Arr. Roland Kernen. Par TRADITIONAL. Es kommt ein Schiff, geladen est un célèbre choral allemand du temps de l’Avent, dans lequel la Nativité s’exprime par la métaphore du bateau portant la cargaison divine jusque sur la terre où il jette l’ancre. Daté du début du XVe siècle, ce choral a la particularité d’être à la fois en ternaire et en binaire. Utilisant différentes ornementations, Roland Kernen a réalisé un arrangement de quatre des six strophes du cantique, auxquelles ont été ajoutés un prélude, un postlude et des interludes. La pièce constitue ainsi une composition variée qui installe un climat de mystère étonnant avant de fêter la naissance de Jésus à Noël. / Niveau : 2 / Musique religieuse / Répertoire / Fanfare

Arr. Henk Hogestein. Par TRADITIONAL. Pour réaliser cet arrangement pour ensemble à vent à instrumentation variable, Henk Hogestein a choisi les lignes mélodiques des trois chants de Noël polonais Lulajze Jezuniu (“Dors, petit Jésus, dors”), Dzisiaj w Betlejem (“Aujourd’hui à Bethléem”) et Gdy sliczna panna (“La Vierge Marie berce son enfant”). Une variation de lumière pour un Noël polonais au charme authentique. / Niveau : 1.5 / Musique traditionnelle / Date parution : 1905-06-29/ Recueil / Brass Band

Arr. Roland Kernen. Par TRADITIONAL. Es kommt ein Schiff, geladen est un célèbre choral allemand du temps de l’Avent, dans lequel la Nativité s’exprime par la métaphore du bateau portant la cargaison divine jusque sur la terre où il jette l’ancre. Daté du début du XVe siècle, ce choral a la particularité d’être à la fois en ternaire et en binaire. Utilisant différentes ornementations, Roland Kernen a réalisé un arrangement de quatre des six strophes du cantique, auxquelles ont été ajoutés un prélude, un postlude et des interludes. La pièce constitue ainsi une composition variée qui installe un climat de mystère étonnant avant de fêter la naissance de Jésus à Noël. / Niveau : 2 / Musique religieuse / Répertoire / Fanfare

Arr. Roland Kernen. Par TRADITIONAL. Es kommt ein Schiff, geladen est un célèbre choral allemand du temps de l’Avent, dans lequel la Nativité s’exprime par la métaphore du bateau portant la cargaison divine jusque sur la terre où il jette l’ancre. Daté du début du XVe siècle, ce choral a la particularité d’être à la fois en ternaire et en binaire. Utilisant différentes ornementations, Roland Kernen a réalisé un arrangement de quatre des six strophes du cantique, auxquelles ont été ajoutés un prélude, un postlude et des interludes. La pièce constitue ainsi une composition variée qui installe un climat de mystère étonnant avant de fêter la naissance de Jésus à Noël. / Niveau : 2 / Musique religieuse / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Arr. Johan J. De With. Par TRADITIONAL. International (more than one language) / Niveau : Avancé / Musique traditionnelle des pays de l'Est / Recueil / Orchestre d'Accordéons

Arr. Johan J. De With. Par TRADITIONAL. / Niveau : 5 / Répertoire / Orchestre d'Accordéons

Among the glories of the Baroque era is a legacy of concertos for multiple soloists, in which two, three, or a complete ensemble interact with the orchestra. A product of that fine tradition, this work is rooted in earlier pieces that lend it a distinctive color and structure.

