Ces courtes pièces sont destinées à être chantées entre les oeuvres d'un programme, afin de lui conférer une forme globale cohérente. Elles ne peuvent donc pas être jouées à la suite les unes des autres. L'ordre sera défini en fonction des autres pièces. Elles peuvent éventuellement servir de prélude ou d'épilogue.On aura soin d'utiliser l'espace d'écoute inutilisé pour les autres pièces du concert et de disposer les chanteuses en fonction des indications ci-dessous. Lors de la création, c'est l'espace situé derrière l'auditoire qui fut donc investi.Dans Opium des Volkes, la troisième voix est frontale, la première est loin derrière et s'en rapproche, tandis que la seconde est placée à côté au début de la pièce, mais s'en éloigne progressivement. Le dispositif spacial pourra s'adapter au lieu, sachant qu'il doit suivre le contrepoint de vitesse. Dans Cloche, les trois groupes sont proches les uns des autres. Dans Wo bisch ?, les trois voix sont regroupées pour s'espacer par étapes. A 28, les 3 groupes sortent progressivement de scène. Dans Sirènes, les trois groupes sont espacées puis se regroupent pour chanter l'alarme finale.Les interludes pour choeur sont dédiés à Candice Barjat, Barbara Barnoud, Béryl Brosse, Agathe Didier, Lucilie Faure-Balard, Amélie Tournaire et Jacques Berthelon. Ils ont été créés à Pfaffenheim en août 2006. / Choeur

Franz Schubert (1797-1828) was an Austrian composer working in the early Romantic era. His ever-popular Ave Maria was composed in 1825 as No.6 of his Op. 52 a setting of seven songs from Sir WalterScott?s epic poem The Lady Of The Lake. The text came from a part of the poem called Ellen?s SongThe melody has been re-used many times and is often set to the Catholic Prayer that starts with the samephrase (?Hail Mary? in English). Most memorably it was adapted by Walt Disney for his 1940 film Fantasia. The version here is for two Medium Voices with an accompanying Piano part.

- Une sélection de grands choeurs des 17e, 18e et 19e siècles proposée par Jean LAFORGE, (Directeur des Choeurs de l'Opéra de Paris de 1957 à 1987) - Un sommaire riche pour se familiariser, découvrir ou retravailler des choeurs célèbres et accessibles à / Choeur Mixte Et Piano / 228 pages / Partition

Par BREWER HERBERT A.. Organist of Gloucester Cathedral from 1896 till his death in 1928, as well as composer, choir-trainer, adjudicator and teacher, Sir Herbert Brewer was involved for over three decades with the Three Choirs Festival, and his Memories of Choirs and Cloisters offers a vivid account of the planning and execution of the festivals in that time, those at Gloucester in particular. Though his professional life was spent exclusively in the provinces, his championing of contemporary music brought him into wide contact with composers and other artistic figures both from Britain and the continent, including Robert Bridges, Elgar, Glazunov, Rider Haggard, Parry, Quiller-Couch, Ravel, Saint-Saëns and Sibelius (whose Luonnotar he premiered). John Morehen's fine new edition places Brewer's lively and insightful recollections of these and other encounters and connections in context for the modern reader, making the book an important addition to our fuller understanding of a remarkable period in British music. Neither a conventional autobiography nor a diary, but a collection of reminiscences compiled towards the end of his life, Brewer's Memories reveals a scrupulous and astute musician of great integrity, warm-hearted with a devotion to social justice and civic duty, and with a mischievous sense of humour./ Recueil / Choeur

Motets is a set of intimate and spiritually uplifting a cappella choral works by Karl Jenkins, featuring new pieces and arrangements of a selection of movements from his most popular works, including The Armed Man, Requiem, Adiemus and The Peacemakers. Although scored for mixed choeur a cappella, most pieces include an optional accompaniment for piano or organ. Next to the complete vocal score (BH 12937) all 19 separate motets are also available as single pieces.Motets was recorded on Deutsche Grammophon 0289 479 3232 by Stephen Layton and Polyphony.Pages : 12Niveau : moyen - avancéLangue : Latin / Choeur et ensemble vocal / Boosey

