Editée au cours de l'exercice 2011-2012 par les éditions Fertile Plaine, la partition qui a pour titre Les sommets de Sudety ( saxophone alto et piano ) du compositeur Elsayary Arletta a été cataloguée sous la référence FP 1029 par l'éditeur. Cette oeuvre est écrite pour Saxophone. En 3 clics et quelques jours elle peut être chez vous. / Saxophone Et Piano / Partition

From the classics to todays hits, these timeless tunes are now available as easy arrangements for Flute, Clarinet, Alto Sax, Tenor Sax, Trumpet, French Horn and Trombone. All wind instrument arrangements are fully compatible and can be successfully performed as ensembles or solos. A fully orchestrated accompaniment CD is provided, featuring each song as a live performance demo track followed by a playalong track. Boulevard Of Broken Dreams (Green Day); Celebration (Kool And The Gang); My Immortal (Evanescence); Na Na Hey Hey Kiss Him Goodbye (Steam); New Soul (Yael Naim); Old Time Rock and Roll (Bob Seger & The Silver Bullet Band); Open Arms (Journey); (I Can't Get No) Satisfaction (The Rolling Stones); Smooth (Santana featuring Rob Thomas); Stairway To Heaven (Led Zeppelin); Take It Easy (Eagles); You And Me (Lifehouse).

Adolphe Sax Album Discipline / Instrument : Saxophone et piano Genre : classique Média : Partition Nombre de pages : 36 + 12 Format : 23 x 31 cm Editeur : Lemoine Réf. : 28891 Date de parution : 31/05/2013 ISBN / ISMN : 9790230988919 Contenu BERLIOZ : 1er Solo - BIZET : Ouverture - BIZET : Intermezzo - DELIBES : Barcarolle - FRY : Berceuse - MASSENET : Vision - MASSENET : Air des Larmes - SAINT-SAENS : Orient - THOMAS : Deux chants du Pérou - THOMAS : Récit - WETTGE : Fantaisie Notice Adolphe Sax, inventeur génial du saxophone (breveté en 1846) est nommé au poste de Directeur de la Musique de Scène à l'Opéra de Paris entre 1847 et 1894. C'est la place idéale pour promouvoir et expérimenter ses instruments à l'orchestre - l'inventeur finit par imposer le saxophone dans certaines oeuvres lyriques, symphoniques, musiques de ballets et bien sûr les musiques régimentaires. On recense de nombreuses apparitions de l'instrument, d'abord timidement mêlé à l'orchestre puis dans de véritables solos pittoresques. Si l'intervention des saxophones dans la Corona d'Italia de G. Rossini, Tannhaüser de R. Wagner, la Damnation de Faust de H. Berlioz, Ondine et le pêcheur de P. Dukas, Hulda de C. Franck ou la 1re symphonie de A. Magnard demeure une tentative anecdotique, d'autres compositeurs comme G. Bizet, C. Saint-Saëns, A. Thomas, V. D'Indy, L. Delibes, G. Charpentier ou J. Massenet offrent à l'instrument de belles phrases chantées au sein même de l'orchestre. On ne compte guère qu'une poignée d'oeuvres de musique de chambre mixte avant 1900. En revanche, la formule saxophone accompagné d'un piano (ou d'une fanfare) est d'usage courant. Les musiques sont écrites principalement par les amis de l'inventeur, souvent chefs de musiques régimentaires qui utilisent un style simple et classique pour les besoins du divertissement de plein air (thèmes et variations virtuoses loin des grands chefs d'oeuvre romantiques de l'époque). Cette petite suite musicale retrace un parcours chronologique des solos de saxophone avant 1900, à découvrir avec une réduction de piano comme support harmonique. Hector Berlioz (1803-1869), véritable défenseur des inventions de Sax, vante les mérites du saxophone dans son Traité d'instrumentation. C'est lui qui utilise la 1re fois l'instrument dans une oeuvre pour 6 instruments à vent afin de saluer avec enthousiasme les inventions du célèbre facteur belge. Hymne pour les instruments de Sax sera donné en public le 3 février 1844 à Paris salle Hertz, Adolphe Sax jouant lui-même la partie de saxophone basse en Mib. La partition demeurant malheureusement introuvable, on sait néanmoins que l'Hymne était une adaptation de son Chant sacré pour choeur composé quelques mois plus tôt. Le 1er solo présenté ici est une possible reconstitution du solo de saxophone. La Berceuse, solo originellement joué au saxophone soprano, est extraite de Santa Claus Symphony (1853) de William Henry Fry (1813-1854). Le compositeur né américain était un fervent admirateur d'Adolphe Sax et le 1er compositeur américain à écrire pour grand orchestre. Ce solo est symbolique : il s'agirait de la première intégration du saxophone aux Etats-Unis, 50 ans avant le jazz dixieland. Récit est une véritable cadence consacrée au saxophone alto sur un accompagnement de pizzicati de cordes et tenues de cuivres. Ce récit est extrait du récit et prologue du 2nd tableau de l'Acte II de l'opéra Hamlet (1868) de Ambroise Thomas (1811-1896). Les deux chants du Pérou (1865) sont originellement harmonisés habilement pour 3 saxophones d'après des chants joués par les Indiens sur la Quena, leur instrument national. Orient est un solo de saxophone tiré de la grande marche militaire pour orchestre à vents Orient et Occident opus 25 (1869). Camille Saint-Saëns (1835-1921) a souvent utilisé le pupitre de saxophones, tant dans ses ouvrages symphoniques que lyriques. L'Ouverture et l'Intermezzo de Georges Bizet (1838-1875) sont des solos de saxophone alto des plus remarquables. Ils sont extraits des suites pour orchestre de la musique de scène de l'Arlésienne (1872). La Barcarolle de Léo Delibes (1836-1891) est tirée de son ballet séduisant Sylvia (1876). On y entend un solo très élégant au saxophone alto. Jules Massenet (1842-1912) utilise le saxophone de nombreuses fois. On apprécie bien sûr la valse avec saxophone dans son opéra Le Roi de Lahore, mais c'est surtout grâce à son opéra Werther que le saxophone a été reconnu. Dans l'Air des larmes de Werther (1892), le saxophone dialogue superbement avec le personnage de Charlotte. Le solo de Vision est un chant au saxophone alto qui donne la réplique à Hérode dans l'opéra Hérodiade (1881). La Fantaisie de ce recueil est un extrait de la Fantaisie variée pour saxophone et piano (1889). Elément du patrimoine historique du saxophoniste, cette pièce est typique des musiques légères et décontractées de l'époque. Léon Wettge (1844-1909) était chef de musique du 28e régiment d'artillerie de Versailles avant d'être chef de la Garde Républicaine. Nicolas Prost

