To some the tragic story of the Penlee lifeboat Solomon Browne would need no introduction and to some the pain felt is still very much a reality. The composer born just a few weeks before that fateful night on the 19th December 1981 has created this work as a musical homage to the bravery of the souls who lost their lives and has dedicated it to their memory. Penlee was commissioned by the Cornwall Youth Brass Band using funds bequeathed by Michael Pickett. The first performance was given by the Cornish Youth Brass Band conducted by Ian Porthouse at St. Michael’s Church Newquay on 30th December 2008. Penleehas been voted into the Classic FM Hall of Fame 2011 at No.106. Not only is it the first time a brass work has been featured in the Hall of Fame but it was also the highest new entry. The work has subsequently been recorded by the Leyland Band conducted by Jason Katsikaris on the CD entitled Penlee .Brass Band Grade 4: Advanced Youth and 3rd Section Duration: 13 minutes

Torsion was commissioned by the Leyland Band and first performed on 23 January 2010 at the Royal Northern College of Music Festival of Brass Manchester by Leyland Band conducted by Jason Katsikaris.This colourful and dynamic work is the most personal and ambitious that Simon Dobson composed during his residency with the Lancashire brass band. The dictionary defines torsion as the state of being twisted and the composer interprets this as the imagined dis-torsions and con-torsions of Time Light and Sound in three contrasting movements. Simon Dobson fuses the traditional brass band sound with drive and energy of pop and funk jazz with optional digitally distorted'echoes' providing added aural confusion at the points of climax.Although composed as a substantial concert work Torsion would also make a challenging test-piece for contesting brass bands in the elite divisions.

Après Excalibur et Stonehenge, Albion est la troisième oeuvre majeure pour Brass Band de Jan Van der Roost inspirée par l’Angleterre du Moyen Âge. Bien que l’oeuvre ne soit pas construite autour d’une histoire précise, ce poème symphonique a toute l’ampleur d’une épopée. L’ouverture de l’oeuvre semble dépeindre la conquête d’Albion (premier nom connu de l’Angleterre), transportant l’auditeur à l’époque du roi Arthur et de ses légendaires chevaliers de la Table Ronde. Trois groupes de cornets dispersés au sein de la formation et trois tambours différents reflètent, en autant de tonalités et de tempos, les périodes de guerre qui plongent l’Angleterredu début du Moyen Âge dans la tourmente. Des accords sombres et majestueux, exposés dans le registre grave, créent un contraste et donnent au son d’ensemble un caractère trouble et confus. Lorsque les tambours se retrouvent dans un même rythme, l’ensemble de la formation interprète pour la première fois à l’unisson le 'Thème d’Albion'. Un allegro energico plein d’agitation apporte soudainement plus d’élan et de dynamisme. Des thèmes virtuoses et guerriers se succèdent, donnant au passage un caractère tumultueux. Cette suite de thèmes se conclut également avec le 'Thème d’Albion', soutenu cette fois-ci par une structure harmonique plus complexe. S’ensuit un passage intermédiaire calme et serein, permettant à plusieurs solistes d’exploiter et de révéler leurs qualités musicales. Après tout, Albion n’a pas connu que des périodes de troubles et de misère. Et le roi Arthur n’est-il pas considéré comme celui qui a apporté paix et stabilité au pays ? Cette lente succession de fragments en solo progresse avec une fluidité presque évidente vers un passage où l’orchestre interprète en choeur les accords majestueux des mesures d’ouverture de l’oeuvre. Le Brass Band sonne comme un orgue et le 'Thème d’Albion' vient tout naturellement conclure cette oasis de paix retrouvée. Dans le finale impressionnant, plusieurs éléments thématiques / Date parution : 1905-06-25/ Accessoire / Brass Band

