Par JARRELL MICHAEL. Michael Jarrell définit la série abondante des Assonances...(+)
Par JARRELL MICHAEL. Michael Jarrell définit la série abondante des Assonances comme un, 'cahier d'esquisses' où il pourrait exercer son 'droit de se concentrer sur une idée et de s'y sentir libre'. Assonance III pour clarinette basse, violoncelle et piano se situe essentiellement dans le registre grave pour lequel le compositeur ne cache pas une certaine prédilection - la pérennité des sons de la clarinette basse et du violoncelle est assurée par le piano (couvercle ouvert) placé juste derrière les instrumentistes. Ainsi, en amont de l'écriture, ce dispositif acoustique et instrumental, où le silence a sa part, augure déjà de certains procédés présents effectivement dans l'oeuvre. La pièce s'ouvre sur une figure violente de petites notes rapides et disjointes qui presque instantanément viennent se dissoudre dans les résonances du piano - lesquelles donnent l'illusion de notes tenues. Cependant ce processus, maintes fois relancé et varié, se transforme inéluctablement et bientôt fusent des trilles, des notes répétées, des trémolos de grands intervalles dans des jeux en effet, d'assonance. Une sorte de climax* est atteint à la proportion du Nombre d'Or** (en nombre de mesures tout au moins), point culminant dans lequel la clarinette basse entame une cadence irascible qui très vite se propage aux deux autres instruments. Mais peu à peu, transfigurée en une lente respiration, se rappelle à nous la pulsation initiale et les trois instruments semblent trouver ici un repos. La pièce s'achève en un unisson où, dans la mémoire de l'auditeur, résonnent encore ce que l'on pourrait se risquer à nommer des 'métamorphoses du silence'.
* Climax: apothéose, sommet.
** La proportion du Nombre d'Or a la propriété d'être égale au rapport des deux parties inégales d'un tout, aussi bien qu'a celui du tout et de sa partie la plus grande. Ce rapport est un peu inférieur à deux tiers. / contemporain / Date parution : 1989-01-01/ Répertoire / Clarinette Basse, Violoncelle et Piano
La Métamorphose
(LEVINAS MICHAEL) En Français Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par LEVINAS MICHAEL. Précédé de Je, tu, il, prologue à La Métamorphose sur ...(+)
Par LEVINAS MICHAEL. Précédé de Je, tu, il, prologue à La Métamorphose sur un texte de Valère Novarina.
Au sortir d'un rêve agité, Grégor Samsa s'éveille pour vivre un véritable cauchemar, celui de sa transformation en énorme cancrelat. Tout le monde connaît cette nouvelle de Kafka - elle appartient désormais à nos mythologies contemporaines. L'idée d'en faire un opéra est tellement excitante qu'on en serait presque à se demander pourquoi une telle adaptation n'a encore jamais été tentée. Peut-être parce que la perspective donne le vertige et que l'histoire elle-même semble veiller à sa propre irreprésentabilité ?
Il aura fallu attendre près d'un siècle pour que le texte se métamorphose en opéra grâce à Michaël Levinas et à l'équipe artistique qu'il a réunie. Avec Valère Novarina et Emmanuel Moses, le compositeur opère un travail sur la langue pour révéler sa vocalité lyrique. Le chant du 'sopraniste' Fabrice Di Falco et des autres interprètes est ensuite traité par des techniques d'hybridation informatiques [réalisées à l'Ircam, NDLR].
Toujours en quête 'd'une suggestion d'ébranlement dramatique dans la vibration du son' comme s'il y avait un 'au-delà du son dans le son', la musique de Levinas s'ouvre au fantastique. Ce sentiment de l'extraordinaire sera rendu palpable par les instrumentistes d'Ictus, imbattables quand il s'agit de faire advenir des univers inouïs. L'adaptation scénique est confiée à Stanislas Nordey, homme de théâtre insatiable découvreur de textes contemporains. Il s'est également distingué à l'occasion de nombreuses collaborations avec les plus grands compositeurs de notre temps, parmi lesquels Michaël Levinas. C'est en effet lui qui a mis en scène son précédent opéra composé à partir des Nègres de Jean Genet.
www.opera-lille.fr
Vidéo :
http://culturebox.france3.fr
Du lyrique dans la musique de Michaël Levinas
ou le spectre sur la scène
'L'instant du réveil est le moment risqué entre tous : c'est celui où l'on franchit la frontière. Qui devient-on la nuit ? Que s'est-il passé dans le sommeil de Gregor pour qu'il en sorte ainsi changé en monstre ?
