Par JARRELL MICHAEL. De la nature... du musical Michael Jarrell, né en 1958, est l'un des compositeurs les plus en vue de sa génération. Dans une démarche toute personnelle, qui ne s'est inféodée à aucun mouvement, et dans une quête intérieure inlassablement poursuivie, il a opéré une synthèse de l'héritage des musiques d'après-guerre dont il a extrait certaines caractéristiques techniques pour les mettre au service d'une véritable poétique musicale. En effet, contrairement à ses aînés, il explore moins le langage pour lui-même, faisant des nouvelles techniques le lieu d'une mutation dans la pensée musicale, qu'il ne cherche à le mettre au service de l'expression. Aussi se méfie-t-il d'une conceptualisation excessive, et de l'utopie dont l'oeuvre serait porteuse, préférant mettre en valeur les vertus d'un artisanat qu'il enseigne par ailleurs à Vienne et à Genève, ainsi que lors de nombreux séminaires à travers l'Europe. Ses oeuvres, facilement identifiables dans l'abondante production contemporaine, sont toutes liées les unes aux autres, non seulement par une certaine forme de sensibilité, leur tonalité propre, mais aussi par la récurrence de certains traits que Jarrell retravaille dans des contextes différents. Il s'est ainsi très tôt constitué un univers qu'il ne cesse de remodeler, visant moins l'originalité apparente de chacune des pièces qu'un déplacement constant des perspectives dans lesquelles les mêmes idées, en elles, peuvent être appréhendées. 'Cent fois sur le métier...' voilà quelle pourrait être sa devise. On trouve ainsi dans chacune de ses oeuvres quelque chose de familier qui acquiert en même temps une certaine étrangeté, sentiment qui constitue peut-être un élément essentiel de son expressivité. La musique de Jarrell arpente les régions du rêve et de l'irréalité, à la recherche de son moment de vérité, souvent situé dans les sonorités les plus graves et tes plus lentes, là où le temps, ailleurs agité, s'immobilise. C'est peut-être ce qui confère à sa musique une forme de tendresse inséparable de la beauté sonore, allant jusqu'à un esthétisme raffiné, loin des recherches extrêmes et des formulations autoritaires. Chez lui, même les techniques instrumentales les plus inhabituelles, ou les sonorités électroniques, auxquelles il a souvent recours, sont rapatriées dans un monde sensible emprunt de pureté où ce sont les qualités expressives qui dominent. Celles-ci ne renvoient pas forcément au moi du compositeur, qui tend au contraire à s'effacer, mais davantage à l'essence même du musical, au phénomène en soi, porteur d'une présence singulière au monde. On retrouve de telles qualités dans sa dernière oeuvre, ...Le ciel, tout à l'heure si limpide, soudain se trouble horriblement..., commandée par l'Orchestre de la Suisse Romande. Elle fait appel à un grand orchestre symphonique standard: 3 flûtes (dont alto et piccolo, 2 hautbois et cor anglais, 2 clarinettes et clarinette basse, 2 bassons et contrebasson, 4 cors, 3 trompettes, 3 trombones, tuba, harpe, timbales, 4 percussions (vibraphone, glockenspiel, cloches tubes, cymbales, bongos, tam-tam, grosse caisse, temple blocks, tom grave, spring coils, triangle, mark tree) et cordes. Malgré un titre qui pourrait sous-entendre un élément programmatique, l'oeuvre appartient à la catégorie de la musique pure. L'orchestre y est traité de façon conventionnelle, mais avec une virtuosité d'écriture, un raffinement dans la sonorité qui exige beaucoup de ses interprètes. D'un seul tenant, l'oeuvre se divise en quatre parties principales d'inégale longueur, les deux premières étant plus importantes que les deux suivantes: la première est constituée d'un continuum de notes rapides réparties entre les cordes et Les bois, tandis que les trompettes, doublées par différents instruments, lancent une figure d'appel incisive qui s'allonge progressivement. L'écriture est d'une grande virtuosité, les figurations en triples croches passant d'un instrument ou d'un groupe à un autre. Les notes rapides se figent une première fois dans des oscillations jouées notamment par les cordes divisées, puis à travers des notes répétées qui traversent toute la texture orchestrale. Après un passage intermédiaire privilégiant les sons graves, l'écriture vive reprend jusqu'à un sommet dramatique marqué par des trilles, aussitôt suivi d'une désintégration qui mène à la seconde partie. Celle-ci débute avec des quintes jouées par les cordes graves divisées et colorées par les percussions (les contrebasses, qui doivent modifier leur accord, jouent des sons harmoniques). La musique semble vouloir repartir d'un point originel, elle se réinvente à partir d'une structure élémentaire, dans une extrême douceur. L'impétuosité du début laisse place à une grande délicatesse des sonorités. C'est un trait que l'on retrouve dans de nombreuses pièces de Jarrell: après l'effervescence d'une écriture brillante, agitée, nerveuse, que l'auditeur suit dans sa course folle, vient un moment réflexif et profond, qui nécessite une réorientation de l'écoule, une plongée dans la nature même du phénomène sonore. La trame qui se déploie dans un tempo lent offre ainsi une autre image de la sonorité orchestrale, comme si une musique des origines, au caractère de litanie, était soudain dévoilée sous la couche éclatante du début. Elle donne le sentiment d'avoir commencé bien avant son moment d'apparition, comme si elle provenait des couches profondes de la conscience, d'une mémoire archaïque. D'ailleurs, Jarrell réélabore ici un passage d'une pièce antérieure, Music for a While, lui reprenant son matériau de base. Le sentiment de profondeur est dû au formidable ralentissement du temps, qui nous met soudainement en apesanteur, mais aussi à une forme en spirale, qui tranche avec la musique directionnelle qui précédait. L'effet que provoque la distance sensible entre de tels contrastes est onirique: on ne sait plus si la première partie, qui nous échappe en se projetant vers l'avant, n'était qu'une forme illusoire, ou si nous entrons, avec la partie lente, dans une sorte de rêve éveillé. Un passage central, dans cette seconde partie, s'organise autour de guirlandes sonores à la harpe et aux cloches que tout l'orchestre remplit de sonorités suaves. Les arpèges descendants des vents doublés par des pizzicatos de cordes, que transpercent des notes répétées aux trompettes et aux cors, dans un climat encore doux, annoncent la reprise du mouvement frénétique. Mais cette fois, ce sont moins des figures virevoltantes qui passent à travers les pupitres que des blocs de notes joués par la masse des instruments: des figures qui s'élancent vers le haut aboutissent à des notes répétées, en une forme d'antiphonie, et mènent à un sommet d'intensité. Après quoi, en guise de coda, une quatrième partie nous conduit à une fin mourante: l'harmonie se fige, les polyrythmes annulent toute sensation de mesure, les longues tenues des instruments graves chutent chromatiquement, les percussions jouant des figures rituelles, en résonance, jusqu'à l'immobilité finale. Le titre de la pièce provient de Lucrèce (De la nature). Il n'a pas de signification structurelle immédiate, comme souvent chez Jarrell, mais exprime en quelques mots l'idée qui avait présidé au morceau. Le trouble s'apparente ici à une forme d'étrangeté, à quelque chose d'inquiétant qui n'apparaît pas de façon narrative, tel un vent d'orage dans un ciel serein, mais comme l'essence même de l'articulation formelle entre deux types d'écriture, deux types d'expression qui exigent des temporalités opposées l'une à l'autre. La soudaineté, c'est le renversement entre les deux. Pourtant, on retrouve un même noyau entre les parties vives et les parties lentes, la quinte jouant dans les deux cas un rôle structurel, et le mib apparaissant comme une note polaire (toute la musique de Jarrell est aimantée par des pôles qui orientent l'écoute). Si le passage du limpide au trouble se traduit par la sonorité orchestrale, par le maniement très sensible des timbres qui provient en grande part de la tradition orchestrale française, il se manifeste aussi par des figures qui évitent tout profil thématique, toute forme mélodique au sens traditionnel du terme, et qui composent la texture. L'auditeur a directement à faire avec la matière sonore. Et celle-ci est composée de part en part. L'adjectif poétique vient à l'esprit pour définir une invention qui s'écarte aussi bien des formes illustratives que des constructions schématiques, et qui repose essentiellement sur l'organisation des hauteurs au détriment des effets, des sonorités bruiteuses ou des gestes iconoclastes. Et malgré les passages brillants, malgré les explosions sonores toujours maîtrisées et un maniement virtuose de l'orchestre, cette poétique révèle un caractère fondamental plutôt intimiste. Philippe Albèra / contemporain / Répertoire / Orchestre

