Par CORELLI ARCANGELO. / Répertoire / 2 Flûtes à Bec Alto, Cordes et Basse Continue

Par CORELLI ARCANGELO. / Répertoire / Cornet, 3 Trompettes Sib, Cor, Tuba, 3 Trombones e

Concerto grosso VIII Com­po­si­teur: Corelli, Arcangelo Edi­teur: Michel, Winfried Ins­tru­men­ta­tion:2 flûtes à bec altos, cordes et basse continue Édi­tion: Partition et parties

Peut-être les plus connu et les plus joué travaux de Corelli, répertoire standard de chaque violoniste, dans un arrangement pour orchestre à cordes. / Orchestre A Cordes

Peut-être les plus connu et les plus joué travaux de Corelli, répertoire standard de chaque violoniste, dans un arrangement pour orchestre à cordes. / Orchestre A Cordes

Victoria Maesta-Muffat pupil of Lully and Corelli composed his concerto ?Victoria Maesta? (?Sad Victory?) in 1689 as organist and chamber musician in the court of the archbishop of Salzburg. The title refers to the taking of Belgrad during which the archbishop?s brother was killed in 1688; therefore the piece begins with a solemn funeral march in C minor in elaborate and artistic contrapuntal technique in the sense of Corelli?s adagio type.

Muffat, élève de Lully et Corelli, composé son concerto 'Victoria Maesta' ('victoire triste') en 1689, organiste et musicien de chambre à la Cour de l'archevêque de Salzbourg. Le titre fait référence à la prise de Belgrade au cours de laquelle le frère de l'archevêché a été tué en 1688 - donc la pièce commence avec une marche funèbre solennel en ut mineur, dans la technique du contrepoint élaborée et artistique dans le sens de type adagio de Corelli. / Orchestre A Cordes

Arcangelo Corelli Antonio Vivaldi Jean-Sébastien Bach et bien d?autres encore ont exercé une influence majeure et durable dans le développement de la musique baroque. Leurs œuvres sont toujours plébiscitées par le public. Bald Wyntin a rassemblé quelques œuvres majeures du répertoire baroque pour en faire une œuvre originale et surprenante. Let?s rock-baroque !

Présentation Jean-Marie Leclair est le plus éminent représentant de l?école française de violon du XVIIIe siècle. Cette nouvelle publication en partition des Editions du Centre de musique baroque de Versailles propose à tous les violonistes, mais aussi aux ensembles, spécialistes ou non de ce répertoire, de jouer ses concertos, véritables manifestes d?une virtuosité instrumentale au service du goût musical français. Jean-Marie Leclair naît à Lyon en 1697. A partir de 1722 il effectue plusieurs voyages dans le Piémont, où il sera en particulier l?élève de Somis qui lui transmet l?enseignement du fameux Corelli. Cette rencontre, déterminante pour le compositeur, lui fait embrasser une carrière de soliste. Sa virtuosité, toujours au service de la musique, bouleverse entièrement la pratique violonistique en France, créant une véritable école. De 1728, où démarre sa carrière au Concert Spirituel à Paris, jusqu?à son assassina en 1764, il n?aura de cesse d?écrire et de jouer, que ce soit pour son instrument ou dans des ?uvres ambitieuses. Ce concerto pour violon et orchestre op. VII n°5, probablement des années 1737, est en la mineur. En trois mouvements (Allegro, Largo, Allegro assai), il dure environ un quart d?heure. A la façon d?un concerto grosso, un ?Violino concertino? alterne la direction de l?orchestre et de larges passages solo. L?orchestre est constitué de deux parties de violons, une partie d?alto, une partie de basse et d?une basse continue. Généralités Période : baroque Genre : profane Contenu Introduction (langue) : français Musiques : Concerto pour violon et orchestre op.VII n°5

It was the Weihnachtskonzert (Christmas concerto) in C major that won special popularity continuing a tradition which was cultivated by Corelli with his pastoral at the end of Op. 6 No. 8 or by Torelli in his Op. 8 No. 6 and reaching to the pastoral in Händel's Messiahs and to the sinfonia in the second cantata of Johann Sebastian Bach's Christmas oratorium. This finally originates from the music-making of shepherds - coming from the Abruzzi and from Calabria to Rome at Christmas to play the shawm and the bagpipes in front of the cribs. Hence the popular consecutive thirds and the sustained bass tones characterizing the first Largo a genuine siciliano in the rocking typically dotted 12/8 time.

For the six concertos that make up the second part of the Op. 4 Locatelli prescribed eight parts: Violino Primo Secondo Alto è Violoncello Soli. Violino Primo Secondo Alto è Basso Ripieni. The use of such forces immediately reminds one of the Corellian concerto grosso to which Locatelli contributed also in his Op. 1 7 and 9. But though the instrumentation used in this set seems to feature a clear opposition between the concertino (with solo parts) and the ripieno (with parts that can be doubled) we here encounter a group of works that are very varied in form instrumentation and structure. Taken as a whole the concertos of the Op. 4 ideally exemplify thedevelopments of Italian Baroque instrumental music: they reveal the close kinship between the concerto grosso and the sonata (as in Concerto X); they also show the derivation of the solo concerto from the concerto grosso; and there are even hints of thematic development and tripartite structures. Also featured are dynamic markings and other performing indications that were rare for the period and show increasing attention to the precise definition of sonorities.