Arr. Philip Sparke. Par TALLIS THOMAS. Cet arrangement pour orchestre d’harmonie du célèbre Canon de Thomas Tallis - qui met en musique le psaume 67, God Grant we Grace - comprend quatre couplets de ce cantique. Le premier est en forme de canon, le deuxième est interprété par les cuivres, le troisième par les bois et le dernier est repris par l’orchestre entier. Le somptueux arrangement réalisé par Philip Sparke conviendra à toutes les formations, même restreintes. / Niveau : 1 / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Arr. Jacob De Haan. Par BACH JOHANN SEBASTIAN. En 1721, Jean-Sébastien Bach épouse en secondes noces Anna Magdalena Wilcken (1701-1760). Il lui dédie l’air Bist du bei mir BWV 508. Le texte a été écrit par un poète anonyme. La notoriété de cet air reste inégalable par la sublime tendresse de la mélodie qui évolue en parfaite harmonie avec un texte puissant dans lequel le poète nous livre une belle vision de l’amour : tant que l’être aimé est auprès de nous, même la mort est douce. Jacob de Haan a réalisé ce superbe arrangement pour Orchestre d'Harmonie. / Niveau : 2 / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Fantasy on the canon Freu' dich des Lebens. Par SPARKE PHILIP. L’année 2008 marque le 400e anniversaire de la fondation de la ville de Québec (1608-2008) au Canada. Pour célébrer cet événement, la Musique des Voltigeurs de Québec, une unité d’infanterie de la force terrestre des Forces canadiennes, a fait appel au compositeur Philip Sparke pour l’écriture de deux oeuvres de concert (disponibles sur un compact disc édité spécialement pour cette occasion). Philip Sparke a composé Sounds of the Saint Lawrence (Échos du Saint-Laurent), une suite de chants traditionnels québécois, et cette fantaisie libre sur le canon Freu’ dich des Lebens de Ludwig van Beethoven. L’histoire de ce canon est absolument fascinante. En1822, Théodore Frédéric Molt, un professeur, auteur, pianiste et organiste allemand - ancien soldat dans l'armée napoléonienne ayant combattu à Waterloo - arrive à Québec. En 1825, il retourne en Europe afin de parfaire sa formation. Au cours de son séjour, il rend visite à Beethoven. Quelques jours plus tard, il fait parvenir une lettre au compositeur sourd en incluant une feuille blanche sur laquelle il lui demande d'écrire « du fond de son grand coeur » un souvenir « qui restera pour moi, à une distance qu'il me faudra presque 3000 heures pour parcourir, un document éternellement précieux. »Beethoven accepte et, le 16 décembre 1825 (jour de ses cinquante-cinq ans), il présente à Théodore Molt le canon Freu’ dich des Lebens Le manuscrit est actuellement conservé dans une collection canadienne. Beethoven’s Greeting (“La signature de Beethoven”) débute avec une introduction lente basée sur le canon. S’ensuit un Vivo qui sera repris ultérieurement sous la forme d’un déchant à la mélodie du canon. Le thème du canon est chanté par le choeur à quatre voix (SATB) optionnel (AMP 243-050), mais la mélodie est également présente dans l’orchestration. / Niveau : 4 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par SPARKE PHILIP. Golden Winds est une commande de l’Harmonie des Jeunes de Schramberg, en Allemagne, pour marquer son cinquantenaire en 2012. L’orchestre a créé cette pièce sous la direction d’Andreas Hirt lors de son concert de Noël la même année. La pièce s’ouvre sur un thème nerveux et énergique joué dans le registre grave des bois qui se développe en canon et s’amplifie pour arriver à un climax avec l’orchestre entier. L’ambiance s’apaise pour introduire un passage contemplatif qui met en avant d’abord les clarinettes, puis un thème opulent en forme de choral qui se transforme en un tutti ardent. Celui-ci mène au corps de la pièce, un vivo rythmé qui introduit doucement son thèmeprincipal avant une reprise par l’orchestre entier. Un court passage de transition introduit alors un second sujet musclé qui se développe jusqu’à la réapparition du passage de transition pour mener à une reprise du thème principal. Ce thème se transforme pour annoncer le retour des premières mesures de la pièce, qui mènent à une conclusion festive. / Niveau : 3 / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par BOUTHIER CHRISTIAN. Versailles de Christian Bouthier est une suite en quatre tableaux inspirés du célèbre Château de Versailles près de Paris. 1. Le Château Dès 1623, Louis XIII, le père de Louis XIV (dit le Roi-Soleil), construit à Versailles un premier château majestueux. Plus tard, l’architecte Philibert Le Roy s’est vu confier la tâche de l’agrandir. Et durant des siècles, divers autres architectes se consacrent à l’agrandissement et à l’embellissement de ce superbe palais pour en faire cet ensemble de façades et de bâtiments majestueux, célèbre dans le monde entier. 2. Le grand Trianon Trianon est le nom d'un village acheté par Louis XIV dans le but de construire sur ces nouvelles terres unautre palais. Cherchant à se défaire du protocole trop pesant de Versailles, le Roi est à Trianon plus proche des siens. Trianon demeurera un lieu de détente, loin de l'étiquette et des fatigues du pouvoir. Les travaux du premier Trianon débutent en 1670. De nombreux bâtiments et péristyles seront rajoutés au fil des années. 3. L'Appartement du Roi En 1683, Louis XIV quitte son Grand Appartement pour vivre dans son appartement intérieur qu'on appelle 'l'Appartement du Roi'. Depuis 1701, la suite des pièces est la suivante : salle des Gardes, antichambre du Grand Couvert, antichambre de l'Oeil-de-boeuf, chambre du Roi, cabinet du Conseil. L'apparat des plafonds peints qui caractérisait le décor du Grand Appartement, fait place à un décor sobre où les plafonds sont laissés nus. Cet allégement correspond à un nouveau goût du Roi-Soleil. 4. Les Grandes EauxTrouver les ressources en eaux pour les fontaines de Versailles fut la préoccupation constante du Roi-Soleil. Même en pleine guerre, il s'en inquiétait. Ce sera l’extraordinaire Machine de Marly qui apportera les eaux de la Seine à Versailles. L’arrivée des eaux au Château aura nécessité la construction d’un réseau hydraulique de rigoles, de fossés et d'aqueducs s’étendant sur près de deux cent kilomètres. L'ensemble demeure unique notamment par son état de conservation. / Niveau : 2 / Pièce de concert / Répertoire / Concert Band ou Harmonie ou Fanfare ou Brass Band