Le réveil, c'est toujours l'entrée dans un monde enchanté.'
Yannick Haenel (1)
Le monde enchanté de Michaël Levinas est celui de ce moment risqué où peut naître un drame et, c'est là la partie visible de l'enchantement, des personnages chantent, vivent et meurent. Nous sommes à l'opéra.
Comment le compositeur parvient-il aujourd'hui à relever en musique le défi de la scène ? Quels moyens musicaux convoque-t-il ? Quel monde harmonique et lyrique bâtit-il ? Car pour sonner à ce point juste sur les planches, il faut que le style lyrique du créateur vienne de bien loin, de profond, non pas d'une circonstance, mais de ce qu'il est musicalement, depuis longtemps, de ce qu'il poursuit assidûment dans son oeuvre.
En 2011, avec La Métamorphose, son troisième ouvrage lyrique, Michaël Levinas a montré une nouvelle fois la maîtrise qu'il avait des données de l'opéra : l'opéra comme théâtre, l'opéra comme lieu où l'est ému par le chant, l'opéra comme institution où la création a sa place.
Quand les spectateurs découvrent à l'opéra le personnage de Gregor imaginé par Michaël Levinas, ils ont déjà entendu un prologue. Intitulé Je, tu, il et composé sur un texte somptueux de Valère Novarina, ce prologue se trouve, dans le temps du récit, en lieu et place de la nuit, d'un rêve sans doute, avant le réveil de Gregor. Les spectateurs assistent à une allégorie des énonciations (les pronoms personnels chantent : 'je', 'tu' et 'il' deviennent un instant des personnages), enlevée, très vive, baroque. Le compositeur (celui qui choisit la succession dans le temps des événements du récit lyrique - Michaël Levinas a largement adapté la nouvelle de Kafka) confie à trois sopranos ce prologue. Ainsi le récit de La Métamorphose débute-t-il par autre chose que lui-même, un autre lyrique qui n'est pas le récit, qui n'est pas même un récit, mais qui prépare à l'écoute de la Passion de Gregor qui suit - l'infra-récit est la préfiguration de l'infra-homonidée kafkaïenne mourante que montrera La Métamorphose - avec toute la résonance de ce parti-pris dramaturgique dans l'histoire politique de l'humanité. Ce geste est théâtral autant que musical. Il est très caractéristique de la sensibilité du compositeur pour ce qui, dans la musique, induit le lyrisme, le lyrisme étant entendu ici comme la mise en oeuvre de 'toutes les puissances que recèle le verbe soumis au rythme et à la mélodie' (2). En un mot, la dimension théâtrale de l'opéra n'est pas reniée par Michaël Levinas - au contraire : elle est exaltée.
Toutes les puissances que recèle le verbe aident le compositeur dans son projet lyrique. Si le chant naît du verbe chez Michaël Levinas, il faut considérer que les parties instrumentales aussi naissent du verbe. Aux parties instrumentales s'ajoutent les parties électroniques qui, dans La Métamorphose autant que dans Les Nègres, opéra de 2003 d'après la pièce éponyme de Jean Genêt, donnent au son ce statut irréel, magique nécessaire à tout lyrisme. Elles aussi sont pensées, écrites, composées comme un prolongement des données du langage. Dans La Métamorphose, la polyphonie vient essentiellement de la voix démultipliée de Gregor et cette démultiplication est autant instrumentale qu'électronique. Le chant - émouvant ô combien - de Gregor est un choral, sa voix est intermédiaire, ni la sienne seule, ni une pluralité identifiable. La voix de Gregor participe d'une singularité inaudible - un monstrueux bien au-delà de l'hybride - pour son entourage qui le conduit à mourir (par décence ? par abandon de ses proches ?). Il y eut dans Les Nègres 'un langage tambouriné tissant des liens entre les phonèmes de la langue et la percussion' (3) et dans cette veine, récemment, Le Poème battu - il y eut en 2008 les réussites madrigalistes de Le 'O' du haut et des Trois chansons pour la Loterie Pierrot et Jean Lagresle sur un texte de Valère Novarina - il y eut enfin, pour La Métamorphose, l'acmé (provisoire - telle est l'activité de création) de l'analyse et de la synthèse sonore par ordinateur de la voix parlée et chantée (4).