This exclusive collection contains eight pieces by Ludovico Einaudi for Saxophone and Piano, with full score and pull-out Saxophone part.Pieces include: The Crane Dance, Dna, Elegy For The Arctic, Four Dimensions, Night, Nuvole Bianche, Primavera and Una Mattina.As well as the printed score, this book includes a range of supporting digital features:SoundCheck - This unique assessment and feedback software lets you use your phone, tablet or computer to help you practice. Simply open up the piece you're working on and SoundCheck gives you an instant report on your performance and advice on how to improve!Ebook - A digital edition of your music to read on any device.Audio - Full demonstration recordings of each piece plus accompaniment-only and solo-only backing tracks. / Saxophone Et Piano

Mit einem Paukenschlag wurde die Musikwelt auf Erik Satie (1866-1925) aufmerksam: Als am 18. Mai 1817 sein Ballett ?Parade' uraufgeführt wurde, kam es zum Skandal. Die Produktion, an der auch Sergei Djagilew mit seinen ?Ballets Russes', Pablo Picasso (Bühnenbild und Kostüme), Jean Cocteau (Handlung) sowie Léonide Massine (Choreographie) beteiligt waren, entzweite die Pariser Musikwelt, machte den Komponisten aber weithin bekannt. Satie, der kaum eine fundierte musikalische Ausbildung genossen hatte und fast zeit seines Lebens in Paris lebte, entwickelte einen neuen musikalischen Stil, in bewusster Abkehr vom ?Wagnérisme' seiner Zeit. Klassische Formmodelle, neue Harmonik, Leichtigkeit im Stil, Meditatives und Clowneskes verschmolzen originell. Zum Musterbeispiel dafür sind seine ?3 Gymnopédies' von 1888 geworden, deren erste hier für ein Soloinstrument mit Klavierbegleitung arrangiert wurde: Das Musizieren dieser berühmtesten Miniatur von Satie wird damit auch Nicht-Pianisten ermöglichst - die einfache Spielbarkeit erlaubt den Einsatz auch für pädagogische Zwecke. / Saxophone Et Piano

