Suite-La Terre le Feu l?Eau et l?Air sont les quatre éléments indispensables à toute forme de vie. Ils imprègnent notre conception du monde notre pensée et nos émotions. De tous les grands principes la division de l?univers en quatre éléments fondamentaux est certainement un des plus anciens. La Terre le Feu l?Eau et l?Air constituent le support de la pensée de la conscience et du sentiment humains. Selon les écrits de la philosophie antique grecque chacun des quatre éléments possède des caractéristiques propres ; le monde est le résultat de l?association de ces éléments. Tous les corps présents dans le cosmos y compris l?Homme sont donc issus de ces quatre éléments. LaTerre le Feu l?Eau et l?Air maintiennent l?équilibre entre le corps et l?esprit. Cette suite est composée de quatre mouvements dont chacun correspond à un élément précis: La danse du feu : Le Feu est sauvage mystérieux et dangereux. Il représente la volonté de l?Homme. Le cycle de l?eau : L?Eau est fluide infinie et puissante. Elle règne sur le monde des sensations et des émotions. La planète Terre : L?élément Terre est stabilité matérialité et fertilité. On l?assimile au moi profond. L?Air - Le souffle de la vie : L?Air est associé à la vivacité la mobilité et la sensualité. Il symbolise la pensée l?intellect. Des quatre éléments fondamentaux deux sont considérés comme féminins (Eau - Terre) et deux comme masculins (Feu - Air). Un motif principal permet de les unir. De plus de subtils rappels thématiques relient les différents tableaux entre eux. Un puissant prologue et un épilogue encadrent les quatre épisodes de l?oeuvre.

The tradition of the Christmas tree in Western Europe dates back to a time long before any Christianization had taken place. During the severely cold winter nights so it was believed evil spirits tried to 'kill' nature. Needle-leaved trees were the only ones which kept their green colour throughout the year and therefore became symbols of immortality. These 'living' trees said to be the work of benign spirits were brought into people's houses to ward off evil life-threatening powers. In the 14th century people first started to decorate Christmas trees. It was a pagan custom originated by the inhabitants of Alsace. This custom was taken over by the Church inthe course of the 15th and 16th century. At first the decoration consisted mainly of edibles such as apples and wafers but later small presents were added. Legend has it that the reformer Martin Luther was the first person to decorate a Christmas tree with candles. The flickering candle flames were meant to create the image of a starry sky in which Christ's apparition could be recognized. The German organ-player Ernst Anschütz from Leipzig was the first person to notate the song 'O Tannenbaum' the melody being a well-known folk song. Next to 'Stille Nacht' 'O Tannenbaum' is the most famous German Christmas song now known throughout the world. In the United States of America the melody of 'O Tannenbaum' has even been used in four States (among which the State of Maryland) for their State song. In David Well's arrangement the song is first heard as many of us know it. After this introduction however it is transformed into a solid rock version and the beat has been changed. In the second part the familiar three-four time is back but here the rhythm is different from the original. After the richly ornamented rock beat the basic theme can be heard once again and the composition is concluded in a festive manner.

Jan Moretus (1543-1610) était imprimeur et éditeur de livres à Anvers sa ville natale. Il était l?assistant de son beau-père le célèbre imprimeur et éditeur Christoffel Plantijn. Après la mort de celui-ci en 1589 Moretus reprit la direction de l?entreprise.L?oeuvre composée par Bart Picqueur comprend quatre mouvements qui s?inspirent non seulement de la remarquable personnalité de Jan Moretus mais également du monde de l?imprimerie. Nous remarquons une certaine symétrie dans les titres des mouvements comme dans leur structure thématique : une allusion spirituelle au processus d?imprimerie. La première partie A Celebrated Gentleman décrit le personnageillustre de Moretus dans un choral joyeux. Dans la deuxième Expressive Impressions la presse d?imprimerie elle-même se fait entendre dans des motifs répétés et malgré la nature mécanique du processus le résultat affiche avec noblesse une dimension culturelle et artistique. Dans la troisième partie Impressive Expression l?orchestre est invité à imprégner le thème lent d?une expression poignante. La quatrième partie A Gentle Celebration offre un finale plein d?entrain fondé sur un thème nouveau.

