| Diapason Rouge Vol. 1 En Français Paroles et Accords Presses d'lle de France
460 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
Depui...(+)
460 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
Depuis qu?il a été cité par Jérôme Bonaldi sur Canal Plus, ce premier recueil de près de 460 chansons est une référence dans le domaine des carnets de chants depuis plus de dix ans. Chacun y trouvera un répertoire pour chanter toutes les circonstances de la vie. Pour les guitaristes, tous les chants sont accompagnés de leurs accords. Le premier chapitre, 'Salut l?artiste', est un recueil de variétés françaises : Brel, Goldman, Souchon, Renaud? 'Au rythme du monde' regroupe des chansons à thème susceptibles de provoquer la réflexion ou d?affirmer un engagement. 'Racines et couleurs du temps' emprunte au folklore français, aux négro-spirituals et au patrimoine des mouvements de jeunes et d?éducation populaire. La quatrième partie, 'Fêtes et rencontres', offre un éventail de chansons pour se réunir dans la joie, l?émotion ou la fantaisie. Une sélection de 'Canons et ritournelles' termine le carnet. Un index alphabétique par auteurs et par titres, à la fin du carnet, complète le sommaire.
21.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 1 ex. en stock, commandez vite ! | |
| Diapason ROUGE Vol. 6 En Français Paroles et Accords [Partition] Presses d'lle de France
Un nouveau Diapason rouge : le volume 6 !
300 chants de variété française...(+)
Un nouveau Diapason rouge : le volume 6 !
300 chants de variété française et internationale avec accords de guitare.
Jouer ses premiers accords de guitare, accompagner des amis au chant, se retrouver autour d?un feu lors d?une veillée, relire un texte et laisser résonner les mots qu?un autre a écrit... Depuis plus de 25 ans, un Diapason rouge, c?est une malle aux trésors pour de multiples occasions de rêve, de partage et de fou-rires.
Ce volume 6 poursuit l?histoire en se plongeant dans le répertoire des années 1990 à aujourd?hui.
Fréro Delavega, Christophe Maé, Louane, Emmanuel Moire, Ridan, Stromae sont les nouveaux artistes d?années où la chanson française mélange plus que jamais légèreté et engagement.
Diam?s, Abd Al Malik, Grand Corps Malade, HK et les Saltimbanks cisèlent des textes bazookas.
Et comme tout Diapason, le DR6 fait la part belle aux tubes, ceux qui ont saturé les bonnes ondes de ces dernières années.
De quoi lire, rire, chanter, danser... À vous de jouer ! / Variétés / Partition /
24.50 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Diapason Rouge Vol. 3 En Français Paroles et Accords Presses d'lle de France
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 370 chansons d'...(+)
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 370 chansons d'hier et d'aujourd'hui
Le troisième recueil innove pour satisfaire une demande grandissante : en complément des chansons de variété française, des chansons de fête et de veillée, des canons et ritournelles, on y trouve davantage de variété étrangère, des génériques de séries télévisées, ainsi que quelques comédies musicales et opérettes incontournables telles que 'Notre-Dame de Paris', 'Émilie Jolie'? La première et la deuxième partie s?organisent selon l?ordre alphabétique des noms d?interprètes ; les autres parties selon le titre des chansons
21.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Mantovani Bruno -
L'autre Cote - Soli,
Choeur, Orchestre - Chant
and Piano Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et piano Lemoine, Henry
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique...(+)
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique d'après le roman d'Alfred Kubin, Die andere Seite Le livret a été tiré de L'Autre côté d'Alfred Kubin, traduction française de Robert Valençay revue par Christian Hubin (José Corti, 2000) Musique de Bruno Mantovani Livret de François Regnault (avec la collaboration de Bruno Mantovani) J'avais lu il y a longtemps L'Autre côté d'Alfred Kubin, dont le titre m'intriguait. J'avais dû voir des illustrations étranges, visiblement expressionnistes, audacieuses et cauchemardesques de l'artiste, et je m'étonnais qu'il eût écrit un roman. Le roman, assez vite, me saisit, puisqu'il racontait comment le héros, qui semble bien n'être autre que l'auteur, car il est comme lui dessinateur et a comme lui vécu à Salzbourg, se fait inviter par un ancien camarade de lycée dans un empire en lointaine Asie dont il est devenu le chef, et qu'il s'en va donc de l'Autre Côté, où commencent les aventures... On me fit rencontrer Bruno Mantovani, qui avait la commande d'un opéra, de la part de Nicholas Snowman, pour l'Opéra du Rhin. Nous nous sommes vus ensuite à plusieurs reprises, et je n'eus pas de mal à m'entendre avec ce compositeur moderne, dont les oeuvres que j'ai écoutées de lui me plaisent, qui connaît comme pas un - et de l'intérieur - toute l'histoire de l'opéra - et qui, en outre, comptait bien éviter quelques-uns des écueils sur lesquels nous tombions d'accord que l'opéra parfois s'échoue : sans mépris pour qui que ce soit, mais sans fausse modestie non plus. J'aimais l'opéra, depuis que j'avais vu Maria Callas en chanter deux, et depuis ma participation cinq ans comme dramaturge, ou ne je sais quoi, avec Patrice Chéreau à Bayreuth, et j'avais écrit un livret pour Georges Aperghis, avec qui j'ai eu le bonheur de travailler plusieurs fois. Sans parler d'un autre livret pour un autre opéra à venir. Mais étant essentiellement introduit dans le théâtre, je mesurai combien Mantovani sait que l'amour du théâtre, dont il est un excellent spectateur, est bien souvent le schibboleth qui départage les grands compositeurs d'opéra des autres. Le sujet On ne trouve pas forcément tout de suite un sujet de livret, et ensuite, on ne trouve pas forcément le livret de ce sujet. Nous envisagions quelques pistes, nous nous y engagions, et puis nous n'allions pas loin, ou c'était sans issue. D'entrée de jeu, nous étions convenus d'éviter la reprise d'un mythe ancien, fût-il grec ou amérindien, nous mesurions l'extrême difficulté de trouver un mythe moderne - cela ne s'invente pas - et nous répugnions aussi à prendre un sujet qui s'appliquât à l'actualité politique, faute de certitudes, ou plutôt par la conviction qu'on ne traite pas aisément des malheurs du monde, ou du moins, pas aussi frontalement que certains se l'imaginent. Les Soldats de Zimmermann, par exemple, parviennent à une telle portée esthétique et politique parce qu'il est passé par une pièce de Lenz, qui raconte des événements du XVIIIe siècle, Helmut Lachenmann est parvenu à une oeuvre poignante et d'une extrême beauté avec sa Petite Marchande d'allumettes pour parler du gauchisme, à partir d'un écrit de Gudrun Ensslin, parce qu'il est passé par un conte d'Andersen et par des textes de Léonard de Vinci. Je me suis alors souvenu de L'Autre côté, que j'ai relu, et Bruno et moi sommes vite tombés d'accord que cette oeuvre pouvait d'autant plus fortement nous inspirer que l'atmosphère d'inquiétante étrangeté, de fantastique et de décrépitude, très réussie, dans laquelle l'oeuvre est plongée, était au service d'une cause imaginaire, fabuleuse, invraisemblable, mais qui pouvait fonctionner comme une grande et terrible allégorie politique : l'Empire du Rêve, créé de toutes pièces par un richissime illuminé, Claus Patera, condisciple, donc, du dessinateur, constitué par des restes ramassés ou aux quatre coins du monde, dans une région nauséeuse et miasmatique, dont l'idéal promis au début se révèle vite une imposture, sans qu'on sache à qui la faute, car on apprendra que le dictateur lui-même, qu'on ne voit presque jamais, n'y croit plus guère, et combine dans sa personne les traits d'une adolescence angélique, d'une sénilité précoce et d'une espèce de déphasage complet d'avec ce qui se passe dans son Empire. Et pourtant, ce n'est pas faute qu'il n'ait des partisans fanatiques dans la population bizarre de la ville de Perle, capitale de l'Empire. Lorsqu'un Américain tout aussi richissime viendra prendre le défi de le renverser et de s'arroger le gouvernement de l'Empire, peut-être convient-il que vous n'y voyiez pas aussitôt quelque arrangement d'événements récents, non seulement parce que ce roman fut écrit en 1908, avant même ceux de Kafka (que Kubin rencontra d'ailleurs plusieurs fois, et qui restait perplexe devant L'Autre côté), mais aussi parce que l'imaginaire fantastique et la vision poétique de l'auteur viennent hanter le récit de formes et de couleurs venues d'un autre monde : des profondeurs de l'inconscient, sûrement, à une époque où on lui en supposait encore - du fond d'une Angoisse dont on devine que l'auteur est incessamment traversé - mais surtout d'une capacité plastique de rêverie qui franchit constamment la barrière supposée étanche entre l'écriture et le dessin - et si Kubin ne manque pas d'illustrer son propre livre, lui aussi, d'inquiétants dessins étranges, on admire d'autant plus sa virtuosité que les deux techniques qu'il pratique ici de conserve se défendent très bien chacune indépendamment l'une de l'autre. Comme Holbein illustrant Erasme, comme le Goethe du Voyage d'Italie, comme Kipling s'illustrant ses Histoires comme ça, rares exemples. Le livret Je me suis vite dit que ce serait évidemment à la musique de prendre en