Commissioned by the Carpe Diem String Quartet. Reza Vali?s ?Calligraphies? series is a set of an ongoing cycle of works based on thePersian modal system the ?Dastgâh? which he has been composing since 2000. The basic compositional material of thework is derivedfrom a fast tempo genre called the ?Reng? which is usually performed at the end of a traditional Persian music concert. ?Raak? includes meter changes on almost every measure and will phase quickly between entirely homophonicsections and sections with entirely independent parts writing.

for Solo Clarinet and 7 Players-This four movement work features the clarinet weaving melodies constructed in both Western equal temperenment and Persian modal systems. Most of the ensemble doubles on one or more instruments including the pianist and strings playing the chimes invarious passages. Premiered on January 16 2016 at the Segah Festival of Persian and Turkish Music.

Par VAUGHAN WILLIAMS RALPH. Quartet in C Minor is in four movements with a total duration of about 25 minutes. The opening Allegro is Dvorák-ish in its lyricism, though there is a darker, more brooding atmosphere towards the close. It is tempting to detect a hint of folk-song in the theme of the Andantino, played by the Viola, but that may be stretching hindsight too far. The movement has a wistful melancholy that carries over into the following Intermezzo, a song-like episode containing some of the most virtuosic writing in the work. The last movement is a theme and six variations with a fugal ending. The theme is ballad-like with a suggestion of 18th-century elegance. Modality creeps into the second Adagio variation and there is rhythmic exhilaration in the succeeding Presto. What can be admired in this attractive quartet is its conciseness. This String Quartet was his first major composition of any kind. / Niveau : Intermédiaire / Répertoire / Quatuor à Cordes

Par PEPIN CAMILLE. Lorsque l'on m'a proposé de mettre en musique ce recueil de poèmes de James Joyce (1882-1941), j'ai été immédiatement séduite par l'idée. Il s'agissait de mettre en musique ces poèmes en respectant l'ordre original selon lequel ils ont été conçus par James Joyce lui-même lors de la première édition de 1905 [1]. Avec la précieuse aide de Philippe Blanchon [2], j'ai choisi de mettre en musique dix-huit poèmes, conservant ainsi les épisodes incontournables, la trame dramaturgique et l'essence de l'univers Joycien. Ce qui m'a attirée d'emblée, c'est qu'il s'agit d'une véritable histoire : de la naissance de l'amour à la passion déclinante, menant à une éventuelle et tendre amitié entre les deux amants. J'ai donc conçu Chamber Music d'un seul tenant. Au-delà des nombreuses références à la musique et aux sons de la nature - déjà 'musique' en eux-mêmes - l'oeuvre littéraire appelle à la mise en musique par sa forme. En effet, elle est déjà musicale dans sa construction. Les trois premiers poèmes constituent le prélude exprimant la solitude du poète. Nous assistons dans la première partie - crescendo - à la naissance de l'amour entre les deux amants, menant au poème central et point culminant de l'oeuvre : 'My Dove, my beautiful one'. La seconde partie - diminuendo - raconte la passion déclinante des amants qui nous conduit au finale, écho du premier poème et à la solitude du poète. Le prélude musical illustre le paysage - tant visuel que sonore - décrit par James Joyce : 'Strings in the earth and air make music sweet', 'There's music along the river', 'The sighs of harps', 'Soft sweet music in the air'. Inspirées de sonorités traditionnelles irlandaises, les mélodies de la première partie présentent un aspect populaire issu du folklore, comme une ode au monde de la danse - prégnant en Irlande. Ces mélodies modales et mélismatiques semblent improvisées, à la manière du chant gaélique irlandais. Elles se transforment au fur et à mesure en une véritable épopée romantique, expression de la relation passionnelle et charnelle des deux amants : 'Hurry over the dark lands and run upon the sea for seas and land shall not divide us my love and me', 'The odorous winds are weaving a music of sighs'. Ces mélodies extatiques, à la fois tendres et fragiles, tentent d'exprimer cette ivresse, cet état extatique - véritable état de 'transe' qui nous submerge lorsque l'amour envahit notre âme sans que l'on s'en aperçoive. La deuxième partie reprend ces divers éléments musicaux dans leur cheminement inverse. Passés par le filtre de la mélancolie de l'amour déclinant au fil du temps, ils témoignent de la perte de repères après la séparation avec l'être aimé : 'Lay aside sadness and sing how love that passes is enough', 'Love came to us in time gone by'. Enfin, le finale exprime le retour à la solitude du poète, comme une résonance du début de l'oeuvre : 'The voice of the winter is heard at the door', 'My kiss will give peace now and quiet to your heart'. Sans cesse en écho les unes des autres, les mélodies s'entremêlent dans un contrepoint lyrique et sensuel. En effet, le titre même du recueil m'a inspiré une oeuvre où chaque instrument serait d'égale importance. Le lyrisme de l'un ne peut exister sans l'autre. Ainsi, le rôle du quintette n'est pas seulement un accompagnement de la voix soliste. Leurs lignes d'amour se mêlent avec volupté les unes aux autres. Plonger dans l'univers Joycien a impliqué mon immersion totale dans l'oeuvre. Lire ses mots, penser ses images, imaginer ses sonorités, a été un travail passionnant et c'est avec nostalgie que je referme ce recueil aujourd'hui. J'espère cependant avoir su retranscrire son univers poétique au plus proche. Je profite de cette note pour remercier Philippe Blanchon pour son aide précieuse et Claire Bodin [3] pour sa confiance. C'est à la fois un grand honneur et un plaisir immense de rendre hommage à si grand artiste et de voir ce chef d'oeuvre littéraire naître une seconde fois en musique. / Contemporain / Répertoire / Sextuor

