with Suggested Chordal Accompaniment. Par BAY WILLIAM. This collection contains 100 favorite gospel songs and hymns for flute and guitar. Inside you will find rousing camp meeting songs, sentimental expressions of a deep-rooted faith, and gospel oriented hymns with an old-time music flavor. In preparing this collection I felt the sincere and solid faith of America's 'revivalist era”, staunchly embedded in the rural and southern regions of America, but also in the dedicated inner city missions founded in sprawling urban centers. These solos will bring joy, exuberance, nostalgia and a renewed sense of commitment to any worship celebration. They serve as a vehicle for and witness to the Christian faith. / Gospel / Recueil / Flûte Traversière et Guitare

Le Petit Flûtorama ( CD) est un répertoire de morceaux tous styles pour flûte traversière, niveau tout débutant. Avec ce recueil, les flûtistes débutants pourront apprendre tout en jouant du classique, des musiques de films, de la variété et du traditionnel. En tout, 30 titres spécialement arrangés pour que les débutants jouent avec plaisir leurs premiers airs à la flûte traversière, avec entre autres : - des thèmes de films comme Star Wars, La Reine des Neiges, Mary Poppins, Kirikou, Pirates des Caraïbes... - des chansons connues comme Le tourbillon de la vie (Legrand), Hey Jude (The Beatles), La Cane de Jeanne (Brassens)... - les incontournables du classique comme La Truite de Schubert, la 7eme de Beethoven, La Petite Musique de Nuit de Mozart... - et les traditionnels Joyeux Anniversaire, Vive Le Vent, Katioucha, Santiano... Chaque morceau est le fruit d?un travail d?arrangement, précis, adapté à l?instrument et au niveau de l?élève. Ce volume, progressif, présente un niveau de difficulté très faible et aisément accessible pour l?élève. Le CD accompagnant l?ouvrage, de qualité supérieure, a été enregistré par Dominique Etiévant, Raoul Duflot, Elisabeth Dutrieux et Laetitia Duflot (flûte traversière, piano) ; il donnera un exemple et un plaisir musical de choix à tous les apprentis flûtistes, ainsi qu?à tous les mélomanes. > La mise en page, en couleur et très aérée, assure une grande lisibilité ; la reliure spirale et le papier sans reflet apportent un confort de lecture. > Un cahier d?accompagnement piano séparé est inclus dans l?ouvrage. 96 pages.

Patykula John (Trans.). Par PATYKULA JOHN. Cette collection de petite mais colorée comprend cinq pièces par trois compositeurs arrangés pour flûte et guitare. Le XVIIIe siècle est représenté par une Gavotte de l'un des compositeurs les plus connus de la période, Padre Giovanni Battista Martini (1706-1784). Deux mouvements sont prises par le célèbre cycle piano de Tchaïkovski, un Album pour les jeunes: ' Old French Song ' et ' Chanson napolitaine. ' Enfin, deux pièces par Enrique Granados prêtent une saveur espagnole à la collection: ' Oriental ' et ' Jota (Rondalla Aragonesa). ' Manifestement, la flûte prend les devants dans ces arrangements duo, avec le guitariste jouant un rôle de soutien actif. La combinaison de la guitare et les flûte fonctionne bien, et ces pièces pourraient servir à fournir un contraste bienvenu à des morceaux de piano accompagnés dans un récital ou un programme de concert. / Niveau : Intermédiaire / Classic - Ensemble-Mixed / Recueil / Guitare et Flûte Traversière

Work for Flute and Guitar commissioned by Clive Conway and Gerald Garcia.Anthony Payne: 'As a passionate Elgarian for most of my musical life I was fascinated by the prospect of writing something which reflected or somehowincorporated his Memorial Chimes written for the Loughborough Carillon a piece moreover which I did not know although I pride myself on an intimate acquaintance with the greater part of his output. My own style is a far cryfrom that of the English late-romantics which I so love but I have recently discovered how to relate to their music in more than just spiritual and emotional particulars and in Spring's Shining Wake I produced a gloss of Delius'In a Summer Garden finding equivalents in my vocabulary for each of that work's procedures somethings approaching the original closely and sometimes shadowing it from afar.p>When I saw the Elgar I immediately realised that thiskind of approach was out of the question. For one thing it is quite a short piece and frankly it is not one of the master's great inspirations. It does however possess one characteristically haunting phrase and I saw how Icould draw it within my own harmonic and textural orbit not the sort of idea to base a work on but a happy little discovery such as one often makes during the course of composing a work.I accordingly set out to write a shorttone poem which somehow draws together the sonorous 'objets trouvés' which float into the mind during intense contemplation of a still landscape memories of the past (the Elgar) intimations of magic in the wind sudden intenseperceptions of the cosmic forces of which we form such an insignificant part ominous vibrations borne on the air from some other existence.

