Romanian Dances (Danses roumaines) est une œuvre de commande pour l?Orchestre d?Harmonie de la ville de Balzers au Liechtenstein.La Roumanie s?appuie sur une extraordinaire richesse des traditions musicales et culturelles. Si la musique du Nord est familière à l?oreille des Occidentaux elle devient de plus en plus vive et exhubérante dans les régions du Sud. La réalisation de cette œuvre a donné lieu à un intense travail de recherche. À l?issue de cette phase préparatoire Thomas Doss a effectué un choix consciencieux parmi plus de mille chants collectés aux quatre coins de la Roumanie. Cette première étape très enrichissante a contribué à renforcerles liens tissés de longue date entre le compositeur et le peuple roumain.Les techniques d?interprétation nécessitent volontiers l?utilisation du vibrato d?ornements de glissandi et d?altérations au quart de ton. Ces éléments ne sont cependant pas notés sur les partitions mais sont laissés à l?appréciation de chaque intervenant soliste selon sa sensibilité.Certains passages doivent sortir de l?espace sonore strictement classique pour rechercher l?authentique vivacité et le caractère libre d?un orchestre de mariage roumain. Cette liberté d?interprétation ne concerne pas les passages tutti. Seuls les passages solos expressifs autorisent l?imitation de sons d?instruments naturels tels que la flûte de pan la flûte de berger et le taragot (ou tárogató).Les six mouvements constitués de différents chants traditionnels parfois recueillis par fragments et que le compositeur a arrangés selon ses désirs. Pour rendre ces danses accessibles à la plupart des Orchestres à Vent quatre éditions on été réalisées : une édition complète ainsi que trois éditions/entités indépendantes :Ouverture des Danses roumaines1) Meleaguri mistice (?Paysages mystérieux?). Ce mouvement rassemble une prière (doina) et une lamentation funèbre chantée par les pleureuses (bocet).Suite extraite des Danses roumaines2) Batuta

The Celebration for Children of 7 5 and 3 Years of Age-Le 15 novembre de chaque année le Japon célèbre la Fête des enfants de Sept Cinq et Trois ans le Shichi-Go-San (littér. Sept-Cinq-Trois). À cette occasion les fillettes de sept ans les garçonnets de cinq et tous les enfants âgés de trois ans vont au sanctuaire pour prier les divinités de leur accorder longévité et réussite. Shichi-Go-San décrit la joyeuse visite au sanctuaire et les instants complices qui resserrent les liens entre une fillette de sept ans et ses deux frères de cinq et trois ans. La fanfare d?ouverture jouée par les trompettes décrit le garçonnet de cinq ans. Le deuxième thème mélodique confié à la clarinette en Mi♭ dépeint l?espiègleet malicieux petit garçon de trois ans. Le passage central développe une mélodie charmante et douce à l?image de la fillette de sept ans. Pour illustrer la signification du nom donné à cette fête traditionnelle le compositeur a choisi d?utiliser de nombreuses mesures irrégulières et notamment des mesures à sept cinq et trois temps.

Par SCHWARZ OTTO M.. Une ville est fondée - son c?ur se met à battre. Mais les réalisations visibles comme les bâtiments et les infrastructures ne sont que des preuves de ce qui constitue son véritable c?ur : les personnes qui ont vécu dans la ville et ceux qui y vivent encore aujourd?hui. Le pouls de la ville, mis en mouvement par les battements de son c?ur, évolue avec le temps. Qui ne connaît pas ces images en accéléré, qui montrent des lignes vacillantes faites de lumières provenant de voitures, dans lesquelles les gens se rendent au travail tandis que d'autres se tiennent aux feux de circulation et se déplacent ensuite comme sur simple pression d'un bouton ? Ces lignes sont comme des artères, animées par un c?ur fort. Léonard de Vinci décrivait déjà les fleuves comme la circulation sanguine imaginaire de cette terre. Dans chaque ville, ce ne sont pas les rivières, mais les mouvements et le travail des personnes qui y habitent et y vivent. Cependant, le c?ur ne bat pas toujours régulièrement mais son rythme est influencé par la joie, la peur et toutes sortes d'autres choses. Chaque ville a son propre pouls. C'est également le cas dans la ville universitaire de Marburg, où des personnes de plus de 100 nations vivent aujourd'hui ensemble, dans une communauté cosmopolite et tolérante. Dans cette ?uvre, la ville est décrite depuis sa fondation en 1222 jusqu?à nos jours, en passant par les actions de sainte Elisabeth. / Date parution : 2023-03-11/ Répertoire / Concert Band/Harmonie

