Par PEPIN CAMILLE. Lorsque l'on m'a proposé de mettre en musique ce recueil de poèmes de James Joyce (1882-1941), j'ai été immédiatement séduite par l'idée. Il s'agissait de mettre en musique ces poèmes en respectant l'ordre original selon lequel ils ont été conçus par James Joyce lui-même lors de la première édition de 1905 [1]. Avec la précieuse aide de Philippe Blanchon [2], j'ai choisi de mettre en musique dix-huit poèmes, conservant ainsi les épisodes incontournables, la trame dramaturgique et l'essence de l'univers Joycien. Ce qui m'a attirée d'emblée, c'est qu'il s'agit d'une véritable histoire : de la naissance de l'amour à la passion déclinante, menant à une éventuelle et tendre amitié entre les deux amants. J'ai donc conçu Chamber Music d'un seul tenant. Au-delà des nombreuses références à la musique et aux sons de la nature - déjà 'musique' en eux-mêmes - l'oeuvre littéraire appelle à la mise en musique par sa forme. En effet, elle est déjà musicale dans sa construction. Les trois premiers poèmes constituent le prélude exprimant la solitude du poète. Nous assistons dans la première partie - crescendo - à la naissance de l'amour entre les deux amants, menant au poème central et point culminant de l'oeuvre : 'My Dove, my beautiful one'. La seconde partie - diminuendo - raconte la passion déclinante des amants qui nous conduit au finale, écho du premier poème et à la solitude du poète. Le prélude musical illustre le paysage - tant visuel que sonore - décrit par James Joyce : 'Strings in the earth and air make music sweet', 'There's music along the river', 'The sighs of harps', 'Soft sweet music in the air'. Inspirées de sonorités traditionnelles irlandaises, les mélodies de la première partie présentent un aspect populaire issu du folklore, comme une ode au monde de la danse - prégnant en Irlande. Ces mélodies modales et mélismatiques semblent improvisées, à la manière du chant gaélique irlandais. Elles se transforment au fur et à mesure en une véritable épopée romantique, expression de la relation passionnelle et charnelle des deux amants : 'Hurry over the dark lands and run upon the sea for seas and land shall not divide us my love and me', 'The odorous winds are weaving a music of sighs'. Ces mélodies extatiques, à la fois tendres et fragiles, tentent d'exprimer cette ivresse, cet état extatique - véritable état de 'transe' qui nous submerge lorsque l'amour envahit notre âme sans que l'on s'en aperçoive. La deuxième partie reprend ces divers éléments musicaux dans leur cheminement inverse. Passés par le filtre de la mélancolie de l'amour déclinant au fil du temps, ils témoignent de la perte de repères après la séparation avec l'être aimé : 'Lay aside sadness and sing how love that passes is enough', 'Love came to us in time gone by'. Enfin, le finale exprime le retour à la solitude du poète, comme une résonance du début de l'oeuvre : 'The voice of the winter is heard at the door', 'My kiss will give peace now and quiet to your heart'. Sans cesse en écho les unes des autres, les mélodies s'entremêlent dans un contrepoint lyrique et sensuel. En effet, le titre même du recueil m'a inspiré une oeuvre où chaque instrument serait d'égale importance. Le lyrisme de l'un ne peut exister sans l'autre. Ainsi, le rôle du quintette n'est pas seulement un accompagnement de la voix soliste. Leurs lignes d'amour se mêlent avec volupté les unes aux autres. Plonger dans l'univers Joycien a impliqué mon immersion totale dans l'oeuvre. Lire ses mots, penser ses images, imaginer ses sonorités, a été un travail passionnant et c'est avec nostalgie que je referme ce recueil aujourd'hui. J'espère cependant avoir su retranscrire son univers poétique au plus proche. Je profite de cette note pour remercier Philippe Blanchon pour son aide précieuse et Claire Bodin [3] pour sa confiance. C'est à la fois un grand honneur et un plaisir immense de rendre hommage à si grand artiste et de voir ce chef d'oeuvre littéraire naître une seconde fois en musique. / Contemporain / Répertoire / Sextuor

Par JANITSCH JOHANN GOTTLIEB. / Répertoire / 3 Hautbois (Flûtes Traversières, Violons), Alto et