Flute And Guitar Duets For Any Occasion. A unique collection of duets, which will provide a wide ranging selection of high-quality music to flautists and guitarists. Pieces include well-known classics, lesser-known yet captivating pieces and some original compositions. The accompanying recording allows the listeners to hear both parts simultaneously, to facilitate learning the pieces. It also allows for either of the instruments to be turned off completely so that an individual instrumentalist can use the recording as their playing partner. The guitar part for each piece is written in several ways to accommodate players of all abilities. Standard notation is provided for classically trained guitarists, tablature is also provided, and each piece includes simplified chord names along with a suggested strum.

La référence FP 066 de l'éditeur Fertile Plaine dont l'auteur célèbre est Maldonado Raul, qui a pour titre Cancion catalan ( 2 flutes, 4 guitares ), a été écrite et composée pour Flûte Traversière et plus particulièrement pour Flûte Et Guitare. Cette partition musicale appartient à la catégorie Classique. / Flûte Et Guitare / Partition

La référence FP 284 de l'éditeur Fertile Plaine dont l'auteur célèbre est Kleynjans Francis, qui a pour titre Matinale ( Flute et guitare ), a été écrite et composée pour Flûte Traversière et plus particulièrement pour Flûte Et Guitare. Cette partition musicale appartient à la catégorie Classique. / Flûte Et Guitare / Partition

La référence FP 475 de l'éditeur Fertile Plaine dont l'auteur célèbre est Coinel R./Bonnet J.-L., qui a pour titre Quand ma belle reviendra ( flute et guitare ), a été écrite et composée pour Flûte Traversière et plus particulièrement pour Flûte Et Guitare. Cette partition musicale appartient à la catégorie Classique. / Flûte Et Guitare / Partition

La référence FP 470 de l'éditeur Fertile Plaine dont l'auteur célèbre est Coinel R./Bonnet J.-L., qui a pour titre Isla verde ( flute et guitare ), a été écrite et composée pour Flûte Traversière et plus particulièrement pour Flûte Et Guitare. Cette partition musicale appartient à la catégorie Classique. / Flûte Et Guitare / Partition

Bach's Suite In A Minor BWV 997 was originally composed for a Lute however has been beautifully arranged here for Flute and Guitar by Gerd-Michael Dausend. This charming piece offers a wonderful enrichment to the repertoire of both instrumentalists alike.This piece was originally known as the 'second' lute Suite and despite such titles as 'Partita' and 'Sonata' the title 'Suite' is the most commonly used. Bach originally composed this profound piece in 1740 and so is among his later works.In addition to the score both the solo flute and guitar parts are also included on separate inserts.

Ce 3ème volume des Classiques pour flûte et guitare présente aux intéressés une évolution sensible quant à la difficulté du répertoire proposé. Les jeunes musiciens ayant suivi la progression des précédents volumes trouveront dans celui-ci matière à travailler sur un répertoire varié, adapté techniquement et musicalement à leurs compétences de duettistes.
Nous avons apporté, dans cet ouvrage, un soin tout particulier à l'élaboration du phrasé de la flûte afin de guider l'étudiant dans une meilleure assimilation de ces oeuvres. A de rares exceptions près, les tournes de pages sont évitées. Comme dans les volumes précédents, les musiciens seront solidaires, c'est-à-dire que, tout en jouant la partie qui leur correspond, flûtiste et guitariste liront la portée de l'autre... Il leur est vivement conseillé d'acquérir cette double lecture.
La majorité des pièces proposées dans ce volume pourront être interprétées par tout instrument mélodique dont la sonorité se marie avec celle de la guitare.
Contenu
MERANGER P. : Un chant, un soir (extrait des ''Tableaux de voyage'') - CHOPIN Fr. : Thème - HAYDN J. : Sérénade - REID J. : Allegretto - BOCCHERINI L. : Menuet - GOSSEC Fr.J. : Gavotte en ré - HAENDEL G.Fr. : Aria - BEETHOVEN L. van : Bagatelle - VALENTINE R. : Adagio - VALENTINE R. : Courante - GRIEG E. : Chanson de Solveig (extrait de ''Peer Gynt'') - RAMEAU J.Ph. : Menuet - MARCELLO B. : Adagio - FAURE G. : Berceuse - MOURAT J.M. : Rêverie mélancolique - MOURAT J.M. : Valse romantique - FURSTENAU K. : Andante - BACH J.S. : Gavotte et Musette - CIMAROSA D. : Larghetto - BIZET G. : Menuet (extrait de ''l'Arlésienne'') - VIVALDI A. : Prélude - VIVALDI A. : Courante - MATIEGKA W. : Menuet - MOURAT J.M. : Para dos amigos - TELEMANN G.Ph. : Sicilienne - ALBENIZ I. : Tango - GOUNOD Ch. : Ave Maria - PAGANINI N. : La Campanella - TORELLI G. : Allegretto - SATIE A.E. : 1ère Gymnopédie
/ Partitions classique / Bois / Flûte traversière / COMBRE

