« La plupart des traditions de Noël en Angleterre sont relativement récentes. Montée sur le trône en 1837 la reine Victoria (née de Hanovre) régnera jusqu?à sa mort en 1901. En 1840 elle épousa son cousin le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha. Leprince consort originaire d?Allemagne importa bon nombre de traditions de Noël allemandes au Royaume-Uni. Ainsi il fit découvrir aux Anglais la coutume du sapin et les cartes de Noël entre autres contribuant largement au Noël typiquement anglaistel que nous le connaissons aujourd?hui.Bien que les chants de Noël font l?objet d?une longue tradition en Angleterre de nombreuses mélodies que nous chantons proviennent ducontinent européen ou des États-Unis. Je savais bien que le célébrissimeSilent Night (Douce nuit) était d?origine autrichienne et que Hark the Herald Angels Sing (Écoutez le chant des Anges) était d?origine allemande. Pourtant quelle ne fut pas ma surprise d?apprendre qu?Away in a Manger (Sur la paillefraîche) ou encore We Three Kings nous venaient des États-Unis et que Ding Dong Merrily on High était un noël d?origine française. Quoiqu?il en soit j?ai réussi à constituer un canevas de mélodies anglaises pour réaliser cefestival de chants de Noël. »Philip SparkeRemarques sur l?interprétation : Cet arrangement est adapté pour une interprétation avec ou sans Ch?ur. S?il est joué par un Orchestre d?Harmonie seul les parties vocales seront doublées par des partiesinstrumentales.Les tempi indiqués correspondent à une interprétation par un Orchestre d?Harmonie seul. Si l??uvre est donnée avec un Ch?ur il est sans doute nécessaire de baisser le tempo en fonction du nombre de choristes et del?acoustique du lieu de concert.Les parties de Ch?ur (en anglais) sont disponibles séparément (Réf. : AMP 227-050).

Zodiakus ~ Zodiaque ~ Dierenriem-Compact Band Series :Cette nouvelle collection propose une série d?œuvres de tous styles dans un degré de difficulté restreint (2-21/2 ). Le choix d?une instrumentation élargie a permis d?obtenir une excellente homogénéité entre les pupitres et de belles couleurs sonores. Ces œuvres sont dont accessibles à la fois aux formations incomplètes ainsi qu?aux formations complètes grâce aux parties optionnelles incluses dans le set./ ZODIAC : Le zodiaque est la zone de la sphère céleste dans laquelle on peut voir à partir de la Terre les mouvements du Soleil de la Lune et des huit planètes principales du système solaire. Le zodiaque désigne aussi l'ensembledes douze divisions (constellations) de cette zone associées à douze figures (signes) employées en astrologie. Étudiée depuis des millénaires l?astrologie postule que le caractère la personnalité et tous les secteurs de la vie d?un individu (bonheur amour santé travail) sont déterminés par la position des planètes au moment de sa naissance. Tout est lié tout se tient.Le compositeur a choisi de tracer un portrait de quatre signes zodiacaux (Taureau Scorpion Verseau Lion) en fonction des caractéristiques psychologiques qui leur sont attribuées.1. Taurus:Le natif du Taureau est un être pondéré consciencieux volontaire et persévérant. Il aime les bonnes choses de la vie.2. Scorpio: De nature passionnée résolue et observatrice le natif du Scorpion est entier.3. Aquarius:Le Verseau est un être indépendant au goût exagéré pour la démesure. Il est imaginatif et libre jusqu?à l?indiscipline.4. Leo :Le natif du Lion s?impose par sa personnalité optimiste et impressionnante. Il est sûr de lui plein d?assurance et sans complaisance.4. Leo :Le natif du Lion s?impose par sa personnalité optimiste et impressionnante. Il est sûr de lui plein d?assurance et sans complaisance.

Cette symphonie est l?œuvre la plus éloquente du compositeur espagnol Teo Aparicio-Barberán. L?édition 2002 du Certamen Internacional de Bandas de Música - Ciudad de Valencia (Concours International d?Orchestres d?Harmonie - Ville de Valencia Espagne) l?un des plus prestigieux concours d?Europe marqua sa première création en présence d?un auditoire. Tout au long de ce morceau en trois mouvements le compositeur utilise un langage moderne associant instrumentation sonore et sections rythmiques impressionnantes. La Symphonie n° 1 Asgard est inspirée d?une histoire retraçant une romance scandinave....là où le paysage est couvert de fleurs en cette saison empreinte dedouceur lorsque le printemps est en passe de faire place à l?été. Ses champs ressemblent à un tapis d?herbe tendre (où paissent des troupeaux de vaches et des moutons laineux) et ses forêts abondent en majestueux cervidés et oiseaux aux chants mélodieux à l?abri d?une infranchissable muraille constituée de blocs de pierre juxtaposés. Un mur d?enceinte impossible à franchir si ce n?est à la grâce d?Odin. Car c?est là que siège Odin sur son trône de High Nest dans le Val-Hall et observe tous les habitants de son royaume.

