Après Excalibur et Stonehenge, Albion est la troisième oeuvre majeure pour Bra...(+)
Après Excalibur et Stonehenge, Albion est la troisième oeuvre majeure pour Brass Band de Jan Van der Roost inspirée par l’Angleterre du Moyen Âge. Bien que l’oeuvre ne soit pas construite autour d’une histoire précise, ce poème symphonique a toute l’ampleur d’une épopée. L’ouverture de l’oeuvre semble dépeindre la conquête d’Albion (premier nom connu de l’Angleterre), transportant l’auditeur à l’époque du roi Arthur et de ses légendaires chevaliers de la Table Ronde. Trois groupes de cornets dispersés au sein de la formation et trois tambours différents reflètent, en autant de tonalités et de tempos, les périodes de guerre qui plongent l’Angleterredu début du Moyen Âge dans la tourmente. Des accords sombres et majestueux, exposés dans le registre grave, créent un contraste et donnent au son d’ensemble un caractère trouble et confus. Lorsque les tambours se retrouvent dans un même rythme, l’ensemble de la formation interprète pour la première fois à l’unisson le 'Thème d’Albion'. Un allegro energico plein d’agitation apporte soudainement plus d’élan et de dynamisme. Des thèmes virtuoses et guerriers se succèdent, donnant au passage un caractère tumultueux. Cette suite de thèmes se conclut également avec le 'Thème d’Albion', soutenu cette fois-ci par une structure harmonique plus complexe. S’ensuit un passage intermédiaire calme et serein, permettant à plusieurs solistes d’exploiter et de révéler leurs qualités musicales. Après tout, Albion n’a pas connu que des périodes de troubles et de misère. Et le roi Arthur n’est-il pas considéré comme celui qui a apporté paix et stabilité au pays ? Cette lente succession de fragments en solo progresse avec une fluidité presque évidente vers un passage où l’orchestre interprète en choeur les accords majestueux des mesures d’ouverture de l’oeuvre. Le Brass Band sonne comme un orgue et le 'Thème d’Albion' vient tout naturellement conclure cette oasis de paix retrouvée. Dans le finale impressionnant, plusieurs éléments thématiques / Date parution : 1905-06-25/ Accessoire / Brass Band
Andantino-English Dances Set I opus 27 is a light classic composition that wa...(+)
Andantino-English Dances Set I opus 27 is a light classic composition that was written for orchestra by the British composer Malcolm Arnold in 1950. The set contains four dances that continue without pause: the individual movements are indicated by the tempo markings. The work came about at the request of Bernard de Nevers at the time the head of publisher Alfred Lengnick and Co. who asked Arnold to write a suite of dances as an English counterpart to Dvo ákâ??s Slavonic Dances and Bartókâ??s Romanian Folk Dances. The première took place in the spring of 1951 played by the London Philharmonic Orchestra conducted by Sir Adrian Boult. Following the success of the first set DeNevers asked the composer to write a second one which Arnold completed the next year (Op. 33). The Andantino from the first set has been skilfully arranged and orchestrated for brass band by Ray Farr. English Dances Set I opus 27 is a light classic composition that was written for orchestra by the British composer Malcolm Arnold in 1950. The set contains four dances that continue without pause: the individual movements are indicated by the tempo markings. The work came about at the request of Bernard de Nevers at the time the head of publisher Alfred Lengnick and Co. who asked Arnold to write a suite of dances as an English counterpart to Dvo ákâ??s Slavonic Dances and Bartókâ??s Romanian Folk Dances. The première took place in the spring of 1951 played by the London Philharmonic Orchestra conducted by Sir Adrian Boult. Following the success of the first set DeNevers asked the composer to write a second one which Arnold completed the next year (Op. 33). The Andantino from the first set has been skilfully arranged and orchestrated for brass band by Ray Farr.