Par DUFOURT HUGUES. Devenu sourd à l'âge de quarante-six ans, Goya a réalisé vers 1820 de mystérieuses fresques appelées Pinturas negras sur les murs de sa maison de campagne madrilène, la Quinta del Sordo. C'est sur ces 'tableaux noirs' que s'appuie la composition de La Maison du Sourd pour flûte et orchestre. Goya fut le premier artiste de son époque à refuser toute utilité publique et sociale à l'art. Il renonce aux fonctions d'embellissement et de transfiguration qui avaient été traditionnellement dévolues à la peinture et va jusqu'à rejeter l'idée même des règles de l'art. Goya a frayé une voie nouvelle en peinture, qu'il oriente de la réalité au rêve. En faisant de la peinture une sorte de sténographie des pulsions, Goya invente le style de l'esquisse. Goya reçut sans doute de Tiepolo le secret de son art. Celui-ci apprit à Goya l'univers enchanté, lumineux qui caractérise la culture de l'Europe pastorale de l'Europe du rococo. Il lui transmit les moyens techniques propres à rendre la texture des songes : précision, économie et légèreté de la touche, fraîcheur de la palette, limpidité cristalline du coloris, intensité lumineuse de la gamme chromatique. Tiepolo embrasse les nuées - ses fresques de plafond sont des prodiges perspectifs d'architecture feinte, avec des ciels mauves, des nuages rosés, argentés ou gris bleutés, qui se détachent d'un fond bleu azur ou vert pâle. Tiepolo accomplit la synthèse de toute la tradition décorative vénitienne qu'il transfigure dans des atmosphères insaisissables. Il s'échappe aussi dans l'univers intimiste de l'élégie mélancolique, parfois teintée d'amertume, qu'il confie à des petites toiles de chevalet, à des dessins et des eaux-fortes. Les Vari Capricci, gravés en 1740 et publiés par ses fils en 1775, les Scherzi di fantasia, série de vingt-quatre estampes qu'il exécute entre 1739 et 1757, découvrent un monde inquiétant qui annonce la violence sourde et la sombre irrationalité des Caprices de Goya. Goya avait commencé à peindre de vastes paysages lumineux, avec des bleus célestes et des verts juteux, sur les murs de sa maison de campagne qu'il avait achetée en 1819, aux portes de Madrid. Il vivait avec une femme encore jeune et séparée de son mari, la belle Leocadia Weiss - la Manola qui ouvre le cycle des peintures murales de la Quinta del Sordo -, et sa petite Rosario que l'on présume être la fille du peintre. Comment ces vastes paysages, d'une grandiose sérénité, composés à la manière du monde radieux de Tiepolo, ont-ils pu être ensevelis sous des alluvions de noir dense, de gris, de brun et de jaune terreux, qui sont celles des Peintures noires ? Nul ne le sait. Seules subsistent quelques tristes évidences : la lutte fratricide, la sauvagerie des instincts, les espoirs réduits à néant, la vie mutilée, la mort imminente. Ici, deux hommes déjà à demi enlisés dans les sables mouvants s'assomment à coups de gourdins. Là, une frise de sorcières accroupies, terrifiées, couvant un feu mauvais, acclament le Grand Bouc. Assise au fond, à droite, la Manola assiste impassible à la scène. Tout proche, c'est le Sabbat. Ailleurs, Asmodée : le démon du plaisir impur, le vol de la volupté fauché par une décharge de fusil. Judith et Holopherne : la vengeance féminine, la violence du désir inassouvi. Plus loin, deux femmes rient d'un homme à gorge déployée. Les Parques tranchent le fil de la vie. Saturne dévore ses fils. Un chien nage à contre-courant. On s'accorde à penser que les Peintures noires sont le geste d'amertume et de désespoir d'un homme qui voit l'Espagne sombrer définitivement dans le despotisme et la réaction. Mais il y a plus. Goya est le premier peintre du monstrueux et de l'abject. Il décrit la condition de misère d'une humanité qui recule d'horreur devant la mort, mais la préfère encore à la vie, dans la régression et le dégoût de soi. La folie des hommes tient moins à leur impuissance à s'émanciper qu'à leur refus de l'autonomie. Goya n'a jamais renoncé au rationalisme des Lumières ni aux thèmes de réflexion universalistes. Mais pour lui, la fin de l'art n'est plus de plaire et d'instruire, mais de témoigner d'un rapport essentiel de l'homme à lui-même, jusque dans la révélation de l'inéducable. Dans ma propre 'Maison du Sourd', j'ai évoqué, en première partie de l'oeuvre, ce rêve luministe, ce rideau de lumière qui évoque l'intensité et l'espace du monde radieux de Tiepolo, et dont le large panorama avait formé la toile de fond du premier projet des peintures murales de la Maison du Sourd. C'est une très longue plage suspensive où le soliste n'intervient pas. La seconde partie, qui laisse libre cours à la stridence de l'expression subjective, est au contraire dominée par le mélisme tourmenté et replié sur lui-même de la flûte. L'orchestre libère de l'énergie en même temps qu'il en accumule, à la manière d'une spirale qui ne cesse de se contracter et de se replier sur elle-même, jusqu'à l'étranglement final. Hugues Dufourt / Niveau : Difficile / contemporain / Répertoire / Flûte Traversière Solo