| Musique De Chambre Pour
Instruments A Cordes - 13
Volumes Réunis
Dans Un Coffret
(BEETHOVEN LUDWIG VAN) Musique de chambre pour Cordes [Partition] G. Henle
Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Les amoureux de la musique de chambre vont se réjouir...(+)
Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Les amoureux de la musique de chambre vont se réjouir de cette offre spéciale: l'intégralité de la musique de chambre de Beethoven pour instruments à cordes et formations mixtes bois et cordes est maintenant disponible dans un coffret contenant 13 éditions d'étude. L'étendue de son contenu va des petites pièces de circonstances pour duos de cordes, en passant par le genre – central pour Beethoven – du quatuor à cordes avec sa Grande Fugue op. 133 dépassant toutes les dimensions, jusqu'au célèbre Septuor op. 20 du début de sa vie, l'une des pièces les plus populaires de musique de chambre en grand effectif. Toutes ces éditions d'étude sont conformes au texte musical de l'édition complète des oeuvres de Beethoven et fournissent une préface informative ainsi qu'un bref commentaire critique, qui livre des renseignements sur les sources de l'édition et les variantes les plus significatives des différentes oeuvres./ Répertoire / Musique de chambre pour Cordes
168.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.4 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Menuet 1 (WSW 1.8) Menuet 2 (WSW 1.9) Gavotte (WSW 1.10) Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9) Prélude (WSW 4.1) Ouverture (WSW 4.2) Courante (WSW 4.3) Bourrée (WSW 4.4) Allegro (WSW 1*) Courante Royale (WSW 2*) Prélude (WSW 10.1) [Menuet '] (WSW 4*) Fuga (WSW 6*) Fuga (WSW 7*) L'Amant malheureux (WSW 8*) Fantasie (WSW 9*) [Menuet] (WSW 10*) Plainte (WSW 15.1) Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*) [Bourrée '] (WSW 12*) Menuet (WSW 13*) Gavotte (WSW 14*) Menuet (WSW 15*) Praelude [and Fugue] (WSW 17*) [Menuet] (WSW 18*) Trio (WSW 19*) Bourrée (WSW 31.7*) Tombeau de Logy (WSW 20*) Prélude de Weiss (WSW 21*) Fantaisie (WSW 24*) Menuet (WSW 22*) Gavotte (WSW 23*) Capricio (WSW 25*) Menuet 1 (WSW 26*) Menuet 2 (WSW 27*) Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*) Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
42.90 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.5 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Concert d'un luth et d'une flûte traversière WSW 6 Concert d'un luth avec une flûte traversière WSW 8 Concert d'un luth avec la flûte traversière WSW 9 Duo 4 WSW 14 en sol m Duo 5 WSW 20 en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
62.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.1 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 1 (WSW 1) en mi M Sonata 2 (WSW 2) en ré M Sonata 3 (WSW 3) en sol m Sonata 4 (WSW 5) en sol M Sonata 5 (WSW 7) en ré m Sonata 6 (WSW 10) en mi M Sonata 7 (WSW 11) en ré m Sonata 8 (WSW 12) en la M Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
53.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.2 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 10 (WSW 15) en la M Sonata 11 (WSW 16) en sol M Sonata 12 (WSW 17) en do M Sonata 13 (WSW 18) en ré M Sonata 14 (WSW 19) en mi M Sonata 15 (WSW 21) en mi m Sonata 16 (WSW 22) en sol M Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.3 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 18 (WSW 24) en do M Sonata 19 (WSW 25) en sol m Sonata 20 (WSW 26) en ré M Sonata 21 (WSW 27) en ré m Sonata 22 (WSW 28) en mi M Sonata 23 (WSW 29) en la m Sonata 24 (WSW 30) en mi M Sonata 25 (WSW 31) en mi M Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Sonates A Deux
Flûtes
Traversières Sans
Basse 2 Flûtes traversières
(duo) Anne Fuzeau Productions
Oeuvre écrite pour deux flûte seules. / 2 Flûtes Traversières / 28 pages / n...(+)
Oeuvre écrite pour deux flûte seules. / 2 Flûtes Traversières / 28 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 21 X 29.7
12.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Sonate En Trio En Sol
Majeur Bwv 1038 Pour
Flûte, Violon Et
Basse Continue Flûte, Violoncelle, Piano (trio) G. Henle
La Sonate en trio BWV 1038 pour traverso, violon et basse continue de Johann Seb...(+)