Albion (VAN DER ROOST
JAN) Ensemble de cuivres[Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Par VAN DER ROOST JAN. Après Excalibur et Stonehenge, Albion est la troisième ...(+)
Par VAN DER ROOST JAN. Après Excalibur et Stonehenge, Albion est la troisième oeuvre majeure pour Brass Band de Jan Van der Roost inspirée par l’Angleterre du Moyen Âge. Bien que l’oeuvre ne soit pas construite autour d’une histoire précise, ce poème symphonique a toute l’ampleur d’une épopée. L’ouverture de l’oeuvre semble dépeindre la conquête d’Albion (premier nom connu de l’Angleterre), transportant l’auditeur à l’époque du roi Arthur et de ses légendaires chevaliers de la Table Ronde. Trois groupes de cornets dispersés au sein de la formation et trois tambours différents reflètent, en autant de tonalités et de tempos, les périodes de guerre qui plongent l’Angleterredu début du Moyen Âge dans la tourmente. Des accords sombres et majestueux, exposés dans le registre grave, créent un contraste et donnent au son d’ensemble un caractère trouble et confus. Lorsque les tambours se retrouvent dans un même rythme, l’ensemble de la formation interprète pour la première fois à l’unisson le 'Thème d’Albion'. Un allegro energico plein d’agitation apporte soudainement plus d’élan et de dynamisme. Des thèmes virtuoses et guerriers se succèdent, donnant au passage un caractère tumultueux. Cette suite de thèmes se conclut également avec le 'Thème d’Albion', soutenu cette fois-ci par une structure harmonique plus complexe. S’ensuit un passage intermédiaire calme et serein, permettant à plusieurs solistes d’exploiter et de révéler leurs qualités musicales. Après tout, Albion n’a pas connu que des périodes de troubles et de misère. Et le roi Arthur n’est-il pas considéré comme celui qui a apporté paix et stabilité au pays ? Cette lente succession de fragments en solo progresse avec une fluidité presque évidente vers un passage où l’orchestre interprète en choeur les accords majestueux des mesures d’ouverture de l’oeuvre. Le Brass Band sonne comme un orgue et le 'Thème d’Albion' vient tout naturellement conclure cette oasis de paix retrouvée. Dans le finale impressionnant, plusieurs éléments thématiques / Niveau : 6 / Pièce de concert / Date parution : 1905-06-23/ Répertoire / Brass Band
Par VAN DER ROOST JAN. Après Excalibur et Stonehenge, Albion est la troisième ...(+)
Par VAN DER ROOST JAN. Après Excalibur et Stonehenge, Albion est la troisième oeuvre majeure pour Brass Band de Jan Van der Roost inspirée par l’Angleterre du Moyen Âge. Bien que l’oeuvre ne soit pas construite autour d’une histoire précise, ce poème symphonique a toute l’ampleur d’une épopée. L’ouverture de l’oeuvre semble dépeindre la conquête d’Albion (premier nom connu de l’Angleterre), transportant l’auditeur à l’époque du roi Arthur et de ses légendaires chevaliers de la Table Ronde. Trois groupes de cornets dispersés au sein de la formation et trois tambours différents reflètent, en autant de tonalités et de tempos, les périodes de guerre qui plongent l’Angleterredu début du Moyen Âge dans la tourmente. Des accords sombres et majestueux, exposés dans le registre grave, créent un contraste et donnent au son d’ensemble un caractère trouble et confus. Lorsque les tambours se retrouvent dans un même rythme, l’ensemble de la formation interprète pour la première fois à l’unisson le 'Thème d’Albion'. Un allegro energico plein d’agitation apporte soudainement plus d’élan et de dynamisme. Des thèmes virtuoses et guerriers se succèdent, donnant au passage un caractère tumultueux. Cette suite de thèmes se conclut également avec le 'Thème d’Albion', soutenu cette fois-ci par une structure harmonique plus complexe. S’ensuit un passage intermédiaire calme et serein, permettant à plusieurs solistes d’exploiter et de révéler leurs qualités musicales. Après tout, Albion n’a pas connu que des périodes de troubles et de misère. Et le roi Arthur n’est-il pas considéré comme celui qui a apporté paix et stabilité au pays ? Cette lente succession de fragments en solo progresse avec une fluidité presque évidente vers un passage où l’orchestre interprète en choeur les accords majestueux des mesures d’ouverture de l’oeuvre. Le Brass Band sonne comme un orgue et le 'Thème d’Albion' vient tout naturellement conclure cette oasis de paix retrouvée. Dans le finale impressionnant, plusieurs éléments thématiques / Niveau : 6 / Pièce de concert / Date parution : 1905-06-23/ Répertoire / Brass Band
Une série très souple de livres conçu pour encourager les jeunes à jouer ens...(+)
