The New Essential Companion. Henrik Wiese, the internationally renowned orchestral and solo flautist, has spent four years compiling what promises to be the definitive guide to audition repertoire for students preparing for a seat in a professional orchestra. He has worked with his own students in Salzburg as they engaged in auditions, as well as with other professional players and his teaching colleagues at the conservatorium. He sourced repertoire lists from job advertisements past and present and referred to other audition lists such as those of Baxtresser and Wye. Considerable research has gone into the differences between existing editions of the chosen pieces even, surprisingly, from twentieth century composers such as Prokofiev and Stravinsky. 'The Flute Audition” then looks at practical matters such as page turns and metronome markings. Wiese comments, for example, that Hindemith's own recording takes a passage from 'Symphonic Metamorphoses” markedly slower than in the score. The result of all this painstaking research is the most comprehensive collection of international audition pieces yet published in a single volume. 'This is an excellent collection of orchestral excerpts for the next generation of young musicians. You can use it to prepare for auditions anywhere in the world. Whether it's for an opera house, symphony or chamber orchestra, everything you need is here.'/ Recueil / Flûte Traversière

Joachim Andersen (1847-1909) was a Danish virtuoso flautist and composer who travelled widely throughout Europe becoming one of the best concert flautists of his generation. He is best known today for his eight volumesof Etudes for Flute which he wrote throughout his career. They are still used by top professionals all over the world to improve their technique and musicianship. Twenty-Four Short Studies Op.33 is anessential volume for any aspiring Flute player.

Par DUFOURT HUGUES. Devenu sourd à l'âge de quarante-six ans, Goya a réalisé vers 1820 de mystérieuses fresques appelées Pinturas negras sur les murs de sa maison de campagne madrilène, la Quinta del Sordo. C'est sur ces 'tableaux noirs' que s'appuie la composition de La Maison du Sourd pour flûte et orchestre. Goya fut le premier artiste de son époque à refuser toute utilité publique et sociale à l'art. Il renonce aux fonctions d'embellissement et de transfiguration qui avaient été traditionnellement dévolues à la peinture et va jusqu'à rejeter l'idée même des règles de l'art. Goya a frayé une voie nouvelle en peinture, qu'il oriente de la réalité au rêve. En faisant de la peinture une sorte de sténographie des pulsions, Goya invente le style de l'esquisse. Goya reçut sans doute de Tiepolo le secret de son art. Celui-ci apprit à Goya l'univers enchanté, lumineux qui caractérise la culture de l'Europe pastorale de l'Europe du rococo. Il lui transmit les moyens techniques propres à rendre la texture des songes : précision, économie et légèreté de la touche, fraîcheur de la palette, limpidité cristalline du coloris, intensité lumineuse de la gamme chromatique. Tiepolo embrasse les nuées - ses fresques de plafond sont des prodiges perspectifs d'architecture feinte, avec des ciels mauves, des nuages rosés, argentés ou gris bleutés, qui se détachent d'un fond bleu azur ou vert pâle. Tiepolo accomplit la synthèse de toute la tradition décorative vénitienne qu'il transfigure dans des atmosphères insaisissables. Il s'échappe aussi dans l'univers intimiste de l'élégie mélancolique, parfois teintée d'amertume, qu'il confie à des petites toiles de chevalet, à des dessins et des eaux-fortes. Les Vari Capricci, gravés en 1740 et publiés par ses fils en 1775, les Scherzi di fantasia, série de vingt-quatre estampes qu'il exécute entre 1739 et 1757, découvrent un monde inquiétant qui annonce la violence sourde et la sombre irrationalité des Caprices de Goya. Goya avait commencé à peindre de vastes paysages lumineux, avec des bleus célestes et des verts juteux, sur les murs de sa maison de campagne qu'il avait achetée en 1819, aux portes de Madrid. Il vivait avec une femme encore jeune et séparée de son mari, la belle Leocadia Weiss - la Manola qui ouvre le cycle des peintures murales de la Quinta del Sordo -, et sa petite Rosario que l'on présume être la fille du peintre. Comment ces vastes paysages, d'une grandiose sérénité, composés à la manière du monde radieux de Tiepolo, ont-ils pu être ensevelis sous des alluvions de noir dense, de gris, de brun et de jaune terreux, qui sont celles des Peintures noires ? Nul ne le sait. Seules subsistent quelques tristes évidences : la lutte fratricide, la sauvagerie des instincts, les espoirs réduits à néant, la vie mutilée, la mort imminente. Ici, deux hommes déjà à demi enlisés dans les sables mouvants s'assomment à coups de gourdins. Là, une frise de sorcières accroupies, terrifiées, couvant un feu mauvais, acclament le Grand Bouc. Assise au fond, à droite, la Manola assiste impassible à la scène. Tout proche, c'est le Sabbat. Ailleurs, Asmodée : le démon du plaisir impur, le vol de la volupté fauché par une décharge de fusil. Judith et Holopherne : la vengeance féminine, la violence du désir inassouvi. Plus loin, deux femmes rient d'un homme à gorge déployée. Les Parques tranchent le fil de la vie. Saturne dévore ses fils. Un chien nage à contre-courant. On s'accorde à penser que les Peintures noires sont le geste d'amertume et de désespoir d'un homme qui voit l'Espagne sombrer définitivement dans le despotisme et la réaction. Mais il y a plus. Goya est le premier peintre du monstrueux et de l'abject. Il décrit la condition de misère d'une humanité qui recule d'horreur devant la mort, mais la préfère encore à la vie, dans la régression et le dégoût de soi. La folie des hommes tient moins à leur impuissance à s'émanciper qu'à leur refus de l'autonomie. Goya n'a jamais renoncé au rationalisme des Lumières ni aux thèmes de réflexion universalistes. Mais pour lui, la fin de l'art n'est plus de plaire et d'instruire, mais de témoigner d'un rapport essentiel de l'homme à lui-même, jusque dans la révélation de l'inéducable. Dans ma propre 'Maison du Sourd', j'ai évoqué, en première partie de l'oeuvre, ce rêve luministe, ce rideau de lumière qui évoque l'intensité et l'espace du monde radieux de Tiepolo, et dont le large panorama avait formé la toile de fond du premier projet des peintures murales de la Maison du Sourd. C'est une très longue plage suspensive où le soliste n'intervient pas. La seconde partie, qui laisse libre cours à la stridence de l'expression subjective, est au contraire dominée par le mélisme tourmenté et replié sur lui-même de la flûte. L'orchestre libère de l'énergie en même temps qu'il en accumule, à la manière d'une spirale qui ne cesse de se contracter et de se replier sur elle-même, jusqu'à l'étranglement final. Hugues Dufourt / Niveau : Difficile / contemporain / Répertoire / Flûte Traversière Solo