La Sonate en trio BWV 1038 pour traverso, violon et basse continue de Johann Sebastian Bach est énigmatique. Si l'on a pu prouver que le matériel conservé est de la main de Bach, la source n'est pas signée. C'est pourquoi son authenticité fut régulièrement remise en doute. Les musicologues d'aujourd'hui sont pourtant d'avis que cette sonate tout à fait charmante est une oeuvre originale de Bach. Expert confirmé, notre éditeur, Peter Wollny, détaille les raisons de ce jugement. Nous présentons la partie de violon dans sa notation d'origine en scordatura, ainsi que dans sa notation moderne pour un violon à l'accord traditionnel. / Flûte, Violon Et Basse Continue
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| Sonate En Re Majeur Op. 3
N09 En Français Flûte traversière [Partition] Leduc, Alphonse
La partition Sonate En Re Majeur Op3 N09 de Loeillet J./Poulteau a été compos...(+)
La partition Sonate En Re Majeur Op3 N09 de Loeillet J./Poulteau a été composée pour Flûte Traversière et plus particulièrement pour Flûte Traversière Ou Hautbois Ou Violon Et Basse Continue. Cette partition musicale est éditée par une des nombreuses maisons d'édition française à savoir Leduc. Cette oeuvre musicale fait partie intégrante des oeuvres de style Classique. / Flûte Traversière Ou Hautbois Ou Violon Et Basse Continue / Partition
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| Sonate En Ut Majeur Op. 3
N03 En Français Flûte A Bec Alto Ou Flûte
Traversière, Hautbois, Violon
Et Basse Continue [Partition] Leduc, Alphonse
La partition Sonate En Ut Majeur Op3 N03 de Bellinzani/Poulteau a été composé...(+)
La partition Sonate En Ut Majeur Op3 N03 de Bellinzani/Poulteau a été composée pour Flûte à bec Alto et plus particulièrement pour Flûte A Bec Alto Ou Flûte Traversière, Hautbois, Violon Et Basse Continue. Cette partition musicale est éditée par une des nombreuses maisons d'édition française à savoir Leduc. Cette oeuvre musicale fait partie intégrante des oeuvres de style Classique. / Flûte A Bec Alto Ou Flûte Traversière, Hautbois, Violon Et Basse Continue / Partition
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| Sonates Pour La
Flûte
Traversière Avec
La Basse - Oeuvre
Neuvième Flûte traversière, Basse
continue Anne Fuzeau Productions
Les 28 pages de ce recueil vont vous faire apprécier la partition Sonates pour ...(+)
Les 28 pages de ce recueil vont vous faire apprécier la partition Sonates pour la flûte traversière avec la basse - Oeuvre neuvième du célèbre compositeur Boismortier Joseph Bodin De qui fait partie de la catégorie des partitions Classique. Cette partition imprimée par les éditions Anne Fuzeau Productions est répertoriée sous la référence 50107. Passionnés de Classique et joueurs de Fac-Similé et plus précisément de Flûte Traversière Et Basse Continue il ne vous reste plus qu'à travailler pour pouvoir jouer le morceau que vous avez toujours rêvé de jouer. / Flûte Traversière Et Basse Continue / 28 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 21 X 29.7
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Violino E Basso Flûte, Violon, Clavier (basse
continue) Fuzeau
Sonata per il Flauto, Violino e Basso. Trio fürs Clavier mit einer Violine oder...(+)
Sonata per il Flauto, Violino e Basso. Trio fürs Clavier mit einer Violine oder Flöte. Deux oeuvres extraites de Musikalisches Vielerley publié par Carl Philipp Emanuel Bach.Edition : Hamburg, M.C. Bock, 1770oeuvres publiées en partition.La sonate peut de jouer, soit avec une flûte, un violon et une basse continue - soit avec une flûte et un clavecin.Le trio peut se jouer soit avec une flûte et un clavecin - soit avec un violon et un clavecin. / Flûte Traversière Et Clavecin, Oeuvres Pour Instruments Divers Ad Libitum Dont La Flûte Traversière, Sonates En Trio Pour Violon Et Instruments Divers, Violon Et Clavecin, Clavecin Et Violon / 28 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 21 X 29.7
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| Trio Sonata 2 Flûtes traversières, Piano [Partition + CD] Fentone Music
2 Flutes and Continuo - intermediate-adv SKU: HL.44005641 For two flut...(+)
2 Flutes and Continuo -
intermediate-adv SKU:
HL.44005641 For
two flutes and basso
continuo. Composed by
Georg Philipp Telemann.