Traditional. Hanouka est la Fête des Lumières. Elle commémore la Nouvelle Dédicace (vers l’an 165 av. J. -C. ) du Second Temple de Jérusalem trois ans après sa profanation par Antiochus IV Epiphane, roi de Syrie. Hanouka commence le 25 du mois de Kislev (décembre) et dure huit jours. Les Juifs célèbrent cette fête par des prières, des chants et par l’illumination de la Menorah sur laquelle on allume chaque jour une lumière nouvelle. Hannukah Dance de Stephen Bulla reflète, par son caractère joyeux, l’atmosphère qui règne autour de cette fête. / Niveau : 2 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par DUFOURT HUGUES. Contrairement à l'esprit des recherches récentes pour lesquelles la formation orchestrale ne représente qu'un support destiné à amplifier des habitudes d'expression originellement conçues pour l'orchestre de chambre ou un medium occasionnel auquel on transpose des innovations venues pour la plupart de l'électroacoustique, j'ai pour dessein de reprendre et de renouveler le système de l'orchestre. Celui-ci ne se réduit pas pour moi à la neutralité d'une source sonore indifféremment disponible à une diversité de constructions abstraites ou d'esthétiques préconçues. Pour obtenir le plein rendement de l'orchestre, il faut d'abord renoncer au primat trop longtemps maintenu d'une écriture impropre : contrepoint instrumenté, jeux coloristes ou axiomatique appliquée. A cet égard, l'orchestre me paraît aujourd'hui encore un instrument sous-exploité et en retard sur ses possibilités. Son vrai régime, me semble-t-il, s'inscrit dans une tradition d'énergie qu'on ne peut retrouver qu'en la radicalisant. Toute l'expérience accumulée depuis plus de deux siècles et laissée à l'usage doit être explicitée, assumée, formulée et traduire dans un ordre spécifique de contraintes, qui nous donnera de nouvelles prises sur le phénomène sonore. Ecrire pour l'orchestre, c'est faire prévaloir le point de vue de la dynamique, de la totalité et de la synthèse. La virtuosité collective dépend d'une virtuosité d'écriture qui doit être mobilisatrice. J'ai veillé à réduire les facteurs d'inertie en jouant sur les constantes interactions du dispositif instrumental. J'ai recherché une grammaire adaptée à ce matériau explosif, instable ou évoluttif. Aucun des principes d'écritures issus du traitement des hauteurs ne résiste à la lave orchestrale. Mieux vaut renoncer à toutes nos catégories usuelles et prendre le parti d'une formalisation sans catégories, plus conforme à la mobiIité des enjeux et des hiérarchies. Le titre désigne une certaine idée du temps que j'ai voulu traduire à l'orchestre : temps d'imminence, d'angoisse et de fragmentation, temps d'une genèse qui sera aussi conflagration, temps du ravage et de la libération, un temps sans pessimisme qui, par-delà le paradoxe et le paroxysme, affirme sa maîtrise et retrouve ses moyens. Hugues Dufourt / contemporain / Répertoire / Orchestre

Par SPARKE PHILIP. La plupart des pays ayant institué la tradition des musiques militaires ont développé un style de marche caractéristique. Ainsi, il est relativement aisé de distinguer une marche américaine d’une marche militaire française ou une marche allemande d’une marche espagnole. À l’intérieur du cadre structurel rigide d’une marche, on réussit à percevoir même les plus subtiles différences de rythme, d’harmonie et de tempo qui caractérisent les traditions de chaque pays. Il existe un, ou plus exactement deux styles de marche typiquement anglais : celui des marches militaires représenté par des compositeurs tels que Kenneth J. Alford, et celui des marches cérémonielles ou de concert quiatteindra l’excellence avec les marches orchestrales d’Elgar et Walton, entre autres. Royal Salute (“Salut royal”) est une marche de difficulté moyenne qui perpétue cette grande tradition. On y retrouve des éléments typiques : des mélodies et contremélodies amples, et un trio nobilmente. / Niveau : 3 / Marche de concert / Répertoire / Fanfare

Par SPARKE PHILIP. « La plupart des traditions de Noël en Angleterre sont relativement récentes. Montée sur le trône en 1837, la reine Victoria (née de Hanovre) régnera jusqu?à sa mort en 1901. En 1840, elle épousa son cousin, le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha. Leprince consort, originaire d?Allemagne, importa bon nombre de traditions de Noël allemandes au Royaume-Uni. Ainsi, il fit découvrir aux Anglais la coutume du sapin et les cartes de Noël, entre autres, contribuant largement au Noël typiquement anglaistel que nous le connaissons aujourd?hui. Bien que les chants de Noël font l?objet d?une longue tradition en Angleterre, de nombreuses mélodies que nous chantons proviennent ducontinent européen ou des États-Unis. Je savais bien que le célébrissime Silent Night (Douce nuit) était d?origine autrichienne et que Hark, the Herald Angels Sing (Écoutez le chant des Anges) était d?origine allemande. Pourtant, quelle ne fut pas ma surprise d?apprendre qu? Away in a Manger (Sur la paillefraîche) ou encore We Three Kings nous venaient des États-Unis et que Ding, Dong Merrily on High était un noël d?origine française. Quoiqu?il en soit, j?ai réussi à constituer un canevas de mélodies anglaises pour réaliser cefestival de chants de Noël. »Philip SparkeRemarques sur l?interprétation : Cet arrangement est adapté pour une interprétation avec ou sans Choeur. S?il est joué par un Brass Band, les parties vocales seront doublées par des partiesinstrumentales. Les tempi indiqués correspondent à une interprétation par un Brass Band seul. Si l?oeuvre est donnée avec un Choeur, il est sans doute nécessaire de baisser le tempo en fonction du nombre de choristes et de l?acoustique du lieude concert. Les parties de Choeur (en anglais) sont disponibles séparément (Réf. : AMP 227-050). / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Brass Band