Une série très souple de livres conçu pour encourager les jeunes à jouer ensemble dans diverses combinaisons de chiffres et d'instruments, parfaits pour les frais de scolarité de groupe. Livre 1 offre 19 facile-intermediate trios, pour trompette et trombone à l'aide de mélodies familières disposés dans des styles classiques, de folkloriques et de jazz, y compris les pays Garden, Dieu reste Ye Merry Gentlemen, danse du chapeau mexicain, Hornpipe de marin. Cette collection peut être utilisée pour solo, duo ou trio jouant et peut également être utilisée avec des dispositions correspondantes du même matériau dans le livre premier pour Saxophone, clarinette, flûte, violon. Un livre d'accompagnement piano est disponible. / Trio De Cuivres / 32 pages / Partition
Par SPARKE PHILIP. « La plupart des traditions de Noël en Angleterre sont rela...(+)
Par SPARKE PHILIP. « La plupart des traditions de Noël en Angleterre sont relativement récentes. Montée sur le trône en 1837, la reine Victoria (née de Hanovre) régnera jusqu?à sa mort en 1901. En 1840, elle épousa son cousin, le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha. Leprince consort, originaire d?Allemagne, importa bon nombre de traditions de Noël allemandes au Royaume-Uni. Ainsi, il fit découvrir aux Anglais la coutume du sapin et les cartes de Noël, entre autres, contribuant largement au Noël typiquement anglaistel que nous le connaissons aujourd?hui. Bien que les chants de Noël font l?objet d?une longue tradition en Angleterre, de nombreuses mélodies que nous chantons proviennent ducontinent européen ou des États-Unis. Je savais bien que le célébrissime Silent Night (Douce nuit) était d?origine autrichienne et que Hark, the Herald Angels Sing (Écoutez le chant des Anges) était d?origine allemande. Pourtant, quelle ne fut pas ma surprise d?apprendre qu? Away in a Manger (Sur la paillefraîche) ou encore We Three Kings nous venaient des États-Unis et que Ding, Dong Merrily on High était un noël d?origine française. Quoiqu?il en soit, j?ai réussi à constituer un canevas de mélodies anglaises pour réaliser cefestival de chants de Noël. »Philip SparkeRemarques sur l?interprétation : Cet arrangement est adapté pour une interprétation avec ou sans Choeur. S?il est joué par un Brass Band, les parties vocales seront doublées par des partiesinstrumentales. Les tempi indiqués correspondent à une interprétation par un Brass Band seul. Si l?oeuvre est donnée avec un Choeur, il est sans doute nécessaire de baisser le tempo en fonction du nombre de choristes et de l?acoustique du lieude concert. Les parties de Choeur (en anglais) sont disponibles séparément (Réf. : AMP 227-050). / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Brass Band
Par SPARKE PHILIP. « La plupart des traditions de Noël en Angleterre sont rela...(+)
Par SPARKE PHILIP. « La plupart des traditions de Noël en Angleterre sont relativement récentes. Montée sur le trône en 1837, la reine Victoria (née de Hanovre) régnera jusqu?à sa mort en 1901. En 1840, elle épousa son cousin, le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha. Leprince consort, originaire d?Allemagne, importa bon nombre de traditions de Noël allemandes au Royaume-Uni. Ainsi, il fit découvrir aux Anglais la coutume du sapin et les cartes de Noël, entre autres, contribuant largement au Noël typiquement anglaistel que nous le connaissons aujourd?hui. Bien que les chants de Noël font l?objet d?une longue tradition en Angleterre, de nombreuses mélodies que nous chantons proviennent ducontinent européen ou des États-Unis. Je savais bien que le célébrissime Silent Night (Douce nuit) était d?origine autrichienne et que Hark, the Herald Angels Sing (Écoutez le chant des Anges) était d?origine allemande. Pourtant, quelle ne fut pas ma surprise d?apprendre qu? Away in a Manger (Sur la paillefraîche) ou encore We Three Kings nous venaient des États-Unis et que Ding, Dong Merrily on High était un noël d?origine française. Quoiqu?il en soit, j?ai réussi à constituer un canevas de mélodies anglaises pour réaliser cefestival de chants de Noël. »Philip SparkeRemarques sur l?interprétation : Cet arrangement est adapté pour une interprétation avec ou sans Choeur. S?il est joué par un Brass Band, les parties vocales seront doublées par des partiesinstrumentales. Les tempi indiqués correspondent à une interprétation par un Brass Band seul. Si l?oeuvre est donnée avec un Choeur, il est sans doute nécessaire de baisser le tempo en fonction du nombre de choristes et de l?acoustique du lieude concert. Les parties de Choeur (en anglais) sont disponibles séparément (Réf. : AMP 227-050). / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Brass Band
