Par VAUGHAN WILLIAMS RALPH. Le Concerto pour Tuba a été écrite en 1953/4 en réponse à une invitation à composer une oeuvre pour le jubilé d'or de l'Orchestre symphonique de Londres. Vaughan Williams était alors en est quatre-vingt-seconde année - un intérêt sur les sonorités instrumentales inhabituels était une caractéristique de sa musique dans la dernière partie de sa vie. Il avait utilisé des saxophones dans la machine de ' Emploi ', vibraphone et le vent du masque dans la 'Sinfonia Antartica' (Symphonie #7) et même terminé un concerto pour harmonica, piano et cordes pour Larry Adler. Son choix de tuba comme instrument en solo avait donc moins surprenant qu'il pourrait sembler, et il le justifié par traiter sérieusement et poétiquement, soulignant ses capacités lyriques plutôt que la pAvailableensities plus comique. L'ouvrage est dédié à la LSO et son principal puis tubiste, Philip Catelinet, dont le compositeur consulté constamment tout au long de l'écriture de le oeuvre. Les mouvements animés, externes, tous deux concluent avec des cadences prolongées, tandis que le magnifiquement lyrique ' Romanz.../ Répertoire / Brass Band

Par SPARKE PHILIP. A Bandsman’s Overture was commissioned by British Bandsman magazine to celebrate its 125th anniversary in 2012. It was premiered by Black Dyke Band, conducted by Dr Nicholas Childs, at a special anniversary concert held in Symphony Hall, Birmingham, on July 1st. British Bandsman was for a period known as British Bandsman and Contest Field, following an amalgamation of two magazines. The then owner, John Henry Iles, celebrated this new title by commissioning Ord Hume to write the famous march, BB & CF. As a salute to this heritage A Bandsman’s Overture starts with the four notes, B(b)-B(b)-C-F, a motive which permeates an opening fanfare, which contrasts a busy opening with a more legato central section. This gives way to a bustling Vivo, based on repeated staccato notes. A change of key heralds a central cantabile melody, first on euphoniums and baritone and then played by the full band, which is followed by a short development section. This leads to a transformed reprise and a return of the opening fanfare, decorated this time by florid muted cornets. / Niveau : 4 / Ouverture / Répertoire / Brass Band

Par DE HAAN JACOB. La Lituanie est dotée d’un riche patrimoine culturel. Petit territoire situé sur la rive orientale de la mer Baltique, la Lituanie est divisée en cinq régions ethnographiques : la Samogitie, la Haute Lituanie, la Sudovie, la Dzkija et la Petite Lituanie. Chaque région a son dialecte, son costume traditionnel, ses coutumes, son artisanat, ses fêtes et jours fériés et surtout ses propres chants traditionnels chantés depuis près d’un millénaire. Pour composer The Heart of Lithuania (“Au coeur de la Lituanie”), Jacob de Haan s’est inspiré de cinq mélodies traditionnelles particulièrement en vogue dans la seconde moitié du XXe siècle. Bien que ces chantsproviennent de Haute Lituanie, ils sont appréciés sur l’ensemble du territoire et sont encore chantés aujourd’hui. Le choix des chants et la diversité des émotions qu’ils expriment à travers des lignes mélodiques typées emportent l’auditeur au coeur de l’âme lituanienne. / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Brass Band

Par PALLHUBER HERMANN. L'éprouvette sélectionnés pour le British Open Brass Band championnat 2009, qui se tiendra au Symphony Hall, Birmingham samedi 12 septembre. Les progrès de Titan, qui est le premier ouvrage de Hermann Pallhuber pour le style britannique brass band, contient également des références à la musique de Gustav Mahler. Motifs de la première symphonie de Mahler travaillent tout au long et surtout le thème principal de la finale. Musique de Pallhuber est programmatique et utilise le contenu du roman et de l'évolution de son héros Albano pour sa structure sous-jacente. La variété stylistique des travaux (y compris la Chorale, un impudent Landler, une Farandole de danse et une Fugue climatiques) sont Mahleresque dans leurs influences. ' Titan ' est un roman de l'écrivain allemand Johann Paul Friedrich Richter, qui plus tard connu comme Jean Paul et était considéré comme le principal travail de l'auteur. À près de 900 pages de longueur, il raconte l'histoire de la transition de son héros, Albano de Cesara, d'un jeune passionné à un homme mature. Jean Paul was.../ Répertoire / Brass Band

Little Suite for Orchestra No. 1: Op 53. Par ARNOLD MALCOLM. Malcolm Arnold is one Britain’s best-loved composers. In 1948 he composed a very short suite for the National Youth Orchestra of Great Britain - entitled simply To Youth. Seven years later he took To Youth and made some fairly major revisions, including a complete new movement, and the Little Suite for Orchestra was born. The Little Suite for Orchestra follows a very similar pattern to the later suites for brass band, starting with a bold, strident Prelude, which strangely ends quietly before a lovely, lilting, Dance composed in 3/8 time. Finally a rollicking and militaristic March brings the suite to a conclusion. This arrangement for brass band by Robin Norman is sure tobecome a classic in the brass band repertoire. / Niveau : 4 / Pièce de concert / Date parution : 1905-06-30/ Répertoire / Brass Band

