Storm of the Century. Par SCHWARZ OTTO M.. Introduction De nombreuses personnes se souviennent parfaitement du 18 janvier 2007. Ce jour-là, les services météorologiques avaient lancé plusieurs'bulletins d?alerte annonçant l?arrivée imminente de « la tempête du siècle ». Une dépression frontale venue de Terre-Neuve allait toucher'l?Europe sous la forme de vents tempétueux particulièrement violents. Kyrill, la pire des tempêtes depuis des décennies, devait toucher terre'en Allemagne dans l?après-midi. De nombreuses écoles furent fermées et les services d?urgence placés en état d?alerte maximale. Malgré ces'précautions, les événements qui suivirent dépassèrent de loin les plus sombres prévisions. Il y eut des morts, des blessés et des dégâts énormes'dans toute l?Europe. La région du Sauerland en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Allemagne) fut particulièrement touchée par la tempête. Kyrill sema la désolation'sur son passage, laissant des dizaines de foyers sans toit et des forêts éventrées. La filière bois a vu les fruits de plusieurs décennies de travail'anéantis en quelques heures. Des arbres vigoureux furent déracinés comme de vulgaires fétus de paille. Des forêts en ruines Si les vents tempétueux de Kyrill s?abattirent sur toute l?Europe, ils dévastèrent la région allemande du Schmallenberger Sauerland comme nulle autre. Ce jour-là, Otto M. Schwarz était chez lui, en Autriche. Il assista au passage de la tempête, mais ne prit véritablement conscience de ses conséquences dramatiques qu?à son arrivée à Bad Fredeburg (Sauerland) où il participait à une conférence organisée par le'Volksmusikerbundes NRW (Association pour la promotion des musiques traditionnelles en Rhénanie-du-Nord-Westphalie). Ernst Willi'Schulte, le directeur de l?association, lui montra alors l?étendue des dégâts sur le paysage de la région du Schmallenberger Sauerland. Force lui était de constater que la tempête qui avait balayé son Autriche natale était sans commune mesure avec la violence supportée par cette région allemande touchée de plein fouet par Kyrill. / Date parution : 2022-07-23/ Répertoire / Fanfare

Storm of the Century. Par SCHWARZ OTTO M.. Introduction De nombreuses personnes se souviennent parfaitement du 18 janvier 2007. Ce jour-là, les services météorologiques avaient lancé plusieurs'bulletins d?alerte annonçant l?arrivée imminente de « la tempête du siècle ». Une dépression frontale venue de Terre-Neuve allait toucher'l?Europe sous la forme de vents tempétueux particulièrement violents. Kyrill, la pire des tempêtes depuis des décennies, devait toucher terre'en Allemagne dans l?après-midi. De nombreuses écoles furent fermées et les services d?urgence placés en état d?alerte maximale. Malgré ces'précautions, les événements qui suivirent dépassèrent de loin les plus sombres prévisions. Il y eut des morts, des blessés et des dégâts énormes'dans toute l?Europe. La région du Sauerland en Rhénanie-du-Nord-Westphalie (Allemagne) fut particulièrement touchée par la tempête. Kyrill sema la désolation'sur son passage, laissant des dizaines de foyers sans toit et des forêts éventrées. La filière bois a vu les fruits de plusieurs décennies de travail'anéantis en quelques heures. Des arbres vigoureux furent déracinés comme de vulgaires fétus de paille. Des forêts en ruines Si les vents tempétueux de Kyrill s?abattirent sur toute l?Europe, ils dévastèrent la région allemande du Schmallenberger Sauerland comme nulle autre. Ce jour-là, Otto M. Schwarz était chez lui, en Autriche. Il assista au passage de la tempête, mais ne prit véritablement conscience de ses conséquences dramatiques qu?à son arrivée à Bad Fredeburg (Sauerland) où il participait à une conférence organisée par le'Volksmusikerbundes NRW (Association pour la promotion des musiques traditionnelles en Rhénanie-du-Nord-Westphalie). Ernst Willi'Schulte, le directeur de l?association, lui montra alors l?étendue des dégâts sur le paysage de la région du Schmallenberger Sauerland. Force lui était de constater que la tempête qui avait balayé son Autriche natale était sans commune mesure avec la violence supportée par cette région allemande touchée de plein fouet par Kyrill. / Date parution : 2022-07-23/ Répertoire / Fanfare

Par VAN DER ROOST JAN. This hymn was commissioned by “Antwerpen 93”. And this city, on the banks of the river Schelde has been nominated “Cultural Capital of Europe” for 1993. The work-group “animatie” took the initiative and commissioned a hymn, which -as the finale to a grand open-air event on 27th March- was premièred by hundreds of musicians from all over Europe. Philippe Langlet (France) was the conductor at this majestic occasion. Musically speaking the piece can no doubt be labeled easy. Indeed it is meant to represent a hymn, playable by all in different instrumental combinations. Consequently a variable instrumentation was chosen and a type of music, which by native is easily accessible anduncomplicated. The conductor is free -in the instrumentation- to score this piece according to his own taste. It is perhaps advisable to use the sharp brass in the forte parts, in order to make the range in the sound of the orchestra as colouful as possible. The percussion parts are not absolutely essential, so that the hymn can also be performed without percussion. / Niveau : 2 / Musique pour célébration / Répertoire / Fanfare