Composer's Program Note Repertoire operas occationally have orchestral suites: Bits and pieces of overture interlude etc. tied upin a bouquet of 'schönste Tränen'. Contemporary opera usually wither after the first season so the focusis on getting people to come and have a sniff before it's too late. Consequently it seemed obvious to meto start making orchestral excerpts from my operas that are meant to be played before the premiere (andafter please); I call them 'opera trailers' when they're substantial enough to be considered independent works and 'opera demos' when they're relatively short and moreappetizer-ish. SNOW WHITE'S MIRROR is a full scale two act dramatic opera written for the Danish National Opera. The opera is a modern re-telling for grown-ups of the brothers Grimm's fairy tale: Snow White is a self-centered teenage narcissist and the villain of the opera; she ends up loosing everyone but herself either because she kills them or because they decide they can't stand being around her anymore. But apparently she's o.k. with that...The music is intended for a large audience: it's basically pop music done with all the craftmanship of aclassical composer who's equally at home with large scale symphonic form avantgarde technique opera singing - and modern pop. The Trailer is in three movements. It contains three sections of the opera; the prelude an interlude close to the beginning of the second act and the final scene but one. It's a gloomy sort of trailer starting out in grand title sequence style moving on to a decidedly odd piece where Snow White find her way to the dwarfs (who're creepy junkies doing pornography to get money to buy dope) and ending in kind of an eerie rejection mood: Everyone still alive walks out on Snow White singing 'skin as white as snow hands red with blood soul as black as ivory'.(NM 2010)