Après Excalibur et Stonehenge Albion est la troisième œuvre majeure pour Brass Band de Jan Van der Roost inspirée par l?Angleterre du Moyen Âge. Bien que l?œuvre ne soit pas construite autour d?une histoire précise ce poème symphonique a toute l?ampleur d?une épopée. L?ouverture de l?œuvre semble dépeindre la conquête d?Albion (premier nom connu de l?Angleterre) transportant l?auditeur à l?époque du roi Arthur et de ses légendaires chevaliers de la Table Ronde. Trois groupes de cornets dispersés au sein de la formation et trois tambours différents reflètent en autant de tonalités et de tempos les périodes de guerre qui plongent l?Angleterredu début du Moyen Âge dans la tourmente. Des accords sombres et majestueux exposés dans le registre grave créent un contraste et donnent au son d?ensemble un caractère trouble et confus. Lorsque les tambours se retrouvent dans un même rythme l?ensemble de la formation interprète pour la première fois à l?unisson le 'Thème d?Albion'.Un allegro energico plein d?agitation apporte soudainement plus d?élan et de dynamisme. Des thèmes virtuoses et guerriers se succèdent donnant au passage un caractère tumultueux. Cette suite de thèmes se conclut également avec le 'Thème d?Albion' soutenu cette fois-ci par une structure harmonique plus complexe. S?ensuit un passage intermédiaire calme et serein permettant à plusieurs solistes d?exploiter et de révéler leurs qualités musicales. Après tout Albion n?a pas connu que des périodes de troubles et de misère. Et le roi Arthur n?est-il pas considéré comme celui qui a apporté paix et stabilité au pays ? Cette lente succession de fragments en solo progresse avec une fluidité presque évidente vers un passage où l?orchestre interprète en chœur les accords majestueux des mesures d?ouverture de l?œuvre. Le Brass Band sonne comme un orgue et le 'Thème d?Albion' vient tout naturellement conclure cette oasis de paix retrouvée. Dans le finale impressionnant plusieurs éléments thématiques

Tomaso Albinoni (1671-1751) est né à Venise. Il est le fils aîné d?un riche marchand. Dès son plus jeune âge il développe un réel talent pour le chant et surtout pour le violon et se met rapidement à composer. Albinoni a vécu et travaillé toute sa vie durant à Venise mais a également séjourné à Florence et à Munich.Dans sa jeunesse Albinoni compose de la musique sacrée mais sans grand succès. En 1694 il attire l?attention du public vénitien lors de la représentation de son premier opéra Zenobia Regina de Palmireni (Zenobia reine de Palmireni). Ses premières œuvres de musique instrumentale datent de la même année. Par la suite Albinoni se consacre surtout à lacomposition d?œuvres vocales (opéras et cantates) et instrumentales (sonates et concertos).C?est en travaillant sur la biographie d?Albinoni au sortir de la Deuxième Guerre mondiale que le musicologue milanais Remo Giazotto découvre à la Bibliothèque Nationale de Dresde un manuscrit inédit sur lequel est basé le célèbre Adagio. Il semblerait que les six mesures de la mélodie et la ligne de basse retrouvées aient constitué un passage d?un mouvement lent d?une sonate à trois. Vers 1945 en partant de ces éléments Remo Giazotto reconstitue une œuvre célèbre de nos jours comme l?Adagio d?Albinoni alors qu?Albinoni lui-même ne serait probablement plus en mesure de reconnaître sa pièce.

Simon Dobson wrote his 'Four Sketches' at the request of Peter Bossano Head of Brass at the Royal College of Music in recognition of the 25th anniversary of Benjamin Britten’s death. The first movement 'Fanfare' quotes directly from the opening violin melody from Britten’s song cycle Les Illuminations. This melodic line is superimposed upon sonorous Lydian mode chords to project a majestic sound. The second movement 'Prayer' is a definite contrast being and much more reflective and pensive in it’s mood and featuring a dream like euphonium cadenza. The third movement 'Funeral March' builds from a soft chordal opening to a chaotic and confusedfortississimo climax with flourishes in the cornets and pounding tri-tones across the basses before plunging into silence for a flugel cadenza to finish. The final Finale movement is much more positive from the off with its jaunty melodies over a Brittenesque ostinato. The block chordal passages offer a crashing climax making for an exciting conclusion to an excellent new work for the medium. Simon Dobson’s 'Four Sketches' was the winning entry in the European Brass Band Composer Competition held in Brussels in March 2002.

for Eb Horn and Brass Band-Sunday in the Park (Un Dimanche au Parc) a été écrite pour Sheona White virtuose du saxhorn alto et commandée par son partenaire Matt Wade comme cadeau de Noël. Le compositeur Philip Sparke connaissant et admirant Sheona depuislongtemps avait précédemment produit son premier CD en solo et écrit des pièces pour elle. La saxhorniste tout comme le compositeur est une fan inconditionnelle de Karen Carpenter modelant en partie ses sonorités sur la voix voluptueuse de lachanteuse. Il fut donc décidé que ce nouveau solo serait une pièce qui sans être un pastiche des Carpenters rendrait hommage à leur style décontracté et leur riche langage harmonique. Sunday in the Park débute avec une cadence accompagnéepour la soliste suivie d?une mélodie délicatement rythmique et détendue. Cette mélodie est reprise par l?ensemble mais la soliste engendre un changement de climat avec l?introduction d?un interlude plus rapide de style rock. La musique atteint sonpoint culminant puis s?apaise pour revenir au climat du début. Une variation sur la mélodie d?origine mène à une courte cadence de la soliste qui conduit la pièce à une conclusion tranquille.