Always Look on the Bright Side of Life est la célèbre chanson extraite de La Vie de Brian troisième film culte de la troupe des Monty Python. Ce long-métrage offre une vision parfaitement corrosive des mécanismes de la passion religieuse ou politique. L?humour noir y règne en maître particulièrement dans la scène finale où Brian crucifié par erreur entonne un joyeux refrain invitant ses co-crucifiés à voir les bons côtés de la vie ! L?arrangement de Stefan Schwalgin reste fidèle au message (positif) de la chanson.

Pour célébrer son 85e anniversaire l?Harmonie Municipale de Forbach (1923-2008) a passé commande d?une œuvre au compositeur autrichien Otto M. Schwarz. Réputé pour ses grandes fresques historiques Otto M. Schwarz a choisi de créer un portrait musical d?un des personnages les plus célèbres et les plus controversés de l?histoire de France : Napoléon Bonaparte. Fidèle à son style d?écriture hautement descriptif et expressif Otto M. Schwarz livre une œuvre dont l?esthétique la structure et les lignes mélodiques s?apparentent aux caractéristiques de la musique de film. De l?Histoire avec un grand H nous passons à la musique avec un grand M. Né à Ajaccio en Corse le 15août 1769 Napoléon acquiert une notoriété aujourd'hui universelle pour son génie militaire et politique. Général puis Premier consul il se fait sacrer Empereur des Français en 1804. Napoléon met en place de nombreuses réformes de l?État dont certaines sont encore en vigueur aujourd?hui telles que le principe de la liberté religieuse et la séparation de l?Église et de l?État. Ses campagnes militaires et guerres (Italie Espagne Égypte Pays-Bas etc.) ont redessiné une nouvelle carte européenne. La désastreuse campagne de Russie et la bataille de Leipzig (contre une coalition européenne réunissant la Russie la Suède la Prusse et l?Autriche) marqueront la fin du règne napoléonien. Il abdique à Fontainebleau le 6 avril 1814 et est envoyé en exil sur l?île d?Elbe en Méditerranée. Mais le 1er mars 1815 l'empereur déchu qui n?a jamais renoncé au pouvoir rejoint le continent puis Paris et instaure un régime constitutionnel connu sous le nom des Cent-Jours. Réunie au Congrès de Vienne la coalition européenne formée par la Russie la Prusse le Royaume-Uni et l?Autriche décide d?intervenir militairement. Napoléon est définitivement vaincu le 18 juin 1815 lors de la légendaire bataille de Waterloo en Belgique. Il est déporté à Sainte-Hélène une petite île perdue au milieu de l'Atlantique Sud où il s?éteint le 5 mai 1821. Dix-neuf ans

Durant toute sa vie Yves Montand (1921-1991) a promené son regard de velours et son immense talent sur les scènes mondiales. Il fut le chantre du music-hall à l'ancienne digne héritier de Maurice Chevalier Édith Piaf et Charles Trénet. Dans son bagage artistique une prestigieuse carrière cinématographique et des dizaines de chansons. Né dans le village toscan de Monsummano Alto en Italie Ivo Livi est parti de rien pour arriver au sommet. Mais il n'oubliera jamais ceux d'en bas cultivant intelligemment conscience culturelle et conscience politique et sociale. En soixante-dix ans d'une vie bien remplie Montand est entré dans le panthéon de la culture française. AndréWaignein lui rend hommage à travers un medley de trois de ses plus belles chansons : C?est si bon Les Feuilles Mortes et À Paris.

« Jolly Roger » est le nom donné au célèbre et terrifiant pavillon pirate à tête de mort. Hissé peu avant l?abordage pour intimider l?équipage du bateau convoité il lui intimait l?ordre de se rendre sans résistance. Le pavillon noir est devenu un symbole de la piraterie cruelle mais aussi pleine d?aventures romantiques. Jolly Roger d?Armin Kofler raconte l?histoire d?un bateau pirate voguant en haute mer. L?ouverture est sereine ; la mer est calme. Mais le calme est trompeur c?est le calme avant la tempête. Le climat change la musique se fait plus sinistre. Le pavillon noir est hissé. Le bateau toutes voiles dehors file sur la mer quand soudain les piratesrepèrent une proie. Commence alors une poursuite dramatique chaotique et pleine de rebondissements. Après un passage puissant la musique dessine la fin du combat. Le « thème du pavillon noir » réapparaît et trouve sa conclusion dans un accord Majeur qui modifie complètement le décor : la menace pirate s?est enfin éloignée. La musique se focalise sur la fin heureuse de l?équipage du bateau abordé. On ressent un soulagement un signal d?apaisement. Les débuts sont hésitants fragiles ; le doute s?efface progressivement. Les marins finissent par comprendre que le danger est définitivement écarté. La ligne mélodique serpente vers le finale de l?œuvre dans lequel le thème principal légèrement modifié se présente sous une forme majestueuse.

