In The Shadow Of The Bat - Concerto for Three Trombones and Orchestra by Niels Marthinsen (2009). Programme note: In the Shadow of the Bat is a triple concerto for three trombones and orchestra inspired by Batman and his enemies The Joker Two-Face and The Penguin. A central idea of modern versions of the Batman myth is that the batman is created by the fantastic villains that he fights and they are created by him - and that Batman is driven by revenge and hate barely held in check by an intense sense of justice. Batman represents 'the dark side' while the villains are hyper-imaginative colourful creative caracters who happen to be completely insane. The rivalry between soloists and orchestra is anything but friendly: The three soloists represent one villain each the orchestra 'is' the batman - and while the villains take centre stage during most of the concerto they are eventually overwhelmed by the sheer power of the orchestra and sent where they belong: The lunatic's asylum. The concerto begins with the creation of the batman: An eight year old boy persuades his parents to leave an opera performance before it is over; outside in an alley they are shot and killed by a criminal while the boy watches. And he decides that all criminals must be punished! Then follows the Villaineuos Fugue: a multi-part fugue-like exposition of villain motives and stylistic environments. It is the exposition of the joker (alto trombone) two-face (tenor trombone) and the penguin (bass trombone). And after a brief and very slow interlude where the three criminals form an alliance and make their plans the Toccata of Crime begins: Bright fast moving highly energetic expansive and colourful music still dominated by the soloists. But later the orchestra moves to centre stage with slow omnious swooping bat-music that climaxes as the soloists are defeated by the orchestra. In the Shadow of the Bat is commissioned

Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde. On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes. D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie. Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé. Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale. Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part. L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste. Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre

Solo for Oboe or Violin-'The title only appears frivolous to those who have lived little. With the passage of time the seasons that pass the differences in quantity and quality of light of temperature and weather become of ever greater importance in the meaning of our individual existence. This transformation follows the path of our lives and often mimes in front of our very own eyes incredulous and wondrous events that we can only experience once in a lifetime: our birth our blossoming our aging and our death. Such a subject could well take up ten years of my life. This was the case. Nevertheless everything started very innocently with a proposition from my friend François Leleux to write him a double concerto that he could play with Natalia Gutman initially named ‘Musica Concertante’. It was with this second proposition from François for another double concerto this time with Lisa Batiashvili that the idea came to me for a cycle of four concertos with each time a different instrument from the string quartet to join the oboe. The automnal colours of the cello are a perfect match for the retrospective nature of the first completed concerto in the cycle. ‘concerto nostalgico l’automne’ whilst the love and the first child of the Leleux-Batiashvili couple could only bring Spring to mind hence the ‘Concerto amoroso le printemps’ was born. When Jean-Marc Bador asked me to be an associate of the Ensemble Orchestral de Paris for two years it was quite naturally that I thought of completing this cycle for François Leleux with winter ‘Concerto tenebroso’ created in January 2010 with Lise berthaud playing the viola. All that remained was for me to conclude with a work that reunited all four protagonsits. It was summer the ‘Concerto luminoso’ which took on this role’.

Mathias Rüegg and the Vienna Art Orchestra. Par RUEGG MATHIAS. Celebrating Rüegg’s life as an amazingly prolific jazz arranger and orchestrator, Universal Edition has just released A Centenary Journey, a compilation of the great charts by Rüegg in notated score form. A rarity in published music, these jazz scores “unlock the secrets” to phenomenal performances, echoing the evolution of jazz itself along the way. Students of the art (of any age) can now follow along with the written page, and see the music behind the experience, to study the process from concept to reality. The score includes an audio CD recording of select compositions, as well, performed by the Vienna Art Orchestra. An excellent overview of the development of jazz from1900 to its present form(s)./ Répertoire / Orchestre

Many of the old hymns have great sometimes stunning messages. Michael Hurley feels that sometimes the “antiquated” melody and/or harmony can get in the way of these important words. He has embarked upon an ongoingproject to create fresh new music for these grand expressions of faith. He has definitely accomplished that with this arrangement! Higher Ground is lively and upbeat with exciting harmonies and catchy syncopation.“Pressing on the upward way” is no problem with this uplifting choral. The melody soars as the mood of the text climbs higher adding a great high soprano descant on the final verse “I want to scale the utmostheight and catch a gleam of glory bright!” A wonderful orchestration or accompaniment CD is available taking this spirited octavo to new heights...to Higher Ground!

