Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le livret de mon opéra de chambre Dafne (d'après Martin Opitz, écrit en 2005), j'ai intégré plusieurs poèmes de Opitz dans son jeu, et c'était aussi la première fois pour moi de composer des passages de choeur prolongées. Après avoir terminé ce travail, j'ai ressenti le besoin d'explorer la combinaison de choeur et les textes baroques dans un plus, la composition chorale indépendante. J'ai choisi des poèmes de Christian Hoffmann von Hoffmannswaldau, Andreas Gryphius, Martin Opitz, Georg Philipp Harsdörffer, Barthold Brockes Hinrich und Friedrich von Logau. En dehors de Trost aphoristique von Logau, les textes ont été raccourcies et réorganisé en profondeur. Les sujets similaires, en utilisant aussi des manières étroitement liées d'expression, et la tendance à des structures redondantes - souvent, une pensée à plusieurs reprises formulé de différentes façons - en fait des lignes de change, même possibles entre les différents poèmes.La façon dont les textes sont examinés les changements entre cadre cohérent et la langue en utilisant comme matière sonore et l'élément structurel. Un aspect important est la technique de laisser mots ou des syllabes tourner à travers tout le choeur, qui - soutenus par différents niveaux dynamiques et d'un unisono souvent légèrement imprécise - crée un effet panoramique comparables. Le moins son temps difficiles de la langue baroque, riche en consonnes, les métaphores lourdes, mais aussi les ondulée, parfois des expressions bizarres sont le plus souvent mis en musique plutôt discrète. Surtout, une duplication du caractère déclamatoire est évité, tandis que quelques belles images sont ramassés et transformés en sons. Le son choeur en tant que telle reste la plupart du temps 'intacte' au sens traditionnel- du brai est même traitée de manière très restrictive - un seul passage (le début du mouvement IIIe) fait usage de la pleine échelle chromatique. L'abstinence de spectaculaires effets attire l'attention sur compréhensibles structures harmoniques, les nuances dynamiques, un large éventail de combinaisons de voix et de registre et les variations subtiles des textes dans les différentes pièces.Formellement, l'ensemble du cycle de sept pièces sont regroupées en grandes sections de plusieurs mouvements. La devise en forme de début se transforme à la fois du texte et de l'harmonie dans le mouvement Gryphius dans laquelle le choeur est progressivement étendue d'une région à moyen terne à plus de registres contrastés jusqu'à ce que les fondus sonores away 'wie Rauch' [comme] la fumée et se transforme en fines pétille. Un petit interlude - la seule section qui présente le quatuor de cuivres - mène à Echo Opitz ', qui se déplace d'un endroit sombre, pesante, son dissonant des voix d'hommes dans une atmosphère de plus en plus léger, qui est ensuite repris par le plutôt simple , paysage d'automne mélancolique de Harsdörffer. La pièce maîtresse du cycle suivant, basé aussi bien sur le poème d'automne par Brockes, contraste fortement avec la simplicité du mouvement précédent. L'image d'une douche à effet pluie de feuilles qui tombent, méditative qui tournent autour lui-même, est transféré dans une longue et complexe 'spirale' paysage sonore sans cesse en rotation dans un maximum de 16 pièces individuelles, chacun d'entre eux d'explorer une version légèrement différente du texte du poème. Tandis que le choeur se développe pour le plus grand nombre de registres et de plus forte densité de la pièce, l'expression, dans le style de la langue Brockes ', reste plutôt affectée. La dernière section reprend le slogan du début, en explorant les deux enlacés textes Hofmannswaldau de manière plus approfondie, et conduit à la court épilogue qui sert comme un commentaire ironique sur baroque lassitude du monde sous la forme d'une merry-go-round avec les syllabes du poème de rotation spirituellement rapide grâce à la chorale.Le quatuor de cuivres partie soutient, accompagne et complète en partie le choeur d'une façon presque totalement la fusion. Il ya à peine une note qui n'est pas directement associée à l'une des voix de la chorale. Cependant, l'utilisation ou ommitting les cuivres affecte également la Charakter de la performance de la chorale - de cette manière, deux versions égales de la pièce sont combinés en un seul score, et vergehn wie Rauch peut être effectuée a cappella à la fois l'original et d'aujourd'hui les sens du terme.- Benjamin Schweitzer / Choeur Mixte (SSAATTBB), Trompette En Sib, Cor En Fa, Trombone Et Tuba

