L?oeuvre Western Suite dresse en musique le portrait d?une caravane de chercheurs d?or et autres aventuriers. Le voyage commence dans une ambiance optimiste qui se traduit par une pétillante marche. En soirée la mélancolie s?installe autour du feu de camp des sons lugubres s?échappent des instruments. Le lendemain est organisé un rodéo festivité et excitation sont abordées par de riches lignes mélodiques avant de réinterpréter le thème initial en final. Avec Western Suite laissez entrer l?ouest américain dans votre salle de concert !

Par MANTOVANI BRUNO. Le Quintette pour Bertolt Brecht est une extension d'une musique de scène que j'ai écrite en 2006 pour la pièce de théâtre Homme pour homme mise en scène par Emmanuel Demarcy Mota. L'argument de cette pièce est d'une rare violence sociale, le spectateur assistant à la transformation d'un homme quelconque au destin tranquille en un monstre de haine et de brutalité. Destinée à la harpe seule, ma partition comportait plusieurs interludes très expressionnistes où la harpe était souvent utilisée à contre-emploi, d'une façon très percussive. J'ai décidé d'utiliser le matériau de ces interludes et de le développer à l'aide d'un quatuor à cordes pour écrire cette oeuvre qui, bien qu'autonome, garde du projet originel une forte tension à la fois dans les séquences denses, mais aussi dans les passages plus énigmatiques où la raréfaction du matériau n'agit aucunement dans une logique de détente du discours. Le matériau issu de la musique de scène a la fonction d'un 'refrain' alternant avec des éléments inédits, à commencer par une cadence initiale pour violoncelle seul qui présente le caractère rhapsodique et discontinu de la suite. Le quatuor entre ensuite, de façon très ornementale, l'ensemble ayant une forme rappelant le genre du concerto. Le Quintette pour Bertolt Brecht a été créé à Bad Reichenhall le 22 août 2009 par Sarah O'Brien et le quatuor Danel, co-commanditaire de l'oeuvre avec le 'Lauers freunde Quartett'. Bruno Mantovani / contemporain / Répertoire / Harpe et Quatuor à Cordes

Song of Friendship est une commande de l?orchestre d?harmonie de l?Universit? de Jumonji Saitama Japon et de leur chef Yutaka Nishida. La commande marque aussi la 50e ann?e de l?engagement de Yutaka Nishida avec des bands que ce soit comme joueur chef d?orchestre ou pr?sentateur radio. Le c?r?monial Song of Friendship commence par une longue fanfare mettant en sc?ne en particulier les cuivres. Ceci nous m?ne au th?me principal qui se d?veloppe ensuite graduellement jusqu?? une interpr?tation par l?ensemble entier. Une modulation signale le d?but de la section centrale contrastante. Elle se caract?rise par un choral calme pour les bois qui se d?veloppeensuite jusqu?au retour du triomphant th?me principal. Des ?l?ments de la fanfare du d?but finissent alors l??uvre.

Loyalty Among Friends. Par HOUBEN KEVIN. Hidden Light - Loyauté entre amis, a été composé à l'occasion des 75 ans d’ancienneté de M. Leo Knoben au Royal Brass Band 'Eendracht Waubach'. (NL) Par fierté et admiration pour ce jubilé exceptionnel, mais aussi par gratitude pour ses nombreuses années d'engagement en tant que musicien et membre du conseil d'administration, son ensemble a décidé de commander une œuvre mémorable au compositeur Kevin Houben. Cette mission a donné naissance au merveilleux choral Hidden Light, pour lequel le compositeur Kevin Houben Ce dernier s'est inspiré des émotions et des oppositions suivantes : petit - majestueux, soumis - royal et simplicité - gloire. L'œuvre commence dans une atmosphère très modeste et sombre. La composition évolue par la suite vers un son grandiose avec de belles mélodies, explorant toute la richesse et les couleurs de l'orchestre d'harmonie 'symphonique'. La variété intéressante de l'orchestration, le cadre intime du début et les passages tutti larges et majestueux qui suivent, rendent l'œuvre très nuancée, agréable à jouer et à écouter. Avec Hidden Light, Kevin Houben a de nouveau su créer une composition expressive et puissante, de nature très intime. Cette œuvre émouvante est un hommage à un homme exceptionnel qui a été là pour « son » orchestre toute sa vie, avec un cœur chaleureux pour « ses » musiciens. Chaque musicienne et musicien reconnaîtra à n’en pas douter, sa relation et sa passion pour la musique dans cette pièce. / Date parution : 2021-12-09/ Répertoire / Fanfare