The Legend of Celobrium (?La légende de Celobrium?) est une œuvre de commande pour l?Orchestre d?Harmonie de Soleuvre au Luxembourg à l?occasion de la célébration de son centenaire en 2007.Celobrium est le nom donné par les Romains à la ville de Soleuvre (Zolwer en luxembourgeois ou Zolver en allemand). La composition raconte une célèbre légende liée à la région depuis des siècles : la légende du Trésor du Zolwerknapp.Le Zolwerknapp (signifiant littéralement « bouton de Soleuvre ») est un des points les plus élevés du Luxembourg. Jadis il abritait le château d?Alexandre un noble chevalier descendant du prestigieux Ordre médiéval des Templiers qui y vivaitavec sa famille et son armée. Non loin du Zolwerknapp près de Belvaux vivait au sommet d?une colline boisée un puissant voleur du nom de Tara. Les deux hommes étaient constamment en conflit chacun voulant régner sur les terres alentours. Tara finit par remporter le conflit et consentit à une seule concession. Il autorisa l?épouse d?Alexandre à quitter les lieux avec son âne et emporter avec elle tous les biens précieux que l?âne pouvait porter. Il lui accorda le droit de s?installer en lieu sûr aussi loin que l?âne pouvait la mener. Magnanime elle choisit d?emmener son mari avec elle consciente que sa fuite serait ainsi ralentie. Avant de partir elle jeta son or et ses précieux joyaux dans un puits profond du château.Le voyage fut long et difficile. À force de ténacité ils réussirent à se mettre en sécurité au sommet d?une colline avoisinante. Ils s?y installèrent et érigèrent un nouveau château le château de Differdange.Les siècles passèrent et le château du Zolwerknapp n?était plus qu?un amas de ruines. Jamais personne n?avait osé y chercher le trésor qui sommeillait dans les profondeurs du puits. Mais un jour le prêtre local réussit à persuader sept hommes braves de descendre au fond de l?obscur goulot pour récupérer l?or. Pour ce faire il leur donna une corde et leur conseilla de garder le silence une fois le fond atteint. Les sept

An Overture Op.53-The White Thrill est une composition écrite pour la Musikkapelle Sankt Anton am Arlberg d?Autriche. Le titre fait référence à la course de ski « Der weie Rausch » qui a lieu chaque année à Sankt Anton. La pièce est en forme d?ouverture avecune introduction majestueuse une partie rapide une lente et une reprise de la section rapide. La composition entière est représentée dans un seul thème avec un rythme fascinant aux syncopes agréables qui symbolise en musique l?allure sinueuse dela piste et les man?uvres rapides des skieurs. Dans l?introduction l?aspect majestueux représente le charme des sommets couverts de neige et la grandeur du paysage alpin. Dans la partie lente on peut imaginer le calme des nuits d?hiver éclairéespar la lune et les étoiles. Une ?uvre magnifique et ingénieuse qui mettra à l?épreuve la fantaisie de votre public.