Fentone Instrumental
Books. Transcription.
Book with CD. Composed
2005. Fentone Music #F
890. Published by Fentone
Music (HL.44005641).
UPC: 884088041113.
9x12 inches.
International (more than
one language). This
beautiful trio sonata in
F major by Georg Philipp
Telemann was originally
composed for two
recorders and basso
continuo. For this
edition in The Platinum
Series it has been
adapted for two flutes.
On the CD you will first
hear all the
accompaniments on the
harpsichord - which you
can use if no accompanist
is available - and next
the demo tracks with two
flutes and harpsichord.
The piano part can be
used by pianists as well
as harpsichordists and
with the instrumental
parts (a first and second
flute and a cello part)
you can also play this
beautiful music with your
own chamber ensemble.CD
contains accompaniments
and demonstrations of
sections from Telemann's
sonata.
Telemann
schreef deze prachtige
triosonate in F majeur
voor twee blokfluiten en
basso continuo. Speciaal
voor The Platinum
Series is hiervan een
bewerking voor twee
dwarsfluiten gemaakt. Op
de geweldige cd hoor je
eerst allebegeleidingen
(klavecimbel en fluit 2)
- erg handig als er geen
begeleider in de buurt is
- en vervolgens de
voorbeeldtracks met twee
fluiten en klavecimbel.
De basso continuo is
bruikbaar voor zowel
pianisten als
klavecinisten;en met de
bijlagen (een eerste en
tweede fluitpartij en een
cellopartij) is deze
mooie muziek ook
speelbaar met een eigen
ensemble
Die
Triosonate in F-Dur von
Telemann wurde
ursprunglich fur zwei
Blockfloten und Basso
continuo komponiert. Fur
die neue Platinum-Serie
wurde sie fur zwei Floten
bearbeitet. Auf der CD
erklingen zunachst alle
Begleitungen auf dem
Cembalo - diese konnen
verwendet werden, wenn
kein Begleiter zur Stelle
ist. Darauf folgen
Demoversionen mit zwei
Floten und Cembalo. Der
enthaltene Basso continuo
kann auf dem Klavier und
auf dem Cembalo gespielt
werden. Diese schone
Musik auch von einem
Ensemble (2 Floten and
Cello) aufgefuhrt
werden.Die Reihe The
Platinum Series
enthalt bekannte
klassische Werke fur
verschiedene Instrumente,
die nun verschiedenen
Holzblasern
zuganglichgemacht wurden
und sich in ihrer neuen
Form wunderbar als
Konzertstucke eignen. Die
CDs der Platinum
Series bieten Ihnen
die Gelegenheit, zu einer
schonen Begleitung, die
live mit Klavier,
Cembalo, Kammerensemble
oder gar
Sinfonieorchester
eingespielt wurde, zu
spielen. Auf der CD
erklingen jeweils alle
Begleitungen und
Demo-Versionen. Die
Stucke mit Basso
continuo, der auf dem
Klavier oder
Cembalogespielt werden
kann, enthalten jeweils
eine separate Solo- und
Cellostimme, sodass sie
auch von einem Ensemble
aufgefuhrt werden konnen.
Alle sechs Ausgaben sind
im Schwierigkeitsgrad
mittelschwer - schwer.
La collection
Platinum Series
rassemble des ?uvres
classiques composees a
l'origine pour divers
instrument et idealement
adaptees pour des
instruments a vent de la
famille des bois. Chaque
ouvrage de cette
collection est enrichi
d'un compact disc
(version integrale
accompagnement) d'une
grande qualite musicale.
Pour vous offrir un
excellent confort de jeu,
les accompagnements ont
ete confies au piano, au
clavecin, a un ensemble
de musique de chambre et
quelquefois meme a un
Orchestre Symphonique.