J'ai toujours été attiré par les grands textes sacrés et les ouvrages philosophiques, Si j'ai choisi d'écrire une messe de Requiem, ce n'est surtout pas pour satisfaire une curiosité morbide, que l'on peut trouver chez quelques romantiques déprimés ou certains théologiens aux idées masochistes des temps anciens, absurdes moralistes de l'Inquisition confondant la vie avec la souffrance,J'ai avant tout cherché un moyen de me rapprocher de ma foi par un pèlerinage intérieur, une quête évidente et indispensable, Je pense que la musique est avant tout spirituelle, C'est par elle que j'ai puisé mon besoin de Dieu, et qui a donné un sens à ma vie, Que dire du sentiment réconfortant à écouter les grandes oeuvres prophétiques de Jean-Sébastien Bach ?Ecrire un Requiem, c'est d'abord écrire une oeuvre monumentale pour la vie, Que ce soit pour nos défunts, pour qui nous espérons une renaissance éternelle, ou pour le réconfort des vivants et leur accompagnement dans une recherche de l'absolu, A travers ma musique, je livre ainsi un voyage intérieur, souvent conflictuel, allant de mes doutes à mes convictions, et qui me permettrait de me débarrasser des futilités temporelles, pour ne garder que l'illumination, préparation intérieure à l'éclosion, recherche de la légèreté, libération, vibration cosmique et universelle,Frédéric Ledroit ' Je considère le Requiem de Frédéric LEDROIT comme l'équivalent, à leur époque, de ceux de Fauré et de Duruflé, Très inspiré, il traduit parfaitement la force, la puissance, mais aussi la poésie et la sérénité qu'on retrouve chez ses aînés, Frédéric LEDROIT n'est pas homme de concession et son oeuvre, une gifle aux péchés de l'Homme et l'entrée dans l'Eternité, a mûri pendant plusieurs années de façon à ce qu'il en soit extrait tout le suc de sa spiritualité, Cet enfantement est une magnifique preuve d'Amour à Dieu, Ayant eu le privilège d'être parmi les quelques interprètes (ou plutôt ' acteurs ') de sa première audition en l'église de la Madeleine à Paris, le dimanche 24 juin 2012, je n'oublierai jamais l'émotion qui m'envahit lors de ce grand moment d'intense communion et de grâce, un moment rare, 'François-Henri Houbart, organiste des grandes orgues de la Madeleine, Paris Prélude 2'54Introït 7'55Kyrie 2'56Dies irae 2'27Tuba mirum 2'55Domine Jesu 3'43Hostias 3'28Sanctus 4'05Pie Jesu 2'35Agnus Dei 6'14Ave Maria 2'32Lux aeterna 3'40Libera me 5'31In paradisum 3'32 / Choeur Mixte

J'ai toujours été attiré par les grands textes sacrés et les ouvrages philosophiques, Si j'ai choisi d'écrire une messe de Requiem, ce n'est surtout pas pour satisfaire une curiosité morbide, que l'on peut trouver chez quelques romantiques déprimés ou certains théologiens aux idées masochistes des temps anciens, absurdes moralistes de l'Inquisition confondant la vie avec la souffrance,J'ai avant tout cherché un moyen de me rapprocher de ma foi par un pèlerinage intérieur, une quête évidente et indispensable, Je pense que la musique est avant tout spirituelle, C'est par elle que j'ai puisé mon besoin de Dieu, et qui a donné un sens à ma vie, Que dire du sentiment réconfortant à écouter les grandes oeuvres prophétiques de Jean-Sébastien Bach ?Ecrire un Requiem, c'est d'abord écrire une oeuvre monumentale pour la vie, Que ce soit pour nos défunts, pour qui nous espérons une renaissance éternelle, ou pour le réconfort des vivants et leur accompagnement dans une recherche de l'absolu, A travers ma musique, je livre ainsi un voyage intérieur, souvent conflictuel, allant de mes doutes à mes convictions, et qui me permettrait de me débarrasser des futilités temporelles, pour ne garder que l'illumination, préparation intérieure à l'éclosion, recherche de la légèreté, libération, vibration cosmique et universelle,Frédéric Ledroit ' Je considère le Requiem de Frédéric LEDROIT comme l'équivalent, à leur époque, de ceux de Fauré et de Duruflé, Très inspiré, il traduit parfaitement la force, la puissance, mais aussi la poésie et la sérénité qu'on retrouve chez ses aînés, Frédéric LEDROIT n'est pas homme de concession et son oeuvre, une gifle aux péchés de l'Homme et l'entrée dans l'Eternité, a mûri pendant plusieurs années de façon à ce qu'il en soit extrait tout le suc de sa spiritualité, Cet enfantement est une magnifique preuve d'Amour à Dieu, Ayant eu le privilège d'être parmi les quelques interprètes (ou plutôt ' acteurs ') de sa première audition en l'église de la Madeleine à Paris, le dimanche 24 juin 2012, je n'oublierai jamais l'émotion qui m'envahit lors de ce grand moment d'intense communion et de grâce, un moment rare, 'François-Henri Houbart, organiste des grandes orgues de la Madeleine, Paris Prélude 2'54Introït 7'55Kyrie 2'56Dies irae 2'27Tuba mirum 2'55Domine Jesu 3'43Hostias 3'28Sanctus 4'05Pie Jesu 2'35Agnus Dei 6'14Ave Maria 2'32Lux aeterna 3'40Libera me 5'31In paradisum 3'32 / Choeur Mixte