charge l'imaginaire et le fantastique, et que les indications scéniques du livret, issues toutes du livre, ne seraient là que pour suggérer ce que le compositeur pouvait lire aussi bien que moi dans l'ouvrage. Mais je me suis dit aussi que puisqu'il y aurait des personnages - nous en avons réduit le nombre - et qu'ils parleraient, c'est-à -dire chanteraient, il fallait prendre le plus grand soin qu'avec assez peu de paroles, on puisse suivre exactement l'histoire, la psychologie des personnages principaux (et ici j'utilise à dessein le vocabulaire le plus conventionnel, non pas pour rassurer le réactionnaire et inquiéter l'avant-gardiste, mais parce que chanter des paroles est la matière même de l'opéra), le cours des événements, en même temps que les transformations, métamorphoses, catastrophes et l'apocalypse d'un Empire démoniaque, suscitées sans doute, au-delà de son tyran, par des forces innommables. Si je lui faisais parfois part des représentations musicales ou rythmiques de certaines scènes qu'il avait la gentillesse d'écouter et de transposer dans son art, Bruno Mantovani était en retour plus qu'attentif à la moindre des répliques à mettre en musique, entendant d'une oreille de théâtre ce qui peut se dire, se chanter, se mi-dire, etc. (il y a bien des façons, depuis longtemps, dans l'opéra ou dans le théâtre musical, de dialectiser en musique la différence du parler et du chanter, opposition qui reste opératoire dans son principe, mais qui s'ouvre depuis au moins Schönberg à des variations infinies). Pour la composition d'ensemble, je sais combien l'harmonie, le contrepoint éventuel (il y a un choral !), le rythme, les timbres peuvent, chez un musicien exigeant, s'engendrer, sinon se déduire, à partir de structures simples ou complexes, de sorte que l'écriture, et, donc aussi la perception, consciente ou inconsciente, d'une oeuvre ne se fassent pas au seul fil du récit, ni en fonction du seul effet, même si, au dire de plusieurs compositeurs que j'admire, l'opéra, par sa nature théâtrale, sa spatialité et sa temporalité spécifiques, demande moins de rigueur apparente que d'autres formes d'écriture. Aussi n'ai-je pu m'empêcher, même dans ce qui n'est que le livret, de suivre ou de m'imposer des structures, elles, fort simples, dans l'organisation des scènes, de leurs rapports de ressemblance ou de dissemblance, de leurs correspondances thématiques, - contrastes, répétitions, citations, allusions - d'autant que la fable principale conte la substitution symétrique, jusque dans son affrontement corporel, entre le Maître de l'Empire et l'Américain qui le renverse. L'hybride Il était aisé, en ce sens, de diviser l'oeuvre en deux actes (même si le roman a davantage de parties et de nombreux chapitres), avec un Prologue et un Epilogue : grandeur et décadence de l'Empire du Rêve, conclura-t-on, même si l'intérêt de ce conte est justement de montrer que tout est déjà pourri dans le Royaume de Perle, et que le salut venu d'ailleurs ne fait que liquider la pourriture ! Oui, l'oeuvre de Kubin, aussi bien dessinée qu'écrite (il a écrit plusieurs autres nouvelles), est foncièrement pessimiste. Lorsqu'il a constaté, moins l'horreur du monde que la capacité qu'a le sommeil de la raison d'enfanter des monstres, pour reprendre la formule de Goya, un peintre qu'il aimait, il lui reste à les lâcher en les dessinant. Si Dieu a créé le monde, Claudel pensait qu'il fallait le lui restituer en louange et en poésie, ou en drames dans lesquels le pire ne fût pas toujours sûr. Si le Diable a fait le monde, dirai-je que Kubin pense qu'il faut lui restituer l'histoire de ses calamités et lui tendre le miroir de ses immondices ' La dernière phrase de L'Autre Côté nous donne une étrange réponse : Le démiurge est un être hybride. Tout un roman de quelques centaines de pages pour parvenir à cette phrase peu claire, digne des Gnostiques des premiers siècles du Christianisme ! Mais la phrase peut aussi bien s'éclairer de ce qu'on a dit : puisque le monde semble mauvais, il faut au moins, pour que le pire n'en soit pas toujours le plus sûr, muni de son carnet de croquis, en faire le relevé régulier, en tenant par l'art le malheur à distance, et en mesurant constamment que le démiurge qui a raté le monde, ne pouvait pas faire mieux, qu'il y a en lui du meilleur et du pire, en bref qu'il est hybride ! Mais hybride après tout comme l'homme lui-même, sa victime et son destinataire - ou plutôt, son dessinateur ! Claus Patera, est en effet un personnage dont on ne sait s'il a gardé son innocence ou s'il est déjà complètement abîmé, intrinsèquement, physiquement et spirituellement hybride, à mi-chemin entre le réel et l'irrationnel, habité de forces obscures ou de pulsions obscènes et morbides, mais l'Américain Hercule Bell, un peu décrit comme un Américain digne de Jules Verne, est pris lui aussi dans une dangereuse oscillation entre le philanthrope vantard et le tyran sanguinaire ! Si donc a lieu le Jugement dernier, car aucune apocalypse n'est à écarter, à défaut de nos fautes, nous montrerons nos pulsions, et pour défendre notre prochain ne sachant dessiner, nous arborerons les illustrations par nous de ce monde où nous avons été jetés. Et si le feu ou le déluge anéantissent toutes choses, peut-être restera-t-il au moins quelque part un trait sur le papier, carbonisé ou délavé. A l'ancien camarade de classe, au dictateur hybride, à cet Américain sauveur lui-même si douteux, et qui font couple à la fin dans une espèce de répugnant coït, s'ajoutent donc le couple principal, Kubin - nous l'avons appelé ainsi, bien que l'auteur de le nomme pas - et sa femme. Nous avons, autour d'eux, réduit à trois les personnages qui les entourent, le Coiffeur-philosophe, qui leur sous-loue un appartement, l'Editeur qui passe un contrat avec le dessinateur, et le médecin Lampenbogen, qui soignera Madame Kubin et accompagnera le mari veuf jusqu'à la fin. Les autres personnages sont des comparses, mais il y a le Choeur, qui a une grande importance, et qui compose le peuple entier de Perle, versatile, monstrueux, prêt à tout, morbide et orgiaque, auxquels s'ajoutent mammifères, serpents et insectes, qui sont peut-être des hallucinations, mais dans un monde fantastique, le cauchemar et la réalité se confondent. Le dessinateur La fin de l'aventure se solde pour Kubin par un rapatriement suivi d'un internement. Il serait alors aisé d'en conclure, comme on le fait souvent dans des cas semblables, que toute cette aventure n'aura été qu'une immense hallucination. Outre que ce n'est pas l'idée d'Alfred Kubin, l'auteur réel du livre, cela ne changerait guère la représentation qui en résulterait sur la scène d'un opéra, où ce qu'on voit, que ce soit la vision d'un Faust ou celle d'un Hoffmann, passe forcément pour réel. Le public ne croit que ce qu'il voit et ce qu'il entend, plus qu'ailleurs, il croit tout ce qu'il voit et tout ce qu'il entend, et c'est lui qui a raison. Surtout, j'aime fort que les dernières paroles de Kubin reviennent à dire que désormais, il passe ses meilleures heures avec du papier, des crayons et des bâtons d'encre de Chine... plus proche de l'artiste rêveur, du voyant... Et ce qu'il représentera désormais s'inspirera donc de cette espèce de cosmologie duelle qu'il évoque à propos de Patera : L'attraction et la répulsion... les pôles de la terre... le jours et la nuit... le blanc et le noir... Le blanc et le noir ! Voilà tout le manifeste esthétique de l'illustrateur expressionniste à qui nous devons, disséminées dans des musées et des livres, ces gravures, reconnaissables entre toutes, devant lesquelles nous nous défendons mal d'un malaise devant les souffrances aisément devinables d'un artiste plus écorché que les autres - la guérison par l'art ' Sa vie, racontée par Kubin lui-même ne nous incite pas à conclure ainsi. Là où nous sommes confrontés à la névrose étrangère et toute constituée, écrit Freud à peu près à l'époque même où Kubin écrit L'Autre côté, dans la vie nous appellerons le médecin et tiendrons la figure pour inapte à la scène. Pourtant, sans remontrer à Jérôme Bosch, à Goya, en tout cas à tous ceux que Kubin admira, jusqu'à Odilon Redon et James Ensor, une bonne partie des oeuvres offensives du XXe siècle n'ont-elles pas consisté, malgré les réticences de Freud, à tirer un peu de jouissance de beaucoup de souffrance, et sans réveiller en nous forcément sadisme et masochisme, à nous inviter, à défaut de pâmoisons devant la beauté, ou de complaisances avec la douleur, à de la compassion devant cette souffrance ' L'oeuvre de Kubin n'est pas exempte de bonté lorsqu'il prend pour finir pitié de son persécuteur moribond, et qu'il va jusqu'à trouver de la beauté à son cadavre : L'image d'un dieu antique ! Comme il est beau ! - mais il y a encore, dans cette oeuvre, une autre source de plaisir dont nous souhaitons que l'opéra la fasse aussi sourdre pour le spectateur, c'est une espèce d'humour rocambolesque et glauque qui rend souvent les pulsions des personnages burlesques, leur sexualité, franchement saugrenue, leurs extases, ridicules ! Telles sont quelques-unes des questions que le musicien et le librettiste se sont d'abord posées, avant le metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, qui a si intimement adhéré au projet aussitôt qu'il l'a connu et qui y a