Euphonium Concerto No. 3-Diamond Concerto est une œuvre de commande de la formation allemande Musikverein Mörschied dirigée par le Dr Eric Grandjean pour un concert avec un invité spécial le soliste Steven Mead. Ensemble ils ont créé cette œuvre le 28 avril 2012 au théâtre de la ville d?Idar-Oberstein.Cette commande représente l?un des points culminants d?une amitié de trente années entre le compositeur et le soliste leur relation ayant donné naissance à de nombreux enregistrements et concerts et maintenant à un concerto. Pendant la composition de cette œuvre Sparke avait sans cesse à l?esprit le son bien particulier de l?euphonium de Steven Mead et il a employé librement lavariété de styles que ce virtuose mondialement connu a adoptés au cours de sa brillante carrière de soliste.Le village de Mörschied se trouve à l?ouest de Francfort-sur-le-Main dans la région surnommée Route allemande des pierres précieuses célèbre pour son industrie de la joaillerie. C?est pourquoi le compositeur a décidé de saluer cette province en intitulant son œuvre Diamond Concerto. Les trois mouvements sont chacun nommés d?après un diamant célèbre :1 EARTH STARDe caractère plutôt sérieux ce mouvement débute avec une fantaisie libre pour le soliste sur un accord statique de l?orchestre. Vient ensuite un Allegro Moderato en mode mineur où de courts motifs sont progressivement répétés et développés par l?orchestre et le soliste.2 OCEAN DREAML?on pourra entendre ici une variante d?un extrait de Music for Battle Creek incluant une mélodie lente et émouvante que le compositeur écrivit alors dans l?optique d?une future interprétation réalisée par Steven Mead.3 BLUE HEARTSuivant l?idée de Steven Mead ce mouvement est écrit dans un style de be-bop et prend la forme d?une valse jazzy. La partie centrale quasi-improvisée comprend un passage d?appel et réponse entre le soliste et les bois.Soliste: Difficulté 6Diamond Concerto est aussi disponible pour euphonium et piano (AMP 374-401) et euphonium et brass

Le Papillon qui tapait du pied-Rudyard Kipling (1865-1936) est l?un des plus célèbres écrivains de langue anglaise. Né à Bombay en Inde ce journaliste poète et romancier reçoit le prix Nobel de littérature en 1907. On lui doit notamment les célèbres ouvrages Le Livre de la Jungle (1894) Histoires comme ça (1902) et Kim (1901) entre autres. Rudyard Kipling a sillonné le monde glanant de-ci de-là des mots et des merveilles à raconter aux petits et aux grands. Aujourd?hui encore ses Histoires comme ça enchantent par leur drôlerie et leur poésie ; de délicieux récits d?animaux entre l?Inde et l?Afrique initialement écrits pour sa fille Joséphine qui mourut en 1899 des suites d?unegrippe.Le Papillon qui tapait du pied est un des douze contes du recueil Histoires comme ça. Maxime Aulio s?en est inspiré pour créer une œuvre qui s?inscrit dans la tradition de l?impressionnisme musical français. Le saxophone baryton solo incarne le Roi Salomon fils de David ; les flûtes jouent le couple de papillons ; une clarinette est la Reine Balkis - la Sage Balkis de Saba - tandis que les trompettes et les cornets représentent les Djinns. Les personnages évoluent dans un décor orchestral merveilleux à l?image des jardins et du palais du Roi Salomon. / The Butterfly That Stamped (Le Papillon qui tapait du pied) est une œuvre de commande pour la Fédération Musicale d?Auvergne (France) avec le soutien du Conseil Régional d?Auvergne à l?occasion du 10e anniversaire de l?Orchestre Régional d?Harmonie École. L?œuvre a été donnée en création le 30 avril 2006 au Théâtre Municipal d?Aurillac. L?Orchestre Régional d?Harmonie École d?Auvergne était placé sous la direction de Claude Kesmaecker avec en soliste Alexandre Doisy saxophone baryton.