Mendelssohn fait sa première visite en Ecosse en 1829, il a écrit quelques Suite Lequel de ses oeuvres les plus réussies, inspiré par le paysage écossais. Le 'Scottish' Symphonie ne fut achevée qu'en 1842 Toutefois, après un processus compliqué de gestation plus de 12 ans.Le travail a été accueillie avec enthousiasme lors de sa première à Leipzig cette année Mars, et une performance deuxième a eu lieu il ya deux semaines plus tard. Dans la courte période entre les deux concerts, le Mendelssohn symphonie entièrement révisée, et cette nouvelle version a été la base de la performance qui a réalisé en Juin 1842 h, à Londres. En 1843, Mendelssohn, puis la publication autorisée de l'oeuvre.Le 'Scottish', qui est souvent considérée comme la plus grande contribution de Mendelssohn à la forme symphonique, survit dans plusieurs sources et de Christopher Hogwood est nouvelle édition critique fait usage de tous ces facteurs. La préface contient des informations précieuses et décrit processus de composition de Mendelssohn à partir du 12 Impressions de première année dans sa jeunesse jusqu'à maturité à grande échelle symphonie.L'édition critique offre non seulement la version bien connue publié Autorisé par le compositeur en 1843, mais également la version de Londres de 1842. Les deux versions sont présentées dans le score et la performance dans le matériau. Mouvements 1 et 4 sont présentés à deux reprises, en 1842 et la version 1843, considérant le petit nombre de représenter ce que les changements sont rendus dans la version 1842 de Londres 2 et 3 qui est, de mouvements dans les deux bâtons partition et les parties.- Inclut la version officiel publié par le compositeur et les versions de Londres du 1er et 4ème mouvements- Avec des pages de télécopie et préface instructive et en Italiano allemande / Musique De Chambre

Par AESCHBACHER WALTHER. Langue: English(UK)/Deutsch/Français/Nederlands / Classique / Répertoire / 3 Violon ou Violoncelles

Für Violine, Klarinette Und Klavier. Par GERNOT WOLFGANG. Green Island ist dem Andenken des stilbildenden, 2007 verstorbenen Jazzsaxophonisten Michael Brecker gewidmet. In diesem Satz leben auch Erinnerungen an zwei Reisen nach Irland auf, die tiefe Eindrücke in mir hinterließen. Die diesbezüglichen musikalischen Bezüge können am deutlichsten in den Präsentationen des Hauptthemas am Anfang und Ende des Satzes erkannt werden. Die bildliche Vorstellung einer vom Mond beleuchteten Veranda irgendwo in den Südstaaten war die Inspiration für 'Night Breeze'. Eine sanfte, warme Brise raschelt in den Bäumen und begleitet den Dialog Violine /Klarinette, unvermutet pausiert der Wind... und beginnt wieder. Die Anregung für 'Chromatic Train' war die Visualisierung einer von einer Dampflokomotive gezogenen Eisenbahngarnitur. Der Zug verlässt langsam den Bahnhof. Wir werden Zeugen einer lebhaften Konversation zweier Passagiere (Vl./Kl.) Harmonisch gesehen werden hier alle zwölf Töne der chromatischen Skala verwendet. Der Zug erhöht das Tempo... (G.W.)/ Répertoire / Musique de Chambre

Vl Va Vc Klav. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. W. A. Mozarts jüngster Sohn hieß eigentlich Franz Xaver Wolfgang, wurde aber von der Mutter schon als Kind zum Musiker bestimmt und Wolfgang Amadee genannt. Sein Opus 1 erschien bereits 1802. / Niveau : 3/3/2 - 3/3 / Répertoire / Musique de Chambre

Msome Ama Nne/Amashumi Ayisine. Par ROSSI MIKE. Msome Ama Nne/Amashumi Ayisine/ Recueil / 3 Instruments à Vent et Rhythm

Instrumentalsätze Aus Den Trauermusiken Für Die Hamburger Bürgermeister Gerhard Schröder (1723) Und Daniel Stockfleth (1739). Par TELEMANN GEORG PHILIPP. Mourning music consisting of free and chorale-based instrumental movements [”Nun lasset uns den Leib begrab’n” – “Christus, der ist mein Leben”] from Telemann’s funeral music for the Hamburg mayors Schröder [1723] and Stockfleth [1739]. – Music for Eternity Sunday or for funeral and memorial services./ Répertoire / 2 Hautbois, 3 Trompettes, Timbales, 2 Violons, Alt

Instrumentalsätze Aus Den Trauermusiken Für Die Hamburger Bürgermeister Gerhard Schröder (1723) Und Daniel Stockfleth (1739). Par TELEMANN GEORG PHILIPP. Mourning music consisting of free and chorale-based instrumental movements [”Nun lasset uns den Leib begrab’n” – “Christus, der ist mein Leben”] from Telemann’s funeral music for the Hamburg mayors Schröder [1723] and Stockfleth [1739]. – Music for Eternity Sunday or for funeral and memorial services./ Répertoire / 2 Hautbois, 3 Trompettes, Timbales, 2 Violons, Alt