fait entrer de plain pied ses collaborateurs - telle est cette étrange entreprise qu'il nous plaît à tous trois de regarder encore aujourd'hui comme risquée. Vérifier que le public voudra bien courir le risque avec nous est notre plus cher désir. François Regnault Presse Bruno Mantovani aborde, à bientôt trente-deux ans, son premier opéra avec l'ambition de rendre au fantastique du roman d'Alfred Kubin (1877-1959) sa force originale et son étrangeté narrative. L'Autre côté, fable sans morale, met en scène l'Empire du rêve, absurde refuge contre tout progrès, qui plonge dans le chaos après avoir été soustrait à la dictature de son chef Patéra. Récit admirable et visionnaire, accompagné par l'auteur d'effrayantes illustrations, il a marqué l'Europe centrale littéraire et artistique du début du XXe siècle. Bruno Mantovani, associé au dramaturge François Regnault et au metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, cherche à rendre le mouvement perpétuel de cet effondrement. L'orchestre y est vaste et brillant, incluant six percussions dont le rôle est d'élargir l'espace sonore. Le choeur - cette masse grouillante proche des images apocalyptiques de Kubin - mobilise et anime la scène. Les rôles solistes enfin se répartissent autour du narrateur, Alfred Kubin lui-même, personnage central emporté dans ce drame sans fin. Cette création mondiale constitue l'élément fédérateur du portrait consacré au jeune compositeur français par Musica, en collaboration avec l'Opéra national du Rhin. Musica Antoine Gindt
72.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| The Real Vocal Book -
Vol.I Voix haute [Fake Book] Hal Leonard
The Real Vocal Book has many of the selections from volumes 1 and 2 of the instr...(+)
The Real Vocal Book has many of the selections from volumes 1 and 2 of the instrumental Real Books, but now with the lyrics added to the pre-existing melody line.This songbook contains nearly 300 essential songs compiled especially for singers, including: Alfie, All of Me, Autumn Leaves, Bewitched, Bluesette, Don't Get Around Much Anymore, Fever, Georgia on My Mind, Misty, Moon River, My Funny Valentine, Satin Doll and more. / Voix Haute
57.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Compilation : Un Siècle
de Chansons Françaises :
1959-1969 En Français Ligne De Mélodie, (Paroles) et
Accords [Partition] Fortin
L'essentiel du patrimoine français dans une collection qui couvrira la totalitÃ...(+)
L'essentiel du patrimoine français dans une collection qui couvrira la totalité du siècle. Un sommaire alphabétique et un sommaire par année pour reconstituer l'ambiance de l'époque et interpréter les airs connus ou introuvables. 301 Chansons dans chaque volume. / Variétés / Partition /
40.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Supercanzoniere Paroles et Accords [Partition] Hal Leonard
Par . A collection of 350 Italian and International songs in lyrics and chords f...(+)
Par . A collection of 350 Italian and International songs in lyrics and chords format. The tracklist includes evergreens by the most important artists who have made the history of pop world music and the most famous songs by contemporary artists. / Date parution : 2022-07-20/ Recueil / Paroles et Accords
23.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Diapason Turquoise Vol. 2 En Français Chant et Accords guitare [Partition] Presses d'lle de France
Format : 15 x 21 cm
Langue : Français
23.20 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 1 ex. en stock, commandez vite ! | |
| Diapason Rouge Vol. 2 En Français Paroles et Accords Presses d'lle de France
400 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
La sÃ...(+)
400 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
La sélection de ce second carnet, publiée en 1996, comprend des chants traditionnels et de veillées, cependant elle met davantage l?accent sur la variété interprétée par Bruel, Cabrel, Gainsbourg, Mitchell, Le Forestier ou les Beatles? Le classement des chansons est le même que celui du premier volume : 'Salut l?artiste' pour la variété française, 'Au rythme du monde' pour les chansons à thème, 'Racines et couleurs du temps' pour le folklore et le patrimoine des mouvements de jeunes, 'Fêtes et rencontres' pour les moments de fête, et une sélection de 'Canons et ritournelles' pour terminer le carnet.
21.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 2 ex. en stock, commandez vite ! | |
| Un Siecle De Chansons
Francaises 1989-1999 En Français Piano, Voix et Guitare Beuscher
Sommaire 2000 ans et un jour - A la belle de Mai - A la légère - A nos actes ...(+)
Sommaire 2000 ans et un jour - A la belle de Mai - A la légère - A nos actes manqués - A part ça - A toutes les filles - ABC pour casser - Accord parfait - Aïcha - Aime-moi encore - Aimer (spectacle musical : Roméo et Juliette) - Aller plus haut - Allumer le feu - Alors regarde - Amour à la machine - Amour des feintes - Amour existe encore - Années guitare - Another love in LA - Argent pourrit les gens - Arlette Laguiller - Au fur et à mesure - Au pays des merveilles - Au ras des paquerettes - Authentik - Autre Finistère - Avant de partir - Bac G - Baiser - Barbès - Bas - Batida Coco - Bécaud - Belle est arrivée - Belle (spectacle musical : Notre Dame de Paris) - Bête immonde - Bienvenue chez moi - Bille de verre - Bonne nouvelle - Bouge de là - Bouscule-moi - Cabane du pêcheur - Cadillac - Caroline - Cash city - C'est ça la France - C'est déjà ça - C'est quand qu'on va où - C'est toi qui m'a fait - Chacun sa route (B.O.: un indien dans la ville) - Champ du possible - Chanson du Zèbre (le zébre) B.O. - Chanson pour mon grand-père (Charpie de Chapka) - Chanter - Chat - Chica de Cuba - Chienne d'idée - Cinéma d'Audiard - Clara veut la lune - Clefs du paradis - Coeurs brûlés (B.O. saga TV : Les Coeurs Brûlés) - Colore - Comme les animaux - Comme un appel - Comme un igloo - Corrida - Couleur des Blés - Daniela - Dans la jungle ou dans le zoo - Dans la salle du bar tabac de la rue des Martyrs - Dates anniversaires - De bretagne ou d'ailleurs - Démarre le show - Dernier qui a parlé - Derniers seront les premiers - Des attractions désastres - Des Cornouailles à l'Oural - Désenchantée - Dieu m'a donné la foi - Différente quand je chante - Dis-lui toi que je l'aime - Dodo Rémi - Dreyfus - Emma - En résumé en conclusion - Enfants de l'an 2000 - Ennemi dans la glace - Ensemble - Entre elle et moi (spectacle musical : Sand et les Romantiques) - Entre temps ramait d'Aboville - Entrer dans la lumière - Envie d'aimer (spectacle musical : les dix commandements) - Est-ce que tu es seule ce soir ' - Eteins la lumière - Famille heureuse - Fan de maman - Faut qu'j'travaille - Femmes sont belles - Fièvre - Flo - Fonds Larion - Forteresse - Foule sentimentale - Fruit de la passion - Goodbye marylou - Groove Baby Groove - Homme des marais - Homme pressé - Hommes qui passent - Hors saison - Il est vraiment phénoménal - Il me dit que je suis belle - Il y a trop de gens qui t'aiment - Ile aux oiseaux (tombé pour elle) - Important c'est d'aimer - innamoremto - Irlandaise - Jacobi marchait - Jadis et naguère - J'ai des doutes - Jalousie - J'appuie sur la gachette - Jardinier dort - Je crois que ça va pas être possible - Je danse le MIA - Je dis aime - Je m'appelle Hélène - Je me suis tellement manquée - Je m'envole - Je sais pas jouer - Je t'aimais je t'aime et je t'aimerai - Je t'aime - Je t'aime mélancolie - Je t'attends - Je te donne mon coeur - Je voudrais la connaître - Je vous aime adieu - Je zappe et je mate - J'en rêve encore - Jerk - J'irai où tu iras - J'la croise tous les matins - Joy - J'te l'dis quand même (Je te le dis quand même) - J'te mentirais - J't'emmène au vent - Juste après - Juste quelqu'un du bien - J'veux du soleil - L N A H O - Là -bas (B.O. du film Les Nuits Fauves) - Laisse pas traîner ton fils - Lambé an dro - Larmes des maux - Larsen - Léa - Locataire - Loup - Lucie - Ma habanera - Ma Mélissa (TV : Les Minikeums) - Ma petite entreprise - Ma s... à moi (ma salope à moi) - Madame rêve - Madrid Madrid - Mais qui est la belette ' - Maman - Mangez-moi, mangez-moi (le chant du psylo) - Mannequins d'osier - Marchand de cailloux - Mariés de Vendée - Matrice - Maxou - Meilleurs ennemis - Melody Tempo Harmony - Mer n'existe pas - Mets de l'huile - Mille neuf cent quatre-vingt dix (1990) - Mirador - Mon papa à moi - Monde est fou - Monde tourne mal - Mother mother - Mwen alé - Né en 17 à Leidenstadt - Né ici - Neige au Sahara - Noé - Nos Fiançailles - Nous nous reverrons un jour ou l'autre - Nu - Nuit je mens - Nul ne guérit de son en
40.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Diapason Jaune Vol. 2 En Français Ligne De Mélodie, (Paroles) et
Accords [Partition] Presses d'lle de France
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 230 chansons po...(+)
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 230 chansons pour enfants
Le Diapason Jaune Volume 2 complète le Volume 1, tant le répertoire de chansons pour enfants mérite que l?on s?y intéresse. Au fil des pages, retrouvez Henri DES, Maurice CAREME, MANNICK, Pierre PERRET, et les plus belles comptines du répertoire traditionnel.Un outil idéal pour apprendre à chanter aux enfants.Un 'guide-chants' sur Internet permet de se remémorer les mélodies.
