Cathedrals have always appealed to the imagination. Hundreds of years of manpower have been invested in their building and it is not for nothing that today they represent imposing symbols of architecture and history. The cathedral is also a great source of inspiration for compositions drawing on a full palette of acoustic echo effects Gregorian melodies and organ based choral themes.The work ?Catedrals? opens with a five tone motif using double tonguing which resonates through space. Then comes a Gregorian antiphonal theme ?Salve Regina? which is heard in the euphonium and later combines with the opening motif. The quicker passage that follows is basedentirely on the intervals in the motif which by now has added rhythmic variations and develops in different forms including a fugue. The work then builds towards its first climax from which unusual muted sounds emerge creating an atmosphere shrouded in mystery.Gradually more melodious fragments are added to the Gregorian antiphonal theme which develops into an expansive choral emulating the organ and which rises above the sound mass. The work grows more powerful and brilliant in sound until it culminates in a short and explosive finale wherein elements from the whole work come together.

Dear Lord and Father of Mankind-Dear Lord and Father of Mankind (Seigneur et Père de l?Humanité) est un hymne composé par l'organiste anglais Frederick Charles Maker (1844-1927) d?après un poème de John Greenleaf Whittier. Jan de Haan nous offre une adaptation calme et cependant intense de cet air méditatif. L?euphonium joue un rôle important dans la première partie de la pièce conduisant à l?une des plus belles mélodies de tous les hymnes anglais.

Il pourrait paraître surprenant qu?un ensemble japonais puisse commander une pièce pour orchestre de fanfare puisque l?on rencontre surtout ce type de formation en Belgique aux Pays-Bas et au Luxembourg ainsi qu?en France et en Suisse. Senzoku Gakuen l?une des plus grandes et plus prestigieuses académies de musique du Japon compte une grande variété d?ensembles et d?orchestres. En 2006 s?y est ajouté un orchestre de fanfare fondé par Sotaru Fukaishi un professeur d?euphonium qui pensait qu?il était nécessaire d?offrir de plus larges possibilités aux cuivres de la région. Depuis qu?il avait assisté au World Music Contest de Kerkrade (Pays-Bas) plusieurs années auparavant Fukaishi se prit de passion pour le son chaud et généreux de l?orchestre de fanfare une formation atypique au Japon. Jan Van der Roost a favorablement adhéré à cette nouvelle initiative tandis que Manu Mellaerts collabora avec les deux hommes afin de concrétiser certains projets. Le professeur Kazuo Tomioka doyen du collège de musique soutint vigoureusement l?orchestre et commanda Ostinati. La création de l?oeuvre fut donnée le 11 juin 2011 au Maeda Hall de Mizonokuchi (Kawasaki) où se trouve Senzoku Gakuen. La pièce débute avec un impressionnant solo de timbales précédant l?entrée des cuivres et des saxophones. La pulsion rythmique est constante la musique est énergique et de caractère affirmé. Une mélodie pentatonique émerge graduellement alors que la trame musicale diminue d?intensité et s?adoucit. L?ostinato à la percussion revient fréquemment et la première partie de l?oeuvre se termine dans un climat semblable à celui du début. Le deuxième mouvement doux et romancé débute avec un long passage en mode mineur joué par les saxophones. Le même thème apparaît alors en mode majeur et se développe peu à peu ; la musique s?intensifie pour arriver à un majestueux et orchestral forte dont les sonorités rappellent celles d?un orgue d?église. Puis le thème revient à sa tonalité mineure d?origine avec un changement d?instrumentation qui mène

ette suite en 3 parties décrit 3 endroits importants de Norvège.« Rjukan » est connue pour sa centrale hydroélectrique et cest aussi une destination prisée de week-end chez les Norvégiens.Dans « Bryggen » le compositeur décrit le vent froid et glacial le long du quai de ce vieux port de Bergen qui au cours de lhistoire fut ravagé par plusieurs catastrophes.« Slottet » décrit musicalement le Palais Royal dOslo et lactivité des rues commerçantes animées toutes proches. Vous trouverez de plus amples informations sur notre site web.Partie 1 : « Rjukan » est une petite ville de la région montagneuse de Norvège centrale. Rjukan est surtout connue pour sa centrale hydroélectrique. Ony trouve aussi différentes infrastructures récréatives. Beaucoup de Norvégiens citadins y possèdent une hytte dans laquelle ils viennent passer le week-end ou les vacances.Une introduction courte mais majestueuse exprime le thème principal qui revient tout au long de luvre. Vient ensuite un allegro enjoué dans lequel se retrouvent tous les groupes instrumentaux.Partie 2 : « Bryggen » est le quai du vieux port de la ville hanséatique de Bergen. Vers le 13e siècle Bergen fut une des villes hanséatiques. Le commerce avec dautres pays sy développa rapidement. Le quai du port baptisé Bryggen en était le centre.Au 14e siècle on y comptait une trentaine de maisons que se partageaient diverses firmes commerciales. Les maisons ont été plusieurs fois incendiées et reconstruites. Depuis 1980 58 bâtiments en bois ont été inscrits au Patrimoine Mondial de lUnesco.Dans cette partie le compositeur décrit ce vieux port. Les musiciens imitent le vent froid et glacial en faisant un bruit de souffle avec la bouche. Un premier thème à leuphonium décrit lhistoire dramatique de cet endroit. Le solo qui lui fait suite est en fait le deuxième thème « déguisé ». Ces deux thèmes se rejoignent dans un grandioso.Partie 3 : « Slottet » est le palais royal qui se trouve à la fin de la plus importante rue commerçante dOslo la Karl Johnan.Le roi Harald V et la reine Sonja y

