Par DUFOURT HUGUES. Le titre choisi pour cette oeuvre est tiré de Vents (1945), le second recueil de poèmes américains de Saint-John Perse. Paul Claudel, qui publia en 1949 une mémorable analyse de Vents, décrit ce poème comme une épopée primordiale dont le thème est la 'poussée en avant'. Incontestablement, ce poème de l'ébranlement, de l'élan créateur, dessine en filigrane la physionomie spirituelle de l'Amérique, où se mêlent de manière inextricable démesure, violence, mélancolie, exil et arrachement. Mais ce que nous disent essentiellement le vent d'Ouest et l'embrasement du Couchant exprime une aspiration à l'ouverture, à des horizons nouveaux, immenses, entremêlés et partagés. Vents est une invocation à la route, à la quête errante, à la course éternelle. Perse est un poète de la civilisation, un artisan de l'histoire universelle, non le chantre ou l'apologiste de l'hémisphère occidental. Il rejoint Varèse sur ce point. 'au plus haut faîte de l'instant': moment de la résurgence du monde. Moment tragique et sublime de l'abolition des formes et de l'émergence d'une nouvelle matrice. L'homme est porté de plus en plus haut par 'ce même mouvement de grandes houles en croissance' qui menace sans cesse de l'engloutir. La poésie de Perse se refuse à la fragmentation, dans laquelle il voit l'expression des formes modernes de la vie aliénée. La continuité, dans le domaine même de la poésie, est un enjeu et un combat. Le vent symbolise et illustre ce puissant courant de sensibilité issu des profondeurs. Il en va de même en musique. Les ressources de la forme, les effets de forme sont aujourd'hui épuisés et ne donnent plus lieu qu'aux manifestations d'un rationalisme étroit, provincial et ratiocinant. L'informatique retarde ce phénomène officiel de sclérose mais ne le guérit pas. Le style spasmodique et la syntaxe fragmentaire de la musique d'avant-garde de ces cinquante dernières années ont vécu. Ce Concerto pour Hautbois et Grand Orchestre ne retient rien des formes du passé, même récent. On y rencontre un échange permanent entre l'homme et les éléments. L'orchestre est converti en un très grand vent, en une houle perpétuelle, voire une forêt tropicale. Le soliste est invité à se frayer son chemin au sein du tumulte des puissances élémentaires. Ce parcours incertain est à l'image des conditions de vie de notre époque, dont l'issue est le plus souvent fatale et dont le caractère 'épique' ignore le devoir de mémoire et la geste des héros. Ce Concerto est une commande de l'Orchestre Symphonique National de la RAI. Ecrite pour Francesco et Emilio Pomárico, qui en assurent la création, cette oeuvre leur est dédiée. Hugues Dufourt / contemporain / Répertoire / Hautbois et Orchestre

for Oboe and Orchestra-Oboe Concerto In C Major K.314.Oboe Solo Oboe (2) Horn (2) Violin (2) Viola Violoncello Double bass.The New Mozart Edition offers researchers a musicologically unimpeachable text based on all the available sources (first and foremost Mozart's autograph manuscripts). At the same time it also serves as an aid to authentic performances.The Barenreiter Urtext study scores are a prime example of how Barenreiter takes a musical text and transfers it into a practical format.The Barenreiter Urtext Study Scores format 16.5 x 22.5cm are ideal for musical analysis rehearsal purposes and even conducting. The Study Scoresare distinguished by high quality paper and binding as well as an excellent layout.In this way masterworks of musical history are made available as compact sized scores at extremely affordable prices!

Although I never had any 'official' lessons with him, Heinz Holliger has become and will always remain a lifelong teacher to me. And we have developed a friendship that started 10 years ago, in Davos, where he heard me playing Robert Schumann's Fantasiestücke Op. 73 for the first time. Since then, we have performed together countless times, stood on (and behind) the stage, discussed, philosophized, made jokes. May this exchange never cease! The next occasion will be the World Première of my Oboe concerto which I dedicate to him in sincere friendship. Jörg Widmann / Hautbois Et Orchestre

Oboe Part-John Tavener's Kaleidoscopes is a tribute to Mozart for Solo Oboe Percussion and four String Quartets lasting approximately 30 minutes. The work was commissioned by the Britten Sinfonia and firstperformed by them with soloist Nicholas Daniel on 6th November 2006 at the Queen Elizabeth Hall London. This is the Solo Oboe part. In the composer's note Tavener explains his high regard forMozart and how in Kaleidoscopes he attempts to take Mozart's music and meditate upon it in four main cycles. He states that all the music has its source in Mozart whether it be rhythmic harmonic orcontrapuntal. 

This is a wonderful Concerto for Oboe by inspirational American composer Elliot Carter. The piece was commissioned by the conductor of the Basel Chamber Orchestra Paul Sacher. Sacher commissioned for Swiss oboist and avant-garde composer Heinz Holliger. Holliger premiered it in June 1988 in Zürich Switzerland with the Collegium Musicum.

Par RIMSKI-KORSAKOV NIKOLAI. This edition is an edited version with some changes in the orchestration: a bass clarinet and a euphonium were added to replace some of the instruments in the original Russian military band such as the Bassetti in B flat and the Corno basso. This is a great piece to feature a member of the ensemble or a guest soloist. / Niveau : Difficile / score and parts / Répertoire / Hautbois ou Saxophone Soprano et Ensemble de Vents

Un concerto solo typique de l'école de Mannheim, qui a contribué au fait que ce nouveau style a été répartis dans le monde par le compositeur et célébré virtuose du hautbois Lebrun. Ce travail convainc par passages mélodieux et virtuoses. / Hautbois Et Orchestre

Un concerto solo typique de l'école de Mannheim, qui a contribué au fait que ce nouveau style a été répartis dans le monde par le compositeur et célébré virtuose du hautbois Lebrun. Ce travail convainc par passages mélodieux et virtuoses. / Hautbois Et Orchestre

Traces in Spaces for Oboe and Orchestra by Sunleif Rasmussen. First performance by Henrik Skotte (oboe) and Odense Symphony Orchestra conducted by Eva Ollikainen October 30 2015.