From The Four Seasons RV297 Op.8 No.4-Vivaldi's depiction of Winter here transcribed for Flute by James Galway. People shiver in the snow as the cruel winds pierce them. They run and stamp their feet to try and keep warm and their teeth chatter with the cold.Instead of going out they pass the day contented by the fireside as the rain pours down. When it stops they go out and tentatively walk on the ice slipping and falling but persevering. The ice breaks leaving wide cracks andwind howls around the doors. Such is Winter but it has its joys.

From The Four Seasons RV315 Op.8 No.2-Vivaldi's depiction of Summer is here arranged by for James Galway for Flute and Piano. It begins with begins with everyone wilting in the burning sun. The cuckoo dove turtledove and goldfinch sing loudly as the gentle breezessigh. The North Wind suddenly appears and a storm begins with fierce lightening and terrible thunder making a frightened shepherd weep in fear. Grain and fruit are destroyed.

Edited by David Greer70 partsongs by Michael Cavendish Robert Jones Francis Pilkington and John Bartlett are presented in four-part score with lute tablature and transcription.First published in 1987.

La référence FP 051 de l'éditeur Fertile Plaine dont l'auteur célèbre est Fourchotte Alain, qui a pour titre Prélude , a été écrite et composée pour Flûte Traversière et plus particulièrement pour Flûte Solo. Cette partition musicale appartient à la catégorie Classique. / Flûte Solo / Partition

Rumors is an unusual and adventurous collection of four pieces composed 1998-2000 for solo Flute player on various instruments. The first movement Trapset is for Alto Flute. The second movement The Heaven of Animals is for C Flute. Focus Group the third movement is for Piccolo. The fourth movement Bel Canto is for Bass Flute. Award-winning composer Harold Meltzer (b. 1966) isartistic director of Sequitor a New York new music ensemble.