Larsenn River-L?eau ! Élixir de vie et force de la nature... étincelante agitée puissante ? une précieuse ressource. L?eau calme et cristalline des lacs de montagne - les cascades qui s?écrasent sur les roches en grondant - les minuscules ruisseaux courant parmiles herbes - les torrents dangereux qui dévalent les montagnes... Sous toutes ses formes l?eau est belle parfois menaçante toujours fascinante.L?homme ne peut pas se mesurer à l?eau. Elle envahit parfois son habitat il la repousse tant bien que mal mais elle arrive souvent à conquérir ses terres. Elle est maîtrisée grâce à la technologie mais elle demeure toujours imprévisible.L?histoire de la petite ville tyrolienne de Mils en Autriche est liée à la rivière Larsenn. Sous la menace constante de ses eaux turbulentes le petit village aura subi plusieurs inondations avant de parvenir à les vaincre. Wild Waters (Eauxsauvages) retrace cette histoire et présente les éléments contradictoires de l?eau ? sa beauté et ses dangers.Wild Waters est une commande du Brass Band de Mils be Imst dirigé par Hannes Nagiller. Cette pièce fait partie des morceaux imposés dans la catégorie B du concours régional 2015 de l?Association tyrolienne des Brass Bands qui aura lieu àInnsbruck.

Présentation de Frohmut DANGEL-HOFMANN : Vie et oeuvres de Platti - Rudolf Franz Erwein, la collection de partitions et G.B. Platti - Aperçu du catalogue des oeuvres de Platti - Le texte original. - Deux cahiers de six sonates chacun, manuscrits en partition. - - / Violoncelle Et Basse Continue / 80 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 23.5 X 32.5

Principe:Les cath?drales excitent l?imagination : pendant des centaines d?ann?es des hommes se sont donn? toutes les peines du monde pour achever ces ?difices et ceux-ci restent aujourd?hui les t?moins imposants de l?architecture et de l?histoire. La cath?drale repr?sentait par cons?quent une excellente source d?inspiration pour composer une ?uvre pleine d?effets acoustiques d??cho de m?lodies gr?goriennes et de th?mes d?orgue choraux.L??uvre ouvre sur un motif ? cinq tons en double slap qui r?sonne ? travers l?espace comme par un effet d??cho. Ensuite retentit l?antienne gr?gorienne ? Salve Regina ? jou?e ? l?euphonium combin?e peu apr?s avec lemotif d?ouverture. Le passage rapide qui suit est enti?rement bas? sur les intervalles de ce motif qui est ? pr?sent rythmiquement vari? et incorpor? sous des formes diverses (notamment en tant que th?me de fugue). L??uvre s??l?ve vers un premier moment fort qui laisse entendre de myst?rieux sons ?touff?s qui ?voquent une atmosph?re mystique et myst?rieuse.Petit ? petit appara?t un nombre toujours croissant d?extraits m?lodiques de l?antienne gr?gorienne jusqu?? ce que ce th?me comme une orgue surgisse de la masse sonore comme un grandiose th?me choral. L?ensemble rev?t un son de plus en plus puissant et brillant jusqu?? ce que tout cela aboutisse ? un final court mais ?clatant dans lequel se trouvent r?unis tous les ?l?ments de l??uvre.Remarques pour l?ex?cution:Dans la premi?re partie c?est l?effet acoustique d?une cath?drale qui est imit? c?est-?-dire que les r?ponses du motif ? cinq tons qui arrivent une fraction plus tard s?att?nuent sur leur fin (dim.) comme le ferait l??cho dans une cath?drale. Les r?ponses devraient elles aussi ?tre jou?es ? chaque fois un soup?on moins fort afin d?obtenir un effet d??cho optimal.Le rapport de tempo entre la mesure 1 et la mesure 32 est de 3/2. Ce faisant les motifs ? partir de la mesure 45 semblent aussi rapides qu?au d?but (mais sont ?videmment not?s diff?remment). Lorsque le tempo passe