22.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 1 ex. en stock, commandez vite ! | |
| Ars Musica Vol. 3 - Voix
Egales Moseler Verlag
Edition de Gottfried Wolters Feier/Musik: Wohlauf, wir heben mit Singen an ...(+)
Edition de Gottfried Wolters Feier/Musik: Wohlauf, wir heben mit Singen an (Paul Ernst Ruppel) Grünet die Hoffnung (Gottfried Wolters) An die Freude: Freude, schöner Götterfunken (Ludwig van Beethoven) Freisinn: Lasst mich nur auf meinem Sattel gelten (Gottfried Wolters) Wer sich die Musik erkiest (Heinz Lau) Musica est Dei donum optimi / Dass dich Gott behüte (Kanon / Orlando di Lasso) Lob der Musik: Was mag doch diese Welt (Johann Rudolf Ahle) Stimmt an, stimmt an den Lobgesang (Kanon / Andrea Antico) Tageskreis: All Morgen ist ganz frisch und neu / Vom Himmel hoch, da komm ich her (Caspar Othmayer) Steht auf, ihr lieben Kinderlein (Max Reger) Am Morgen: Strahlend steigt am Himmelsbogen (Orlando di Lasso) Heil dem Tag / Lobet all Gottes Güt (Kanon / Wolfgang Amadeus Mozart) Die güldene Sonne (Arthur Sädler) Die helle Sonn leucht? jetzt herfür (Wolfgang Stockmeier) Fliegt der erste Morgenstrahl (Willi Träder) Im Wald ist schon der helle Tag (Gottfried Wolters) Morgenlied: Es tagt, der Sonne Morgenstrahl (Werner Gneist) Jeden Morgen geht die Sonne auf (Gottfried Wolters) Dämmerung bricht jetzt herein (Ernst Häublein) In the twilight stillness / In der Dämmerstille (Kanon / England) Gute Nacht: Hält einer über uns die Wacht (Kanon / England) Lasst uns all nach Hause gehen (Kurt Müller) Zeit zu gehn ists (Kanon / Gottfried Wolters) Nun wollen wir singen das Abendlied (Otto Kaufmann) Ich liege und schlafe ganz in Frieden (Kanon / Otto Kaufmann) Nun wollen wir singen das Abendlied (Felicitas Kukuck) All praise to thee, my God / Dank sei dir Gott (Kanon / Thomas Tallis) Der Mond ist aufgegangen (Herbert Langhans) Der Mond ist aufgegangen (Otto Kaufmann) Es dunkelt schon die Heide (Felicitas Kukuck) Dunkelt das Land nun (Jens Rohwer) O du stille Zeit (Gottfried Wolters) Wiegen-Reim: Ozewiezewoze (Gottfried Wolters) Frau Holle tut das Wasser tragen (Gottfried Wolters) Kindlein mein, schlaf doch ein / Kindla mei, schloff ock ei (Otto Kaufmann) Sommeil, vite, vite (Gottfried Wolters) Dobrú noc, má milá / Gute Nacht: Schlafe, Liebchen gute Nacht (Heinz Lau) Jahreskreis: Ach bittrer Winter (Armin Knab) Limu limu lima / Limu limu leimen (Gottfried Wolters) Der Feber ist vergangen (Heinrich Spitta) Im Walde blüht der Seidelbast (Heinz Lau) Wollt im Winter ein Brieflein schreiben (Gottfried Wolters) Ei wohl ein schöne Zeit (Volkssatz) Trariro, der Sommer der ist do (Gottfried Wolters) Trariro, der Sommer der ist do (Felicitas Kukuck) Singt ein Vogel (Heinz Lau) Der Maien bringt uns der Blümlein viel (Michael Praetorius) Grüss Gott, du schöner Maie / Eija, der Maie (Jens Rohwer) Grüss Gott, du schöner Maie / Durch Feld und Buchenhallen (Andreas Rauch) Der kühle Maien (Johann Hermann Schein) Mailied: Grüner wird die Au (Franz Schubert) Willkommen, lieber schöner Mai (Kanon / Franz Schubert) Der Mai beginnt: Der Schnee zerrinnt, der Mai beginnt (Kanon / Franz Schubert) Nun will der Lenz uns grüssen (Helmut Bornefeld) Zu Maien die Vögelein singen (Wilhelm Keller) Die liebe Maienzeit (Melchior Franck) Der Kuckuck bleibt nicht still: L?inverno è passato / Der Winter ist vorüber (Hermann Wunsch) Hört ihr ihn rufen (Kanon / England) Der Kuckuck: Hört ihr den Vogel schrein (Kanon / Felicitas Kukuck) Dieser Kuckuck, der mich neckt (Herbert Beuerle) The nightingale, the merry nightingale (Kanon / England) In the merry month of may (Henry Youll) Come let us all amaying go / Das ist der Mai (Kanon / John Hilton) Lachend kommt der Sommer (Zoltán Kodály) Wacht auf, der helle Tag ist längst erwacht (Felicitas Kukuck) Schön ist die Welt (Gottfried Wolters) Mich brennts in meinen Reiseschuhn (Gottfried Wolters) Lied der Räuber: Ein freies Leben führen wir (Gottfried Wolters) Festlied: Von dem Berge zu den Hügeln (Heinz Lau) Sonne leuchte mir ins Herz hinein (Heinz Lau) Im Wald, im hellen Sonnenschein (Ernst-Lothar von Knorr) O Täler weit, o Höhen (Melchior Franck) Abschied vom Walde: Wer hat dich, du schöner Wald (Walter Rein) Ihr kleinen Vögelein (Werner Gneist) Ihr kleinen Vögelein (Gottfried Wolters) Geh aus, mein Herz, und suche Freud (Jakob Regnart) Lobt Gott, den Herrn: Ihr Leut, steht auf (Kanon / Gottfried Wolters) Lobt Gott in allen Landen (Konrad Hagius) Von Gott kommt alles her: Was nah ist und was ferne (Wilhelm Keller) Gott hat alles recht gemacht (Volkssatz) Ridijo (Jodler) Europäische Lieder und Chorsätze: No, though I shrink still (Thomas Weelkes) Sweet Nymph (Thomas Morley) Though Philomela lost her love (Thomas Morley) Adieu, sweet Amaryllis (Kanon / Richard Brown) Ik zeg adieu / Ich sag ade (Jacobus Clemens non papa) Adieu soulas / Ich sag ade (Antoine de Févin) La Perronnelle:Av? vous point vu / Habt ihr gesehen die Perronnellle (Jacobus Clemens non papa) La pastorella mia (Jakob Arcadelt) La mia dolce pastorella (Domenici Maria Melli) Parapiglia: Madona nui sapimo bon giocare / Ihr Schönen, kommt, wir wissen lust?ge Spiele (Giovanni Domenico da Nola) No desmayes, coraçón (Alfonso de Mondéjar) Sola me dejastes (16. Jahrhundert) Mit Lieb bin ich umfangen / Es ist ein Schnee gefallen (Caspar Othmayr) Es weht ein Windlein kühl von Osten (Jacobus Clemens non papa) Wann ich gedenk der Stund (Jacobus Clemens non papa) Kein grösser Freud (Jakob Regnart) Ohn dich muss ich mich aller Freuden massen (Leonhard Lechner) Der Winter ist ein strenger Gast (Michael Praetorius) All mein Gedanken, die ich hab (Kaspar Roeseling) Minnelied: Ich freue mich auf die Blumen rot (Ernst-Lothar von Knorr) Wach auf, meins Herzens Schöne (Otto Kaufmann) Fein sein, beinander bleibn (Volkssatz) Verstohlen geht der Mond auf (Ernst Häublein) O du schöner Rosengarten (Gottfried Wolters) Ich hört ein Sichelein rauschen (Heinz Lau) Es war ein König in Thule (Carl Friedrich Zelter) Es sass ein klein wild Vögelein (Helmut Bräutigam) Zogen einst fünf wilde Schwäne (Heinz Lau) Ich fahr dahin, wann es muss sein (Johannes Brahms) Feinsliebchen, du sollst mir nicht barfuss geh?n (Johannes Brahms) Da unten im Tale (Johannes Brahms) Wenn ich ein Vöglein wär (Kanon / Clara Schumann) Rossignolets du bois joli / Nachtigall, sing dein schönstes Lied (Gottfried Wolters) Rossinyol, que vas a França / Rossinyol, flieg hin nach Frankreich (Gottfried Wolters) Tulu, kommst du den nicht (Jens Rohwer) Uti vår hage / Draussen da wachsen blau Beeren (Felicitas Kukuck) Per Spelemann / Hans Spielmann (Daniel Helldén) Per Spelemann / Hans Spielmann (Otto Kaufmann) Mä olen paimenpoikamen / Ich bin ein junger Hirtenknab (Gottfried Wolters) Boerinnetje van buiten (Leontinus) Wel Anne-Marieke (Kamiel Cooremans) Das Carillon von Ekelsbeeke: Über Ekelsbeeke klingt (Gottfried Wolters) J?ai descendu dans mon jardin / In meinen Garten trat ich ein (Willi Träder) Carillon d?Orléans: Orléans, Beaugency (Kanon / Frankreich) Si le Roy m?avait donné Paris / Wenn der König mir Paris (Gottfried Wolters) La Violette: J?ai un long voyage à faire / Eine weite Reise hätt ich (Carl Orff) Fior di viola / O Veilchenblüte (Carl Orff) Kuckuck ist ein braver Mann (Carl Orff) Gesang der Wolga-Schlepper: Ej uchnjem! Jesco rasik / Ej uchnjem! Ruft noch einmal (Otto Kaufmann) Spielt ein Flötlein auf der Gassen (Ernst Häublein) Sag mir doch, wo ist den mein Liebster hin (Gottfried Wolters) - Spinn, nur meine Spinnerin (Gottfried Wolters) Abschied: Blumen haben lang geblüht (Gottfried Wolters) Flieg her, kleiner bunter Vogel: Vöglein, flieg doch her zu mir (Lajos Bárdos) Nem láttam én molnárcsókot / Sah nie einen Müller küssen (Lajos Bárdos) Slowakischer Dudelsackpfeifer: Eine alte Hex (Lajos Bárdos) Pandur andanduri (Ungaresca) Sej, filipa táncom (Zoltán Kodály) Hej, tulipán, teljes szëgfü / Hej, tulipán, schaut euch meinen Garten an (Zoltán Kodály) Volt nekëm ëgy kecském / Hatte eine Ziege (Zoltán Kodály) Her über d?Alm (Volkssatz) Auf der Alma, da gibt?s Kalma (Volkssatz) Hore, hollarore (Jodler) Springt der Hirsch übern Bach (Volkssatz) Und der Gugu im Wald Volkssatz) Böhmische Musikanten: Heit gihts nôch Sachsen `naus (Volkssatz) Böhmische Musici (Volkssatz) Der Steirer Dreier: Hoi rieho (Jodler) Papagenos Glockenspiel: Das klinget so herrlich (Wolfgang Amadeus Mozart) Gesseligkeit: Herr von Gänsewitz zu seinem Kammerdiener: Befehlt doch draussen still zu schweigen (Kanon / Joseph Hayden) Er ist da (Kanon / Friedrich Kuhlau) O du eselhafter Martin (Kanon / Wolfgang Amadeus Mozart) Warnung: Mädchen, ach, meide Männerschmeichelein (Kanon / Carl Maria von Weber) Kommt und lasst uns tanzen (Kanon / Frankreich) Kommt, ihr Gspielen (Melchior Franck) Die Brücke über den Main: Es führt über den Main (Felicitas Kukuck) Mädel, lass zum Tanz dich führen (Siegfried Rath) Jetzt wird getanzt (Kanon / Amerika) Hör ich von fern Musik (Heinz Lau) Tanzlied: Ich hab die Ros? an meinem Fuss (Carl Orff) Sur le pont d?Avignon / Kommt zum Tanz herbei (Heinz Lau) Heissa Kathreinerle (Gerd Watkinson) Tanz-Quodlibet: Heissa, Kathreinerle / Immerzu,ja tanzen immerzu / Zum Tanze da geht Je höher der Kirchturm (Franz Biebl) Quodlibet: Übers Bacherl bin i gesprunge / Auf der Mauer, auf der Lauer / Drunten im Unterland (Arthur Sädler) Horch, was kommt von draussen rein (Otto Kaufmann) Martin, lieber Herre (Ernst Häublein) Maciek: Trägt der Maciek (Felicitas Kukuck) Mir san ja, die lustigen Hammaschmiedsgsölln (Fritz Büchtger) Jagd-Quodlibet: Auf, auf, zum fröhlichen Jagen / Ein Jäger aus Kurpfalz / Der Jäger in dem grünen Wald (Hans Poser) Begrüssung: Hört ihr den jubelnden Ton (Volkssatz) Blaset die Hörner zum fröhlichen Jagen (Gottfried Wolters) Das grosse Halali: Rufen die Hörner halali (Volkssatz) Seefahrt/Shanty/Negro-Songs: What shall we do (Otto Kaufmann) Vinden drar, skeppet far / Winde wehn, Schiffe gehn (Carl Borenlius) - Vinden drar, skeppet far / Winde wehn, Schiffe gehn (Jens Rohwer) Vinden drar, skeppet far / Winde wehn, Schiffe gehn (Otto Kaufmann) Farewell and adieu / Fareewell und adieu (Gottfried Wolters) This ol? hammer (Kanon / Amerika) Go down, Moses (Gottfried Wolters) Blin? man stood on de way an? cried (Gottfried Wolters) I never felt such love (Gottfried Wolters) Crucifixion: They crucified my Lord (Gottfried Wolters) Singin? wid sword in ma han? (Paul Ernst Ruppel) Lit?le David (Gottfried Wolters) Geistliche Chormusik: Conditor alme siderum / Gott, heiliger Schöpfer (Jacobus Clemens non papa) Jesu, rex admirabilis / Jesu, dulcis memoria (Giovanni Pierluigi da Palestrina) Ad te, perenne gaudium / Christe, der du bist Tag und Licht (Orlando di Lasso) Vater unser im Himmelreich (Leonhard Paminger) Vater unser im Himmelreich / Leit uns mit deiner rechten Hand (Kanon / Samuel Scheidt) Herr, höre meine Worte (Hans Leo Hassler) Ein Lied in Fröhlichkeit des Geistes zu singen: Ich freue mich und bin fröhlich (Caspar Othmayr) Lasst uns den Herren loben (Heinrich Schütz) Das Deo gratias: Danket dem Herren, denn er ist sehr freundlich (Johann Hermann Schein) Ein feste Burg ist unser Gott (Caspar Othmayr) Benedictus (Orlando di Lasso) Herr Gott, dich loben wir (Johann Joseph Fux) Tisch-Gebet: Aller Augen warten auf dich, Herre (Heinrich Schütz) Danket dem Herren, denn er ist sehr freundlich (Heinrich Schütz) Danket dem Herren, denn er ist sehr freundlich (Johann Staden) Danket Gott, dem Herren (Johann Kugelmann) Laudate Dominum (Gregor Aichinger) Alleluia (Kanon / William Boyce) Cantate Domino (Daniel Friderici) Pleni sunt coeli et terra (Francesco Durante) Es ist ein köstlich Ding (Johann Staden) Nun danket alle Gott (Johann Sebastian Bach) Wer nur den lieben Gott lässt walten (Johann Sebastian Bach) Du Friedefürst, Herr Jesu Christ (Johann Sebastian Bach) Laudate Deum (Kanon / Henry Purcell) Singt dem Herrn ein neues Lied / Canticorum jubilo (Georg Friedrich Händel) Heilig, heilig, heilig, heilig ist der Herr (Franz Schubert) Soli Deo gloria: Gloria, soli Deo gloria (Kanon / Paul Kickstat) Lobe den Herren, den mächtigen König (Gottfried Wolters) Sancta Trinitas: Dominum patrem nostrum benedicimus (Kanon / Jens Rohwer) Wie schön leuchtet der Morgenstern (Fritz Dietrich) Advent/Weihnachten: O Heiland, reiss die Himmel auf (Heinz Lau) Es kommt ein Schiff, geladen (Otto Kaufmann) - Es war ein Jungfrau auserkorn / Die ganze Welt, Herr Jesu Christ (Jacobus Clemens non papa) Maria durch ein Dornwald ging (Cesar Bresgen) Es ist ein Ros entsprungen (Johannes Petzold) Es ist ein Ros entsprungen (Michael Praetorius) Vom Himmel hoch, da komm ich her (Otto Kaufmann) Uns ist ein Kindlein heut geborn (Johann Sebastian Bach) Freut euch, ihr lieben Christen (Leonhart Schröter) O Jesulein zart (Samuel Scheidt) Lobt Gott, ihr Christen (Max Reger) Gloria in exelsis Deo (Gottfried Wolters) Hört, ihr Hirten, lasst euch sagen (Gottfried Wolters) Jodler-Andacht: Tjo tjoiri (Jodler) Die Hirten freuten sich (Gottfried Wolters) Es wird scho glei dumpa (Volkssatz) Der Heiland ist geboren (Walther Hensel) Still, still, still, wer Gott erkennen will (Gottfried Wolters) Ein Kind ist geboren zu Bethlem im Stall (Gottfried Wolters) Kommet, ihr Hirten (Heinz Lau) O du fröhliche / O sanctissima (Gottfried Wolters) Haben Engel wir vernommen (Willi Träder) Am weyhnachtabend in der still (Carl Orff) Melchior et Balthazar / Melchior und Balthazar (Gottfried Wolters) Marsch der Könige: Hoch zu Ross (Gottfried Wolters) Täglich zu singen: Ich danke Gott (Wilhelm Keller)
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| La Métamorphose
(LEVINAS MICHAEL) En Français Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par LEVINAS MICHAEL. Précédé de Je, tu, il, prologue à La Métamorphose sur ...(+)
Par LEVINAS MICHAEL. Précédé de Je, tu, il, prologue à La Métamorphose sur un texte de Valère Novarina.