Le Sacrifice est mon deuxième opéra, écrit pour WNO et a été créée en 2007. Il est basé sur l'une des histoires Mabinogian, une collection d'anciens mythes du Pays de Galles. C'est une histoire d'amour au milieu d'un conflit civil ou clanique, et déboucher sur un acte suprême de l'auto-sacrifice qui guérit finalement la haine communautaire et apporte la paix et d'espoir renouvelé. Dans sa première production qui a placé l'action dans un proche avenir, plutôt que d'un passé mythique.Il ya un certain nombre d'interludes orchestraux qui relient les scènes dans un flux continu dans chacun des trois actes. Trois sont extraits ici pour faire une suite de concert.1) The PartingAprès une assignation finale secret, les deux amants, Sian et Evan se séparent, avant le mariage qui apportera les deux tribus ensemble. Il a été convenu que Sian veut se marier une fois, le chef de l'autre côté. Les deux ont le coeur brisé, mais se sont engagés à faire leur devoir pour sceller la trêve.2) PassacagliaLes clients des deux groupes de belligérants se réunissent pour la fête de mariage. Elle mettra fin à la violence.3) L'investitureSept ans plus tard, une autre tentative est faite pour rapprocher les deux communautés. Gwyn, le jeune fils de Sian et de Mal, est d'être 'couronné', comme un symbole de l'unité souhaitée. Les foules se rassemblent au cours de cette musique. La scène se termine dans les assassiner de l'enfant, par Evan. / Orchestre

