation Adagio est d?un intérêt tout particulier pour les spécialistes de Mozart, car elle nous donne quelque a perçus de sa conception de l?ornementation impromptue: l?autographe n?est que pudiquement orné et il est probable que Mozart enjolivait son texte lors de l?exécution au gré de sa fantaisie. Mais une version richement ornée a survécu dans la première édition publiée du vivant de Mozart ; et il ne fait pas de doute que cette version enjolivée est l??uvre de Mozart lui-même ? qui d?autre pourrait enjoliver une musique d?une manière aussi ingénieuse? Cela nous éclaire sir les idées de Mozart en matière d?ornementation en général et en particulier. / [Sonate pour piano en Ré majeur K. 284 (205b)] / Classique / Partition / Agrafé /

Reynaldo HAHN (Caracas, Venezuela 1875 - Paris 1947) n'a que trois ans lorsque ses parents s'installent en France. Enfant prodige, il fait ses débuts à l'âge de six ans dans le célèbre salon de la princesse Mathilde, cousine de l'empereur Napoléon III ; il y chante des ai d'Offenbach en s'accompagnant au piano. Au Conservatoire où il entre à dix ans, il est l'élève de Decombes, Lavignac, Dubois et surtout Massenet qui sera pour lui un ami et un protecteur. Son ?uvre est principalement tournée vers la musique vocale : mélodies, opérettes, opéras. On lui doit aussi de nombreuses musiques de scène, des concertos, pièces instrumentales et de musique de chambre. / Classique / Partition /

[Konzert für Klavier und Orchester Es-Dur KV 449 (Nr. 14)] / Classique / Editeur : Marius Flothuis / Réduction piano : Mich / Partition / Cartonné / Plats de carton /

[Konzert für Klavier und Orchester A-Dur KV 414 (Nr. 12)] / Classique / Editeur : Christoph Wolff / Réduction piano : Erns / Partition / Agrafé /

The ?Sonata in F minor? op. 57 (1804/05), a key work in the classical sonata repertoire, is part of Bärenreiter?s ongoing publication of selected Beethoven piano sonatas in Urtext editions. The nickname ?Appassionata? was ascribed to the sonata only in 1838, long after Beethoven?s death.'
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This Urtext edition is edited by the Beethoven expert Jonathan Del Mar. His editorial approach and principles are explained in a precisely formulated critical commentary. With a clear well-presented layout and optimum page turns, this edition invites you to discover this fascinating sonata anew.'
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An introduction by Misha Donat examines the genesis and significance of the work, supplemented by informative notes on questions related to historical performance practice by Jonathan Del Mar and Misha Donat.'
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?'Scholarly-critical Urtext edition incorporating the most recent research'
?'Optimum page turns'
?'Includes notes on historical performance practice (Eng/Ger)'
/ [Sonate pour Piano en Fa mineur Opus 57] / Classique / Partition / Agrafé /

Nouvelle partition à partir des Variations pour deux pianos (1941), faite à la demande d'une amie du compositeur, Felicja Blumenthal, qui donna la première représentation à Miami en novembre 1979 avec le Florida Philharmonic Orchestra, dirigé par Brian Priestman. Durée : environ 9 minutes. Partition complète et matériel orchestral disponible à la location auprès des éditeurs. / Classique / Partition /

[Konzert für Klavier und Orchester Es-dur KV 271 (Nr. 9) 'Jeunehomme-Konzert'] / Classique / Editeur : Christoph Wolff / Réduction piano / Partition / Cartonné / Plats de carton /

[Konzert für Klavier und Orchester D-Dur KV 451 (Nr. 16)] / Classique / Editeur : Marius Flothuis / Réduction piano / Partition / Cartonné / Plats de carton /

Beethoven Complete Piano Sonatas Volume III. Edited by Harold Craxton. Annotated by Donald Francis Tovey.

Beethoven Complete Piano Sonatas Volume I. Edited by Harold Craxton. Annotated by Donald Francis Tovey.