Ce livre est fait pour les enfants de l'école primaire (ou de l'école de musiq...(+)
Ce livre est fait pour les enfants de l'école primaire (ou de l'école de musique ou conservatoire) qui abordent une pratique collective instrumentale pour la première fois. Elle est le résultat de dix années d'expérience dans le milieu scolaire à l'école Urbain Le Verrier primaire (Nantes, France). La méthode, basée sur un apprentissage par imitation, est destiné aux enseignants de cours artistiques, les enseignants de l'école primaire, mais aussi pour les musiciens qui opèrent dans l'environnement scolaire. Ce premier volume est consacré aux cuivres (cor français, trompette, trombone et tuba) et percussions.La méthode est composée d'un livre du maître et de 10 affiches (2 sur phrasé orchestre et la prise de son, 8 sur l'exécution du répertoire). Il propose également un livre personnel pour l'enfant qui souhaite s'entraîner et s'entraîner entre deux leçons. Cette méthode donne à l'enfant qui effectue seulement dans un groupe un sentiment de sécurité, ce qui lui permet de développer sa capacité d'écoute (pour lui ou pour les autres) et lui donne une satisfaction personnelle car il peut participer à des concerts juste après quelques mois de formation . Réserver bande Urbain 1 représente un tout nouvel outil pour tout le peuple qui travaillent à développer l'éducation artistique. / Chant
Par DE HAAN JACOB. La Lituanie est dotée d’un riche patrimoine culturel. Peti...(+)
Par DE HAAN JACOB. La Lituanie est dotée d’un riche patrimoine culturel. Petit territoire situé sur la rive orientale de la mer Baltique, la Lituanie est divisée en cinq régions ethnographiques : la Samogitie, la Haute Lituanie, la Sudovie, la Dzkija et la Petite Lituanie. Chaque région a son dialecte, son costume traditionnel, ses coutumes, son artisanat, ses fêtes et jours fériés et surtout ses propres chants traditionnels chantés depuis près d’un millénaire. Pour composer The Heart of Lithuania (“Au coeur de la Lituanie”), Jacob de Haan s’est inspiré de cinq mélodies traditionnelles particulièrement en vogue dans la seconde moitié du XXe siècle. Bien que ces chantsproviennent de Haute Lituanie, ils sont appréciés sur l’ensemble du territoire et sont encore chantés aujourd’hui. Le choix des chants et la diversité des émotions qu’ils expriment à travers des lignes mélodiques typées emportent l’auditeur au coeur de l’âme lituanienne. / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Brass Band
Par DE HAAN JACOB. La Lituanie est dotée d’un riche patrimoine culturel. Peti...(+)
Par DE HAAN JACOB. La Lituanie est dotée d’un riche patrimoine culturel. Petit territoire situé sur la rive orientale de la mer Baltique, la Lituanie est divisée en cinq régions ethnographiques : la Samogitie, la Haute Lituanie, la Sudovie, la Dzkija et la Petite Lituanie. Chaque région a son dialecte, son costume traditionnel, ses coutumes, son artisanat, ses fêtes et jours fériés et surtout ses propres chants traditionnels chantés depuis près d’un millénaire. Pour composer The Heart of Lithuania (“Au coeur de la Lituanie”), Jacob de Haan s’est inspiré de cinq mélodies traditionnelles particulièrement en vogue dans la seconde moitié du XXe siècle. Bien que ces chantsproviennent de Haute Lituanie, ils sont appréciés sur l’ensemble du territoire et sont encore chantés aujourd’hui. Le choix des chants et la diversité des émotions qu’ils expriment à travers des lignes mélodiques typées emportent l’auditeur au coeur de l’âme lituanienne. / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Brass Band
Marcho Brioso (SPARKE
PHILIP) Ensemble de cuivres[Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé Anglo Music
Par SPARKE PHILIP. Marcho Brioso est une oeuvre de commande pour le Brioso Brass...(+)