'for the National Youth Choirs of Great Britain'for junior-upper voice SSSA Choir and Double SATB Choir a cappella (Score)Commissioned by the National Youth Choirs of Great BritainText is by Arthur W. E. O'Shaughnessy, adapted by Jessica Duchen.Composer's NoteWhen the National Youth Choirs of Great Britain requested a short piece for their gala concert at Birmingham's Symphony Hall, I was particularly excited about the prospect of writing for 300 singers. A recent research trip to Estonia resulted in somewhat of a revelation: having heard and seen their world-renowned choirs in action (literally!) has resulted in We are the Music-Makers having the less mainstream 'surround-sound' of upper voices/junior choir at the back and sides of the audience and a further stereophonic double-choir on stage.This poem was sent to me by Tim Williams (my ex Head of English at school), and immediately seemed to fit this occasion. This text has already been set magnificently by Elgar, so partly to avoid any kind of comparison and also to bring its timeless message up to date, I asked my poet friend Jessica Duchen to give it a sligtly more contemporary feel.A poem about global music-making (which ties in with the NYCGB's recent World-Music CD), it speaks about humankind, nation to nation, and the mention of Babel inspiring a 'speakng of tongues' effect by using as many different international words for 'music' as possible as an accompaniment (not an easy task, as many of them are similar to our own word!). These are: French (Musique), Romanian (Muzica), Swahili (Mahewa), Polish (Muzka), Estonian (Muusika), German (Muzik), Japanese (Ongaku), and Spanish (Música). / Choeur Mixte (SSAATTBB) A Cappella

The Parting Glass. A 4-minute gently flowing arrangement by Joshua Pacey of the traditional Irish/Scottish song. Written for unaccompanied SSAATTBB with soprano and tenor solo. Score includes rehearsal piano reduction. First recorded on VOCES8?s2019 album Enchanted Isle.

The Kikapust Choral Series offers choirs an extensive choice of close-harmony a cappella arrangements. All of our arrangers / composers Jonathan Rathbone Ben Parry & Mark Williams were long-standing members ofthe Swingle Singers.

Two part songs by the eminent English choral composer Herbert Howells setting the words of James Ballantine and Seumas O’Sullivan.

Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le livret de mon opéra de chambre Dafne (d'après Martin Opitz, écrit en 2005), j'ai intégré plusieurs poèmes de Opitz dans son jeu, et c'était aussi la première fois pour moi de composer des passages de choeur prolongées. Après avoir terminé ce travail, j'ai ressenti le besoin d'explorer la combinaison de choeur et les textes baroques dans un plus, la composition chorale indépendante. J'ai choisi des poèmes de Christian Hoffmann von Hoffmannswaldau, Andreas Gryphius, Martin Opitz, Georg Philipp Harsdörffer, Barthold Brockes Hinrich und Friedrich von Logau. En dehors de Trost aphoristique von Logau, les textes ont été raccourcies et réorganisé en profondeur. Les sujets similaires, en utilisant aussi des manières étroitement liées d'expression, et la tendance à des structures redondantes - souvent, une pensée à plusieurs reprises formulé de différentes façons - en fait des lignes de change, même possibles entre les différents poèmes.La façon dont les textes sont examinés les changements entre cadre cohérent et la langue en utilisant comme matière sonore et l'élément structurel. Un aspect important est la technique de laisser mots ou des syllabes tourner à travers tout le choeur, qui - soutenus par différents niveaux dynamiques et d'un unisono souvent légèrement imprécise - crée un effet panoramique comparables. Le moins son temps difficiles de la langue baroque, riche en consonnes, les métaphores lourdes, mais aussi les ondulée, parfois des expressions bizarres sont le plus souvent mis en musique plutôt discrète. Surtout, une duplication du caractère déclamatoire est évité, tandis que quelques belles images sont ramassés et transformés en sons. Le son choeur en tant que telle reste la plupart du temps 'intacte' au sens traditionnel- du brai est même traitée de manière très restrictive - un seul passage (le début du mouvement IIIe) fait usage de la pleine échelle chromatique. L'abstinence de spectaculaires effets attire l'attention sur compréhensibles structures harmoniques, les nuances dynamiques, un large éventail de combinaisons de voix et de registre et les variations subtiles des textes dans les différentes pièces.Formellement, l'ensemble du cycle de sept pièces sont regroupées en grandes sections de plusieurs mouvements. La devise en forme de début se transforme à la fois du texte et de l'harmonie dans le mouvement Gryphius dans laquelle le choeur est progressivement étendue d'une région à moyen terne à plus de registres contrastés jusqu'à ce que les fondus sonores away 'wie Rauch' [comme] la fumée et se transforme en fines pétille. Un petit interlude - la seule section qui présente le quatuor de cuivres - mène à Echo Opitz ', qui se déplace d'un endroit sombre, pesante, son dissonant des voix d'hommes dans une atmosphère de plus en plus léger, qui est ensuite repris par le plutôt simple , paysage d'automne mélancolique de Harsdörffer. La pièce maîtresse du cycle suivant, basé aussi bien sur le poème d'automne par Brockes, contraste fortement avec la simplicité du mouvement précédent. L'image d'une douche à effet pluie de feuilles qui tombent, méditative qui tournent autour lui-même, est transféré dans une longue et complexe 'spirale' paysage sonore sans cesse en rotation dans un maximum de 16 pièces individuelles, chacun d'entre eux d'explorer une version légèrement différente du texte du poème. Tandis que le choeur se développe pour le plus grand nombre de registres et de plus forte densité de la pièce, l'expression, dans le style de la langue Brockes ', reste plutôt affectée. La dernière section reprend le slogan du début, en explorant les deux enlacés textes Hofmannswaldau de manière plus approfondie, et conduit à la court épilogue qui sert comme un commentaire ironique sur baroque lassitude du monde sous la forme d'une merry-go-round avec les syllabes du poème de rotation spirituellement rapide grâce à la chorale.Le quatuor de cuivres partie soutient, accompagne et complète en partie le choeur d'une façon presque totalement la fusion. Il ya à peine une note qui n'est pas directement associée à l'une des voix de la chorale. Cependant, l'utilisation ou ommitting les cuivres affecte également la Charakter de la performance de la chorale - de cette manière, deux versions égales de la pièce sont combinés en un seul score, et vergehn wie Rauch peut être effectuée a cappella à la fois l'original et d'aujourd'hui les sens du terme.- Benjamin Schweitzer / Choeur Mixte (SSAATTBB), Trompette En Sib, Cor En Fa, Trombone Et Tuba