 Restitution par Jean-Louis Couturier E?mile BOUSSAGOL (1854-1917) se re?ve?la e?tre un artiste complet, Menant sa carrie?re sur plusieurs fronts, on le retrouve tour a? tour Harpe-solo et artiste lyrique de l'Orchestre de l'Ope?ra de Paris, mai?tre de chapelle, directeur du Conservatoire de musique de Rennes, En qualite? de compositeur, il est notamment l'auteur de deux ouvrages repre?sente?s coup sur coup a? l'Ope?ra-Comique, en 1893 et 1894, Une part importante de son catalogue est de?volue a? la musique instrumentale, destine?e a? presque tous les instruments, Ces compositions, vraisemblablement destine?es aux di e?rents concours des conservatoires, sont pour la plupart de?die?es aux professeurs d'instruments respectifs ou a? des solistes de renom, a? l'instar de cette composition originale pour saxophone alto et piano (1912) dont le de?dicataire e?tait Alphonse (Louis) Mayeur, Saxophone-solo de l'Orchestre de l'Ope?ra de Paris, Collection Musique et Patrimoine / Saxophone Et Piano

Chantal Cazaux : L'histoire de ce volumeRichard Peduzzi : Le reflet de la natureAlain Perroux : Patrice Chéreau à la première personne : sélection d'entretiens et d'écritsChantal Cazaux : Repères biographiques Jalons et Témoignagespar Ivan A. Alexandre, Chantal Cazaux, Pierre Flinois, Vincent Huguet, Pierre Michot, Giuseppe Montemagno et Alain Perroux. L'ITALIENNE A ALGER (Spoleto, 1969)LES CONTES D'HOFFMANN (Paris, 1974)LE RING (Bayreuth, 1976) Pierre BoulezDame Gwyneth Jones LULU (Paris, 1979)LUCIO SILLA (Milan, 1984)WOZZECK (Paris, 1992) Daniel BarenboimWaltraud MeierStéphane LissnerDominique Bruguière DON GIOVANNI (Salzbourg, 1994)COSÌ FAN TUTTE (Aix-en-Provence, 2005) Bertrand CoudercStéphane MetgeClément?Hervieu-Léger DE LA MAISON DES MORTS (Vienne, 2007)TRISTAN ET ISOLDE (Milan, 2007)ELEKTRA (Aix-en-Provence, 2013) Esa-Pekka SalonenCaroline de VivaiseChéreau répète Elektra. Notes de répétitions, par Antonio Cuenca Ruiz / Livre

Partition pour saxophone et piano Style : contemporain Niveau : 4 Quelque temps après qu'il nous ait remis le manuscrit des Tango-Etudes ou Etudes tanguistiques, dans la version pour saxophone alto Mi b réalisée en collaboration avec Claude Delangle, en 1988, nous avons demandé à Astor Piazzolla s'il lui était possible de les harmoniser, faisant ainsi écho aux demandes des flûtistes après l'édition originale publiée pour leur instrument en 1987. En février 1989, le compositeur nous écrivait de Punta del Este (Uruguay) où il résidait momentanément avant de regagner Buenos Aires: Dear friend, finished the piano part of the Etudes tanguistiques for saxo alto and piano… Good luck to Mr Delangle and please tell him to forgive my music handwriting. I was in a hurry and could not do it better… Please let me know if you received the music. Nous avons effectivement reçu le manuscrit quelques jours plus tard… et l'avons soigneusement rangé ! La compréhension en était tellement difficile que cette édition aurait été sérieusement retardée. Aussi avons-nous publié en décembre 1989, comme il était initialement prévu, la version pour saxophone alto solo, en remettant à plus tard l'édition harmonisée. Le maître argentin connut ensuite de graves ennuis de santé, jusqu'à son décès en 1992. L'édition projetée ne devait finalement voir le jour que beaucoup plus tard, après un travail fort minutieux sur le manuscrit (voir à ce sujet la préface de Yann Ollivo). Contenu : n°1 Décidé - n°2 Anxieux et rubato - n°3 Molto marcato e energico - n°4 Lento meditativo - n°5 Sans indication - n°6 Avec anxiete

Cette sélection d'onze grands airs de Noël a été particulièrement graduées, arrangé et transposé en touches convenables pour le saxophone alto et permettra d'accroître le plaisir de jouer d'et un stade précoce de l'apprentissage. Les accompagnements piano ne conviennent pas pour les joueurs intermédiaires et il y a superbe démonstration et jeu-le long de pistes support sur le CD-ROM inclus. Inclut l'hôtel de la terrasse, nous souhaitons vous A Merry Christmas, lorsque Santa Got Stuck Up The Chimney et plus encore. / Saxophone