Par SPARKE PHILIP. Marcho Brioso est une oeuvre de commande pour le Brioso Brass, un Brass Band de style britannique basé à Hokkaido, au Japon. La création mondiale de cette pièce eut lieu en janvier 2012. L’orchestre souhaitant une marche enjouée qui pourrait lui servir d’indicatif musical, Marcho Brioso s’inscrit dans la lignée des marches du compositeur : Jubiloso, Slipstream et The Bandwagon. Un style « broadwayien », des motifs fortement syncopés et quelques surprenantes et capricieuses mesures viennent troubler le rythme régulièrement cadencé de ces marches. Après une courte introduction, le cornet solo joue le thème principal, accompagné d’un contre-chant àl’euphonium. Un second motif de huit mesures exécuté par les cors et les barytons mène à une version tutti du thème principal. Puis une brève section intermédiaire est déléguée aux basses. Le changement de tonalité qui s’ensuit annonce le trio qui contient une mélodie cantabile confiée à l’euphonium ; ce trio est ensuite repris par l’orchestre entier après un bref passage de transition et un autre changement de tonalité. Nous revenons ensuite à la tonalité de départ pour un rappel du thème principal en une paisible version staccato et une courte coda, pour conclure cette marche brillante et sémillante. / Niveau : 4 / Marche / Répertoire / Brass Band
Par SPARKE PHILIP. Marcho Brioso est une oeuvre de commande pour le Brioso Brass...(+)
Par SPARKE PHILIP. Marcho Brioso est une oeuvre de commande pour le Brioso Brass, un Brass Band de style britannique basé à Hokkaido, au Japon. La création mondiale de cette pièce eut lieu en janvier 2012. L’orchestre souhaitant une marche enjouée qui pourrait lui servir d’indicatif musical, Marcho Brioso s’inscrit dans la lignée des marches du compositeur : Jubiloso, Slipstream et The Bandwagon. Un style « broadwayien », des motifs fortement syncopés et quelques surprenantes et capricieuses mesures viennent troubler le rythme régulièrement cadencé de ces marches. Après une courte introduction, le cornet solo joue le thème principal, accompagné d’un contre-chant àl’euphonium. Un second motif de huit mesures exécuté par les cors et les barytons mène à une version tutti du thème principal. Puis une brève section intermédiaire est déléguée aux basses. Le changement de tonalité qui s’ensuit annonce le trio qui contient une mélodie cantabile confiée à l’euphonium ; ce trio est ensuite repris par l’orchestre entier après un bref passage de transition et un autre changement de tonalité. Nous revenons ensuite à la tonalité de départ pour un rappel du thème principal en une paisible version staccato et une courte coda, pour conclure cette marche brillante et sémillante. / Niveau : 4 / Marche / Répertoire / Brass Band
Pacific Dreams (DE HAAN
JACOB) Ensemble de cuivres[Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire De Haske Publications
Par DE HAAN JACOB. Pacific Dreams describes the experience of Miguel, a travelin...(+)
Par DE HAAN JACOB. Pacific Dreams describes the experience of Miguel, a traveling composer from Spain who, feeling somewhat alienated from his homeland, is wandering through an area of Sydney known as The Rocks. At a small outdoor market in a typical street of this oldcolonial neighbourhood, he discovers a print of William DeShazos painting 'Pacific Dreams' Portrayed in the painting is the surf of one of the exotic islands in the Pacific. Next, with the impressive Sydney Harbour Bridge looming over the narrowstreets of The Rocks, he envisions sultry Pacific beaches. Suddenly a theme he once composed about the lakes in Japan comes to him. Is it the Asian influences present in cosmopolitan Sydney that bring this theme to mind? Or perhaps the waters aroundSydney, over which he could sail to Tahiti? He is uncertain. Could this same theme be used to create a new composition about his feelings for the metropolis Sydney? How then to work his Pacific Dreams into the mix? Miguel is certainly no fan ofHawaiian music. Mayby he could use the vocabularies of islands like Hawaii and Tahiti, their beautiful vowel combinations being sung ad libitum by a mixed choir. With these ideas and his newly purchased print of 'Pacific Dreams', he boards the Metroat Circular Quay. He has a final glimpse of the harbour and the Sydney Opera House as the train races into the ground. On to the hotel! To work! He must compose!Maestoso : Miguel is impressed as he gazes upon the Sydney Harbour Bridge. And yet, hewants to go away from this city. Away, to an exotic island in the Pacific. Steady Rock : In the Rocks, musicians are playing at a square. Miguel basks in the atmosphere but at the same time he is fantasizing about Hawaii and Tahiti. Andante Lamentoso :In his hotel room, Miguel is feeling sad and lonely in this big city. He takes comfort in his 'Pacific Dreams'. Allegro : Miguel boards the boat that takes him from Darling Harbour to Circular Quay. In his mind he is traveling on to Hawaii. Or is ithome, where the bolero is playing? He is pulled back to reality by the skyline of Sydney. / Niveau : 3 / Musique légère originale / Répertoire / Brass Band