L?Américain Duke Ellington (1889- 1974) a été pianiste chef d?orchestre compositeur et arrangeur et a connu un grand succès. Son orchestre existe depuis des dizaines d?années et a pu survivre grâce aux énormes tubes que ses collaborateurs et lui-m?me ont écrits. Bon nombre de ces titres font aujourd?hui partie du répertoire standard des jazzmen.Billy Strayhorn(1915- 1967) a rejoint l?orchestre en 1939 en qualité d?arrangeur et de compositeur et a notamment écrit Take the A- train qui dès 1941 devient la chanson favorite de l?orchestre. Il en existe d?ailleurs de nombreuses versions.Juan Tizol (1900- 1984 trombone à pistons) a joué aux côtés de Duke Ellington pendantpratiquement toute sa carrière et a composé des titres latin pour l?orchestre. Il est le co-compositeur de Caravan et Perdido.Tout comme dans les concerts originaux de Duke Ellignton le medley commence par take the A- train suivi par toute une série de classiques extraits du répertoire du légendaire orchestre. Certains titres laissent entendre des solistes avec en point d?orgue un solo de timbales sur C-Jam Blues. Ce solo peut éventuellement aussi ?tre improvisé.Quiconque travaille ce morceau se doit d?accorder une grande attention aux basses et percussions qui forment la section de rythme et poussent l?orchestre. Les autres sections doivent ?tre solides et créer un effet de swing cohérent. Le swing ne peut ?tre trop anguleux et peut varier d?un titre à l?autre. Dans ?In a sentimental mood? par exemple la mélodie peut ?tre jouée de manière quasi rectiligne (classique) tandis que la section de rythme maintient le swing.

« Jello... The Colours of my Soul » est une composition écrite en hommage à la mort prématurée et dramatique d?un jeune enfant. L?oeuvre est née des nombreuses conversations qu?ont eu le père et le compositeur le résultat final devant ?tre considérée comme une tentative du compositeur de traduire en musique les sentiments des parents.La première partie du titre « Jello » est la contraction des noms des deux enfants de l?homme qui a commandé le morceau à savoir Jelle et Lobcke « the Colours of my Soul » symbolise les « couleurs de l?âme » des parents qui malgré la perte de l?un de leurs enfants continuent à chérir leurs deux enfants. L?introduction recrée l?ambiance o? deuxparents pleurent la perte de leur enfant utilisant des quintes justes pour rendre la proximité avec la nature telle que nous la connaissons par les symphonies de Bruckner. Un peu plus loin l?auteur met en avant un aspect du premier thème qui se transforme en une véritable marche funèbre.Le Dies Irae tel qu?il se retrouve notamment dans la Symphonie fantastique de Berlioz (Fa Mi Fa Ré Mi Do Ré) apparaît pour la première fois mais constitue un fil conducteur à travers toute l?oeuvre pour symboliser la lutte constante entre la vie et la mort.Juste avant le passage de la temp?te (pour lequel l?auteur fait appel à une machine à vent) qui laisse présager un malheur des extraits de chansons enfantines accompagnés d?un choral crescendo depuis derrière le podium intensifient la confrontation imminente avec la mort. Après une longue introduction consacrée à la présentation des deux thèmes vient un passage rapide o? sont évoqués divers bons souvenirs. On raconte on rit on danse. L?une des précédentes chansons enfantines y est également citée. Mais le Dies Irae résonne sans cesse m?me si cette fois c?est de façon brève et rapide.Les éléments gais sont peu à peu déformés jusqu?à ce que le grave réapparaisse comme un mal inévitable que rien ne peut arr?ter.Tout s?intensifie comme si un grand climax allait suivre. A cet instant toutefois un très long

O Come All Ye Faithful-L?origine du cantique Adeste Fideles [Adeste Fidelis] reste un mystère. On mentionne divers noms de poètes. D?aucuns soutiennent qu?il s?agit d?un noël ancien inspiré d?une danse autour de la crèche. On pense également que Saint François d?Assise s?en serait servi pour sa crèche vivante. D?autres attribuent son origine à Saint Bonaventure. Quoiqu?il en soit il est communément reconnu que les strophes ont été écrites ou découvertes par l?Anglais John Francis Wade. Adeste Fidelis (Ô peuple fidèle) est un des plus célèbres cantiques de Noël.