Création 30/11/2012 - Cologne (Allemagne), Philharmonie - Nicolas Hodges (piano), WDR sinfonieorchester Köln, Ilan Volkov (direction) Commanditaire Westdeutscher Rundfunk Köln Dédicace à Nicolas Hodges Notice Le titre de ce concerto est emprunté à l'ouvrage classique de l'archéologue et philologue américaine Emily Dickinson Townsend Vermeule, Aspects of Death in Early Greek Art and Poetry (1979). Le chapitre V s'intitule : On the Wings of the Morning : the Pornography of Death. Il s'agit de cas de mort subite, de disparitions soudaines, du rapt des mâles par quelque femme-oiseau ou femme-lion - Harpies, Sphinges ou Sirènes -, créatures monstrueuses dont l'attrait est fatal. Les adorateurs de Dionysos ont souvent remarqué l'aisance et la grâce provocante de ces enjôleuses qu'un geste de brusque sauvagerie rapproche tout de même de la panthère. Pour la victime éblouie, l'envolée vers les cimes culmine en une étreinte funeste. Un battement d'ailes, une jonchée d'ossements, tel est le tableau de la pornographie de la mort. On the wings of the morning est une allusion aux incertitudes du temps présent, à ses Furies modernes. Ce concerto pour piano ne recherche pas l'effet pittoresque et n'a pas de caractère illustratif. L'évocation des bacchantes de l'Hadès est simplement l'occasion d'une fantasmagorie du demi-jour où les ombres jouent sur les surfaces tendues. L'orchestre se comporte comme une masse tumultueuse dont la dynamique conflictuelle est dominante. L'association des pupitres de clarinettes et de trombones, conçue comme un matériau paradoxal, donne sa tonalité d'ensemble à l'oeuvre : amères présences, prosaïsme lugubre, voûtes sans écho. Le temps n'est plus qu'un écheveau de moments transitoires. Le pianiste se trouve dans la situation du forçat des Palmiers Sauvages de Faulkner, condamné à pagayer sur le Mississippi en crue. Le Déluge, les apparitions démoniaques, le vent, le froid font son ordinaire. Sa tâche est de coudoyer les abîmes. L'esprit de ce piano n'est ni constructiviste ni combinatoire. C'est un esprit de survie, concentré sur l'intensification du matériau et la plasticité du mouvement. Commande de la Westdeutscher Rundfunk de Cologne, ce concerto pour piano et grand orchestre est dédié à Nicolas Hodges. Hugues Dufourt

3 Symphonic Sketches-'Maybe you don't know that I was intended for the fine career of a sailor…' was what Debussy wrote in a letter in which he tells about his work on La Mer. His passion for the sea remained despite his different career and brought him to compose the three symphonic sketches for orchestra. The initially conservative criticism of La Mer which can probably be attributed to the difference in style compared to the successful work 'Pelléas' could be reversed through a performance directed by Debussy in 1908 with overwhelming success.

Edizione critica a cura di Gabriele Dotto e Roger Parker (Vol. 1: XLIV, Vol. 2: VIII). Par DONIZETTI GAETANO. Gaetano Donizetti’s Lucia di Lammermoor, written to a libretto by Salvadore Cammarano, was first performed at the Teatro di San Carlo in Naples on 26 September 1835. It has remained in the repertory without interruption as one of Donizetti’s most popular operas throughout its nearly 200-year history. The edition proposes as the principal text a version of the opera that, for the most part, is as near as possible to that given at the premiere in Naples. However, one of the important new features of the edition is that it includes several fully orchestrated passages that, for unknown reasons, were cancelled very close to the time of the first performance. It also features in the third-act mad scene an obbligato part for the glass harmonica, an instrument that Donizetti had chosen for this extraordinary scene, and drafted in his autograph score, but was then constrained to substitute with a solo flute when the glass harmonica player got into contractual difficulties with the theatre. While the glass harmonica part was considered a mere “musicological curiosity” some decades ago, the critical edition now convincingly argues for its legitimate restoration as part of the composer’s preferred concept. The Sources section of the edition includes a detailed examination of all contemporary sources for the opera. The composer’s autograph score is of course the most important of these, but also of great value is the first printed vocal score of the opera, which in some numbers has a piano reduction prepared by the composer and contains many vocal variants (all reported in the score) that will be a great value to performers. There are also a number of early manuscript copies of the full score, several of which are valuable in outlining the first interpretations of Donizetti’s music. The critical edition restores the original keys, thus maintaining Donizetti’s overall harmonic design, but discusses transpositions that later entered the performing and editorial tradition of the opera. Three transposed pieces – which may have had Donizetti’s approval – will be made available available in the material for hire to theatres. / Date parution : 2022-03-05/ Répertoire / Orchestre