La musique folk irlandaise est à la base de cette nouvelle uvre.Dans la première partie le thème principal est présenté comme une ballade commençant avec le piccolo (pour remplacer la fl?te à bec soprano que lon retrouve souvent en Irlande) passant à tous les bois puis à lensemble de lorchestre.On passe ensuite à un style plus rock : un accompagnement soutenu et rythmé avec des effets dans les sourdines un point dorgue et lutilisation des cuillers du bongo aigu (remplace le bodhran) etc. si caractéristiques de la musique irlandaise (pub irlandais).Dans cette deuxième partie jai inséré en contrepartie un deuxième thème joué par les divers groupes dinstruments. Ce thème aclairement un caractère plus legato et est par conséquent plus mélodieux.Le climax de luvre commence dans les cuivres graves avec leur thème marcato élaboré avec une grande rythmique dans laccompagnement les clusters etc. et va vers un solo de percussions avec des orchestrations en 5/8 avec de nombreux mouvements parallèles dans les accords (style de la musique folk).Vers la fin le deuxième thème revient à deux reprises : une fois comme il a déjà été entendu avec plus de contre-mélodie et de modèle daccompagnement ensuite sous une forme canonique dans laquelle trois groupes jouent le thème dans un mélange harmonieux. La fin est une répétition de la partie centrale en 5/8.Jai essayé dexploiter bon nombre des couleurs dun orchestre philharmonique en faisant jouer les cuivres et les bois seuls et en utilisant de nombreuses sourdines. De plus les percussions jouent un rôle de premier plan dans lensemble de luvre.

La musique folk irlandaise est ? la base de cette nouvelle ?uvre.Dans la premi?re partie le th?me principal est pr?sent? comme une ballade commen?ant avec le piccolo (pour remplacer la fl?te ? bec soprano que l?on retrouve souvent en Irlande) passant ? tous les bois puis ? l?ensemble de l?orchestre.On passe ensuite ? un style plus rock : un accompagnement soutenu et rythm? avec des effets dans les sourdines un point d?orgue et l?utilisation des cuillers du bongo aigu (remplace le bodhran) etc. si caract?ristiques de la musique irlandaise (pub irlandais).Dans cette deuxi?me partie j?ai ins?r? en contrepartie un deuxi?me th?me jou? par les divers groupesd?instruments. Ce th?me a clairement un caract?re plus legato et est par cons?quent plus m?lodieux.Le climax de l??uvre commence dans les cuivres graves avec leur th?me marcato ?labor? avec une grande rythmique dans l?accompagnement les clusters etc. et va vers un solo de percussions avec des orchestrations en 5/8 avec de nombreux mouvements parall?les dans les accords (style de la musique folk).Vers la fin le deuxi?me th?me revient ? deux reprises : une fois comme il a d?j? ?t? entendu avec plus de contre-m?lodie et de mod?le d?accompagnement ensuite sous une forme canonique dans laquelle trois groupes jouent le th?me dans un m?lange harmonieux. La fin est une r?p?tition de la partie centrale en 5/8.J?ai essay? d?exploiter bon nombre des couleurs d?un orchestre philharmonique en faisant jouer les cuivres et les bois seuls et en utilisant de nombreuses sourdines. De plus les percussions jouent un r?le de premier plan dans l?ensemble de l??uvre.

« Jolly Roger » est le nom donné au célèbre et terrifiant pavillon pirate à tête de mort. Hissé peu avant l?abordage pour intimider l?équipage du bateau convoité il lui intimait l?ordre de se rendre sans résistance. Le pavillon noir est devenu un symbole de la piraterie cruelle mais aussi pleine d?aventures romantiques. Jolly Roger d?Armin Kofler raconte l?histoire d?un bateau pirate voguant en haute mer. L?ouverture est sereine ; la mer est calme. Mais le calme est trompeur c?est le calme avant la tempête. Le climat change la musique se fait plus sinistre. Le pavillon noir est hissé. Le bateau toutes voiles dehors file sur la mer quand soudain les piratesrepèrent une proie. Commence alors une poursuite dramatique chaotique et pleine de rebondissements. Après un passage puissant la musique dessine la fin du combat. Le « thème du pavillon noir » réapparaît et trouve sa conclusion dans un accord Majeur qui modifie complètement le décor : la menace pirate s?est enfin éloignée. La musique se focalise sur la fin heureuse de l?équipage du bateau abordé. On ressent un soulagement un signal d?apaisement. Les débuts sont hésitants fragiles ; le doute s?efface progressivement. Les marins finissent par comprendre que le danger est définitivement écarté. La ligne mélodique serpente vers le finale de l?œuvre dans lequel le thème principal légèrement modifié se présente sous une forme majestueuse.