Anton Bruckner (1824-1896). Par BRUCKNER ANTON / DOSS THOMAS (Arr.). Anton Bruckner (b. 4.9.1824, Ansfelden, d. 11.10.1896, Vienna) didn?t have it easy. Throughout his life, the Austrian composer was plagued by self-doubt. Anton Bruckner came from a simple, rural background. After the death of his father, he was accepted as a choirboy at the monastery of Sankt Florian in 1837. After several years as a school assistant and his own organ and piano studies, he first worked as organist in St. Florian, then from 1855 as cathedral organist in Linz. Introduced to music theory and instrumentation by Simon Sechter and Otto Kitzler, he discovered Richard Wagner as an artistic role model, whom he admired throughout his life and also visited several times in Bayreuth. In 1868 Anton Bruckner became professor of basso continuo, counterpoint and organ at the Vienna Conservatory; ten years later court organist; and in 1891 finally honorary doctor of the University of Vienna. He was considered an important organ virtuoso of his era, but had to wait a long time for recognition as a composer. It was not until Symphony No.7 in E major, composed between 1881 and 1883, with the famous Adagio written under the effects of Wagner's death, that he achieved the recognition he had hoped for, even if he was reluctant to accept it given his inclination towards scepticism and self-criticism. Anton Bruckner was a loner who did not want to follow a particular school or doctrine. He composed numerous sacred vocal works, such as his three masses, the Missa Solemnis in B flat minor (1854), the Te Deum (1881-84) and numerous motets. As a symphonic composer, he wrote a total of nine symphonies and many symphonic studies from 1863 onwards, tending to revise completed versions several times over. Bruckner's orchestral works were long considered unplayable, but in fact were merely exceptionally bold for the tonal language of their time, uniting traditions from Beethoven through Wagner to folk music, on the threshold between late Romanticism and Modernism. Anton Bruckner composed about 40 motets during his lifetime, the earliest a setting of Pange lingua around 1835, and the last, Vexilla regis, in 1892. Thomas Doss has compiled some of these motets in this volume for symphonic wind orchestra. These motets show many characteristics of personal expression, especially Bruckner's colourful harmony in the earlier works, which is in places aligned with Franz Schubert (changes between major and minor; and movements in thirds). Later works are characterised by many components which, in addition to the expanded stature of the movements, include above all a sense of the instrumentation as an outward phenomenon and the harmony as a compositional feature that works more internally. Some aspects of Bruckner's work are the result of his long period of study, which familiarised him not only with the tradition of his craft, but also gave him insights into the 'modernity' of his time in such composers as Wagner, Liszt and Berlioz. From this developed his personal standpoint, which always pursues the connection between the old and the new. / Date parution : 2023-08-12/ Répertoire / Concert Band/Harmonie

De los Zapatos Rotos-La curiosité que suscite le titre est à la dimension de la métaphore qu?il exprime : heureux ceux qui se battent pour une cause juste et légitime qu?importent les moyens. El batallón de los zapatos rotos (?Le bataillon de soldats aux chaussures usées?) combine l?art du paso doble espagnol avec une marche des chasseurs belges. Le résultat est surprenant !

La Symphonie Atlas pour grand orchestre d?harmonie est une œuvre imposante et subtile à l?orchestration riche et à la thématique complexe mais néanmoins gracieuse. Le compositeur a tenu à faire un parallèle entre l?Atlas ce livre où toutes les cartes géographiques du monde sont répertoriées et sa partition qui possède toutes les caractéristiques de son style musical. Volontairement écrite d?un seul tenant elle s?articule néanmoins en trois axes. Sa construction est basée sur une série de notes qui deviendront l?essence même de la pièce son matériau. Tel le travail des compositeurs de musique sérielle « la série » apparaitra sous différentes formes mélodiqueet harmonique thématique ou simplement d?accompagnement. Sa richesse rythmique et son pouvoir contrapuntique fait de cette pièce un véritable concerto pour orchestre. C?est l?Orchestre de la Police Nationale qui a le premier été séduit par l?œuvre et qui en a fait la brillante création sous la direction du compositeur Thierry Deleruyelle.

Ces trois évocations ont un point commun elles réunissent le même matériau thématique. Chaque mouvement de la suite est écrit dans un style différent pour permettre à vos musiciens d?illustrer toutes les facettes de leur art. Three Evocations s?adresse à la fois aux formations complètes et/ou incomplètes (voix dédoublées).