For Euphonium and Brass Band-The Green Hill (La verte colline) est une oeuvre de commande taillée sur mesure pour le virtuose suisse de l?euphonium Eich Schmidli. C?est en s?inspirant de la musique celtique que Bert Appermont a composé cette fantaisie représentative de toutes les facettes de l?euphonium. La musicalité l?expressivité et la couleur sonore de l?instrument sont soulignées par l?accompagnement orchestral particulièrement abouti. Le degré de difficulté de la partie solistique tout comme celui de la partie orchestrale vous permettra de placez votre soliste sous les feux de la rampe avec cette oeuvre pleine d?élégance.

Another World’s Hell was commissioned in versions for brass wind and fanfare bands by the Société Cantonale des Musiques Vaudoises and the Association Cantonale des Musiques Neuchâteloises for the 2013 Swiss Cantonales festivals. It is inspired by a passage in Aldous Huxley’s classic 1932 science-fiction novel Brave New World which  describes in unusually close detail the music that is being played at a dance. This is Dobson’s interpretation of  the  imagined  ‘future music’ that Huxley dreamed of. Brass Band Grade: 5Duration: 13 minutes

London Brass Band Series-Leslie Pearson's Christmas Is Coming scored for 3 Trumpets 3 Trombones Tuba 2 Percussion Organ and Keyboard. 'When I set out to arrange traditional Christmas carols I was determined that they should not be yet another run-of-the-mill strophic verse-by-verse version of our Christmas heritage. I have tried to treat each carol in the collection as the basis for a Petite Fantasie - a continuous single-movement of variations on the original tune. Of course the carol is heard in its traditional form at some point during the arrangement but hopefully its appeal is enhanced without destroying the traditional concept. Inparticular White Christmas Silent Night and the middle sections of Hark the Herald and Christmas is Coming have the soft 'lush' treatment. Christmas is Coming has a humorous opening and a 'Noblimente' end. The collection is in all a delightful mixture of musical styles through the ages.' Leslie Pearson

Lyonesse was commissioned by the Brass Band Heritage Trust as the test piece for the Finals of the National Youth Brass Band Championships held in Manchester in April 2005. This atmospheric music ideal as a test piece for First and Second section bands takes its inspiration from the lost kingdom of Lyonesse the mythical spur of land linking Cornwall and the Scilly Isles and its associated legend of Tristan and Isolde. Brass Band Grade 5: 1st Section Duration: 13 minutes

Journey of the Lone Wolf tells the story of the hungarian composer Béla Bartók. It was commissioned by Dr. Nicholas Childs for Black Dyke Band who gave the first performance on Sunday 26 January 2014 at the Bridgewater Hall Manchester as part of the Royal Northern College of Music Festival of Brass. The composer's programme notes for each movement: 1. Capturing the Peasants SongAfter the upheaval of moving to Budapest the young Béla Bartók meets Zoltán Kodály and the pair embark on summertime adventures throughout the Hungarian countryside to collect and catalogue theastonishing variety (both harmonically and rhythmically) of gypsy and folk music heard in the Balkans. The arrival of WW1 plunges Bartók's beloved Hungary into chaos.2. Night MusicBartók was at times a cold man aloof and lonely. The odd moments of tenderness he showed are portrayed here in a series of evocative solos. His brief but intense affairs speak of a love he could only long for. Jazz is my night music and here there are hints of what Bartók may have heard in the USA later in his life.3. Flight and FightHaving been forced by the world's evils to leave his homeland of Hungary for America Bartók the anti-fascist felt isolated and angry. In this movement we hear his longing for a simpler time of gypsy folk dances as well as his maturity and depth as a composer finally exploring deeper colours and darker themes.

for Solo Horn and Brass Band-Moon River is the title song of the famous 1961 motion picture Breakfast at Tiffany’s. Over the years the song was covered by many major stars turning it into an absolute evergreen around the world. The beauty of the melody is also suited for mellow sounding instruments like the Eb Alto Horn; a great reason for the British composer and arranger Christopher Bond to make a version for Brass Band and Alto Horn.

C?est le printemps : les jours s?allongent et la nature sort de son sommeil hivernal. C?est toute l?effervescence du printemps qu?exhale Spring Song. En outre cette ravissante pièce célèbre également la naissance du troisième petit fils du compositeur né au printemps.