Aube de printemps
(Meng Hao-ran).
Au printemps le sommeil ne cesse dès l'aurore
Partout se font ouïr les gazouillis d'oiseaux
La nuit s'achève enfin dans le souffle des eaux,
Qui sait combien de fleurs seront tombées encore ?
(Traduction et calligraphie de Yves Harrand)
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