This is the last of nearly 100 operettas created by French composer Jacques Offenbach a native of Germany whose works were most prominent in the latter half of the nineteenth century. His three-act drama Les Contes d'Hoffmann (The Tales of Hoffmann) which includes a prologue and epilogue recounts dramatic stories of passion murder and revenge. Left incomplete at the composer's death the operetta debuted in 1881 and remains popular to this day for its many memorable melodies.A masterpiece of French Romanticism Les Contes d'Hoffmann embodies Offenbach's wish to transcend the limitations of his popularoperettas and achieve success among the lofty heights of grand Opera. This imaginative score presents an artful blend of fantasy emotion and the supernatural as well as elements of satire and the grotesque. Hoffmann the narrator and protagonist relates three stories to his drinking companions. The tales concern Olympia who is revealed as a mechanical doll; Antonia a gifted vocalist in danger of singing herself to death; and Giulietta a Venetian courtesan who uses a magic mirror to purloin others' reflections. Reproduced from an authoritative score this edition offers musicians and music lovers a modestly priced edition of Offenbach's enduring work.

Karl Kohaut (1726 - 1784) was an Austrian lutenist and composer of Czech descent considered to be one of the last important composers of music for Baroque lute. Although also a violinist active in the Viennese music scene he was most well-known as a lutenist. He composed a total of seven lute concertos during his lifetime including this Concerto in F Major No. 2 (not to be confused with his Concerto in F Major No. 1 which is considered the most popular) in three movements: Allegro moderato Andante molto and Tempo di Minuetto. This edition includes the full orchestral score orchestral parts as well as guitar and lute parts. Victor Van Puijenbroeck has adapted theoriginal solo part and included in the set are parts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modern notation) and guitar (capotasto). Instrumentation: Full Score Guitar (or Lute) - separate parts included for each instrument Violin I Violin II Cembalo/Cello/Contrabass Karl Kohaut (1726 - 1784) was an Austrian lutenist and composer of Czech descent considered to be one of the last important composers of music for Baroque lute. Although also a violinist active in the Viennese music scene he was most well-known as a lutenist. He composed a total of seven lute concertos during his lifetime including this Concerto in F Major No. 2 (not to be confused with his Concerto in F Major No. 1 which is considered the most popular) in three movements: Allegro moderato Andante molto and Tempo di Minuetto. This edition includes the full orchestral score orchestral parts as well as guitar and lute parts. Victor Van Puijenbroeck has adapted theoriginal solo part and included in the set are parts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modern notation) and guitar (capotasto). Instrumentation: Full Score Guitar (or Lute) - separate parts included for each instrument Violin I Violin II Cembalo/Cello/Contrabass

Karl Kohaut (1726 - 1784) was an Austrian lutenist and composer of Czech descent considered to be one of the last important composers of music for Baroque lute. Although also a violinist active in the Viennese music scene he was most well-known as a lutenist. Composing a total of seven lute concertos during his lifetime this Concerto in F Major No. 1 is the most popular. It is in three movements: Allegro Adagio and Tempo di Minuetto. This edition includes the full orchestral score orchestral parts as well as guitar and lute parts. Victor Van Puijenbroeck has adapted the original solo part and included in the set are parts for both lute (the part has been adapted fromlute tablature to modern notation) and guitar (capotasto). Instrumentation: Full Score Guitar (or Lute) - separate parts included for each instrument Violin I Violin II Cembalo/Cello/Contrabass Karl Kohaut (1726 - 1784) was an Austrian lutenist and composer of Czech descent considered to be one of the last important composers of music for Baroque lute. Although also a violinist active in the Viennese music scene he was most well-known as a lutenist. Composing a total of seven lute concertos during his lifetime this Concerto in F Major No. 1 is the most popular. It is in three movements: Allegro Adagio and Tempo di Minuetto. This edition includes the full orchestral score orchestral parts as well as guitar and lute parts. Victor Van Puijenbroeck has adapted the original solo part and included in the set are parts for both lute (the part has been adapted fromlute tablature to modern notation) and guitar (capotasto). Instrumentation: Full Score Guitar (or Lute) - separate parts included for each instrument Violin I Violin II Cembalo/Cello/Contrabass