Par MURAIL TRISTAN. (...) (Les Sept paroles) bénéficie(nt) des plus récents développements sur le plan de la synthèse vocale. L'intervention de l'ordinateur durant le concert a été remplacé par une collection très élargie d'échantillons que le compositeur a élaborés avec son assistant (Grégory Beller) dans les studios parisiens de l'Ircam. Pendant le concert, les échantillons audio sont activés par un seul clavier situé au centre de l'orchestre. De cette façon, la synchronisation entre musiques acoustique et électronique est parfaite. Cette technique permet de confronter un choeur virtuel au choeur réel. Ceci est de très grande importance, car les chanteurs, si doués soient-ils, sont limités en termes de registre ainsi qu'en capacité d'intonation. Tristan Murail indique : 'A certains moments précis, le choeur virtuel chante dans l'extrême aigu ou dans l'extrême grave et produit des micro-intervalles qui complètent les hauteurs diatoniques du choeur réel. J'utilise également des effets électroniques d'écho et de spatialisation qui présentent des similitudes avec le Requiem de Berlioz.' Mais la référence à la musique de l'époque romantique s'arrête là. Les chanteurs de chair et d'os ne chantent pas une histoire ni ne traduisent d'émotion vive, sauf au milieu de la partie 4, où la partie de choeur atteint un point culminant. A l'échelle de l'ensemble de la pièce, l'orchestre et le choeur sont parfaitement unis. Ceci correspond à la sobriété de l'approche de Tristan Murail qui n'a pas voulu écrire un oratorio, mais 'une oeuvre orchestrale avec voix'. Pour les mêmes raisons, il s'est tout à fait détourné de l'idée d'un soliste qui représenterait le Christ. 'Je voulais absolument éviter le pathos du XIXème siècle. J'espère que l'émotion viendra de la forme musicale et non des mots. Afin de ne pas me laisser entraîner par le récit, j'ai d'abord écrit les notes. Ce n'est qu'ensuite que j'ai réfléchi à la mise en place du texte. J'ai pu ainsi dans mon processus de composition tenir le contenu sémantique à distance.' (Tristan Murail). L'oeuvre commence par une introduction orchestrale de treize minutes qui édifie un décor où sont déjà mis en exergue certains éléments musicaux déterminants. Suivent les sept paroles elles-mêmes (sept parties enchaînées). Afin de fournir à l'auditeur des repères quant au déroulement de la forme, chaque partie est annoncée par des sons de cloches échantillonnés. Les textes de l'oeuvre n'ont pas tant trait aux sept dernières paroles du Christ en elles-mêmes qu'à un besoin spirituel plus général qui correspondrait à la condition humaine. Les mots désespérés du Christ en croix : 'Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-Tu abandonné' (Matthieu, 27-46), sont empruntés à un Psaume dans lequel le croyant se plaint explicitement auprès de l'Eternel : 'Mon Dieu, j'appelle de jour et Tu ne réponds pas - et, de nuit, je ne m'apaise pas.' (Psaume 22-3). Tristan Murail a été touché par cette plainte et par l'interprétation radicale qu'en donnera Nietzsche bien des siècles plus tard : 'Dieu est mort'. Sa composition se termine dans la déception par un choral extrêmement doux, presque murmuré, dans lequel le choeur répète la ligne du Psaume. Dans l'oeuvre de Tristan Murail, la voix humaine joue un rôle discret. Il n'y a pas de chant soliste. Le chant choral intervient trois fois seulement : dans ces Sept paroles, dans leur précédent de 1988 et dans ...Amaris et dulcibus aquis... pièce pour choeur, synthétiseur et électronique de 1994. Est-ce que Tristan Murail cherchera à dépasser à l'avenir l'énorme faille existant entre chant et spectralisme ? Son collègue spectral Gérard Grisey s'est tourné vers la musique vocale dans les dernières années de sa vie de manière très réussie. Tristan Murail nous dit que : 'la voix humaine ne fait partie d'aucun de mes projets pour les trois prochaines années. Il y aura peut-être des possibilités plus tard. Pendant la composition des Sept paroles, j'ai fait des découvertes dans ce domaine. J'ai par exemple été très satisfait du choral spectral qui revient à plusieurs reprises et de la manière dont, dans la cinquième partie, la mélodie vocale est colorée par le son de l'orchestre. Le choeur chante des intervalles simples qui sont perçus différemment grâce aux harmonies spectrales de l'orchestre.' Michel Khalifa, Extrait du programme de salle des ZaterdagMatinee, Concertgebouw Amsterdam, 10 avril 2010 Traduction française : Editions Henry Lemoine / contemporain / Répertoire / Orchestre, Choeur et Electronique

