Music Of Our Time. Par SCHNEBEL DIETER. In this work Schnebel attempts to apply the idea of the Baroque canon - as exemplified in Bach’s ‘Art of Fugue’ - to modern concepts of tonal colouring. The ‘Motu proprio’ of the 7 mixed groups of orchestral instruments intensifies within 28 short emotional sections to the Baroque ‘Motu contrario’. In ‘Diapason’, literally translated ‘in the octave’ but in the ancient Greek music tradition taken to mean ‘through or across everything’ among other things, the orchestra is arranged into 13 groups according to families of instruments and tonal colour. Schnebel alternately uses the term ‘fugue’ in the strict sense of the Baroque period and in its more general, purely architectonic meaning./ Répertoire / Orchestre

Par DUBUGNON RICHARD. Caprice No.5 ‘Zürcher Art’ is the fifth work in a series of short orchestral concert openers by Richard Dubugnon. Written as a set of variations on a single theme, the 12-minute work was commissioned by Tonhalle-Gesellschaft Zürich AG, Sinfonieorchester Basel and Fondation du Septembee Musical Montruex-Vevey. It is dedicated to Paavo Järvi and the musicians of the Tonhalle Orchestra, who premiered the piece on 24 September 2021. The full score (EP 73612) is available for sale as part of the Peters Contemporary Library. The performance material can be hired. / Date parution : 2022-03-15/ Répertoire / Orchestre

Le Complete Vocal Works Johann Pachelbel est connu aujourd'hui comme un compositeur de musique d'orgue et d'un célèbre canon instrumental qui comporte fréquemment dans les programmes de concert et des catalogues d'enregistrement. Cependant, la même chose peut être dite de seulement quelques-uns de ses compositions vocales. Tout au plus, les motets apparaissent parfois dans la musique d'église répertoire. Les arias de Pachelbel , des concertos vocales et magnificat à grande échelle ont reCu peu d'attention jusqu'à présent .Musiciens d'église et musicologues ont longtemps souhaité une édition critique de ces travaux importants , qui survivent dans le manuscrit de Pachelbel et ont été en grande partie composé de ses principaux lieux de travail , Erfurt et Nuremberg. Comme toujours avec ces entreprises , de nouvelles découvertes sont à prévoir en ce qui concerne le corpus d'oeuvres , du matériel source et le contexte des travaux. Cela concerne non seulement la belle musique, mais plutôt un approfondissement de notre compréhension de Pachelbel comme un personnage clé entre traditions méridionales et centrales allemandes , et la reconnaissance d'une oeuvre qui a tous été trop souvent poussé dans l'ombre par le puissant Bach. / Orchestre

German composer and violinist Johann Pfeiffer (1697 - 1761) was born in Nuremberg and made a career as concertmaster in various orchestras throughout southern Germany. Much of his life was spent in Bayreuth working for the court of Wilhelmine of Prussia Margravine of Bayreuth teaching her composition and violin. During his lifetime he composed a variety of orchestra and chamber music including this Concerto in B-flat Major in three movements: Allegro ma non troppo Andante and Allegretto. This edition includes the full orchestral score orchestral parts as well as guitar and lute parts. Victor Van Puijenbroeck has adapted the original solo part and included in the set areparts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modern notation) and guitar (capotasto). Instrumentation: Full Score Guitar (or Lute) - separate parts included for each instrument Violin I Violin II Viola Cembalo/Cello/Contrabass German composer and violinist Johann Pfeiffer (1697 - 1761) was born in Nuremberg and made a career as concertmaster in various orchestras throughout southern Germany. Much of his life was spent in Bayreuth working for the court of Wilhelmine of Prussia Margravine of Bayreuth teaching her composition and violin. During his lifetime he composed a variety of orchestra and chamber music including this Concerto in B-flat Major in three movements: Allegro ma non troppo Andante and Allegretto. This edition includes the full orchestral score orchestral parts as well as guitar and lute parts. Victor Van Puijenbroeck has adapted the original solo part and included in the set areparts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modern notation) and guitar (capotasto). Instrumentation: Full Score Guitar (or Lute) - separate parts included for each instrument Violin I Violin II Viola Cembalo/Cello/Contrabass

Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde. On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes. D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie. Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé. Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale. Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part. L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste. Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre

Premiered by The New York Philharmonic conducted by Lorin Maazel at Avery Fisher Hall Lincoln Center New York City 10th June 2004. Orchestration 3 Flutes 3rd dbl. Piccolo2 Oboes1 English Horn in F3 Clarinets in Bb 3rd dbl. Bas Clarinet in Bb2 Bassoons1 Contra Bassoon4 Horns in F3 Trumpets in Bb3 Trombones1 Tuba1 (set of) Timpani2 Percussion (two players)1: Bass Drum (large) Chinese Cymbal Mark Tree2: TamTam (large) Vibraphone Antique Cymbal1 Harp1 Piano dbl. CelestaStringsAll non-octave transposing instruments are notated in their relevanttranspositions.Horns notated in bass clef sound a fourth above the notated pitch.All accidentals apply to each single note only except tied notes. Naturals for 'safety'. Programme Note This piece marks the conclusion of what could now be called 'The Nightshade Trilogy' three pieces which explore the contrasting worlds of Light and Darkness. As opposed to the earlier chamber work Nightshade which dealt with extremes of high and low pitches and the chamber orchestra composition Second Nightshade a two-fold piece contrasting darkness/anxiety and light/calm Final Nightshade for full symphony orchestra takes us on a journey in which the forces of dark and light struggle - and co-exist - in a predominantly polyphonic web with brooding undertones. The melodic point-of-departure is not surprisingly to be found in either of the two preceding pieces of the Trilogy but in an older piece Corpus Cum Figuris from 1985. Over the ensuing years I've dreamt on and off of 'doing something' with the opening measures of this older work perhaps even building a new composition on that very simple inward-looking time was ripe and there's a nice nostalgia angle to the idea: Corpus Cum Figuris was the first piece of mine to be

For Chamber Orchestra (Flute Oboe Cor Anglais Basson Horn in F Trumpet in C Strings: [5.4.3.2.1])Composer's Programme Note:Points of View is a work about the different musical elements which arepersonified by soloists from the orchestra all unifying at the end in a passionateclimax.The first section ‘Mysterious’ features a solo horn and also establishes tonality [Bflat] texture and harmony. The harmonies are often chordal 6-note clusters andthey are an important binding articulating and textual element throughout thework.A solo trumpet joins the solo horn and as the chordal clusters disappearintothe stratosphere initiates the rhythm of a light-hearted scherzo ‘Lively’. Thetrumpet’s rhythmic figure is echoed and developed by the winds.The solo oboe and cor anglais now introduce a very lyrical melody in fallingthirds ‘Sensuous’. The chordal clusters as well as the trumpet’s rhythmic figureeventually reappear to accompany this melodic theme and then the violinspassionately respond by taking it over ‘Passionato’. All the elements thusunifying to culminate in the coda.These elements could also perhaps be described in non-musical terms as‘imagination’ [solo horn] ‘action’ [solo trumpet] ‘emotion’ [solo oboe and coranglais] which eventually combine in the climax [violins].

Carl Nielsen (1865-1931) was a Danish musician often seen as his country’s greatest composer who now occupies a distinguished platform in the national and cultural heritage of his native land. The Carl Nielsen Edition is an independent project which aims to publish all of his finished works in the last version approved by the composer. Each piece has an introduction which tells the story behind the work and its place in his oeuvre and a critical commentary which gives an account of the source material and any editorial changes both given in the same volume as the music. Orchestral Works I contains the first (chronological) half ofhis non-symphonic orchestral output: Andante Tranquillo e Scherzo; Suite for Strings op.1; Symphonic Rhapsody; and the 'Helios' Ouverture op.17.

Shostakovich’s fifteenth symphony differs substantially in many ways from his other late symphonies. The eleventh (1957) subtitled The Year 1905 and the twelfth (1960) subtitled The Year 1917 are both programmatic symphonies relating to political and historical events within the year of which they are subtitled. The next two symphonies are sung texts with vocal and/or choral parts: thirteenth (1962) and fourteenth (1969) symphonies.With the Symphony No.15 In A Op.141 Shostakovich’s last foray in the genre the composer returned to a purely instrumental and non-programmatic composition which inhabits a purely emotional andintellectual plane quite removed from the world of politics and history.Available here is the pocket or study score of Shostakovich’s last symphony the Symphony No.15 in A Op.141. This is an excellent Sikorski edition score and is ideal for study and perusal purposes.