Par VAN DER ROOST JAN. Knocking at Heaven's Gate (Aux portes du paradis) nous met brièvement en contact avec le paradis par le biais de la musique. L??uvre comporte de splendides solos pour euphonium et bugle, un rôle de premier plan pour les trompettes et trombones, mais l?orchestre entier prendra grand plaisir à l?interpréter. Des échos aériens, des mélodies expressives, de puissants tuttis et des accords éclatants : les plaisirs sont nombreux pour tout le monde, y compris votre public. / Date parution : 2022-10-12/ Répertoire / Fanfare

Cette oeuvre concertante merveilleuse et très colorée fera briller votre orchestre de toutes ses facettes. Le début onirique est suivi d'un passage dansant qui devient de plus en plus animé et dans lequel tous les groupes ont tour à tour voix au chapitre. Ensuite le thème dramatique du début refait surface avec un contre-chant superbe dans les cors/euphoniums pour terminer enfin par une finale grandiose.

Heindonk (polder dans la bruyère) est un petit village flamand situé au confluent de la Dille et de la Nete qui compte à peine 600 habitants.Le titre de loeuvre est tiré du latin « Vallis Pacis » (vallée de la paix) qui fut également le nom dun monastère fondé au XVe siècle par les chanoinesses de Saint Augustin.Dans cette oeuvre qui fut composée à la demande de la fanfare de Heindonk Iever maakt Vooruitgang la dualité occupe une place centrale.1. Le nom de Heindonk se compose de Hei » (bruyère) et de « Donk » (marais).2. Le village est situé au confluent de deux rivières.3. Il fut autrefois ravagé par deux catastrophes naturelles.La première catastrophe est survenue en1549. A lépoque Heindonk fut frappé par de violentes temp?tes et de graves inondations.Le deuxième fléau sest abattu sur Heindonk quelques années plus tard. Les inondations qui touchèrent le monastère furent telles que pendant des mois les chanoinesses furent prisonnières et ne pouvaient plus quitter le monastère que par bateau. Qui plus est toutes les récoltes tout le foin et toute la paille furent détruits après quoi les problèmes financiers se sont amoncelés et les religieuses furent contraintes de quitter le monastère en 1552.Loeuvre est donc basée sur deux thèmes principaux qui tiennent lieu de fil rouge tout au long de celle-ci.Ces thèmes ont été délibérément composés en mineur pour souligner les événements dramatiques.Loeuvre commence par lannonce du premier thème dramatique. Une introduction lente une mélodie jouée par des euphoniums tient lieu de prologue et est reprise plus tard par lensemble de lorchestre.Le premier thème principal sintègre dans le tout (mesure 39)Le deuxième thème dramatique est présenté à partir de la mesure 68.Un allegro rythmique et empreint dun sentiment de peur décrit les événements résultant de la temp?te ; il est suivi par un intermède optimiste en majeur qui symbolise lespoir.Après quelques variantes en majeur sur les deux thèmes principaux le thème du prologue sexprime à nouveau dans un final

Heindonk (?polder dans la bruyère) est un petit village flamand situé au confluent de la Dille et de la Nete qui compte à peine 600 habitants.Le titre de l?oeuvre est tiré du latin « Vallis Pacis » (vallée de la paix) qui fut également le nom d?un monastère fondé au XVe siècle par les chanoinesses de Saint Augustin.Dans cette oeuvre qui fut composée à la demande de la fanfare de Heindonk ?Iever maakt Vooruitgang? la dualité occupe une place centrale.1. Le nom de Heindonk se compose de ? Hei » (bruyère) et de « Donk » (marais).2. Le village est situé au confluent de deux rivières.3. Il fut autrefois ravagé par deux catastrophes naturelles.La première catastrophe estsurvenue en 1549. A l?époque Heindonk fut frappé par de violentes temp?tes et de graves inondations.Le deuxième fléau s?est abattu sur Heindonk quelques années plus tard. Les inondations qui touchèrent le monastère furent telles que pendant des mois les chanoinesses furent prisonnières et ne pouvaient plus quitter le monastère que par bateau. Qui plus est toutes les récoltes tout le foin et toute la paille furent détruits après quoi les problèmes financiers se sont amoncelés et les religieuses furent contraintes de quitter le monastère en 1552.L?oeuvre est donc basée sur deux thèmes principaux qui tiennent lieu de fil rouge tout au long de celle-ci.Ces thèmes ont été délibérément composés en mineur pour souligner les événements dramatiques.L?oeuvre commence par l?annonce du premier thème dramatique. Une introduction lente une mélodie jouée par des euphoniums tient lieu de prologue et est reprise plus tard par l?ensemble de l?orchestre.Le premier thème principal s?intègre dans le tout (mesure 39)Le deuxième thème dramatique est présenté à partir de la mesure 68.Un allegro rythmique et empreint d?un sentiment de peur décrit les événements résultant de la temp?te ; il est suivi par un intermède optimiste en majeur qui symbolise l?espoir.Après quelques variantes en majeur sur les deux thèmes principaux le thème du prologue s?exprime à

Albastum est une majestueuse marche de concert conforme à la structure classique A-B-A. Elle débute avec une fanfare festive suivie d?un changement de couleurs obtenu par l?alternance entre les cuivres graves les saxophones et les euphoniums. La partie B - un trio mélodieux - a été confiée aux clarinettes. Un charmant contre-chant plane au-dessus du thème principal. Il s?ensuit une reprise de la partie initiale (partie A) avec en prime un contre-chant taillé sur mesure pour les flûtes et les clarinettes.