from the Planets-Jupiter celui qui apporte la gaieté / Entre 1914 et 1916 Gustav Holst (1874-1934) compositeur anglais écrit une suite pour orchestre en sept mouvements dont chacun a une connotation astrologique. Il choisit de mettre en scène les planètes Mars Vénus Mercure Jupiter Saturne Uranus et Neptune. La suite Les Planètes est considérée comme l?une des œuvres classiques du XXe siècle dont la palette sonore est la plus complète.

L?aigle royal plane sur les crêtes et les sommets et ceux qui l?aperçoivent tombent instantanément sous le charme. Son regard perçant et ses caractéristiques physiques font de lui un parfait chasseur de haute montagne. Il tire son nom de l?éclat de son plumage. Il est universellement connu comme le Roi des airs à cause de son habileté inégalée en vol et de sa beauté sans pareil. Il a toujours eu cet effet magique sur les gens et son portrait se reflète comme un emblème depuis des temps immémoriaux. Dans la province autrichienne du Tyrol l?aigle symbolise la liberté du Tyrol la dignité et la fierté de la patrie. Laissez votre imagination voler librement avec nous !

Le choral Für deinen Thron tret? ich hiermit de Jean-Sébastien Bach est au centre de cette composition.Anton Bruckner fut un des plus fervents admirateurs de Jean-Sébastien Bach. D?ailleurs cette admiration si profonde fut riche de conséquences sur sa propre oeuvre. Dans Spiriti de Thomas Doss on sent planer l?esprit de Bruckner dont l?univers est évoqué par un fragment du choral de la Symphonie n° 5 qui apparaît en filigrane à la fin de l?oeuvre.L?introduction une sorte de marche funèbre expose les premiers fragments du choral de Bach. La musique éclate en segments que Thomas Doss combine et recombine pour construire un premier Allegro turbulentqui s?épanouit dans des tutti puissants. La trame devient exubérante et le divers fragments du choral de Bach finissent par tourbillonner les uns autour des autres dans un vol désordonné.Le passage central (religioso) est de nature méditative et introspective. Une structure en noires pleure une âme éplorée. S?appuyant sur des éléments minimalistes associés aux segments utilisés précédemment le troisième et dernier passage s?achemine vers l?exposition grandiose du choral de Bach. Dans le tourbillon de cloches on sent planer l?ombre des deux grands maîtres de l?orgue.