Comment faire des mots eux-mêmes un chant, un drame, un opéra enfin ? C'est là tout l'enjeu de la poïétique de Michaël Levinas. Le poïen grec, c'est la réponse à la question du faire. Dès Go-Gol (1996) (5) -le titre, Go-Gol est déjà un jeu de décomposition / recomposition du nom de l'écrivain dont est tiré le livret, le compositeur fait du mot le ressort de sa dramaturgie musicale. Il est entré depuis dans le son du mot lui-même et applique au champ de la linguistique une démarche spectrale (6). Ainsi naît son matériau lyrique. Décortiquant les données des hauteurs, des syllabes, phonèmes et morphèmes, Michaël Levinas - avec l'aide d'un outil informatique de plus en plus puissant - en tire des tournoiements, des arabesques, des lignes qui entent une composition destinée à la scène. L'opéra est bien là un lieu de création. La pointe de ce qui constitue la création musicale - à la fois l'oeuvre d'un compositeur qui est la recherche d'une vie et les outils qu'il utilise en les faisant évoluer - est non seulement viable, mais éminemment émouvante à la scène : la palette que s'est constituée le musicien induit bel et bien cette vibration des affects que tout un chacun veut à l'opéra, toutes époques confondues.
'(...) c'est à l'opéra que, paradoxalement, tend je dirais toute oeuvre instrumentale.' déclarait en 1982 le compositeur (7). En effet, l'oeuvre de Michaël Levinas offre de lire les étapes de cette conception et des recherches qu'elle appelle. Ancrée dans le langage, toute adonnée au théâtre, la lyre de Michaël Levinas allie l'exigence créatrice à la séduction parfois vénéneuse d'une émotion dramatisée avec art. Pour l'heure, le compositeur a fait de la syllabe son mystère. Du mystère naît le drame et, sur scène, d'une dramaturgie naît un mystère par lequel le compositeur nous impose son temps, non pas le temps d'un drame, mais le temps intérieur résonant - pour notre plus grand plaisir.
Benoît Walther, novembre 2011
(1) Interview 'Yannick Haenel, pourquoi aimez-vous La Métamorphose ?', parue dans Kafka, La Métamorphose (page II), traduction et présentation par Bernard Lortholary, Garnier Flammarion, Paris, 2010, 103 pages.
(2) Pierre Grimal, Le Lyrisme à Rome, Introduction (p.15), Presses Universitaires de France, Paris, 1978, 304 pages.
(3) Notice de Michaël Levinas pour l'opéra Les Nègres, mai 2002.
(4) Les parties électroniques de Les Nègres et de La Métamorphose ont été réalisées à l'Ircam.
(5) Le compositeur parle alors de 'traitement animal' de la langue française (Autour de Go-Gol : forme, récit, textualité dans l'opéra contemporain, entretien avec Evelyne Andreani, in : cf note 7).
(6) Est spectrale une musique fondée sur l'analyse du spectre du son : découle de cette analyse l'organisation des paramètres musicaux et, in fine, de toute la composition elle-même. Aujourd'hui, les sons analysés peuvent atteindre des degrés de complexité très grands : par exemple, dans le cas de Michaël Levinas, la pénétration du détail d'une énonciation chantée autant que parlée.