Au sortir d'un rêve agité, Grégor Samsa s'éveille pour vivre un véritable cauchemar, celui de sa transformation en énorme cancrelat. Tout le monde connaît cette nouvelle de Kafka - elle appartient désormais à nos mythologies contemporaines. L'idée d'en faire un opéra est tellement excitante qu'on en serait presque à se demander pourquoi une telle adaptation n'a encore jamais été tentée. Peut-être parce que la perspective donne le vertige et que l'histoire elle-même semble veiller à sa propre irreprésentabilité ?
Il aura fallu attendre près d'un siècle pour que le texte se métamorphose en opéra grâce à Michaël Levinas et à l'équipe artistique qu'il a réunie. Avec Valère Novarina et Emmanuel Moses, le compositeur opère un travail sur la langue pour révéler sa vocalité lyrique. Le chant du 'sopraniste' Fabrice Di Falco et des autres interprètes est ensuite traité par des techniques d'hybridation informatiques [réalisées à l'Ircam, NDLR].
Toujours en quête 'd'une suggestion d'ébranlement dramatique dans la vibration du son' comme s'il y avait un 'au-delà du son dans le son', la musique de Levinas s'ouvre au fantastique. Ce sentiment de l'extraordinaire sera rendu palpable par les instrumentistes d'Ictus, imbattables quand il s'agit de faire advenir des univers inouïs. L'adaptation scénique est confiée à Stanislas Nordey, homme de théâtre insatiable découvreur de textes contemporains. Il s'est également distingué à l'occasion de nombreuses collaborations avec les plus grands compositeurs de notre temps, parmi lesquels Michaël Levinas. C'est en effet lui qui a mis en scène son précédent opéra composé à partir des Nègres de Jean Genet.
www.opera-lille.fr
Vidéo :
http://culturebox.france3.fr
Du lyrique dans la musique de Michaël Levinas
ou le spectre sur la scène
'L'instant du réveil est le moment risqué entre tous : c'est celui où l'on franchit la frontière. Qui devient-on la nuit ? Que s'est-il passé dans le sommeil de Gregor pour qu'il en sorte ainsi changé en monstre ?
Le réveil, c'est toujours l'entrée dans un monde enchanté.'
Yannick Haenel (1)
Le monde enchanté de Michaël Levinas est celui de ce moment risqué où peut naître un drame et, c'est là la partie visible de l'enchantement, des personnages chantent, vivent et meurent. Nous sommes à l'opéra.
Comment le compositeur parvient-il aujourd'hui à relever en musique le défi de la scène ? Quels moyens musicaux convoque-t-il ? Quel monde harmonique et lyrique bâtit-il ? Car pour sonner à ce point juste sur les planches, il faut que le style lyrique du créateur vienne de bien loin, de profond, non pas d'une circonstance, mais de ce qu'il est musicalement, depuis longtemps, de ce qu'il poursuit assidûment dans son oeuvre.
En 2011, avec La Métamorphose, son troisième ouvrage lyrique, Michaël Levinas a montré une nouvelle fois la maîtrise qu'il avait des données de l'opéra : l'opéra comme théâtre, l'opéra comme lieu où l'est ému par le chant, l'opéra comme institution où la création a sa place.
Quand les spectateurs découvrent à l'opéra le personnage de Gregor imaginé par Michaël Levinas, ils ont déjà entendu un prologue. Intitulé Je, tu, il et composé sur un texte somptueux de Valère Novarina, ce prologue se trouve, dans le temps du récit, en lieu et place de la nuit, d'un rêve sans doute, avant le réveil de Gregor. Les spectateurs assistent à une allégorie des énonciations (les pronoms personnels chantent : 'je', 'tu' et 'il' deviennent un instant des personnages), enlevée, très vive, baroque. Le compositeur (celui qui choisit la succession dans le temps des événements du récit lyrique - Michaël Levinas a largement adapté la nouvelle de Kafka) confie à trois sopranos ce prologue. Ainsi le récit de La Métamorphose débute-t-il par autre chose que lui-même, un autre lyrique qui n'est pas le récit, qui n'est pas même un récit, mais qui prépare à l'écoute de la Passion de Gregor qui suit - l'infra-récit est la préfiguration de l'infra-homonidée kafkaïenne mourante que montrera La Métamorphose - avec toute la résonance de ce parti-pris dramaturgique dans l'histoire politique de l'humanité. Ce geste est théâtral autant que musical. Il est très caractéristique de la sensibilité du compositeur pour ce qui, dans la musique, induit le lyrisme, le lyrisme étant entendu ici comme la mise en oeuvre de 'toutes les puissances que recèle le verbe soumis au rythme et à la mélodie' (2). En un mot, la dimension théâtrale de l'opéra n'est pas reniée par Michaël Levinas - au contraire : elle est exaltée.
Toutes les puissances que recèle le verbe aident le compositeur dans son projet lyrique. Si le chant naît du verbe chez Michaël Levinas, il faut considérer que les parties instrumentales aussi naissent du verbe. Aux parties instrumentales s'ajoutent les parties électroniques qui, dans La Métamorphose autant que dans Les Nègres, opéra de 2003 d'après la pièce éponyme de Jean Genêt, donnent au son ce statut irréel, magique nécessaire à tout lyrisme. Elles aussi sont pensées, écrites, composées comme un prolongement des données du langage. Dans La Métamorphose, la polyphonie vient essentiellement de la voix démultipliée de Gregor et cette démultiplication est autant instrumentale qu'électronique. Le chant - émouvant ô combien - de Gregor est un choral, sa voix est intermédiaire, ni la sienne seule, ni une pluralité identifiable. La voix de Gregor participe d'une singularité inaudible - un monstrueux bien au-delà de l'hybride - pour son entourage qui le conduit à mourir (par décence ? par abandon de ses proches ?). Il y eut dans Les Nègres 'un langage tambouriné tissant des liens entre les phonèmes de la langue et la percussion' (3) et dans cette veine, récemment, Le Poème battu - il y eut en 2008 les réussites madrigalistes de Le 'O' du haut et des Trois chansons pour la Loterie Pierrot et Jean Lagresle sur un texte de Valère Novarina - il y eut enfin, pour La Métamorphose, l'acmé (provisoire - telle est l'activité de création) de l'analyse et de la synthèse sonore par ordinateur de la voix parlée et chantée (4).
Comment faire des mots eux-mêmes un chant, un drame, un opéra enfin ? C'est là tout l'enjeu de la poïétique de Michaël Levinas. Le poïen grec, c'est la réponse à la question du faire. Dès Go-Gol (1996) (5) -le titre, Go-Gol est déjà un jeu de décomposition / recomposition du nom de l'écrivain dont est tiré le livret, le compositeur fait du mot le ressort de sa dramaturgie musicale. Il est entré depuis dans le son du mot lui-même et applique au champ de la linguistique une démarche spectrale (6). Ainsi naît son matériau lyrique. Décortiquant les données des hauteurs, des syllabes, phonèmes et morphèmes, Michaël Levinas - avec l'aide d'un outil informatique de plus en plus puissant - en tire des tournoiements, des arabesques, des lignes qui entent une composition destinée à la scène. L'opéra est bien là un lieu de création. La pointe de ce qui constitue la création musicale - à la fois l'oeuvre d'un compositeur qui est la recherche d'une vie et les outils qu'il utilise en les faisant évoluer - est non seulement viable, mais éminemment émouvante à la scène : la palette que s'est constituée le musicien induit bel et bien cette vibration des affects que tout un chacun veut à l'opéra, toutes époques confondues.
'(...) c'est à l'opéra que, paradoxalement, tend je dirais toute oeuvre instrumentale.' déclarait en 1982 le compositeur (7). En effet, l'oeuvre de Michaël Levinas offre de lire les étapes de cette conception et des recherches qu'elle appelle. Ancrée dans le langage, toute adonnée au théâtre, la lyre de Michaël Levinas allie l'exigence créatrice à la séduction parfois vénéneuse d'une émotion dramatisée avec art. Pour l'heure, le compositeur a fait de la syllabe son mystère. Du mystère naît le drame et, sur scène, d'une dramaturgie naît un mystère par lequel le compositeur nous impose son temps, non pas le temps d'un drame, mais le temps intérieur résonant - pour notre plus grand plaisir.