Les oeuvres avec basse
continue (adaptee pour le
piano ou le clavecin)
disposent d'une partie
soliste et d'une partie
pour violoncelle separees
afin de pouvoir
constituer unensemble
instrumental.
La
collezione >The
Platinum Series e
sinonimo di alta qualita.
Troverete le piu
importanti pagine di
musica trascritte per
strumenti a fiato. Sul CD
sono registrati dapprima
l'intero brano col
solista, e poi le sole
basi musicali
d'accompagnamento,
realizzate con strumenti
autentici che realizzano
il basso continuo al
clavicembalo. Da oggi
potrete interpretare col
saxofono le musiche di
grandi compositori come
Benedetto Marcello,
oppure suonare al
clarinetto la
trascrizione del Concerto
n.1 di Breval per
violoncello. Per le
composizioni da suonare
in duo, troverete sul CD
sia l'incisione completa
del brano, che la sola
seconda voce o il solo
Basso continuo, cosi da
potersuonare sia da soli
che assieme ad un vostro
amico. $23.00 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Sonata for Treble (Alto) Recorder and BC Flûte à bec Alto, Basse continue [Partition + Accès audio] - Intermédiaire Dowani
Treble (Alto) Recorder and Basso Continuo [Cello Ad Lib.] - intermediate SKU:...(+)
Treble (Alto) Recorder
and Basso Continuo [Cello
Ad Lib.] - intermediate
SKU:
BT.DOW-02527-404
From Der getreue
Music-Meister, TWV 41:B3
B flat Major.
Composed by Georg Philipp
Telemann. Dowani 3 Tempi
Play Along. Book with
Part and Audio-Online.
Composed 2021. 20 pages.
Dowani #DOW 02527-404.
Published by Dowani
(BT.DOW-02527-404).
ISBN 9789043162418.
English-German-French. This edition presents
one of the most important
chamber works of the 18th
century for recorder: the
Sonata for Treble (Alto)
Recorder and Basso
continuo from Der
getreue
Music-Meister, TWV
41:B3 in B flat major. It
allows you to work
through the piece
systematically and at
different tempi with
accompaniment. The
recordings begin with the
concert version of each
piece, following which
you will hear the
harpsichord accompaniment
at slow and medium tempo
to help you practise.
Having mastered these
slower versions,
youââ¬â¢ll now
be ready to play with
basso continuo
accompaniment at the
original tempo. All of
the versions were
recorded live.
Mit dieser
Ausgabe
präsentieren wir
Ihnen eines der wohl
bedeutendsten
Kammermusikwerke des 18.
Jahrhunderts für
Blockflöte: die
Sonate für
Altblockflöte und
Basso continuo aus Der
getreue
Music-Meister, TWV
41:B3 in B-Dur von Georg
Philipp Telemann. Diese
Ausgabe ermöglicht
es Ihnen, das Werk
systematisch und in
verschiedenen Tempi mit
Begleitung zu
erarbeiten. Sie
hören
zunächst die
Konzertversion eines
jeden Stückes
(Blockflöte und
Basso continuo). Zum
ÃÅben folgt nun im
langsamen und mittleren
Tempo die
Cembalobegleitung;
anschließend
können Sie sich im
Originaltempo von der
Continuogruppe begleiten
lassen. Alle
eingespielten Versionen
wurden live aufgenommen.
Cette
édition
présente
lââ¬â¢une des
plus
célèbres
Ã
âuvres pour fl
te bec du
répertoire de
musique de chambre du 18e
siècle : la
sonate pour fl te bec
alto et basse continue
tirée de Der
getreue
Music-Meister, TWV
41:B3 en Si bémol
majeur. Les playbacks
vous permettent de
travailler
lââ¬â¢Ã
â
uvre
systématiquement
trois tempos
différents avec un
accompagnement
professionnel. Chaque
playback fait
dââ¬â¢abord
entendre la version de
concert
dââ¬â¢un
morceau (fl te bec et
basse continue). Mais
vous y trouverez
également un
accompagnement de
clavecin pour travailler
un tempo lent puis un
autre un tempo
intermédiaire. Une
fois un morceau
maîtrisé,
vous pourrez le jouer au
tempo
dââ¬â¢origine
avec
lââ¬â¢accompag
nement de la basse
continue. Toutes les
versions ont
été
enregistrées en
live. . $30.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Sonata F-major Op. 24 "Spring" Violon et Piano - Avancé Dowani
Violin and Piano - advanced SKU: BT.DOW-04534-400 Composed by Ludwig van ...(+)
Violin and Piano -
advanced SKU:
BT.DOW-04534-400
Composed by Ludwig van
Beethoven. Dowani 3 Tempi
Play Along. Classical.