(7) Michaël Levinas, 'Qu'est-ce que l'instrumental ?', texte prononcé à Darmstadt en juillet 1982, in Le Compositeur trouvère, Ecrits et entretiens (1982-2002), textes réunis et annotés par Pierre-Albert Castanet et Danielle Cohen-Levinas (p.33), L'Harmattan, Paris, 2002, 428 pages. / contemporain / Répertoire / Solistes, Choeur et Orchestre
Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Mozart composed the majority of his works for solo ...(+)
Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Mozart composed the majority of his works for solo String Instruments and Orchestra during the years 1773 to 1779. Especially important in this context are the years 1773 and 1775, which witnessed the creation of the five concertos for Violin and Orchestra as well as several single movements for the same scoring. The reasons for this flourish of activity in this domain lie partly in the fact that Mozart, who still occupied the post of concertmaster to the Prince-Archbishop, was either obliged or inspired to provide such works for special occasions during this long period spent in Salzburg. But another reason was certainly the possibility of experimenting withall the new compositional techniques acquired during his third trip to Italy and his stay of several months in Vienna from July to September 1773. The Piano reduction of Mozart ’s G Major Violin Concerto is easier to play, uncluttered and practical with page turns where you need them and where necessary fold-out pages. The solo part gives players the critical Urtext of the New Mozart Edition. The tutti passages are all presented in normal size print for players wanting to perform these sections with the first Violins. An ossia has been included in small print for the last four measures before the first solo passage to allow for the transition to the solo section. A prepared performance part is also included with bowings, fingerings and performance practice comments. An additional brochure is included with todays most performed cadenzas, ”Eingänge” and fermata embellishments by Eugène Ysaÿe, Leopold Auer, Sam Franko and Martin Wulfhorst. This collection offers players a spectrum of styles available in no other publication. Urtext of the New Mozart Edition Full score and parts (BA4865), Violin and Piano reduction (BA4865-90) and study score format 22. 5 x 16. 5cm (TP272) available for sale./ Répertoire / Violon et Orchestre
Véritable défi éditorial, l'ouvrage est proposé ici sous forme d'une éditio...(+)
Véritable défi éditorial, l'ouvrage est proposé ici sous forme d'une édition française augmentée de 280 pages par rapport à la version traduite.
En effet, le texte original, déjà riche, est complété :
- par Gilbert Amy, d'un chapitre nous offrant son regard sur l'orchestre en musique contemporaine aujourd'hui. - par Bruno Gillet, de trois chapitres concernant la voix humaine - de 60 pages de commentaires et annotations, à vocation pédagogiques, du traducteur de l'ouvrage Philippe Vernier - d'un index complet et performant sans lequel une telle ampleur de contenu se révèlerait assez rapidement vaine. / [Etude de l'Orchestration - Traité Pratique] / Livre /
Couverture Rigide. Par GLUCK CHRISTOPH WILLIBALD. For his Paris 'Cythère assié...(+)
Couverture Rigide. Par GLUCK CHRISTOPH WILLIBALD. For his Paris 'Cythère assiégée?, Gluck drew on his eponymous opéra comique from 1759, transforming it into an opéra-ballet. The libretto which was expanded by Charles Simon Favart was adapted: Gluck added recitative passages, reworked individual sections and also added his own compositions, modifying them in parts. By March 1775, the compositional work had progressed sufficiently for Gluck to leave behind a copy of the score as he departed from Paris. However, he was unable to supervise rehearsals or be present at the premiere (1 August 1775) or any of the subsequent 21 performances. Due to these particular circumstances, three versions of the work are to be distinguished: the original version, the performed version and the printed version.
This edition of 'Cythère assiégée? contains the original version of the main part and is printed here for the first time. The reconstruction which was necessary in order to determine the original form of this opera draws on all orchestral parts, the printed score and with regard to a large gap in Act III, pages were taken from the score copy. The four-part appendix includes the changes made to this score copy, sections that deviate from the printed score as well as the final version of Act III, also from the printed score. The last part of the appendix also presents a Divertissement in six movements by Berton, which is only available as a rare contemporary set of printed parts.
The Foreword offers detailed information regarding the work's genesis, subject matter, preparations for performance and print, premiere, reception, and this edition. Selected pages from significant musical sources, the libretto of the premiere performance, and images illuminating the performance context, have been added as facsimiles./ Répertoire / Conducteur
A majestic festival of sound!An ideal choice for your band’s first festiv...(+)
A majestic festival of sound!An ideal choice for your band’s first festival experience Sovereign Pageantry includes tutti scoring as well as call-and-response interchanges between the sections. The fanfare and procession in a stately tempo brings to mind the imperial castle guards and antiphonal brasses from high upon battlements as the noble family promenades on a joyous day of celebration.The music encourages a full sound and smooth tasteful articulations from your young band.Resplendent!
