Manuel Barrueco, virtuose de la guitare international célèbre, trois des sonates de violon solo de Bach (BWV 1001, BWV 1003 et BWV 1005) a transcrit pour son propre instrument. Cette édition correspond à son nouvel enregistrement EMI Classics sur CD. / Guitare

Par BELLINATI PAULO. Paulo Bellinati est reconnu comme l'un des meilleurs guitaristes contemporaines du Brésil. Il offre à son public un programme varié de pièces originales rythmique et harmonique sophistiqués plus bon goût arrangements de mélodies folkloriques brésiliens. Inspiré par la tradition riche du Brésil de formes de danse et de rythmes, Bellinati a appliqué des concepts compositionnels modernes et harmonies pour créer un répertoire excitant, vraiment unique. Dans cette Mel Bay artiste série Bellinati, effectue dix compositions originales exquises : Aristocratica, Alvoroco, Sapeca de Choro, Rosto Collado, Um Amor de Valsa, Emboscada, Zenit, Sai do Chao, Pulo do Gato et Jongo. / Brazilian - Concert/Documentary / Accessoire / Guitare Classique

La partition Nat a été composée pour Guitare. Cette partition musicale est éditée par une des nombreuses maisons d'édition française à savoir Leduc. Cette oeuvre musicale fait partie intégrante des oeuvres de style Classique. / Guitare / Partition

Par BARTOK BELA. Like so many famous virtuosic works, Bartók’s Sonata for Solo Violin was said, by its commissioner, Yehudi Menuhin, at first sight, to be unplayable! Of course, Menuhin soon changed his opinion, later describing the work as the most important composition for solo violin since Bach. The original work used the full array of violin techniques such as stopped harmonics, left-hand pizzicato and quarter tones. These demands gave arranger, Christophe Dejour, much pause for thought when preparing this arrangement, not least in how to produce quarter tones on the guitar! Fortunately, both Bartók and Menuhin came to his rescue here. Menuhin had had problems playing these at speed and Bartók agreed that they were only for “colour” and accepted an alternative version Menuhin presented to him. The Sonata also contains several compositional techniques that are highly appropriate for the guitar such as chord progressions, contrapuntal motion and rhythmic sharpness, allowing Dejour to produce an arrangement that requires great skill to play, just as the original violin version demanded of Yehudi Menuhin./ Répertoire / Guitare

Preludio contains 130 easy attractive performance pieces from six centuries, thus offering the most important pieces for beginners' guitar lessons in one comprehensive volume. The repertoire is ideal for first performances at music schools, as pieces for competitions and examinations or just as a 'treasure trove' for teachers, pupils, students, and guitar lovers.The selected pieces can be played in the second to fourth year of guitar lessons. They are divided chronologically into five chapters and arranged progressively according to their level of difficulty. Each chapter refers to another epoch: Renaissance - Baroque - Classical period - Romanticism and early 20th century - modern, pop and world music. The result is a tune book which can already be used during or immediately after studying any guitar method.Most pieces can be played in the 1st and 2nd positions, without requiring any barré fingering or ties and slurs. The somewhat more difficult pieces that require small and large barré fingering as well as position playing are placed at the end of each chapter.The majority of the pieces are original works, and the editors have refrained from making any radical simplifications. Only a few difficult passages have alternatively been made easier to play such that the level of difficulty within a piece does not vary too much. / Guitare

Joaquín Rodrigo a composé de la musique dans tous les genres, de l'opéra aux pages vocales et aux oeuvres de chambre, en passant par de nombreuses pièces solistes et plusieurs concertos pour instrument seul et orchestre. Ses oeuvres pour et avec guitare sont sans aucun doute les plus connues et les plus interprétées parmi ses compositions, bien qu'en général l'attention des concertistes ne se focalise que sur deux ou trois titres. Par ailleurs la musique de Rodrigo n'a pas fait jusqu'ici l'objet d'études approfondies et a trop souvent pâti, au niveau interprétatif notamment, d'une approche superficielle qui semble ignorer, au profit de ses éléments pittoresques et de pure virtuosité, la stratification culturelle dont le compositeur est indéniablement porteur. La musique pour guitare de Joaquín Rodrigo, vingt-trois titres dont trois sonates, a été créée sur une longue durée qui va de 1926, date de composition de la Zarabanda lejana (a la vihuela de Luis Milán), jusqu'à 1987, date de ses dernières pièces guitaristiques, Dos pequeñas fantasias (Ecos de Sefarad et ¡Qué buen caminito! ). L'edition inclut les principales oeuvres pour guitare seule de Joaquín Rodrigo, proposées ici dans un ordre strictement chronologique. / 1 Ou 2 Guitares