Benoît Walther, novembre 2011
(1) Interview 'Yannick Haenel, pourquoi aimez-vous La Métamorphose ?', parue dans Kafka, La Métamorphose (page II), traduction et présentation par Bernard Lortholary, Garnier Flammarion, Paris, 2010, 103 pages.
(2) Pierre Grimal, Le Lyrisme à Rome, Introduction (p.15), Presses Universitaires de France, Paris, 1978, 304 pages.
(3) Notice de Michaël Levinas pour l'opéra Les Nègres, mai 2002.
(4) Les parties électroniques de Les Nègres et de La Métamorphose ont été réalisées à l'Ircam.
(5) Le compositeur parle alors de 'traitement animal' de la langue française (Autour de Go-Gol : forme, récit, textualité dans l'opéra contemporain, entretien avec Evelyne Andreani, in : cf note 7).
(6) Est spectrale une musique fondée sur l'analyse du spectre du son : découle de cette analyse l'organisation des paramètres musicaux et, in fine, de toute la composition elle-même. Aujourd'hui, les sons analysés peuvent atteindre des degrés de complexité très grands : par exemple, dans le cas de Michaël Levinas, la pénétration du détail d'une énonciation chantée autant que parlée.
(7) Michaël Levinas, 'Qu'est-ce que l'instrumental ?', texte prononcé à Darmstadt en juillet 1982, in Le Compositeur trouvère, Ecrits et entretiens (1982-2002), textes réunis et annotés par Pierre-Albert Castanet et Danielle Cohen-Levinas (p.33), L'Harmattan, Paris, 2002, 428 pages. / contemporain / Répertoire / Solistes, Choeur et Orchestre
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Par PESSON GERARD. Berlioz n'a pas aimé Rome, ni la villa Médicis, où il éta...(+)
Par PESSON GERARD. Berlioz n'a pas aimé Rome, ni la villa Médicis, où il était parti à contre-coeur. Il trouvait la ville étouffante et provinciale, la Villa étriquée académique et trop seigneuriale. Il est donc allé chercher ailleurs ce qu'il a appelé son 'Italie sauvage', une Italie de ciels, de vents, de pluies, de ruines ensauvagées, de montagnes, de bourgades à flanc de roches. En romantique qui vit des éléments, il n'emportait dans ses nombreuses virées à Tivoli, Subiaco ou aux Castelli Romani, qu'un carnet, un fusil et sa guitare, dormant parfois à la belle étoile, cherchant parfois la compagnie des petites gens, se faisant l'ami de quelques bandits au grand coeur, mais plus souvent épris de solitude.
Il y a eu effet-retard de l'Italie dans l'oeuvre de Berlioz. Le temps de développer, par une archéologie rétrospective, les impressions assimilées, et, pour une grande part, de réinventer un pays, certes vécu mais tout autant fantasmé. Ce pays-là , qui n'est donc d'aucun pays, deviendra la dorsale de beaucoup de ses oeuvres: Benvenuto Cellini, Béatrice et Bénédict, Roméo et Juliette, Carnaval Romain etc., et surtout Harold en Italie.
Harold reprend la manière autobiographique qui faisait, entre autres, l'originalité de la Symphonie Fantastique. Utilisant le héros byronien, Childe Harold, Berlioz livre en musique un scénario qui commande le cadrage panoramique. On peut parler d'une réappropriation par un héros prête-nom de ses propres sensations relevées sur le motif (processus du plein air à l'atelier qu'effectuaient aussi les peintres, ses collègues de séjour en Italie). C'est cette dualité paysage réel/paysage rêvé que veut traiter la partition Panorama, particolari e licenza ('Panorama, détails et licence') écrite à la demande de Christophe Desjardins.
De la même manière que j'ai utilisé parfois des musiques préexistantes pour chercher ma propre musique (Nebenstück/Brahms/filtrage, Wunderblock/Bruckner/effacement), j'ai voulu ici détailler la notion de champ que Berlioz manie de façon véritablement pré-cinématographique. Ce qui se rapproche de nous (un détail infime perdu dans le tutti), ce qui s'en éloigne, ce qui nous parvient encore - un travelling qui devient arrêt sur image, un cadrage resserré, le fondu de deux perspectives. Panorama, particolari e licenza est, en ce sens, une sorte de making of , comme on dit aujourd'hui, de ce modèle génial, partition hirsute, fruste, mais tout à la fois riche, hautement inspirée. Harold en Italie traduit cette sauvagerie que Berlioz voulait rendre en musique, combinat de sensations, de révolte et d'exaltation: un son capté puis stylisé, avec effets de réel devenant sous sa plume des trouvailles, de véritables effets spéciaux dont peu de musiciens avant lui avaient eu l'intuition.
A la demande de David Jisse et de la Muse en circuit, j'ai ajouté une partie électronique qui a été conçue par Laurent Sellier. Cette partie, essentielle, est une manière de réaliser concrètement ce qui est en filigrane dans Harold, la transmutation de toute expérience éprouvée en un véritable clavier de sensations.
Le percussionniste de Panorama, particolari e licenza est une sorte d'accessoiriste bruiteur. Il reformule concrètement le réel purement rêvé, mais d'une manière que j'ai voulue parfois dérisoire et délibérément 'bricolée', comme un travail magique qui puisse donner sens à cette vérité véhémente, incessamment recyclée, qui faisait tout l'art de Berlioz.
La question du soliste est importante dans Panorama, particolari e licenza. Il est tout à la fois le point de vue, la subjection, celui qui dit je, comme il est aussi le sujet de l'autofiction. Tout en étant central, il est égaré, parfois noyé dans le méta-instrument du récit. Au moins c'est ainsi que je l'ai traité, car il maille les instruments ensemble, prenant toutes les bribes du discours, abdiquant souvent ce qu'il y a de performatif dans la place du soliste romantique. Il est ici doublé par une voix d'alto de manière à rendre ce fading du sujet, ainsi que cette prise de parole par le texte poétique toujours central dans l'oeuvre de Berlioz.
J'ai expliqué les deux premiers mots du titre. Le dernier renvoie aux licences que je prends par rapport au modèle, mais aussi à cette forme musicale du XVIIIe - La Licenza - qui était une manière d'hommage à un personnage d'influence. Con licenza était aussi une façon d'indiquer une liberté dans l'interprétation (c'est bien ici le sujet: la transcription est un écart), le tempo ou dans l'ornementation. Con alcune licenze écrit Beethoven au début de la fugue de l'opus 106.
Panorama, particolari e licenza suit assez fidèlement, quant au déroulement du moins, trois mouvements d'Harold en Italie.
I - Aux montagnes: On y entend des bruits de vent, de ruisseaux, des sons de guitare et de harpe de voyage. Des bribes non linéaires du Childe Harold de Byron.
II - Marche (moissonneurs et angélus): Il s'agit de pèlerins dans l'original. Toutefois, Berlioz a été précis sur le souvenir qui a déclenché ce tableau dans sa musique. Ce sont des moissonneurs qui rentrent le soir au village en chantant une prière. J'ai choisi ici l'angélus, qui est devenu une véritable icône dans la peinture de ce siècle-là . On y entend donc des fragments chantés en latin. Le percussionniste joue de la faux. Car la mort n'est jamais loin dans l'imaginaire byronien et non moins berliozien. C'est aussi une référence à d'autres 'scènes aux champs' passées dans l'imaginaire collectif. Je ne peux cacher que moissonneur m'a soufflé aussi moins sonneur.
III - Sérénade (une chanson des Abruzzes): C'est le mouvement le plus 'stylisé'. On y entend une véritable chanson en dialecte des Abruzzes où est évoqué la fameuse lontananza: à la fois espace résonnant d'une montagne à l'autre, mais aussi éloignement, séparation de deux amants. C'est un chant sur la construction du futur et la désillusion amoureuse que Berlioz a pu entendre et dont il a pu méditer le poème, bien qu'il ne s'en soit pas musicalement inspiré. Mais l'esprit, qui combine la mélancolie, un rien de malice, d'inquiétude et de doute tout berlioziens, est gardé dans ce mouvement, jusque dans les paroles de la chanson:
O hirondelle qui vole sur Potenza
Salue-le pour moi, c'est mon espoir
Demande-lui ce qu'il fait, ce qu'il pense,
Comme il supporte la lontananza
Demande-lui ce qu'il fait, ce qu'il veut
Et comme il supporte la séparation.
Gérard Pesson, septembre 2006 / contemporain / Répertoire / Alto, Voix d'Alto et Ensemble
76.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Escales marines, chants
de la mer (CAP HORN) (CAP
HORN) En Français Chant/Vocal/Choeur Editions Buissonnieres
Par CAP HORN. Chants de la mer et des marins par le groupe Cap Horn
Considéré ...(+)
Par CAP HORN. Chants de la mer et des marins par le groupe Cap Horn
Considéré actuellement comme l'un des meilleurs groupes de chants de marins par sa musicalité, la richesse de ses arrangements et son répertoire, Cap Horn vous présente son premier recueil de partitions.