A majestic festival of sound!An ideal choice for your band’s first festiv...(+)
A majestic festival of sound!An ideal choice for your band’s first festival experience Sovereign Pageantry includes tutti scoring as well as call-and-response interchanges between the sections. The fanfare and procession in a stately tempo brings to mind the imperial castle guards and antiphonal brasses from high upon battlements as the noble family promenades on a joyous day of celebration. The music encourages a full sound and smooth tasteful articulations from your young band.Resplendent!
Prelude to a Pageant fut command? par le Woodley Concert Band pour c?l?brer son ...(+)
Prelude to a Pageant fut command? par le Woodley Concert Band pour c?l?brer son 40e anniversaire en 2014. Cette ?uvre festive comprend des insinuations au c?l?bre ? The Reading Rota ? (Sumer is icumen in) un manuscrit datant d?environ 1240 d?couvert pr?s de l?Abbaye de Reading. Cet air vif figure vers le d?but de l??uvre apr?s un d?but vigoureux et rythmique et une section expressive et plus lente et forme aussi l?apog?e finale.
Par BRIDGE FRANK. Frank Bridge was one of the finest English composers of the fi...(+)
Par BRIDGE FRANK. Frank Bridge was one of the finest English composers of the first half of the 20th century. The Pageant of London is his only work for wind band, comprising of two marches, one scored from Bridge’s best known organ piece and including the chimes ofBig Ben, plus three short renaissance pastiche items, one arranged from Playford (later used by Peter Warlock in Capriol Suite). The music is tuneful, approachable and, in the words of wind band ‘legend’ Timothy Reynish makes a fine alternative toHolst’s two suites, which were composed around the same time. Reynish has introduced this work to concert bands right across the world. It has been performed in USA and the Far East, recorded by the celebrated Kosei Wind Orchestra of Japan and alsoby the BBC National Orchestra of Wales in the Chandos edition of Bridge Orchestral Music./ Répertoire / Orchestre D'Harmonie
Par HOSAY JAMES L.. A majestic festival of sound!An ideal choice for your band...(+)
Par HOSAY JAMES L.. A majestic festival of sound!An ideal choice for your band’s first festival experience, Sovereign Pageantry includes tutti scoring as well as call-and-response interchanges between the sections. The fanfare and procession in a stately tempo brings to mind the imperial castle guards and antiphonal brasses from high upon battlements as the noble family promenades on a joyous day of celebration. The music encourages a full sound and smooth, tasteful articulations from your young band. Resplendent! / Niveau : 5 / Répertoire / Concert Band ou Harmonie
Par BRIDGE FRANK. Frank Bridge was one of the finest English composers of the fi...(+)
Par BRIDGE FRANK. Frank Bridge was one of the finest English composers of the first half of the 20th century. The Pageant of London is his only work for wind band, comprising of two marches, one scored from Bridge’s best known organ piece and including the chimes ofBig Ben, plus three short renaissance pastiche items, one arranged from Playford (later used by Peter Warlock in Capriol Suite). The music is tuneful, approachable and, in the words of wind band ‘legend’ Timothy Reynish makes a fine alternative toHolst’s two suites, which were composed around the same time. Reynish has introduced this work to concert bands right across the world. It has been performed in USA and the Far East, recorded by the celebrated Kosei Wind Orchestra of Japan and alsoby the BBC National Orchestra of Wales in the Chandos edition of Bridge Orchestral Music./ Répertoire / Orchestre D'Harmonie
Prelude to a Pageant fut command? par le Woodley Concert Band pour c?l?brer son ...(+)
Prelude to a Pageant fut command? par le Woodley Concert Band pour c?l?brer son 40e anniversaire en 2014. Cette ?uvre festive comprend des insinuations au c?l?bre ? The Reading Rota ? (Sumer is icumen in) un manuscrit datant d?environ 1240 d?couvert pr?s de l?Abbaye de Reading. Cet air vif figure vers le d?but de l??uvre apr?s un d?but vigoureux et rythmique et une section expressive et plus lente et forme aussi l?apog?e finale.
