Demon In Disguise-?The extraordinary folk-blues guitarist David Bromberg has strolled back into the spotlight as abruptly as he resigned from it nearly three decades ago when he dissolved his fantastic and popular touring band in 1980 to study violin making... The fluid orchestral invention of Bromberg?s fingerpicking ? his original calling card on pivotal late-1960S and 1970S sessions for Jerry Jeff Walker (?Mr. Bojangles?) and Bob Dylan (New Morning) ? is in undiminished bloom invigorating sturdy old blues and ballads.? - ROLLING STONEIn this intimate portrait the legendary David Bromberg talks about his influences and performs the music he loves - a wide panorama of Americanblues folk country bluegrass ragtime jazz and contemporary sounds.Inspired by the music of Pete Seeger and the Weavers among others he began studying the guitar at age 13. After graduating from Tarrytown High School he enrolled at Columbia University intent on a career as a musicologist. During this period he discovered the old recordings of Blind Blake Lonnie Johnson Big Bill Broonzy Marshall Owens Luke Jordan and other great country bluesmen as well as contemporary recordings of B.B.King Freddie King and Albert King. He studied with Rev. Gary Davis for several years and as Rev. Davis said ?I have no children but I have several sons?. David was a son to the great Reverend.Drawn to Greenwich Village's flourishing coffeehouse folk music scene of the mid-1960?s David left Columbia University and opted to devote full time to his music. Shortly thereafter his extraordinary guitar picking and exceptional stylistic range brought him to the attention of many other musicians: Bob Dylan Ringo Starr George Harrison Tom Paxton and Chubby Checker are only a few of the notables who sought David out as a back-up artist for recording. In all he has played as a sideman on over 100 albums.

LE DVD DU CONCERT HOMMAGE DE LAVILLIERS A SON GRAND FRERE LEO ! «Ferré est l'un de mes "modèles en qualité", pour son sens de l'invective, sa marginalité, sa charge d'interprétation. Si je chante, c'est en partie grâce à lui. Ma mère écoutait souvent l'un de ses 25 centimètres: Léo Ferré chante Aragon. J'ai encore ce disque chez moi. Pendant longtemps, il n'a pas du tout été considéré comme interprète, à l'inverse de Brassens ou de Brel. Léo déroutait: il était un peu sulfureux, les gens trouvaient sa voix bizarre, son physique étrange, ses métaphores folles. En 1968-1970, lorsqu'il a rencontré la pop music et collaboré avec le groupe Zoo et les Moody Blues, il a jeté un pont vers les Doors, Patti Smith, Lou Reed, devenant une sorte de Rimbaud en musique, reconnu par tous .». Bernard Lavilliers est intarissable depuis longtemps sur Léo Ferré. En quelques rencontres, sur la fin de la mythique carrière du chanteur monégasque, les deux hommes étaient devenus amis. Léo Ferré était fier de voir en Lavilliers sa propre relève sur une certaine idée de l'engagement en chansons. Depuis longtemps, Lavilliers reprenait des chansons de Léo. Il en a même «fixé» quelques-unes sur ses propres albums («Est-ce ainsi que les hommes vivent ?», «Préface») et a bien sûr participé à l'album hommage «Avec Léo !» en 2003 en reprenant «La mémoire et la mer». Il manquait «seulement» un vrai spectacle totalement dédié à la fraternité des deux artistes. «Lavilliers chante Ferré» fut donc mis en chantier en 2006. En un temps record, un pari quasi insensé pour Bernard qui sortait à peine de la tournée marathon de son album «Carnets de bord». Un répertoire de plus de 25 titres, des concerts enregistrés avec un orchestre symphonique et près de 20 dates en France. En voici le témoignage.

- Record Label: Emi<br /> - Catalog#: 9198229<br /> - Country Of Release: NLD<br /> - Year Of Release: 2010<br /> - Notes: .. Barcelona<br />

- Record Label: Deutsche Grammophon<br /> - Catalog#: 06025 2753098<br /> - Country Of Release: NLD<br /> - Year Of Release: 2010<br />