Cette ouverture festive du compositeur autrichien Thomas Doss né de père allemand évoque les liens d?amitié qui unissent l?Allemagne l?Autriche et les pays limitrophes. Dans cette période d?échanges et de coopération l?esprit européen doit s?inscrire dans un esprit de tolérance et d?ouverture envers les identités et cultures nationales. La culture européenne est unique parce qu?elle est plurielle. Et s?il importe de ne pas oublier les entraves du passé il est nécessaire de veiller à ce qu?elles n?obscurcissent ni le présent ni l?avenir. Maints fantômes traversent le développement de cette œuvre dont celui d?un grand maître de la musique classique. Son nom n?est pasmentionné explicitement mais son originalité musicale se cache dans l?esthétique sonore du Romantisme. Sa présence est furtive sa silhouette impalpable il vagabonde puis s?évapore dans les motifs rapides de l?Allegro. Il est néanmoins plaisant de partir à sa recherche et de saisir son ombre.

Cette ouverture est une œuvre de commande pour la Pfarrkapelle Schwarzenbach en Allemagne à l?occasion du 50e anniversaire de sa création. Le titre anglais dérive du nom allemand Schwarzenbach signifiant littéralement « ruisseau noir » [de schwarz « noir » et Bach « ruisseau »]. Cette pièce fluide et légère est un hommage à toutes les associations musicales qui continuent d?exister dans de nombreux villages en dépit de la vaste diversité de l?offre dans le domaine des loisirs actuels. Ces associations proposent une activité unique et incomparable par sa richesse : la pratique musicale qui réussit à réunir la jeunesse et tous ceux qui ont su rester jeuned?esprit. Ces associations sont le fondement des activités culturelles qui enrichissent et donnent des couleurs à la vie.

In 1938 Shostakovich composed his Second Jazz Suite at the request of the recently founded State Orchestra for Jazz conducted by Victor Knushevitsky.This suite was originally scored for a complete symphony orchestra to which four saxophones an accordion and a guitar had been added. The Jazz Suite no. 1 in three movements composed in 1934 had been written for a smaller ensemble. The title 'Jazz Suite' is rather misleading as the composer definitely uses the style of light music. Back in 1928 the twenty-two-year-old Shostakovich had already composed some light music.A bet among friends to make an orchestration of the popular song 'Tea for Two' in less thenone hour time caused him to compose 'Tahiti Trot'. Shostakovich easily won the bet as he completed the original and witty arrangement within only forty minutes!

Zeppelin Symphony (Symphonie « Zeppelin ») est une commande de la ville de Friedrichshafen (Allemagne) à l?occasion du Centenaire de la Fondation Zeppelin.De tous les dirigeables rigides le zeppelin est celui qui rencontra le plus de succès. Il tient son nom du comte Ferdinand von Zeppelin qui en initia la construction. De 1900 à 1940 le zeppelin fut utilisé pour le transport de passagers et à des fins militaires. Contrairement à d?autres types d?aéronefs les zeppelins ont connu un tel engouement que le nom « zeppelin » finit par désigner tous les aérostats de type dirigeable rigide et plus généralement tout ballon dirigeable. Le premier mouvement décrit leformidable esprit d?entreprise d?un homme à l?esprit visionnaire. Les mesures de fin brossent un large portrait du comte von Zeppelin qui voit en songe son dirigeable flotter au-dessus de lui.Avec le second mouvement nous pénétrons au cœur d?un hangar à dirigeables. La construction d?un tel engin volant suscite un immense enthousiasme des gens impliqués dans ce projet. Mais le passage central est plus sombre ; on sent les esprits résignés l?appréhension d?un échec l?éclatement de la guerre plusieurs accidents surviennent mais les hommes sont tenaces et persévérants. Ils poursuivent leur rêve : construire un immense « cigare volant ».Dans le troisième mouvement le zeppelin décolle enfin. Léger et en silence le dirigeable flotte dans le ciel. Après un long voyage on le voit s?approcher de plus en plus. Au sol les gens s?affairent. La joie est immense. Le zeppelin a jeté un nouveau pont entre les peuples et nations.Dans le quatrième mouvement l?Europe est en guerre. Le dirigeable rôde dans le ciel de Londres. Il sème la panique et la terreur sur la ville. Le géant des airs semble venir d?un autre monde projetant son ombre menaçante sur des événements de guerre. L?Europe est anéantie. Avec elle disparaît le symbole de l?industrie du dirigeable.Le finale de l?œuvre raconte l?histoire d?une renaissance. Le dirigeable renaît

