Par SPARKE PHILIP. Cette référence (AMP 225-050) correspond aux parties de Choeur à quatre voix. Le texte est en anglais.' La plupart des traditions de Noël en Angleterre sont relativement récentes. Montée sur le trône en 1837, la reine Victoria (née de Hanovre) régnera jusqu'à sa mort en 1901. En 1840, elle épousa son cousin, le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha. Le prince consort, originaire d'Allemagne, importa bon nombre de traditions de Noël allemandes au Royaume-Uni. Ainsi, il fit découvrir aux Anglais la coutume du sapin et les cartes de Noël, entre autres, contribuant largement au Noël typiquement anglais tel que nous le connaissons aujourd'hui.Bien que les chants de Noël font l'objet d'une longue tradition en Angleterre, de nombreuses mélodies que nous chantons proviennent du continent européen ou des Etats-Unis. Je savais bien que le célébrissime Silent Night (Douce nuit) était d'origine autrichienne et que Hark, the Herald Angels Sing (Ecoutez le chant des Anges) était d'origine allemande. Pourtant, quelle ne fut pas ma surprise d'apprendre qu'Away in a Manger (Sur la paille fraîche) ou encore We Three Kings nous venaient des Etats-Unis et que Ding, Dong Merrily on High était un noël d'origine française. Quoiqu'il en soit, j'ai réussi à constituer un canevas de mélodies anglaises pour réaliser ce festival de chants de Noël. 'Philip Sparke / Niveau : 3 / Recueil / SATB Accompagnement

Summerly Jeremy (Editor). Par SUMMERLY JEREMY. Une fascinante collection explorer les richesses musicales d'une période plus colorée, du moyen âge. Reflétant l'atmosphère d'une époque où la maladie et la mort subite ont été contrebalancés par la foi et ' joie de vivre ', ce volume contraste sacrés paramètres tels que le toujours populaire ' natus est Gaudete Christus ' et inédites précédemment ' Jesu dulcis memoria ' avec des classiques laïques médiévales comme ' Sumer est icumen dans ', ' Agincourt Carol ' et le Passetime célébration avec bonne compagnie. / Date parution : 2000-07-20/ Recueil / SATB

This work for viola chorus and percussion was commissioned by the London Symphony Chorus and was first performed in October 1994 at the Barbican Hall London by Yuri Bashmet and the London Symphony Chorus conducted by StephenWestrop.The remarkable text of the Troparion written by the great Byzantine poetess-nun Cassiana was the inspiration of The Myrrh-Bearer. The text informed the architecture of the music. The viola solo represents MaryMagdalen as the cello solo represented the Mother of God on The Protecting Veil. This is where the resemblance between the two pieces ends.In The Myrrh-Bearer the Chorus symbolises ???us??? the ???sins of the world??? from???stylized dictatorships??? to ???the frivolous inane escapist vanities of the world ??? the to cries of ???help??? after the cosmic catastrophe and finally reaching an apocalyptic climax in the words ???We have no king by Caesar;??? adownright condemnation of God in the Earthly power.In a surreal way the Magdalen???s ???sin??? shines through in the viola music because she recognises the Godhead and the endless ???Kyrie eleison??? chanted by the semi-chorusrepresents her repentance and whatever is left of a ???repentant??? world.The Myrrh-Bearer explores the whole range of the viola climbing from the depths up to the highest notes and then falling again at the end after theMagdalen???s recognition of the Risen Christ ???Rabboni.???The last stroke of the gong in the viola???s final bottom C gives a deliberately ominous end to the piece.This is a special item which is made to order. Please e-mail ourMail Order Department for further information.

Ce recueil est un 'florilège' de chansons 'éprouvées' qui sont devenues, en quelque sorte, des 'classiques' du répertoire choral. La plupart d'entre elles ont été composées ou harmonisées par César Geoffray. Les autres sont dues à Marcel Corneloup, Jean Bouvard, Guy Plettener, A. Perez-Moya, Philippe Caillard, Robert Houette, Heinz Lau, Kremer... Un grand classique de toutes les chorales. / Choeur Mixte / 84 pages / Partition

Celtiques est un ensemble de dix arrangements de mélodies traditionnelles bretonnes ou irlandaises pour choeur mixte et piano,L'écriture varie les orchestrations (voix solistes, double choeur, choeur de femmes) et mêle les langages jazz et traditionnel dans un kaleïdoscope de couleurs musicales,Il existe une version pour choeur et orchestre de cette oeuvre rassemblant trio jazz (contrebasse, batterie, piano) et instruments traditionnels : uillean pipe, violon, whistle, flüte, guitare DADGAD 1, An hini a garan (5') : Complainte : celui que j'aime, je l'ai perdu à jamais,2, Ar Baradoz (3') : Cantique : le bonheur du Paradis,3, Believe me if all those endearing young charms (4'30'') Rien n'altère les sentiments du poète Thomas Moore envers sa femme atteinte d'une maladie de peau,4, Fiddlers green (5') : Le paradis des marins,5, Finnigan's wake (2'30'') : Réveil du défunt lors d'une veillée funèbre bien arrosée,6, Johnny I hardly knew ye (3') : La bien-aimée est fâchée de constater que son homme perd à la guerre son bras, son oeil, sa jambe,,,7, Me zo ur Serjant Major (2'30) : Kan a diskan (Chant à danser) pour le retour de l'armée du sergeant-Major,8, My singing bird (3') : Elle aimerait bien tenir un petit oiseau entre ses deux seins,9, The Kerry dances (4'30'') : Dans le bon temps jadis, c'était mieux,10, Tri martolod (3'50'') : Après la mer, nous nous marierons et vivrons d'amour / Jazz