Arr. Wil Van Der Beek. Par PUCCINI GIACOMO. Giacomo Puccini (1858-1924) est, après Verdi, l’un des plus grands représentants de l’opéra italien. Il reste célèbre pour les teintes sublimes de ses mélodies chaleureuses, ses orchestrations colorées, ses drames envoûtants, sa créativité musicale et son incroyable capacité à délivrer des ambiances exotiques à travers des textures sonores. Parmi les classiques des opéras pucciniens, on peut citer Manon Lescaut, La Bohème, Tosca, Madame Butterfly et Turandot. Il est également frappant de constater que de nombreux airs de Puccini, même sortis de leur contexte d’origine, sont parfaitement adaptés à une interprétation en concert. Pour réaliser cet arrangement, Wil van derBeek a puisé dans le tissu musical de l’air pour ténor E lucevan le stelle (Tosca), dans le choeur d’opéra Gira la cote! Gira! (Turandot) et dans l’air pour soprano Un bel di vedremo (Madame Butterfly). / Niveau : 3 / Classique / Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Lasst uns erfreuen. La mélodie du cantique Lasst uns erfreuen est connue par toutes les communautés chrétiennes. Elle fut publiée pour la première fois dans le recueil Geistliche Kirchengesäng imprimé à Cologne, en 1623. La mélodie est attribuée à un compositeur anonyme. Dans les pays anglophones, cette mélodie est chantée sur le texte All creatures of our God and King (Vous, créatures du Seigneur) inspiré du chant de louange Cantico di fratre sole (Cantique du frère Soleil ou Cantique des créatures) de Saint François d’Assise. Rédigé en 1226, au terme de sa vie, il faudra attendre quatre cents ans pour que le cantique de Saint François d’Assise soit publié. Latraduction anglaise a été réalisée par William Henry Draper (1855-1933) à l’occasion d’un grand rassemblement de jeunes pour la Pentecôte à Leeds. L’hymne fut ensuite intégrée dans la seconde édition du recueil Public School Hymn Book (1919). Cet arrangement de Philip Sparke développe trois strophes contrastantes. Let Us Rejoice! est une oeuvre de concert à part entière, mais peut également servir d’interlude dans le cadre d’une célébration de Pâques ou de Pentecôte. / Niveau : 2.5 / Hymnes et chorals / Recueil / Concert Band ou Harmonie

Par SPARKE PHILIP. Fanfare for an Occasion a été écrite pour marquer le 20e anniversaire de la fondation d’Anglo Music Press, la maison d’édition consacrée aux œuvres du compositeur britannique Philip Sparke. C’est une œuvre brillante et festive dont le thème principal démarre sur les instruments ténor de l’ensemble avant d’apparaître en imitation d’un canon par tous les pupitres tour à tour. Un passage de transition court et répété mène à un second thème sur les saxophones qui est repris par l’orchestre entier et conduit à un retour du thème principal et une répétition du second sujet, qui mène la fanfare à une conclusion éclatante. / Date parution : 2022-01-14/ Répertoire / Concert Band/Harmonie

Arr. Rob Wiffin. Par TRADITIONAL. Cette composition est basée sur le célèbre air traditionnel écossais The Dashing White Sergeant. Longtemps considérée comme anonyme, cette mélodie aurait été composée au milieu des années 1820 par Sir Henry Rowley Bishop. Bien que cette théorie fut difficilement concevable pour certains (comment un Anglais aurait-il pu composer un célèbre air traditionnel écossais ?), elle reste néanmoins la plus communément admise. Il existe plusieurs textes accompagnant cet air. Le titre Dance Away dérive de la phrase « Dance away the hours together » extraite des paroles de Sir Hugh Roberston. Dance Away fait référence à diverses formes de danses. Certaines puisentleurs racines dans la tradition, d’autres dans la modernité. Ainsi, nous quittons l’Écosse pour la Thaïlande et l’Espagne. / Niveau : 3 / Musique légère originale / Date parution : 1905-06-29/ Répertoire / Concert Band ou Harmonie

Par SPARKE PHILIP. Golden Winds s’ouvre sur un thème nerveux et énergique joué dans le registre grave des bois qui se développe en canon et s’amplifie pour arriver à un climax avec l’orchestre entier. L’ambiance s’apaise pour introduire un passage contemplatifqui met en avant d’abord les clarinettes, puis un thème opulent en forme de choral qui se transforme en un tutti ardent. Les ' Vents Dorés ' s’achèvent par une conclusion festive. / Niveau : 3 / Répertoire / Concert Band ou Harmonie