Bertold Hummel a travaillé sur son Adagietto pendant de nombreuses années. Initialement conçu comme une élégie pour les chaînes en 1965, il a été transformé en un Adagietto pour sextuor à cordes en 1978 et publié pour la première fois en 1993. Hummel a entrepris un autre arrangement de la composition en 1999 et a participé avec des amis musicales dans sa première performance. Dans l'une des partitions, le titre est complété par le terme and ldquo - sacrale and rdquo-, une indication du contexte religieux de cette composition. ' Dans un moment de laïcisation croissante, la créativité et sans doute aussi l'artiste capables de se reproduire ont la tâche de soulignant à leurs contemporains la transcendantale, l'inexplicable et impossibles au prouver. Le langage de la musique - plus efficace peut-être en atteignant par-delà les frontières du monde - a un rôle particulièrement important dans ce. Représentations de souffrance et d'horreur seule ne peut pas être la constituante inhérente d'une oeuvre d'art. Une référence de confort et d'espérer est indispensable. En outre, la vie, de la nature... / Sextuor A Cordes

180 battements par minute' est né en 1993, peu de temps après mon école. Alors très à la mode 'Nuits Techno' m'ont inspiré pour faire ce morceau. Un élan rythmique et un changement permanent dans l'impulsion chasse à la vitesse supérieure (180 battements par minute) sur. L'condense la structure dans une étude d'une corde qui varie en principe tout au long du morceau, mais dans son matériel audio reste inchangé. Jusqu'à ce que finalement la pièce condense en un canon de six parties, qui se déplace de la première à la troisième violon et violoncelle il oscille entre tierce majeure et mineure, le travail ne sera pas plus qu'elle ne l'est -. pur plaisir du rythme lui-même - Jörg Widmann, Août 2012 / Sextuor A Cordes