from the musical Daens-Le film « Daens » tout comme la comédie musicale du m?me nom est basé sur le livre unanimement acclamé de Louis Paul Boon qui est sans doute avec Hugo Claus le plus grand écrivain de la Flandre d?après-guerre. Boon était originaire d?Alost et était un homme du peuple pas un universitaire commettant de la littérature depuis sa tour d?ivoire. Il savait comme personne tâter le pouls de l?homme de la rue et ses descriptions de personnages mettaient invariablement dans le mille.Comme dans la plupart de ses autres livres Boon a pris pour Priester Daens sa chère ville d?Alost comme point de départ d?une épopée sur la justice et l?injustice sur la vie et la mort. Il nousreplonge dans l?Alost de 1900 et nous immerge dans la vie rude et sans issue de la classe ouvrière. Un homme seul engage la lutte contre l?immense injustice de l?époque. Cet homme c?est l?abbé Daens.Lors de l?adaptation du livre au grand écran le réalisateur Stijn Coninx est resté très fidèle à Boon. Cependant il ne s?est pas concentré uniquement sur le Daensisme mais davantage sur la pénible vie du milieu ouvrier. Il a magistralement réussi à faire revivre la réalité du tournant du siècle.InjusticesLa comédie musicale Daens nous ramène à Alost en 1888. Après un conflit avec l?év?que Stillemans l?abbé Daens retourne dans sa ville natale Alost. Il s?installe chez son frère Pieter Daens l?éditeur du journal Het Land van Aalst (Le Pays d?Alost). La ville provinciale est également devenue le nouvel habitat des campagnards qui ont fui la pauvreté m?me s?ils n?ont fait qu?échanger un environnement misérable pour un autre. En tant qu?ouvriers du textile ils travaillent 6 jours par semaine entre 10 et 12 heures par jour. Lorsque l?industriel local Borremans licencie la moitié des ouvriers de son usine la misère ne fait qu?empirer. L?abbé Daens se sent très concerné par la souffrance des ouvriers. Il fait la connaissance de Nette Scholiers qui n?a que 17 ans mais subvient déjà aux besoins de toute une famille. Daens ne peut pas rester sans rien

De nombreux chefs on ajouté une excellente routine à leurs séances de répétition en effectuant un travail préliminaire sur le son. Certains utilisent un choral d?autres choisissent une pièce solennelle du répertoire profane. Après avoir effectué ce travail préliminaire la répétition suit son schéma habituel : l?étude des œuvres au programme.Si vous souhaitez développer la structuration rythmique de votre formation chaque semaine insérer une étude de rythme après la phase de travail du son.Rhythmic Warm-ups (?Échauffement rythmique?) contient une série d?exercices efficaces pour toutes les formations quel que soit le niveau. En combinant les 10 pièces à cinqvoix (A à J) avec les 36 motifs rythmiques vous disposez de 360 exercices de rythme. Pour élargir votre champ d?action il vous suffit d?attribuer un motif rythmique différent à chacune des cinq voix (1-5). Si la ligne de basse (voix 5) joue un rythme unique les exercices se transforment en de petites pièces harmonieuses. Il est également possible de combiner les cinq voix avec des rythmes de votre choix (des rythmes extraits d?œuvres au programme par exemple).En exploitant des motifs rythmiques en croches régulières et des motifs en croches irrégulières (swing) vos musiciens se familiariseront avec toutes les facettes rythmiques de la musique pop. Le fait de disposer d?un même motif rythmique en 4/4 et en 12/8 permet de développer le sens du swing (même chez les musiciens les plus classiques !) en quelques séances seulement. La percussion peut accompagner les motifs rythmiques 1 à 24 avec des rythmes pop ou latino-américains à condition de jouer ces rythmes en croches régulières. Les motifs rythmiques 25 à 36 doivent être soutenus par un « groove » swing. Plusieurs exemples de motifs pour la percussion ont été insérés.Il est conseillé de terminer chaque exercice avec un point d?orgue (une ronde).Je vous souhaite à vous et à vos musiciens une pleine réussite et beaucoup de satisfaction dans l?utilisation des Rhythmic