Ce score étude de 'La clemenza di Tito' est basé sur l'édition à la fois Giegling Franz de 1970, qui a été publié dans le cadre du 'New Edition Mozart', et le commentaire critique à partir de 1994.Les manuscrits autographes de numéros 2, 11 et 12 de l'opéra de Mozart ont été considérés comme perdus après la fin de la Seconde Guerre mondiale. En 1979/80 de ces pièces manuscrites ont été reportés et sont conservés dans le Jagiellonska Biblioteka, Cracovie. L'évaluation de cette source a été publié dans le commentaire critique de 1994 et a été inclus dans la deuxième impression du volume respectif de New Mozart Edition (1997). Le score étude Bärenreiter est basé sur cette nouvelle édition de 'La Clemenza di Tito', tel que publié dans le 'New Edition Mozart'.- Basé sur le Urtext de la 'Nouvelle édition Mozart', reflétant l'état actuel des bourses musicologique- Avec une préface informative / Orchestre

Based on the Critical Edition- Orchestra material on hire. Par MAHLER GUSTAV. The large-scale form of 'Symphony No. 9' is unusual in a number of ways. It reminds in no way of the ninth symphonies of famous predecessors. Two slow movements, an Andante comodo at the beginning and an Adagio at the end, form the frame for two of the most parodistic and embittered inner movements that Mahler ever wrote - a ländler-waltz combination, and the 'Rondo-Burleske', a bitter, ironic movement that is derisively dedicated 'to my brothers in Apollo'. The most extraordinary part of Mahler's last completed symphony must certainly be the slow finale - a 20-minute long intensively singing movement laden with conflict that includes references to earlier works by Mahler, in slow motion as it were ('Urlicht',' Ablösung im Sommer', the 'Scherzo of Symphony No. 3', 'Der Abschied' from 'Das Lied von der Erde', and 'Oft denk' ich, sie sind nur ausgegangen' from the 'Kindertotenlieder'); it indeed seems that a circle is being closed. (Reinhold Kubik) Universal Edition continues its new study score standard. These completely redesigned scores offer an unparalleled insight into the music of the last hundred years. Great care has been taken to select the best available content for this journey through music history, and every score has been edited according to the latest quality standards./ Répertoire / Orchestre

In Full Vocal And Instrumental Score-This volume reproduces in full vocal and instrumental score eleven cantatas from the reliable Bach-Gesellschaft volumes. A new supplement presents the eleven German texts in libretto form and a facing literal line-by-line translation by Stanley Appelbaum.

Fuego Fatuo has an interesting history. Manuel De Falla (1876-1946) often regarded as the greatest Spanish composer of the 20th century wanted to write an opera based around themes from Chopin whomhe greatly admired. The stage work was never finished; however several attempts have been made to arrange the work for orchestra most successfully by the Catalan conductor Antoni Ros-Marb .Despite its history this orchestral suite is far from being a mere mish-mash of Chopin melodies; it is more of a meditation on Chopin’s work in general with the focus on the harmonic and textural elements which De Falla drew from his work.It forms a fascinating insight into the mind of a great musician.

Study Score-Declaration Suite consists of the orchestral movements from 'Declaration - a symphonic narrative' for Orchestra two solo speakers and speaking chorus. In its original form the work includes a setting of theDeclaration of Independence.The composition was comissioned by Station WRC and WRC-TV of the National Broadcasting Company Washington D. C. for the National Symphony Orchestra of that city and was composed during thesummer and fall of 1956. The National Symphony Orchestra Dr. Howard Mitchell conducting gave the first complete performances at the Inaugural Concert in Constitution Hall Washington D. C. January 20 1957 and during theOrchestra's regular subscription series the week following.Declaration Suite was first performed by the Symphony of the Air under Dr. Mitchell in Carnegie Hall New York February 14 1957 as part of theannual WNYC American Music Festival.The movements are:I. Liberty Bell (Passacaglia)II. Midnight Ride (Scherzo)III. Concord Bridge (Memorial)IV. Summer '76 (Serenade)V. Celebration (Chorale and Fugue)

Ich Hatte Viel Bekümmernis - Lord My God My heart And Soul Were Sore Distrest BWV 21.Cantata for the 3rd Sunday after Trinity.The cantata ?Ich Hatte Viel Bekümmernis? dates from around 1713 and was probably performed for the first time that year in the Liebfrauenkirche in Halle. Its assigning to the third Sunday after Trinity probably only occurred the following year.With its large-scale structure and strong emphasis on biblical texts it was extremely popular in the 19th century and remains one of Bach?s best-known cantatas today.The cantata is published here with a Vocal score based on the New Bach Edition with an idiomatic straightforward Piano reduction by Martin Focke.- One of Bach?s best-known cantatas.- Urtext based on the ?New Bach Edition?.- Clear straightforward Piano reduction.- Study score (TP1021) Vocal score (BA10021-90) & performance material (BA10021) available for sale.