Book, CD and
Audio-Online. Composed
2021. 32 pages. Dowani
#DOW 04534-400. Published
by Dowani
(BT.DOW-04534-400).
ISBN 9789043160797.
English-German-French. This edition presents
one of the most important
chamber works for violin:
the Sonata No. 5 for
Piano and Violin
(“Springâ€,
Op. 24) in F major by
Ludwig van Beethoven. It
allows you to work
through the piece
systematically and at
different tempi with
accompaniment. The
recordings begin with the
concert version of each
piece, following which
you will hear the piano
accompaniment at slow and
medium tempo to help you
practise. Having mastered
these slower versions,
you’ll now be
ready to play with piano
accompaniment at the
original tempo. All of
the versions were
recorded live.
Mit
dieser Ausgabe
präsentieren wir Ihnen
eines der wohl
bedeutendsten
KammerÂmusikwerke
für Violine: die
ÂSonate Nr. 5 für
Klavier und Violine
(Frühlingssonateâ€
, op. 24) in F-Dur von
Ludwig van Beethoven. Die
DOWANI-Ausgabe
ermöglicht es Ihnen,
das Werk systematisch und
in verschiedenen Tempi
mit Begleitung zu
erarbeiten. Sie
hören zunächst die
Konzertversion eines
jeden Stückes
(Flöte und Klavier).
Zum Ãœben folgt nun im
langsamen und mittleren
Tempo die
Klavierbegleitung:
anschließend können
Sie sich im Originaltempo
begleiten lassen. Alle
eingespielten Versionen
wurden live
aufgenommen.
Cette
édition présente
l’une des plus
célèbres œuvres
pour violon du
Ârépertoire de
musique de chambre :
la sonate pour piano et
violon (“Le
Printempsâ€, opus
24) en Fa majeur de
Ludwig van Beethoven. Les
playbacks vous permettent
de travailler
l’œuvre
systématiquement trois
tempos différents avec
un accompagnement
professionnel. Chaque
playback fait
d’abord entendre
la version de concert
d’un morceau (fl
te et piano). Mais vous y
trouverez également un
accompagnement de piano
pour travailler un tempo
lent puis un autre un
tempo intermédiaire.
Une fois un morceau
maîtrisé, vous
pourrez le jouer au tempo
d’origine avec
l’accompagnement
de piano. Toutes les
versions ont été
enregistrées en
live. $34.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Mozart: Le Grand Rpertoire Pour Le Piano Facile Piano seul Editions Musicales Francaises
Piano Solo (Piano) SKU: HL.14021532 Music Sales America. Classical. 44 pa...(+)
Piano Solo (Piano)
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Music Sales America.
Classical. 44 pages.
Editions Musicales
Francaises #EMF100035.
Published by Editions
Musicales Francaises
(HL.14021532).
9.0x12.0x0.172
inches. A
collection of simplified
versions of Mozart's
original compositions
arranged for solo piano.
The succession of pieces
do not correspond to an
increasing technical
level but offers the
discovery of the author's
musical repertoire. The
accompanying CD (CD audio
and CD-rom) allows the
pianist to listen to each
composition and hear the
interpretation suggested.
Suitable for pianists
grades 3-5 standard.
(CD-rom is compatible for
PC and Mac). $17.95 - Voir plus => AcheterDélais: 4 to 6 weeks | | |
| Sonatina No. 1 Guitare [Conducteur] Productions OZ
Guitar solo SKU: DZ.DZ-4272 Composed by Mark Anthony Cruz. Score. Les Pro...(+)
Guitar solo SKU:
DZ.DZ-4272 Composed
by Mark Anthony Cruz.
Score. Les Productions
d'OZ #DZ 4272. Published
by Les Productions d'OZ
(DZ.DZ-4272). ISBN
9782898521898. En
septembre 2018, le
guitariste Toby
McWilliams a commandé
à Cruz
lâécriture
dâune pièce solo
en trois mouvements
après avoir entendu
ses Five Pieces in C dans
lâémission de
radio internationale
Classical Guitar Alive.