dall' opera 'Un Ballo in Maschera'-Pour la création du premier livret d?Un ballo in maschera (Un Bal masqué 1859) Giuseppe Verdi s?est inspiré du grand-opéra de Daniel-François Auber Gustave III ou le bal masqué représenté pour la première fois à Paris en 1833 et dont l?intrigue relate un fait historique : l?assassinat de Gustave III roi de Suède.Mais lorsque Verdi soumet son livret à l?opéra de Naples la censure lui impose d?importantes modifications. Les exigences de la censure napolitaine sont si nombreuses que Verdi se montre intransigeant. Il refuse de modifier le livret et quitte Naples. Cependant il cédera aux exigences des autorités de Rome et acceptera de transposer l?action de Stockholmà Boston et de changer l?identité des personnages principaux. Gustave III devient Riccardo Comte de Warwick Gouverneur du Massachusetts.L?Acte II s?ouvre sur un prélude très court introduisant la scène au pied du gibet. En quelques mesures seulement Verdi réussit à nous offrir à travers une prière d?espoir un brillant condensé de la tourmente intérieure qui habite les protagonistes.

Cette pièce est construite sur un enchaînement de différentes mélodies à caractère celtique. En effet, ayant été passionné très tôt pour ces musiques, j'ai voulu composer une pièce dans cet esprit. Celtic suite débute avec 'les brumes du Loch ness', qui nous fait traverser la mystérieuse Ecosse. Un tapis sonore d'arpèges de claviers, de tenues de clarinettes et battements de timbales, soutient une délicate flûte se perdant dans le brouillard...Sur 'les crêtes Vosgiennes' étaient installés des temples celtiques dédiés au soleil aujourd'hui disparus. Cette partie construite sous la forme d'un choral y fait allusion par son coté mystérieuse et majestueuse.Dans 'le pub de Dublin' on joue de la musique presque en continu. Les musiciens se succèdent et font danser les gens, apportent joie et bonne humeur lorsque les éléments se déchaînent au dehors. Et un des rythmes de danse fétiche des Irlandais est la 'Jig'. Il s'agit d'une rythmique en 6/8 ternaire. Celui-ci est très entraînant et les musiciens qui jouent ces mélodies savent qu'elles sont très virtuoses! Votre orchestre aura toute la joie de danser sur ce thème enlevé!Notre voyage continue en ' terre Bretonne', haut lieu de la culture Celtique en France, où les danses étaient également chantées, un meneur chantait une phrase qui était répétées par tout le monde. Dans celtic suite, se sont les instruments qui se répondent pour styliser cette tradition.La pièce se finit en Galice, terre Espagnole au bord de l'océan Atlantique. 'Les côtes de Galice' proposent un rythme plus syncopé accompagnant une nouvelle mélodie où les percussionnistes peuvent y exprimer tout leur talent! Une coda pleine d'espérance, plaidant pour le rapprochement des peuples, ponctue cette pièce très entraînante.Nomenclature :Flûte 1 - 2HautboisClarinette 1 SibClarinette 2 - 3 SibSaxophone alto 1Saxophone alto 2 - 3Saxophone ténorSaxophone barytonTrompette 1 SibTrompette 2 - 3 SibCor 1 - 2 en FaTrombone 1Trombone 2 - 3BarytonBassePianoClaviers de percussionBatteriePercussionTimbalesParties optionnelles :Cor 1 en MibCor 2 en MibBaryton Bb (clé de Fa)Basse Bb (cle de Fa et clé de Sol) / Orchestre D'Harmonie