O Come All Ye Faithful-L?origine du cantique Adeste Fideles [Adeste Fidelis] reste un mystère. On mentionne divers noms de poètes. D?aucuns soutiennent qu?il s?agit d?un noël ancien inspiré d?une danse autour de la crèche. On pense également que Saint François d?Assise s?en serait servi pour sa crèche vivante. D?autres attribuent son origine à Saint Bonaventure. Quoiqu?il en soit il est communément reconnu que les strophes ont été écrites ou découvertes par l?Anglais John Francis Wade. Adeste Fidelis (Ô peuple fidèle) est un des plus célèbres cantiques de Noël.

Cascadia Suite est une promenade musicale aérienne au-dessus des montagnes majestueuses des lacs et cours d?eau d?une pureté cristalline et des paysages grandioses de la côte Pacifique Nord-Ouest du continent nord-américain. Le titre de l?œuvre s?inspire de la célèbre chaîne montagneuse des Cascades. La région qui l?entoure abonde en panoramas époustouflants forêts pluviales luxuriantes et paysages enchanteurs.Le premier mouvement intitulé Cascadia dépeint le décor côtier face à la mer avec des vues spectaculaires des îles-Gulf et des îles San Juan. Les dauphins s?amusent dans les vagues et les oiseaux volent dans le ciel. La vie sauvageest abondante. Le second mouvement porte le nom d?un petit bout de fôret magnifique situé sur l?île de Vancouver Cathedral Grove (La forêt cathédrale). À travers ce charmant poème symphonique vous découvrirez quelques-uns des plus vieux et plus grands arbres du monde. Le climat musical illustre à merveille l?atmosphère particulière qui émane de ce site exceptionnel. Le troisième et dernier mouvement intitulé Sea to Sky (?De la mer au ciel?) offre un survol de l?immensité de l?Océan Pacifique à la beauté sauvage du mont Whistler.

C?est petit coloré et terriblement bon ! Et encore plus merveilleux ça goûte l?enfance et ses douceurs. Si l?on ne connaît pas l?origine exacte des jelly beans (bonbons à la gelée) on sait que le procédé qui vise à faire durcir la coquille d?un bonbon tout en gardant l?intérieur bien mou a été inventé au XVIIe siècle par un certain Jordan Almonds. Se priver d?une telle explosion de saveurs serait renier l?enfant qui sommeille en soi. Allez-y sucrez-vous les babines !

La Vallée des Moulins (Haute-Autriche) est un lieu mystique. On raconte que dans cette vallée vivait jadis un moine en profond désaccord avec le comportement cupide et belliqueux des habitants qui exploitaient bassement les villages alentours. Un jour exaspéré par les incessantes violations de la loi morale le moine jeta un sort aux habitants de cette vallée prospère. Les rivières et les torrents s?asséchèrent ; la vallée s?appauvrit.Un jour un voyageur venu de loin se présenta dans le village. Il se mit à jouer de son cor et enseigna de nombreux chants aux habitants. Et c?est ainsi que le bonheur revint. Les habitants avaient décidément bien changé. Ils découvrirentalors que l?étranger qu?ils avaient accueilli était le moine qui leur avait jeté le sort. Les rivières et les torrents coulèrent à flots les moulins tournèrent à nouveau et la vallée retrouva sa prospérité d?antan.

Selon le philosophe allemand Johann Gottfried Herder « Les chansons populaires (?) sont les archives du peuple le trésor de sa science de sa religion de la vie de ses pères des fautes de son histoire. C?est l?expression de son cœur l?image de son intérieur dans la joie et les larmes (...) » Suite Marchigiana est un triptyque basé sur des chants traditionnels originaires des Marches une région d'Italie centrale qui cultive avec fierté les coutumes anciennes et son héritage riche en traditions.Le premier mouvement est inspiré d?une ancienne tradition de quête « La Pasquella ». Vers la mi-janvier des petits groupes de chanteurs-musiciens parcourent les villagespour présenter leurs vœux de bonne année. Leurs souhaits sont récompensés par des offrandes de nourriture de vin ou d?argent. Le second mouvement (Andante Triste) puise sa mélancolie dans le chant ancien Sona la mezzanotte (?Minuit sonne?) qui raconte des amours malheureuses l?absence ou la perte d?un être cher. Luciano Feliciani conclut sa suite avec Saltarello Marchigiano un air de danse pétillant et vif en opposition totale avec la texture du mouvement précédent. Il est plus ou moins communément admis que le « saltarello » (en français la salterelle) dérive d?une ancienne danse romaine appelée « saltatio ». Contrairement à la « chorea » une danse en forme de ronde basée sur une progression rythmique les « saltationes » sont plus vives de caractère. Le sémillant « saltarello » fut sans aucun doute l?expression musicale la plus connue dans l?Italie centrale rurale du XIXe siècle.