Ce groupe se caractérise par une démarche beaucoup plus musicale et de qualité, en opposition aux groupes de « chants de marins » qui ne se cantonnaient qu'aux chansons traditionnelles en utilisant les bonnes vieilles grosses voix éraillées qui correspondaient à l'image que l'on se faisait alors du marin au long cours...
C'est dans cet esprit que vous trouverez ici des chansons traditionnelles bien sûr, souvent peu connues, mais aussi des textes d'auteur ou des compositions du groupe. Ainsi, Louis Brauquier (grand poète marseillais), Richepin ou Mac Orlan côtoient Georges Tanneau (marin au long cours de Pont l'Abbé), Henri Girou... et Jean-Marc Lesieur, Jacques Portal et Olivier Blaizot.
Les couleurs sont très variées ; toutes les chansons sont en effet arrangées et enrichies d'intermèdes musicaux en provenance de Bretagne, d'Irlande, d'Écosse... ou de Scandinavie !
Cette variété, ces couleurs, ces ruptures de rythme placent cette musique « sur le dessus du panier » des groupes de chants de marins.
Les textes sont toujours choisis et riches d'émotions : la gravité (Jour de pardon), la sensibilité (Les vieux marins), l'évocation nostalgique (Larguer les amarres) côtoient l'humour (La tong et le sabot) et la grâce (Petite fille maritime).
La plupart de ces chansons sont enregistrées sur les disques Escales marines et Horizons chimériques.
Découvrez les autres partitions de chants de marins : Chants de la Mer par Tonnerre de Brest ou encore Chants de marins avec paroles et partitions pour accordéon diatonique. / Date parution : 2003-05-01/ Recueil / Chant/Vocal/Choeur
23.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Well-Tempered Weddings +
Cd (HAYES MARK) Piano, Voix [Partition + CD] Music Sales
Boxed set + CD. Par HAYES MARK. Cette collection complète est une destination u...(+)
Boxed set + CD. Par HAYES MARK. Cette collection complète est une destination unique pour les pianistes qui jouent pour les mariages. Bien que chaque sélection piano peut être jouée comme un solo, il existe obbligatos instrumentales facultatifs pour quelques pièces, avec des pièces pour violoncelle, hautbois, trompette, violon Fnd. Contient en outre des sélections plusieurs classiques et contemporaines vocales utilisables avant et pendant la cérémonie de mariage. Ce livre a une spéciale de liaison qui permet d'appuyés sur le rack de musique n'importe quelle page que vous êtes sur. U, mariages Tempered contient les produits suivants de bonus : séparer les feuilles de musique pour le chanteur et musicien - Double CD écoute contenant toutes les sélections...(envisager l'emprunt du CD votre fiancée prospective et groom et laissez-les à ce qu'ils veulent vous de jouer!) -Accompagnement pistes pour l'ensemble de la liste de mariage chansons vocal - suggestions de répertoire pour la cérémonie - une commande de service échantillon - A pour la mariée et le marié à partir de 9 mois avant le jour du mariage. Une fil de mariage.../ Recueil / Chant et Piano
75.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Vergehn Wie Rauch Chorale SSAATTBB Schott
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le ...(+)
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le livret de mon opéra de chambre Dafne (d'après Martin Opitz, écrit en 2005), j'ai intégré plusieurs poèmes de Opitz dans son jeu, et c'était aussi la première fois pour moi de composer des passages de choeur prolongées. Après avoir terminé ce travail, j'ai ressenti le besoin d'explorer la combinaison de choeur et les textes baroques dans un plus, la composition chorale indépendante. J'ai choisi des poèmes de Christian Hoffmann von Hoffmannswaldau, Andreas Gryphius, Martin Opitz, Georg Philipp Harsdörffer, Barthold Brockes Hinrich und Friedrich von Logau. En dehors de Trost aphoristique von Logau, les textes ont été raccourcies et réorganisé en profondeur. Les sujets similaires, en utilisant aussi des manières étroitement liées d'expression, et la tendance à des structures redondantes - souvent, une pensée à plusieurs reprises formulé de différentes façons - en fait des lignes de change, même possibles entre les différents poèmes.La façon dont les textes sont examinés les changements entre cadre cohérent et la langue en utilisant comme matière sonore et l'élément structurel. Un aspect important est la technique de laisser mots ou des syllabes tourner à travers tout le choeur, qui - soutenus par différents niveaux dynamiques et d'un unisono souvent légèrement imprécise - crée un effet panoramique comparables. Le moins son temps difficiles de la langue baroque, riche en consonnes, les métaphores lourdes, mais aussi les ondulée, parfois des expressions bizarres sont le plus souvent mis en musique plutôt discrète. Surtout, une duplication du caractère déclamatoire est évité, tandis que quelques belles images sont ramassés et transformés en sons. Le son choeur en tant que telle reste la plupart du temps 'intacte' au sens traditionnel- du brai est même traitée de manière très restrictive - un seul passage (le début du mouvement IIIe) fait usage de la pleine échelle chromatique. L'abstinence de spectaculaires effets attire l'attention sur compréhensibles structures harmoniques, les nuances dynamiques, un large éventail de combinaisons de voix et de registre et les variations subtiles des textes dans les différentes pièces.Formellement, l'ensemble du cycle de sept pièces sont regroupées en grandes sections de plusieurs mouvements. La devise en forme de début se transforme à la fois du texte et de l'harmonie dans le mouvement Gryphius dans laquelle le choeur est progressivement étendue d'une région à moyen terne à plus de registres contrastés jusqu'à ce que les fondus sonores away 'wie Rauch' [comme] la fumée et se transforme en fines pétille. Un petit interlude - la seule section qui présente le quatuor de cuivres - mène à Echo Opitz ', qui se déplace d'un endroit sombre, pesante, son dissonant des voix d'hommes dans une atmosphère de plus en plus léger, qui est ensuite repris par le plutôt simple , paysage d'automne mélancolique de Harsdörffer. La pièce maîtresse du cycle suivant, basé aussi bien sur le poème d'automne par Brockes, contraste fortement avec la simplicité du mouvement précédent. L'image d'une douche à effet pluie de feuilles qui tombent, méditative qui tournent autour lui-même, est transféré dans une longue et complexe 'spirale' paysage sonore sans cesse en rotation dans un maximum de 16 pièces individuelles, chacun d'entre eux d'explorer une version légèrement différente du texte du poème. Tandis que le choeur se développe pour le plus grand nombre de registres et de plus forte densité de la pièce, l'expression, dans le style de la langue Brockes ', reste plutôt affectée. La dernière section reprend le slogan du début, en explorant les deux enlacés textes Hofmannswaldau de manière plus approfondie, et conduit à la court épilogue qui sert comme un commentaire ironique sur baroque lassitude du monde sous la forme d'une merry-go-round avec les syllabes du poème de rotation spirituellement rapide grâce à la chorale.Le quatuor de cuivres partie soutient, accompagne et complète en partie le choeur d'une façon presque totalement la fusion. Il ya à peine une note qui n'est pas directement associée à l'une des voix de la chorale. Cependant, l'utilisation ou ommitting les cuivres affecte également la Charakter de la performance de la chorale - de cette manière, deux versions égales de la pièce sont combinés en un seul score, et vergehn wie Rauch peut être effectuée a cappella à la fois l'original et d'aujourd'hui les sens du terme.- Benjamin Schweitzer / Choeur Mixte (SSAATTBB), Trompette En Sib, Cor En Fa, Trombone Et Tuba
27.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Diapason Jaune Vol. 1 En Français Voix, Guitare Presses d'lle de France
Tous les chants sont accompagnés de leur partition et des accords de guitare. -...(+)
Tous les chants sont accompagnés de leur partition et des accords de guitare. - Chansons pour les enfants
22.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Nuovo Canzoniere
Cantautori Chanson [Partition] Carisch
162 Testi Con Accordi (Formato Pocket)/ Recueil / Chanson
18.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Mio Primo Canzoniere Paroles et Accords Carisch
197 Testi Con Accordi Senza Barré. Pop / Pop & rock / Recueil / Chanson
25.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Compilation : Un Siècle
de Chansons Francaises :
1979-1989 En Français Tous Les Instruments [Partition] Fortin
Le 8ème volume de la collection référence concernant la chanson française en...(+)
Le 8ème volume de la collection référence concernant la chanson française enfin disponible. Retrouvez 301 chansons de la décennie du tubes radio, les années 80, qui semble rester dans les coeurs et dans les têtes et se transmettre aux jeunes générations. Inclus : Africa, Allah, Ambalaba, La dame de Haute Savoie, Coeur de Rocker, Comme toi, Le Géant de Papier, La Groupie du Pianiste, Mélissa, Mistral Gagnant, Nuit de Folie, Tombé pour la France, Une autre histoire, Les uns contre les autres, Un autre monde... / Variétés / Recueil avec paroles, musique (ligne de chant) et /
40.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
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