Par HESKETH KENNETH. L'éprouvette de deuxième Section sélectionnée pour les championnats 2009 Pontins Brass Band, qui se tiendra à Prestatyn sur le week-end du 24-25 octobre. En Danceries, par Kenneth Hesketh, les mélodies eux-mêmes sont un mélange de vieux et le nouveau. Où les anciens se produit, il a été adapté à l'humeur et la composition et est souvent entrecoupée de complètement nouveau matériau. Les harmonies contemporaines et les rythmes apportent un souffle de nouveau sur ces thèmes et ajouter le drame à la suite. Le premier mouvement, ' Accalmie Me au-delà de Thee ', est doux et harmonieuses, presque un barcarole, ce mouvement est très bien d'une rêverie. La mélodie originale avait le nom de Robin pauvres mouche, un titre plutôt déconcertant - mouche, cependant, dans le langage du XVIIe siècle signifiait caprice ou la fantaisie. Le second, ' La capture de cailles ', est un scherzo coloré, flottant sur une mélodie originale. Le matériau thématique est ensuite autour de la bande à contraste avec tuttis pléthorique. Le dernier que quelques barres fondu à presque rien, avant une dernière surprise ! ' Pour ma Dame.../ Répertoire / Brass Band

Par VAN DER ROOST JAN. Après Excalibur et Stonehenge, Albion est la troisième oeuvre majeure pour Brass Band de Jan Van der Roost inspirée par l’Angleterre du Moyen Âge. Bien que l’oeuvre ne soit pas construite autour d’une histoire précise, ce poème symphonique a toute l’ampleur d’une épopée. L’ouverture de l’oeuvre semble dépeindre la conquête d’Albion (premier nom connu de l’Angleterre), transportant l’auditeur à l’époque du roi Arthur et de ses légendaires chevaliers de la Table Ronde. Trois groupes de cornets dispersés au sein de la formation et trois tambours différents reflètent, en autant de tonalités et de tempos, les périodes de guerre qui plongent l’Angleterredu début du Moyen Âge dans la tourmente. Des accords sombres et majestueux, exposés dans le registre grave, créent un contraste et donnent au son d’ensemble un caractère trouble et confus. Lorsque les tambours se retrouvent dans un même rythme, l’ensemble de la formation interprète pour la première fois à l’unisson le 'Thème d’Albion'. Un allegro energico plein d’agitation apporte soudainement plus d’élan et de dynamisme. Des thèmes virtuoses et guerriers se succèdent, donnant au passage un caractère tumultueux. Cette suite de thèmes se conclut également avec le 'Thème d’Albion', soutenu cette fois-ci par une structure harmonique plus complexe. S’ensuit un passage intermédiaire calme et serein, permettant à plusieurs solistes d’exploiter et de révéler leurs qualités musicales. Après tout, Albion n’a pas connu que des périodes de troubles et de misère. Et le roi Arthur n’est-il pas considéré comme celui qui a apporté paix et stabilité au pays ? Cette lente succession de fragments en solo progresse avec une fluidité presque évidente vers un passage où l’orchestre interprète en choeur les accords majestueux des mesures d’ouverture de l’oeuvre. Le Brass Band sonne comme un orgue et le 'Thème d’Albion' vient tout naturellement conclure cette oasis de paix retrouvée. Dans le finale impressionnant, plusieurs éléments thématiques / Niveau : 6 / Pièce de concert / Date parution : 1905-06-23/ Répertoire / Brass Band

Par VAN DER ROOST JAN. Après Excalibur et Stonehenge, Albion est la troisième oeuvre majeure pour Brass Band de Jan Van der Roost inspirée par l’Angleterre du Moyen Âge. Bien que l’oeuvre ne soit pas construite autour d’une histoire précise, ce poème symphonique a toute l’ampleur d’une épopée. L’ouverture de l’oeuvre semble dépeindre la conquête d’Albion (premier nom connu de l’Angleterre), transportant l’auditeur à l’époque du roi Arthur et de ses légendaires chevaliers de la Table Ronde. Trois groupes de cornets dispersés au sein de la formation et trois tambours différents reflètent, en autant de tonalités et de tempos, les périodes de guerre qui plongent l’Angleterredu début du Moyen Âge dans la tourmente. Des accords sombres et majestueux, exposés dans le registre grave, créent un contraste et donnent au son d’ensemble un caractère trouble et confus. Lorsque les tambours se retrouvent dans un même rythme, l’ensemble de la formation interprète pour la première fois à l’unisson le 'Thème d’Albion'. Un allegro energico plein d’agitation apporte soudainement plus d’élan et de dynamisme. Des thèmes virtuoses et guerriers se succèdent, donnant au passage un caractère tumultueux. Cette suite de thèmes se conclut également avec le 'Thème d’Albion', soutenu cette fois-ci par une structure harmonique plus complexe. S’ensuit un passage intermédiaire calme et serein, permettant à plusieurs solistes d’exploiter et de révéler leurs qualités musicales. Après tout, Albion n’a pas connu que des périodes de troubles et de misère. Et le roi Arthur n’est-il pas considéré comme celui qui a apporté paix et stabilité au pays ? Cette lente succession de fragments en solo progresse avec une fluidité presque évidente vers un passage où l’orchestre interprète en choeur les accords majestueux des mesures d’ouverture de l’oeuvre. Le Brass Band sonne comme un orgue et le 'Thème d’Albion' vient tout naturellement conclure cette oasis de paix retrouvée. Dans le finale impressionnant, plusieurs éléments thématiques / Niveau : 6 / Pièce de concert / Date parution : 1905-06-23/ Répertoire / Brass Band