Nr. 5 aus The Same Flame-Commissioned by the Somerset England based charity Churchill Music! The Same Flame was inspired by Pierre de Coubertin’s ideals of Olympism which gave rise to the modern Olympic and Paralympic values: Respect Excellence Friendship Courage Equality Determination and Inspiration. These seven values are celebrated in five movements so four of them had to double up – Friendship with Equality and Courage with Determination. Each movement is scored for slightly different choral forces so the work is varied. Also individual movements may suit different choirs giving the opportunity for individual performance or collaboration between choirs. All fivemovements of The Same Flame are published as individual octavos. A complete vocal score is available on request from the publishers.“Excellence” makes the not always popular point that excellence is not achieved overnight nor by accident. While spelling out the ‘doggedness diligence discipline [and] drudgery’ that go into achieving ‘poetry in motion’ the song also celebrates the attainment of those who achieve excellence and comes to the inescapable conclusion that the ‘unbegrudged drudgery’ is worth it! The (sometime tongue-twisting) language is very colourful and engaging and as the final movement of “The Same Flame” the music is equally exciting and explosive.

Psalm No.2 Why rage fiercely the Heathen Op.78 (1st & 2nd versions)Mendelssohn’s Three Motets Op.69 and Three Psalm Settings Op.78 belong to the standard repertoire of many choruses and vocal ensembles. Our editions the work of two leading Mendelssohn specialists Hiromi Hoshino and Michael Cooper present these pieces in separate volumes reflecting the latest state of scholarly research.We also offer a separate edition of Psalm 91 “For He shall give His angels charge” in its original setting for eight-part a cappella chorus. (Mendelssohn later incorporated it into “Elijah” with an orchestral accompaniment).Eachedition contains the original German text and the English translation authorized by the composer himself.A two-stave reduction of the vocal parts has been added as an aid in rehearsal. Complete editions are available with critical reports and introductions in German and English.- Urtext at the forefront of musical scholarship- Complete editions with critical reports and introductions in German and English- With piano reductions for rehearsal purposes

8 Songs for eight-part vocal groups-The VOCES8 a cappella Songbook includes many of the group?s favourite songs - ranging from folk and classicalthrough to spiritual and pop. The international award-winning octet VOCES8 has established itself at the forefront of British a cappella. Performing a repertoire ranging from Renaissance polyphony to unique Jazz and Pop arrangements the group has been praised for stunning performance exquisite singing and creating a sound that spans the entire range of vocal colour.

O Magnum Mysterium-This stunning work requires a mature SSAATTBB choir and a Violin or Cello soloist to fulfill the composer's intentions. Looking to write an a cappella work with a symphonic abundant feel the Latin text was selected for this spiritual concert work. Duration: ca. 6:00.

Par HOLST GUSTAV. A motet for eight-part unaccompanied choir setting a poem by Henry Vaughan and edited by Imogen Holst./ Répertoire / Voix Mixtes

VOCES8 Singles Series. Now winter nights by British composer and baritone Roderick Williams uses an evocative poem by Thomas Campion as its text, helping him to pinpoint the excitement of Christmas he felt as a child, and still holds on to. Written for SSAATTBB unaccompanied choir, Now winter nights is suitable for choirs wanting a Christmas/Holiday treat but which requires a medium to higher level of skill. Commissioned by VOCES8 for their LIVE From London festival in 2020.

Par MOCNIK DAMIJAN. Em Pianoehlungen: Neue Chormusik - Literaturem Pianoehlung - Reihen bei Carus: Zeitgenössische Chormusik - Langue : Latin / Musique contemporaine / Répertoire / Choeur SSAATTBB