Par PAULET VINCENT. Une fois esquissées les premières pages de cette partition...(+)
Par PAULET VINCENT. Une fois esquissées les premières pages de cette partition, il m'est apparu que la musique que je découvrais progressivement pouvait suggérer, par analogie, une succession de déclinaisons lumineuses - je me pris alors à imaginer les métamorphoses d'un paysage (lui aussi parfaitement imaginaire) au gré de l'évolution de la lumière du jour, puis à envisager cette poétique comme celle de la célébration de la Terre et du soleil s'unissant dans un tel spectacle, d'où le titre de l'oeuvre.
Cinq mouvements, ou 'poèmes solaires' (ce fut ma première idée de titre) s'enchaînent, dont les indications de tempo sont les suivantes : moderato, presto, moderato, presto, largo puis (sans transition) presto. A posteriori, la lumière d'abord pâle puis progressivement plus intense de la première pièce m'évoque l'aube et l'éclairage déclinant de la dernière un crépuscule - dans cette logique, la relative pesanteur, l'éclat quelque peu 'plombé' du mouvement central, généralement statique, pourra suggérer à son tour l'ambiance lumineuse parfois écrasante de midi, les mouvements intermédiaires apparaissant, quant à eux, comme deux avatars d'une même danse incandescente. L'évolution du discours est toutefois d'ordre purement musical, sa résultante orchestrale mettant, par ailleurs, plus souvent en oeuvre un ensemble de solistes qu'une fusion de masses sonores.
Ces 'Noces de lumière', écrites entre l'automne 2004 et le printemps 2006, répondent à une commande passée par la Fondation d'Entreprise Groupe Banque Populaire. Elles sont dédiées conjointement à Laurent Petitgirard, qui, en tant que conseiller artistique de cette Fondation, est à l'origine de l'oeuvre, et à John Nelson, qui, à la tête de l'Ensemble Orchestral de Paris, en dirigea la première audition au Théâtre des Champs-Elysées.
Vincent Paulet / contemporain / Répertoire / Orchestre
Aimez-Vous Mozart?
(NAULAIS JEROME) C Trumpetor et Trompette Sib/Cornet et
Piano[Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé FLEX Editions
Trumpet in C, Trumpet in Bb and Piano. Par NAULAIS JEROME. J'ai eu envie d'élab...(+)
Trumpet in C, Trumpet in Bb and Piano. Par NAULAIS JEROME. J'ai eu envie d'élaborer un Medley revu et corrigé' sur quelques pages célèbres de ce génial compositeur qu'est Mozart. L'interprète prendra du plaisir à jouer cette partition bien adaptée à son instrument. ' - Jérôme NAULAIS - Une Pièce originale adaptée pour une audition ou un examen de Cycle II - Formation : Musique de Chambre, Duo, Solo and Accompagnement Piano - Instrumentation : 1 Trompette en Utou 1 Trompette ou Cornet Sib 1 Piano - Niveau de Difficulté : 4/6 - Intermédiaire/Avancé - Durée : 5 mn 45 s - Style Musical : Classique, Pédagogique - Catégorie : Composition Originale - Compositeur : Jérôme NAULAIS - / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Classique, Pédagogique / Répertoire / C Trumpetor et Trompette Sib/Cornet et Piano
Aimez-Vous Bach? (NAULAIS
JEROME) C Trumpetor et Trompette Sib/Cornet et
Piano[Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé FLEX Editions
Trumpet in C, Trumpet in Bb and Piano. Par NAULAIS JEROME. J'ai eu l'envie d'éc...(+)
Trumpet in C, Trumpet in Bb and Piano. Par NAULAIS JEROME. J'ai eu l'envie d'écrire un Medley sur certaines grandes pages musicales incontournables de ce génial compositeur qu'est Johann Sebastian Bach. Les interprètes prendront du plaisir à jouer ces thèmes adaptés à leur instrument. - Jérôme NAULAIS - Une Pièce originale adaptée pour une audition ou un examen de Cycle II - Formation : Musique de Chambre, Duo, Solo and Accompagnement Piano - Instrumentation : 1 Trompette en Utou 1 Trompette ou Cornet Sib 1 Piano - Niveau de Difficulté : 4/6 - Intermédiaire/Avancé - Durée : 6 mn 55 s - Style Musical : Classique, Pédagogique - Catégorie : Composition Originale - Compositeur : Jérôme NAULAIS - / Niveau : Intermédiaire à Avancé / Classique, Pédagogique / Répertoire / C Trumpetor et Trompette Sib/Cornet et Piano
Par KAUFMAN STEVE. L'idée ici est d'aider à coordonner les préparateurs de so...(+)