Chaque année la ville de Yokohama célèbre une fête particulière le ?Yokohama Kaikosai? la date anniversaire de l?ouverture du port maritime qui permit le développement de la ville. L?Orchestre d?Harmonie de Yokohama (Yokohama Wind Symphony) fut spécialement créé en 2006 pour participer au Concert de Bienfaisance « Autour du Brass Band » organisé par l?Association The Brass Cruise. L?objectif de cette formation ad hoc est d?encourager et de soutenir l?activité culturelle de la population et de promouvoir la musique japonaise pour formations à vent ayant ses racines à Yokohama. Le Yokohama Wind Symphony est devenu un élément essentiel du festival. Il est constitué de plus de200 musiciens tous recrutés publiquement. En 2007 le compositeur Satoshi Yagisawa répondit favorablement à l?invitation de l?orchestre dont il fut le chef invité. À cet effet le comité de l?Association The Brass Cruise lui commanda une œuvre de circonstance. Satoshi Yagisawa composa une fanfare brillante qu?il intitula Fanfare Mi-Chi-Bi-Ki(d?après le nom d?une statue en bronze de Yokohama). L?œuvre fut donnée en création mondiale en ouverture du concert 2007. À l?instar de la statue qui l?a inspirée la fanfare exprime le désir d?un monde meilleur un monde de paix.

Missa Katharina est une œuvre de commande pour le Concours International de Composition « Missa Katharina » organisé par la Fondation allemande Dr. Dazert (Kempten/Allgäu) en collaboration avec la Confédération Internationale desSociétés Musicales (CISM) l?Euregio Via Salina et le quotidien bavarois Allgäuer Zeitung. Les membres du jury Johann Mösenbichler (Autriche) Siegfried Bauer (Allemagne) le Père Stefan Kling (Allemagne) Isabelle Ruf-Weber (Suisse) et ReinaldScheule (Allemagne) eurent pour tâche de choisir l?œuvre lauréate du concours parmi les 32 œuvres qui leur furent soumises. Après délibération le prix du Concours fut attribué àJacob de Haan. L?œuvre fut donnée en création mondialedans la célèbre basilique d?Ottobeuren (Allgäu) en Allemagne par l?Orchestre à Vent Euregio (Euregio-Blasorchester) et un Chœur formé pour cette occasion placés sous la direction de Johann Mösenbichler.Prénom féminin d?origine grecque Catherine (Katharina) est le symbole de la pureté. Parmi les femmes remarquables qui ont porté ce prénom on citera Catherine de Sienne (fille d?un Ordre mystique et docteur de l?Église) Catherine d?Alexandrie (martyre sainte auxiliatrice) Catherine Labouré (religieuse mystique) Anne Catherine Emmerick (religieuse mystique) Catherine de Bologne (abbesse) et Catherine de Suède (abbesse).Missa Katharina est une messe composée des cinq mouvements Kyrie Gloria Credo Sanctus Benedictus et Agnus Dei. Ces mouvements sont complétés par trois mouvements instrumentaux (Prélude Offertoire Postlude) et deux mouvements de messe l?Alléluia et l?Amen. Le Prélude marque l?ouverturedu culte l?Offertoire célèbre la communion et le Postlude clôt le culte. L?Alléluia est chanté après le Gloria tandis que l?Amen suit l?Agnus Dei.Les possibilités d?interprétation sont les suivantes :-enversion intégrale-une version qui ne comprend que les mouvements.Partitions pour ch?ur disponibles séparément.

Karachi Boulevard est une oeuvre inspirée de la ville pakistanaise de Karachi. Elle a été composée suivant le principe des variations autour d?un thème.Le thème principal se compose d?une série de notes donnant d?emblée une touche orientale à l'?oeuvre. Le thème se décline au travers de brèves parties qui s?enchaînent de manière pratiquement imperceptible. La présentation compacte du matériel thématique est suivie d?un allegro rythmé sur une mesure 7/8 interprété par le piccolo. Vient ensuite une cadence à la clarinette avec accompagnement vocal par quelques 'natifs' de Karachi. Un andante impressionniste d?ambiance vient alors rompre l?agitation un solo à la flûteconférant un caractère nouveau au thème. Cette variation est suivie d?une danse populaire entraînante sur une mesure 3/4 pour déboucher à nouveau sur un vaste grandioso où le thème réapparaît dans toute sa simplicité cette fois accompagné d?ornements rythmiques au hautbois.Le plus frappant dans cette oeuvre est que malgré les nombreuses variations les différentes parties s?enchaînent de manière logique pour un résultat puissant et hautement musical.

Inspired by the Valley of Fire state park in the southwest United States that boasts stunning red sandstone formations created more than 150 million years ago. Located in Nevada's oldest state park in the Mojave Desert, at certain times of the day, when reflecting the sun's rays, these brilliant sandstone formations create the visual illusion of actually being on fire. An emotional composition that is a perfect for concert and contest performances alike. Juxtaposing bold and peaceful musical statements, this compelling composition concludes with burning intensity. (4:00) / Concert Band