Par GILLIAM DONA. Easy to intermediate Christmas solos scored for flute solo with piano accompaniment. Includes: Ding, Dong, Merrily on High - I Saw Three Ships - Silent Night and many more. The accompanying CD contains four full sets of piano accompaniments for all the pieces in the book. The first practice set is played at a slow tempo and the solo flute line is played on the piano. The second practice set is performed once again at a slow tempo, this time without the inclusion of the melodic line. The third performance set is played at a faster tempo, once again without the melodic line. This faster tempo is intended for use in both the practice setting and the studio performance setting. The fourth and final performance set contains non-stop accompaniment tracks and links all pieces in the book together to form a Christmas suite that can be played at recitals or festive gatherings. / Niveau : Débutant / Christmas - Solos / Recueil / Flûte Traversière

Studies & Pieces. Par DEHNHARD TILMANN. After Tilmann Dehnhard's award-winning 'The New Flute' was published, it was soon clear that a demand existed for further study material and concert pieces for flutebeatboxing. 'Flutebeatboxing - Studies and Pieces' is a follow-up to the fundamentals and basic techniques explained and demonstrated in 'The New Flute'. Beginning with easy exercises (bronze level) for mastering the basic, individual beatboxing sounds, these compositions progress through to concert level (Platinum). Together with four concert studies, familiar favourites are included: Summertime, Billie Jean, Black or White and Badinerie by J. S. Bach as well as 'beatbox classics': a collection of well-known melodies which are especially suitable for flute-beatboxing. • Comprehensive practice and performance material for the popular Flute-Beatboxing technique • The cool arrangements of Summertime, Black or White and Billie Jean will help you steal the show • Progressive programme of exercises and etudes from bronze level (easy) to platinum (concert) • This book complements the Fluteboxing chapter in Tilmann Dehnhard's much acclaimed Workbook & DVD 'The New Flute' (available as UE 35320) / Études et exercices / Etude / Flûte Traversière

20 Famous Tunes from Ireland-The most beautiful Irish dances jig reels hornpipes Carolan tunes and folsongs carry the reader away into the world of Irish music. The stylish arrangements are completed by information on the individual pieces on the styles and the culturalbackground. Complementing the 'Irish Flute Book' including accompanying CD is a volume for piano the keys of which have been adapted to the flute settings. Both volumes are ideal for music lessons and ensemble playing.Songs:Ballydesmond Polka The Lark in the Morning Johnnys Wedding Spancil Hill Sally Gardens Higgins Hornpipe Brian Borus March Carrickfergus Tripping up the Stairs As thomann I roved out Cait Ni Duibhir Valley of Knockanure Strayaway Child Youll never deceive me again Raggle Taggle Gypsies Four Green Fields Padraig OKeeffes Slide Blarney Pilgrim Lady Gethin CaptainOKain.

John La Montaine was already an accomplished concert Pianist when he came to public notice as a composer in the late 1950's. He won the Pulitzer Prize for music in 1959 for his First Piano Concerto and was commissioned to write the music for John F Kennedy's Presidential Inauguration in 1961. His sonata in four movements for unaccompanied Flute is dedicated to Paul Renzi who was principal Flute of the San Francisco Symphony Orchestra in 1957 when it was published. In his obituary of La Montaine in the New York Times Paul Vitello writes 'Mr LaMontaine's music was lyrical and for the most part traditional with a neo-Romantic streak reflected in hisembrace of poetry American themes and the natural landscape.'

36 Works-The early music specialist and flautist Annabel Knight presents the first in a series of four volumes dedicated to flute music from the Baroque period. Featuring 36 beautiful pieces scored for flute and keyboard accompaniment this collection includes works by well known figures such as Bach Handel and Rameau as well as lesser-known and rarely available pieces from a range of other composers. Suitable for students of c.2-3 years of playing experience this book includes composer biographies and teaching notes on each piece together with a CD recording of all works performed by Annabel Knight and Robin Bigwood.