Johann Friedrich Fasch (1688 - 1758) was a prolific composer who composed a variety of cantatas concertos symphonies and other chamber music. Although none of the music was published during his lifetime much of his instrumental music was later published and is still frequently performed today. The only known composition of his for lute is this Concerto in D Minor in three movements: Allegro moderato Andante and Un poco allegro. In this edition Victor Van Puijenbroeck has created a piano reduction of the orchestral score and also has adapted the lute part to be played on guitar. Included are parts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modern notation)and guitar (capotasto). Johann Friedrich Fasch (1688 - 1758) was a prolific composer who composed a variety of cantatas concertos symphonies and other chamber music. Although none of the music was published during his lifetime much of his instrumental music was later published and is still frequently performed today. The only known composition of his for lute is this Concerto in D Minor in three movements: Allegro moderato Andante and Un poco allegro. In this edition Victor Van Puijenbroeck has created a piano reduction of the orchestral score and also has adapted the lute part to be played on guitar. Included are parts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modern notation)and guitar (capotasto).

Score. Par MICHAEL FRANK. Une composition contemporaine par Frank Michael ajoute à la série traditionnelle ad Gradus Symphoniam pour les orchestres scolaires et orchestres amateurs. 'Pendant longtemps, déjà, j'avais joué avec l'idée de convertir une danse pour le piano en date du 1969 dans une version orchestrale. Dès le début, j'ai considéré la possibilité d'effectuer avec des orchestres amateurs.' Michael a ajouté 4 pièces plus courtes à cette danse (Introduzione, Elegie, Bicinium, Kanon). Malgré leur simplicité, ces pièces sont assez raffiné dans le détail. Cela est particulièrement vrai pour leur structure rythmique qui est la danse de type complexe et en même temps. / Niveau : Avancé / Répertoire / Orchestre

Ce volume de la Hindemith Complete Edition contient deux oeuvres qui ont été écrites sous forme de commissions pour les orchestres américains. Ils sont associés les uns aux autres non seulement par leur proximité chronologique, mais aussi par leur prise de livraison et l'organisation d'autres compositions. Tous les quatre mouvements de la Métamorphose symphonique sont basées sur des oeuvres de Carl Maria von Weber tandis que le second mouvement de Symphonia Serena a été inspiré par Beethoven. / Orchestre

Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Prise en tenaille entre les célèbres Symphonies n° 7 et n° 9, la relativement courte 8e Symphonie a, aujourd’hui encore, un statut particulier. Déjà après sa création en février 1814, un critique signala qu’elle n’avait déclenché «keine Furore», aucune fureur. Du premier coup d’œil, elle retourne à des formes et à des genres déjà dépassés, allant même jusqu’à réintroduire, après un Allegretto scherzoso, à nouveau un Menuet (et non un mouvement lent) en troisième place. Mais Beethoven se mesure intensément à l’histoire de la musique, brise les comportements et les modèles traditionnels et parvient à de nouvelles solutions surprenantes, qui font de la Huitième un jalon essentiel dans l’histoire de la symphonie. Basée sur le texte musical de l’édition complète des œuvres de Beethoven et accompagnée d’une nouvelle préface, cette toute récente édition fait état du stade actuel de la recherche beethovénienne. Avec cette édition d’étude, ce texte est maintenant accessible à tous à peu de frais et dans un format maniable. / Date parution : 2020-07-04/ Répertoire / Orchestre Symphonique

Entre 1996 et 2000 Barenreiter publié des éditions savantes critiques de Beethoven neuf symphonies édité par la première classe musicologue Jonathan Del Mar. Le processus de rédaction a été une entreprise colossale en raison de la situation source complexe en ce qui concerne les symphonies de Beethoven qui a culminé avec la Symphonie avec choeurs, qui est venu jusqu'à nous dans près de 20 sources différentes. Ce n'était donc pas surprenant que Barenreiter de la nouvelle édition Urtext eut un grand retentissement dans le monde de la musique.Depuis la publication, édition Del Mar bénéficie l'éloge sans bornes de conducteurs, les artistes et la critique et est devenu la publication la plus largement utilisée des Symphonies de Beethoven qui peut être entendu non seulement tous les jours dans les salles de concert, mais aussi sur les enregistrements de CD par John Eliot Gardiner , David Zinman, Jos van Immerseel et Claudio Abbado. / Conducteur / Partition