Par SPARKE PHILIP. La plupart des pays ayant institué la tradition des musiques militaires ont développé un style de marche caractéristique. Ainsi, il est relativement aisé de distinguer une marche américaine d’une marche militaire française ou une marche allemande d’une marche espagnole. À l’intérieur du cadre structurel rigide d’une marche, on réussit à percevoir même les plus subtiles différences de rythme, d’harmonie et de tempo qui caractérisent les traditions de chaque pays. Il existe un, ou plus exactement deux styles de marche typiquement anglais : celui des marches militaires représenté par des compositeurs tels que Kenneth J. Alford, et celui des marches cérémonielles ou de concert quiatteindra l’excellence avec les marches orchestrales d’Elgar et Walton, entre autres. Royal Salute (“Salut royal”) est une marche de difficulté moyenne qui perpétue cette grande tradition. On y retrouve des éléments typiques : des mélodies et contremélodies amples, et un trio nobilmente. / Niveau : 3 / Marche de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par SPARKE PHILIP. La plupart des pays ayant institué la tradition des musiques militaires ont développé un style de marche caractéristique. Ainsi, il est relativement aisé de distinguer une marche américaine d’une marche militaire française ou une marche allemande d’une marche espagnole. À l’intérieur du cadre structurel rigide d’une marche, on réussit à percevoir même les plus subtiles différences de rythme, d’harmonie et de tempo qui caractérisent les traditions de chaque pays. Il existe un, ou plus exactement deux styles de marche typiquement anglais : celui des marches militaires représenté par des compositeurs tels que Kenneth J. Alford, et celui des marches cérémonielles ou de concert quiatteindra l’excellence avec les marches orchestrales d’Elgar et Walton, entre autres. Royal Salute (“Salut royal”) est une marche de difficulté moyenne qui perpétue cette grande tradition. On y retrouve des éléments typiques : des mélodies et contremélodies amples, et un trio nobilmente. / Niveau : 3 / Marche de concert / Répertoire / Brass Band

Par SPARKE PHILIP. « La plupart des traditions de Noël en Angleterre sont relativement récentes. Montée sur le trône en 1837, la reine Victoria (née de Hanovre) régnera jusqu?à sa mort en 1901. En 1840, elle épousa son cousin, le prince Albert de Saxe-Cobourg-Gotha. Leprince consort, originaire d?Allemagne, importa bon nombre de traditions de Noël allemandes au Royaume-Uni. Ainsi, il fit découvrir aux Anglais la coutume du sapin et les cartes de Noël, entre autres, contribuant largement au Noël typiquement anglaistel que nous le connaissons aujourd?hui. Bien que les chants de Noël font l?objet d?une longue tradition en Angleterre, de nombreuses mélodies que nous chantons proviennent ducontinent européen ou des États-Unis. Je savais bien que le célébrissime Silent Night (Douce nuit) était d?origine autrichienne et que Hark, the Herald Angels Sing (Écoutez le chant des Anges) était d?origine allemande. Pourtant, quelle ne fut pas ma surprise d?apprendre qu? Away in a Manger (Sur la paillefraîche) ou encore We Three Kings nous venaient des États-Unis et que Ding, Dong Merrily on High était un noël d?origine française. Quoiqu?il en soit, j?ai réussi à constituer un canevas de mélodies anglaises pour réaliser cefestival de chants de Noël. »Philip SparkeRemarques sur l?interprétation : Cet arrangement est adapté pour une interprétation avec ou sans Choeur. S?il est joué par un Orchestre d?Harmonie seul, les parties vocales seront doublées par des partiesinstrumentales. Les tempi indiqués correspondent à une interprétation par un Orchestre d?Harmonie seul. Si l?oeuvre est donnée avec un Choeur, il est sans doute nécessaire de baisser le tempo en fonction du nombre de choristes et del?acoustique du lieu de concert. Les parties de Choeur (en anglais) sont disponibles séparément (Réf. : AMP 227-050). / Niveau : 3 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

'Twas in the Moon of Wintertime' est une tradition canadienne Carol qui a été écrit dans la langue huronne Indien par un missionnaire jésuite. Robert W. Smith saisit la mystique de la culture amérindienne, et les voix de la percussion d'être aussi 'ethniquement' précise que possible. C'est du pur Robert W. Smith notation. Hantise! / Concert Band