Par WEISS SILVIUS LEOPOLD. Silvius Leopold Weiss (1687 1750) is known to guitarists as the greatest baroque composer for the lute, yet most are only familiar with the earlier portion of Weiss?s prolific output found in the British Library in London. Inspired by a forty-year friendship with the late Douglas Alton Smith - a major figure in the scholarly study of the history of the lute - guitarist, composer, and head of the guitar program at Temple University in Philadelphia, Allen Krantz explored the Weiss manuscripts found in other European cities, particularly the Dresden editions which contain the fifteen sonatas that Weiss produced from the late 1730s to the end of his life. Transcriptions of three of those fifteen late sonatas are featured in this book in modern standard notation along with the original lute tablature as found in the Sächsische Landesbibliothek - Staats- und Universitätsbibliothek, Dresden. While the baroque lute?s tuning makes some works awkward or impossible on the guitar, the three works presented here?Sonatas No. 35 in D minor, No. 42 in A minor and No. 45 in A Major? are in their original keys which happen to be guitar-friendly. The author?s generous and scholarly ?Preface? provides thorough historical and performance notes for the music in this volume. While just three of Weiss?s 109 multi-movement lute sonatas are represented here, the importance of this publication cannot be overstated. It contains some of the greatest music of a masterful lutenist? Weiss once faced-off with J. S. Bach on keyboards in a counterpoint improvisation contest?now made accessible to the modern classical guitarist. / Date parution : 2022-04-09/ Recueil / Guitare Classique

Par GIULIANI MAURO. Mauro Giuliani's publication of his Sonata op.15 within the first few years of his arrival in Vienna met the standards of the sophisticated Viennese public and, with one stroke, profiled the guitar as an instrument and himself as a composer. Thus was born the three movement Sonata in C. This new edition will be of great interest to guitarists as, to this day, it remains unique in the repertoire/ Répertoire / Guitare

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 18 (WSW 24) en do M
Sonata 19 (WSW 25) en sol m
Sonata 20 (WSW 26) en ré M
Sonata 21 (WSW 27) en ré m
Sonata 22 (WSW 28) en mi M
Sonata 23 (WSW 29) en la m
Sonata 24 (WSW 30) en mi M
Sonata 25 (WSW 31) en mi M
Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Un manuscrit de Prague à Londres
Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss.
Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague.
Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu.
Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans.
En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles.
Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur.
Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte.
«Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.»
Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique
Sonata 10 (WSW 15) en la M
Sonata 11 (WSW 16) en sol M
Sonata 12 (WSW 17) en do M
Sonata 13 (WSW 18) en ré M
Sonata 14 (WSW 19) en mi M
Sonata 15 (WSW 21) en mi m
Sonata 16 (WSW 22) en sol M
Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN

Par PAGANINI NICCOLO. Paganini was not only a famous Violin virtuoso, but was also a masterful guitarist. Originally written for Violin and Guitar, this Guitar solo version of the Grand Sonata captures the richness, freshness and balanced structure of the original. Rhythmic and harmonic twists from the Violin part have been carefully integrated to ensure the spirit of the piece is preserved./ Répertoire / Guitare

30 Transcriptions. Par SCHUMANN ROBERT. The edition Schumann for Guitar is an interesting attempt to transfer Robert Schumann's romantic, lyrical music to the guitar. As a consequence, new tonal possibilities present themselves for the guitar repertoire, particularly in view of the fact that Schumann himself never composed an original piece for guitar. This volume naturally contains pieces from the famous piano cycles Album für die Jugend, Kinderszenen and Albumblätter, but also some lieder like Mondnacht or Im wunderschönen Monat Mai. Special highlights of the volume are the original Schumann transcriptions by Francisco Tárrega (1852-1909) which prove that guitarists studied Schumann's music as early as the 19th century. Schumann for Guitar is ideal for concerts and music lessons, but also for private music-making. The pieces are of easy to intermediate technical difficulty so that even amateur guitar players will enjoy the pieces! / Niveau : Facile à Moyen / Recueil / Guitare

De L'interprétation á la composition. Par LEGAUD ERIC. Le 'Couteau Suisse' Idéal pour progresser à la guitare. Retrouvez tous les indispensables du guitariste dans ce volume dédié aux amateurs de 6 cordes, ayant au moins un an de pratique et désirant aller plus loin. De L'Interprétation à la Composition est un fascicule de 96 pages et de format nomade regroupant de nombreux conseils et astuces qui viendront enrichir votre jeu, vos connaissances et vos horizons musicaux : formules rythmiques et arpèges clés en main, conseils pratiques, accordages alternatifs, jeu au bottleneck, harmonie, composition... Ce panel de conseils et de mises en pratique vous est proposé tout en décontraction et saura se rendre indispensable à votre parcours ! Retrouvez de nombreux supports audios et vidéos qui viendront parfaitement illustrer et enrichir l'ensemble de manière ludique. de 2h25 d'audio à télécharger de 35 tutoriels vidéos YouTube de 96 pages/ Méthode / Guitare