One of the most famous ballet scores of the twentieth century. Completed in 1911, Petrouchka was the second of Stravinsky's great ballets and is equally at home in the concert hall as in the theatre. Now published in The Masterworks Library: Landmark 20th century works from the Boosey

Premiered at the festival 'Magma Berlin 2002' by the Berlin Philharmonic Orchestra conducted by David Robertson 29th November 2002.3 Flutes 1st and 2nd also Alto Flutes in G 3rd also Piccolo3 Oboes 3rd also Cor Anglais in F3 Clarinets in Bb 3rd also Bass Clarinet in Bb3 Bassoons 3rd also Contra Bassoon4 Horn in F3 Trumpets in Bb3 Trombones1 TubaTimpani4 Percussion four playersPlayer 1 - Vibraphone Glockenspiel Water Chime Bell Tree Japanese Wood Blocks Cymbal (Suspended) TamTam (Medium)Player 2 - Triangle Tubular Bells Crotales Marimba Chinese CymbalPlayer 3 - TamTam (Large) Java Gong(Large very low) Bell Lyra (Handheld) Sizzle CymbalPlayer 4 - Bass Drum Glockenspiel Xylophone1 Harp1 Piano also CelestaStrings - 16/14/12/10/8All transposing instruments are notated in their relevant transpositions.Any accidental apply only to the note that it immediately precedes except tied notes.Naturals appear occasionally 'for safety'.'LISTENING EARTH' is a symphonic drama a one- movement composition in four parts based on the work by two writers Joseph Addison (1672-1719) and W.H.Auden (1907-1973). Joseph Addison is not particularly well known; he was English a classical scholar essayist poet and politician but one of his hymns was used by Benjamin Britten. in his setting of a Thomas Tallis canon.The hymn is singularly beautiful and being a composer always inspired by extramusical stimuli such as poems nature paintings I was immediately convinced when I carne across the Addison hymn that here was exactly what I wanted to use as my major source of inspiration for this piece commissioned by and written for The Berlin Philharmonic. I don't refer to the hymn in its entirety but have chosen the following 3 excerpts all acting as mottos for the first three sections of the piece thus turning the piece into a straightforward tonepoem in the classical

Haydn composed his Symphony no. 76 at the same time as his Symphonies nos. 77 and 78 for a planned trip to England that never took place. Nonetheless, H. C. Robbins Landon calls these works the ?English symphonies? as they arestylistically closely linked to the ?London Bach?, Johann Christian Bach. Haydn himself, in a letter of 1783 to his Parisian publisher Charles-Georges Boyer, described the symphonies as ?Leicht und nicht vil Concertirend?, meaningthat they were light in spirit and did not contain extensive solo passages but rather a clear sense of classical form. Continuing the cooperation between Bärenreiter and the G. Henle publisher regarding Haydn?s large-scalechoral works, operas and symphonies, this edition is based on the G. Henle Complete Edition of the ?Works of Joseph Haydn?. The Bärenreiter catalogue now includes the complete performance material for several ?Sturm und Drang?symphonies as well as all the London and Paris symphonies.

Symphony No. 6 'At The End Of Day' (1997-99) for Orchestra by Per Nørgård. Programme note: ”… with the Lord a day is like a thousand years and a thousand years is like a day”  (New Testament 2 Peter 3:8)  My SYMPHONY NO. 6 was commissioned by the Danish National Radio Symphony Orchestra the Göteborg Symphony Orchestra and the Oslo Philharmonic Orchestra to be premiered at the millenium 2000.  The subtitle AT THE END OF THE DAY can be understood literally or it can mean “when all is added up”. However in my opinion nothing ever quite adds up there is always “something” missing any ending will be provisional ...  This symphony appears to end only a few minutes into the first movement the first passage as the music fades away to almost-silence after a start of flying colours. But then there is still “something” a small motive (first heard in the initial sound-waves) which reappears hesitant but persistent and this embryo is what leads on the musical progression. An agitated section of many instrumental voices comes next until all the voices become obsessed with the same phrase a see-saw motive based on thirds. This section evolves into almost martial ferocity when broken off by a tutti descent into an extreme bass-world (a bass-world which actually permeates the whole symphony emplyoing instruments that I have never used before: double-bass tuba double-bass trombone double-bass clarinet and bass flute).  The second movement the second passage apparently takes off where the first passage ended but now the events are more ambiguous and the same music may be perceived as fast-moving one moment and slow-moving the next. This section is a kind of passacaglia the characteristic baroque bass-variation.  Without a break follows the third and last passage in a