?Fanfare for a Friend? fut initialement composé comme morceau d?ouverture pour l?ensemble de cuivres ?Musica Mosana? et son chef d?orchestre Mark Prils. L?oeuvre commence par une brillante fanfare de cuivres dans laquelle est présenté le thème principal. Ce thème majestueux est traité de façon contrapuntique durant les 28 premières mesures. Vient ensuite un passage rapide qui marque le contraste et dans lequel un thème mélodieux se distingue d?un accompagnement plutôt rythmique. Un passage plein de virtuosité et d?entrain amène au grandioso qui reprend simultanément les deux thèmes dans un final éclatant.

Fanfare for a Friend fut initialement composé comme morceau douverture pour lensemble de cuivres Musica Mosana et son chef dorchestre Mark Prils. Loeuvre commence par une brillante fanfare de cuivres dans laquelle est présenté le thème principal. Ce thème majestueux est traité de façon contrapuntique durant les 28 premières mesures. Vient ensuite un passage rapide qui marque le contraste et dans lequel un thème mélodieux se distingue dun accompagnement plutôt rythmique. Un passage plein de virtuosité et dentrain amène au grandioso qui reprend simultanément les deux thèmes dans un final éclatant.

?Fanfare for a Friend? fut initialement composé comme morceau d?ouverture pour l?ensemble de cuivres ?Musica Mosana? et son chef d?orchestre Mark Prils. L?oeuvre commence par une brillante fanfare de cuivres dans laquelle est présenté le thème principal. Ce thème majestueux est traité de façon contrapuntique durant les 28 premières mesures. Vient ensuite un passage rapide qui marque le contraste et dans lequel un thème mélodieux se distingue d?un accompagnement plutôt rythmique. Un passage plein de virtuosité et d?entrain amène au grandioso qui reprend simultanément les deux thèmes dans un final éclatant.

Fanfare for a Friend fut initialement composé comme morceau douverture pour lensemble de cuivres Musica Mosana et son chef dorchestre Mark Prils. Loeuvre commence par une brillante fanfare de cuivres dans laquelle est présenté le thème principal. Ce thème majestueux est traité de façon contrapuntique durant les 28 premières mesures. Vient ensuite un passage rapide qui marque le contraste et dans lequel un thème mélodieux se distingue dun accompagnement plutôt rythmique. Un passage plein de virtuosité et dentrain amène au grandioso qui reprend simultanément les deux thèmes dans un final éclatant.

Johannes Brahms n?aborda le genre de la symphonie que sur le tard et avec de nombreux scrupules.

Après avoir retravaillé et finalement rejeté de nombreux essais de jeunesse, il se présenta au public comme symphoniste seulement en novembre 1876 avec son opus 68.

Trois symphonies suivirent ensuite en l?espace d?une petite décennie. Ces quatre ?uvres figurent aujourd?hui au répertoire de toutes les grandes phalanges symphoniques ? et elles viennent jalonner la progression de l?édition complète des ?uvres de Brahms commencée à Kiel en 1996 par la publication de la 1re Symphonie.

Les spécialistes renommés de Brahms Robert Pascall et Michael Struck ont entretemps publié les quatre ?uvres dans l?édition intégrale.

Nous profitons de l?occasion pour réunir les symphonies de Brahms dans un coffret à un prix tout à fait abordable: De la recherche scientifique du plus haut niveau en quatre partitions d?étude tout à fait maniables. / [Les Symphonies - 4 Volumes réunis dans un coffret] / Classique / Partition de poche / Cartonné / Plats de carton /

?Fanfare for a Friend? fut initialement composé comme morceau d?ouverture pour l?ensemble de cuivres ?Musica Mosana? et son chef d?orchestre Mark Prils. L?oeuvre commence par une brillante fanfare de cuivres dans laquelle est présenté le thème principal. Ce thème majestueux est traité de façon contrapuntique durant les 28 premières mesures. Vient ensuite un passage rapide qui marque le contraste et dans lequel un thème mélodieux se distingue d?un accompagnement plutôt rythmique. Un passage plein de virtuosité et d?entrain amène au grandioso qui reprend simultanément les deux thèmes dans un final éclatant.