Le 'Köchel' indique toujours l'autographe d'air de Mozart tant apprécié, mais a étiqueté 'manquantes' depuis 1964. La 'Neue Mozart Ausgabe-' n'était donc plus en mesure de prendre en considération. Maintenant, cependant, le manuscrit a réapparu et a été utilisé comme une source authentique pour cette nouvelle édition (1997).préface'Eine Aria in die Oper, der von Balbier Seviglien. Für MADAME Hoffer. 2 Violini, viole, 2 Clarinetti, 2 Fagotti, 2 Corni e Bassi. Schon lacht Frühling der Holde.' Cette entrée dans le catalogue de Wolfgang Amadeus Mozart travail manuscrite se trouve sous la date du 17 Septembre 1789. Toutefois, étant donné que la performance prévue d'un accord allemand de Barbier de Paisiello a été apparemment abandonné, Mozart semble avoir mis de côté la pièce sans l'achever. Josepha Hofer (née Weber), le plus jeune soeur Constanze Mozart, était d'avoir chanté cet air, destiné à Rosina. En tant que membre de la Freihaustheater Schikaneder, elle a chanté la Reine de la Nuit à la première représentation de la Flûte enchantée.En plus de la partie vocale, le score fragmentaires ne contient que la ligne de basse ainsi que des répliques instrumentales pour une orchestration avenir. La version de l'éditeur orchestralement complété, délivré par le même éditeur, est basé sur le manuscrit autographe conservé à la Österreichische Nationalbibliothek à Vienne. Cette autographe a été redécouvert qu'en 1988. Nous avons poursuivi nos efforts pour fournir un son mozartien dans la réalisation instrumentale de la partition tout en préparant cet arrangement pour soprano, clarinette et piano. Depuis la première clarinette tisse à plusieurs reprises autour de la partie de soprano dans thr version orchestrale, il semblait parfaitement naturel producc l'arrangement actuel. En outre, il apportera inévitablement à l'esprit de Franz Schubert Der Hirt auf dem Felsen (même clé, section du milieu en sol mineur).Nous tenons à remercier la Österreichische Nationalbibliothek à Vienne pour mettre des copies de la source à notre disposition.Franz BeyerMunich, printemps 1997 / Voix Et Orchestre