Par KAUFMAN STEVE. L'idée ici est d'aider à coordonner les préparateurs de sorte que vous avez tous solos de jouer et ils peuvent être joués dans la même clé. Quel concept - une ' Band dans le livre '. Dans ces pages, vous trouverez des solos pour toute la bande : lead guitare, guitare, banjo, mandoline, violon et basse. La mandoline et violon partagent les ajustements apportés mêmes leurs solos sont donc écrites juste une fois pour les deux. Si vous commencent tout juste et si vous avez des solos de difficulté-conclusion pour votre niveau - regardez pas plus. Ces solos sont écrits pour le débutant, niveau étudiant, en supposant que vous peut déjà jouer quelques solos de simples ou mener des pauses. Cette série vous aidera à apprendre des solos sur plusieurs instruments, aider à organiser à jouer ensemble, d'aider à développer un sentiment constant du moment et vous donner des heures de plaisir aussi bien. / Niveau : Débutant / Bluegrass - Solos / Recueil / Ensemble
Par FELDMANN WALTER. Commissioned by the Ensemble Intercontemporain In 1989 I fi...(+)
Par FELDMANN WALTER. Commissioned by the Ensemble Intercontemporain In 1989 I first discovered the writings of Anne-Marie Albiach. H II linéaires especially impressed me, on the one hand through the sensual presence of the words, and on the other hand, above all, through the spatial disposition of the typography. This is a form of writing which has nothing to do with all that has existed before it. This impression was the starting point for a creative work which has since become a kind of a project to which I will dedicate myself throughout my life. Since that time of my first discovery (in which hundreds of pages of sketches and a published excerpt of a score of a syntagma have been composed, namely « monstrueuse vécut dans le cadre » la mémoire) I have attempted to develop a new musical system that encompasses all the parameters of composition. All of these works which I have composed are independent from this enormous project, but at the same time they form the experimental laboratory for the all-encompassing musical system towards which I am working and developing: a new system of determining pitches, metre, dynamics, musical diction, manner of performance, etc. With « monstrueuse vécut dans le cadre » la mémoire it appears that the research for this project has been concluded. After the two large cycles « Les Géorgiques » on texts from Claude Simon and « Tristram Shandy » from Laurence Sterne, both employing techniques from my work with Albiach’s texts, I could finally compose this work, which was originally conceived for voice and 6 instrumental groups – the system was mastered, so to speak. Anne-Marie Albiach’s establishes the genetic code for the piece, without the words having to be spoken. . Her text is, in the true sense of the word, measured from one syntagma (syntactical element), from one void (space) to another, and this results in temporal structures of ensemble texture. This is opposed to another texture, which is the temporal measurement of a recitation of the text by the author: her voice, using the range of her/ Répertoire / Alto Solo, Grand Ensemble en 6 groupes: 1) Contreb
Par SCHWARZ OTTO M.. Deux jeunes gens de Felanitx sur l?île de Majorque : Pere ...(+)
Par SCHWARZ OTTO M.. Deux jeunes gens de Felanitx sur l?île de Majorque : Pere Obrador et Miquel Angel Cerda. Après leur scolarité, l?un resta sur l?île pendant que l?autre alla à Madrid pour étudier. Après quelques années, Miquel décida de rentrer à cause du mal du pays et car la mer lui manquait. L?année 1994 a été marqué par un grand événement dans la vie des deux 'frères'. Ils ont concrétisé leur rêve : produire ensemble leur premier vin. Leur vision : produire un authentique vin des Baléares à partir de cépages locaux comme le callet, le mantonegro et le fogoneu. Anima Negra : l?évocation dans un verre de vin de Majorque. Reflet du soleil, de la salinité du terroir et l?énergie de l?île, le vin a ainsi conquis le monde entier. / Date parution : 2022-04-05/ Répertoire / Fanfare
Un livre manuscrit handy, poche imprimée sur du papier blanc, poids régulière...(+)
Un livre manuscrit handy, poche imprimée sur du papier blanc, poids régulière. Chacun des 32 pages a 6-bâtons, qui rend ce livre une valeur énorme pour n'importe quel auteur de la chanson ! / Niveau : Débutant / All Styles - Manuscript / Recueil / Tout Instrument