Par VAN DER ROOST JAN. This major concert work cosists o five movements. 1st movement: La Laguna del ShimbeSituated high up in the Andes mountains in Northern Peru are the Huaringas, a group of lagoons in isolated and mysterious surroundings. The water has healing powersand for centuries traditional healers have settled there in small villages. From far the sick come to the Huaringas to be treated in nightly rituals, in which the hallucinating juice of the San Pedro cactus gives the prophet a look inside hispatient. The biggest lagoon is the “Laguna del Shimbe”, one of the countless wells of the immense Amazon stream. 2nd movement: Los AguarunasFurther downstream in Northern Peru we come across the rain tribe of Los Aguarunas. It’s a proud, beautiful andindependent race, which has never succumbed to domination, not even from the Incas. They live from everything the forest has to offer: fish, fruit, plants, . . . . They also grow some crops and live as semi-nomads. They take their fate into their ownhands and after having made contact with modern civilisation, they have integrated new elements into their lives without betraying their own ways. 3rd movement: MekaronMekaron is an Indian word meaning “picture”, “soul”, “essence”. The Indians are theorigina inhabitants of the Amazon region. They either live in one place as a group or move around a large region. They all have their own political system, their own language and an intense social life. At the same time they are master of music andmedicine. “Everywhere the white man goes, he leaves a wilderness behind him”, wrote the North American Indian leader Seatl in 1885. As a result of these contacts with the whites, the disruption of most Indian societies began. (In this century alone, 80 tribes have vanished completely). 4th movement: KêêtuajêThis is the name of the initiating ceremony of the Krahô tribe in the Brazilian state of Goias, in which young boys and girls enter adult life. They are cleansed with water, painted with redpaint and covered with feathers, after which the ritual dance holds the entire tribe spell-bound. 5th movement: Paulino FaiakanIn 1988 the Indian chiefs Faiakan and Raoni Kaiapo came to Europe to protest against the building of the Altamira dam inBrazil. As a result of the dam the Indians would be driven from their traditional land and enormous artificial would be created. The project was supported financially by, amongst others, the European Community. In February 1989 the Indian tribesaround Altamira held a protest march for the first time in their history together. Amongst other things they paid tribute tot Chico Mendez, who, murdered in 1988, was the leader of the rubber syndicate and a fierce opponent of the destruction of theBrazilian rain forest. Brazilian and world opinion was awakened. The building of the dam was -albeit temporarily - stopped. / Niveau : 6 / Pièce de concert / Répertoire / Fanfare

Arr. Philip Sparke. Par HENRY VIII. The English king, Henry VIII (1491-1547), is mainly remembered for disposing of his wives on a regular basis and breaking with the Catholic Church when the Pope Clement VII refused to grant him a divorce so he could marry Anne Boleyn. As a young man he was a gifted athlete, dancer and composer, writing many songs, poems and consort pieces (though not Greensleeves, as is often believed). Pastime with Good Company is undoubtedly the best-known of these, written in the first years of the 16th century while he was still a handsome prince, newly married to Catherine of Aragon and the envy of Europe. The lyrics tell of the joys of hunting, dancing and singing and would have been sungas part of the court entertainment. This arrangement features a quartet of soloists and two solo drummers. / Niveau : 3 / Répertoire / Fanfare

Par SPARKE PHILIP. Jouée depuis le Moyen Âge par des musiciens juifs itinérants (klezmorim), la musique klezmer est une musique joyeuse colportée de fête en mariage, qui trouve ses origines dans les “shtetl” (villages) et les ghettos d’Europe de l’Est. A Klezmer Karnival (“Festival klezmer”) de Philip Sparke rassemble trois airs traditionnels : Choson Kale Mazel Tov - une danse nuptiale, Freylekh - une danse juive en cercle et Sherele - littéralement « petits ciseaux » - une danse de bergers, d’origine allemande. / Niveau : 2.5 / Musique klezmer / Recueil / Fanfare

Par SPARKE PHILIP. A Little Klezmer Suite est une commande de Rushton Park High School, en Angleterre, pour marquer le cinquantième anniversaire du programme de son harmonie. La pièce a été créée lors d?un concert virtuel en ligne en octobre 2020. La musique klezmer est née dans les ?shtetl? (villages) et les ghettos d?Europe de l?Est, où les troubadours juifs itinérants, connus sous le nom de ?klezmorim?, se produisaient lors de célébrations, en particulier les mariages, depuis le début du Moyen Âge. « Klezmer » est un terme yiddish qui combine les mots hébreux ?kley? (instrument) et ?zemer? (chanson). Les racines de ce style se trouvent dans les mélodies profanes, les danses populaires, le ?hazanut? juif (musique liturgique) ainsi que les ?nigunim?, mélodies sans paroles entonnées par les ?Hasidim? (Juifs orthodoxes). Les mélodies traditionnelles employées dans les quatre mouvements de A Little Klezmer Suite ont toujours été populaires lors des cérémonies de mariage et autres fêtes juives./ Répertoire / Fanfare