The Full Score for Peter Maxwell Davies’ fourth in a series of ten string quartets commissioned by the Naxos Recording company first performed by the Maggini Quartet on 20th August 2004 at the Chapel of the Royal Palace Oslo Norway as part of the Olso Chamber Music Festival. Composer Note: The fourth Naxos quartet was written in January and February of 2004 with the intention of producing something lighter and much less fierce than itspredecessor an unpremeditated and spontaneous reaction to the illegal invasion of Iraq.I returned to the well-known Brueghel picture of children's games (1560 now in Vienna) which had been the inspiration for my sixthStrathclyde Concerto for flute and orchestra. These illustrations liberated my musical imagination but I feel it would limit the listener's perception to be too specific about which game relates to exactly which section of thework. Suffice it to say that there is vigorous play - leap-frog bind the devil with a cord truss wrestling - alongside quieter pastimes - masks guess whom I shall choose courting odds and evens. The single movementjuxtaposes these activities as abruptly and intimately as they occur in Brueghel. Rather as the eye is taken into different perspectives and proportions of scale within the picture taking liberties which would never be presentin for instance Brunelleschi architectural drawings so here with a constant sequence of transformation processes I have distorted the neat precise implications of modal progression expressed in the unison opening phrase(from F to B through A sharp/B flat) so that the ear is led en route into the sound equivalents of strange passageways and closed rooms: sicut exposition ludus. As work on the quartet progressed I became aware that Iwas reading into and behind the games adult motives and implications concerning aggression and war with their consequences. It was impossible to escape into innocent childhood fantasy. The nature of the F to B

Six colourful miniatures depicting images of the sea range of moods and keys will provide plenty of technical practice for young players while the pictures conveyed will stretch their feeling for interpretation ?The six Seascapes all lie in first position and range across the four strings. They are in an accessible tonal/modal style and there are appropriate accompaniments for ?A sea breeze? and ?Rippling Waves.?? Music Teacher ?There is a lot of very expressive and attractive writing in a singularly English style.? Music in the Curriculum ?As well as being well written for this instrument(s)... theyeach pick up details of string technique which makes them very useful teaching material.? SATIPS

Avec les acteurs de la chaîne sérieux ce compositeur letton reconnaît depuis longtemps en raison de ses concepts tonales sonores et son idiome modale, parfois aléatoire. Fonctionne comme ' Cantabile per Archi ' ou ' Musica dolorosa ' est déjà assez bien connue, mais des morceaux plus récents comme le Concerto pour violon avec orchestre à cordes ' Fernes Licht ', commandée par Gidon Kremer pour sa Kremerata Baltica, gagnent aussi en exposition échelle internationale. Le genre du Quatuor à cordes est bien représenté en sortie de Vasks. Le 2e Quatuor 'Summer Tunes' (ED 8512) a été publié depuis un certain temps et la 3ème a été créée par le Kronos Quartet, qui étaient tellement enthousiaste qu'ils a commandé un 4e Quatuor. En 1996, invité par un enregistrement complet de tous ses quatuors par le Quatuor À cordes de Miami de conifères Records Vasks totalement révisé son début 1er Quatuor 1996, il est ici présenté pour la première fois dans une édition imprimée. / Quatuor A Cordes