Par BEATLES THE. In over one thousand pages, the complete music and lyrics, in f...(+)
Par BEATLES THE. In over one thousand pages, the complete music and lyrics, in full 'rock score' transcriptions, of all the 203 songs they wrote and recorded as The Beatles, plus nine by others which they covered on their early albums. All transcribed with separate staves for vocals, each guitar (in tab and standard notation) and all other instruments...the essential Beatles collection. / Niveau : Intermédiaire / Rép International / Recueil / Conducteur
Farewell to philosophy. Par BRYARS GAVIN. I have a great fondness for the lower ...(+)
Farewell to philosophy. Par BRYARS GAVIN. I have a great fondness for the lower string instruments: I am a bass player, my mother is a cellist, as are both my daughters; my own ensemble includes two violas, a cello and a bass, and for the instrumentation of my opera Medea I omit the entire violin section from the orchestra. As I have written a number of works for solo instrument or voice with orchestra I welcomed the opportunity to write a concerto for cello and orchestra and especially one which focuses particularly on the instrument’s lyrical qualities. Although the piece is in one continuous movement, and the soloist is playing almost without a break, it nevertheless falls into distinct sections which are recognisable by a shift of tempo as well as by a change in the music’s character.
One of the early ideas Julian Lloyd Webber and I discussed was that it might form a companion piece to one of the Haydn concertos. Given my friendship with some members of the English Chamber Orchestra and my awareness of their repertoire, this suggested a number of particular musical references. The subtitle to the work, for example, combines the subtitles of two idiosyncratic Haydn symphonies and I allude to them in different ways but chiefly through orchestration: for The Philosopher by including a section in the concerto where the orchestration resembles that of the symphony’s first movement (pairs of English and French horns, muted violins and unmuted lower strings); for The Farewell, by the progressive reduction in the orchestration towards the end. Indeed, apart from the orchestral tutti in the last few bars, the last pages of the score are virtually for string quartet. The subtitle also refers to my own background as a philosophy graduate...
The piece was commissioned by Philips Classics for Julian Lloyd Webber and is dedicated to him.
The first performance was given by Julian Lloyd Webber and the English Chamber Orchestra conducted by James Judd, 21 November 1995, Barbican Hall, London.
Gavin Bryars/ Répertoire / Violoncelle et Orchestre
Fassung für Klavier und Streichquartett. Par MENDELSSOHN-BARTHOLDY FELIX. En hi...(+)
Fassung für Klavier und Streichquartett. Par MENDELSSOHN-BARTHOLDY FELIX. En histoire de la musique il ya plusieurs exemples de concertos pour piano édité et joué par les compositeurs dans d'autres versions de musique de chambre. Les concertos KV 415 et KV 450 de Wolfgang Amadeus Mozart sont peut-être le plus populaire d'entre eux. Lorsque l'éditeur a trouvé ce titre annexé antiquaire-page du Premier Concerto pour piano en sol mineur de Felix Mendelssohn Bartholdy, il a eu l'idée spontanée de faire revivre cette pratique historique de la scène. Le texte de la page de titre dit: 'Premier Concerto pour piano forte, telle que pratiquée par l'auteur à l'Orchestre philharmonique de concerts, avec un accompagnement d'orchestre ou quatuor.' La présente version pour piano et quatuor à cordes a été reconstruite à partir de la partition d'orchestre à l'examen attentif des aspects mélodiques et thématiques.
/ Répertoire / Quatuor à Cordes et Piano
Miniature Score. Par MAHLER GUSTAV. This profound work which obsessed Mahler for...(+)
Miniature Score. Par MAHLER GUSTAV. This profound work which obsessed Mahler for seven years, is presented here in full score with original instrumentation, bar numbered movements and with ample margins at the bottom of each score page for notes and analysis./ Répertoire / Partition de Poche