McWilliams a demandé
que le premier mouvement
soit en forme
sonate-allegro, suivi de
deux autres pièces
reflétant les choix de
tempo dâune sonatine
en trois mouvements
typique. Comme câest
le cas pour la plupart
des Åuvres de Cruz,
cette Sonatine a
été achevée en
tant que musique pure,
sans programme
sous-jacent. Cependant,
dans sa quête de
trouver des titres autres
que des indications de
tempo, Cruz a extrait
trois mots de la
correspondance entre
lui-même et McWilliams
qui, ensemble, ajoutent
une touche personnelle
à la collection tout
en suggérant une
progression des
événements
dâune journée
imaginaire.
Un
point
dâintérêt dans
le premier mouvement, le
thème A : Cruz
commence sur
lâaccord IV et
évite
intentionnellement
dâutiliser un accord
I tout au long de la
pièce. Bien que la
section B commence dans
la tonalité de
dominante, elle se dirige
rapidement vers un centre
tonal de ré
majeur.
Festival
(3ème mouvement)
utilise un thème
dâouverture bitonal
: mi majeur dans la voix
supérieure tandis que
la ligne de basse utilise
mi mineur.
In
September of 2018,
guitarist, Toby
McWilliams commissioned
Cruz to write a
three-movement guitar
solo after hearing his
Five Pieces in C on the
internationally
syndicated radio show,
Classical Guitar Alive.
McWilliams requested the
first movement to be in
sonata-allegro form
followed by two other
pieces that reflect the
tempo choices of a
typical three-movement
sonatina. As is the case
with most of Cruzâs
music, this Sonatina was
completed as music
written for musicâs
sake. However, in his
quest to find titles
other than tempo
markings, Cruz plucked
three words from the
correspondence between
himself and McWilliams
that together, add a
personal touch to the
collection while
suggesting a progression
of an imaginary
dayâs
events.
A point of
interest in the first
movement, A theme: Cruz
begins on the IV chord
and intentionally avoids
using a proper I chord
throughout. While the B
section does begin in the
dominant key, it moves
quickly towards a D major
tonal
center.
Festival
(3rd movement) uses a
bitonal opening theme: E
major in the top voice
while the bass line uses
E minor. $10.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Sonate En Mi B Majeur (Sonata in Eb Major) [Conducteur et Parties séparées] Billaudot
(Pour Flute A Bec Alto Et Basse Continue - (for Alto Recorder and Continuo)). By...(+)
(Pour Flute A Bec Alto Et
Basse Continue - (for
Alto Recorder and
Continuo)). By Johann
Sebastian Bach
(1685-1750). Edited by
Michel Sanvoisin. For
Recorder, Basso Continuo.
The Recorder Collection
directed by Michel
Sanvoisin. Score and
part(s). BWV 1033. 8
pages. Published by
Gerard Billaudot Editeur
$20.99 - Voir plus => AcheterDélais: 4 to 6 weeks | | |
| Sonate En Mi Bemol Majeur K302 Pour Clarinette En Si Bemol Et Piano Clarinette Leduc, Alphonse
Clarinet SKU: HL.48185565 Composed by Wolfgang Amadeus Mozart. Leduc. Cla...(+)
Clarinet SKU:
HL.48185565 Composed
by Wolfgang Amadeus
Mozart. Leduc. Classical.
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Alphonse Leduc
(HL.48185565). UPC:
888680959685. 9x12
inches. Wolfgang
Amadeus Mozart: Sonata
K302 in E flat major
(Clarinet & Piano). $19.95 - Voir plus => AcheterDélais: 24 hours - In Stock | | |
| Sonate En Si Bemol Majeur K454 Pour Clarinette En Si Bemol Et Piano Clarinette Leduc, Alphonse
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Clarinet (Clarinet)
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Composed by Wolfgang
Amadeus Mozart. Leduc.
Classical. Softcover. 22
pages. Alphonse Leduc
#AL29223. Published by
Alphonse Leduc
(HL.48185566). UPC:
888680856151.
9.0x12.0x0.14
inches. Wolfgang
Amadeus Mozart: Sonata
K454 in B flat major
(Clarinet &
Piano). $23.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
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