Karl Kohaut (1726 - 1784) was an Austrian lutenist and composer of Czech descent considered to be one of the last important composers of music for Baroque lute. Although also a violinist active in the Viennese music scene he was most well-known as a lutenist. He composed a total of seven lute concertos during his lifetime. This Concerto in D Major is in three movements: Allegro Andante molto and Tempo di Minuetto. In this edition Victor Van Puijenbroeck has created a piano reduction of the orchestral score and also has adapted the lute part to be played on guitar. Included are parts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modern notation) andguitar (capotasto). Karl Kohaut (1726 - 1784) was an Austrian lutenist and composer of Czech descent considered to be one of the last important composers of music for Baroque lute. Although also a violinist active in the Viennese music scene he was most well-known as a lutenist. He composed a total of seven lute concertos during his lifetime. This Concerto in D Major is in three movements: Allegro Andante molto and Tempo di Minuetto. In this edition Victor Van Puijenbroeck has created a piano reduction of the orchestral score and also has adapted the lute part to be played on guitar. Included are parts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modern notation) andguitar (capotasto).

Karl Kohaut (1726 - 1784) was an Austrian lutenist and composer of Czech descent considered to be one of the last important composers of music for Baroque lute. Although also a violinist active in the Viennese music scene he was most well-known as a lutenist. Composing a total of seven lute concertos during his lifetime this Concerto in F Major No. 1 is the most popular. It is in three movements: Allegro Adagio and Tempo di Minuetto. In this edition Victor Van Puijenbroeck has created a piano reduction of the orchestral score and also has adapted the lute part to be played on guitar. Included are parts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modernnotation) and guitar (capotasto). Karl Kohaut (1726 - 1784) was an Austrian lutenist and composer of Czech descent considered to be one of the last important composers of music for Baroque lute. Although also a violinist active in the Viennese music scene he was most well-known as a lutenist. Composing a total of seven lute concertos during his lifetime this Concerto in F Major No. 1 is the most popular. It is in three movements: Allegro Adagio and Tempo di Minuetto. In this edition Victor Van Puijenbroeck has created a piano reduction of the orchestral score and also has adapted the lute part to be played on guitar. Included are parts for both lute (the part has been adapted from lute tablature to modernnotation) and guitar (capotasto).

Beethoven's Symphony No. 4 like No. 5 portrays the transition from darkness to light. Despite being scored for a small ensemble and its classical structure the work is brimming with originality and grace – 'a slender Greek maiden' as described by Robert Schumann.

Despite his studies being interrupted by WWI Jacques Ibert won the Grand Prix de Rome on his first attempt proving his significant compositional ability such as his Concerto for Flute and Orchestra. Ibert's Concerto for Flute was composed in 1934 at the height of his professional career. The work is lighthearted depicting the composer's favoured use of gentle humour and festivity. These are however contrasted by lyrical and evocative passages. Suitable for advanced level flautists and containing the full orchestral score this edition of Ibert's Concerto for Flute is a clear pleasant and varied addition to the Flute's repertoire.

Three new collections of varied pieces for orchestra for players from beginner to grade 3 standard.This collection of three books each containing eight varied pieces has been compiled to capture the imagination of young players and to introduce them to a wide range of musical styles.Special effects appropriate to each instrument provide additional learning points and great entertainment both in rehearsal and performance. There are glissandos for strings and trombone flutter tonguing for flute and trumpets (for those able to) and a range of vocal sounds for all!The scoring allows these pieces to be played by variouscombinations of instruments. Ideally your orchestra should have some instruments from each section but if not (for example no brass) then the supplementary piano part (available separately) can be used to fill the gaps. It can also be used to provide extra support in rehearsals.As well as the normal percussion parts some of the pieces make use of a drum kit. For orchestras without a drum kit player a drum kit and bass backing track is available to download free of charge either as MP3 or WAV files.OrchestrationDescant recorder Treble recorder Flute 1 Flute 2 or Oboe Clarinet 1 Clarinet 2 Alto Sax Bassoon Horn in F Horn in Eb Trumpet 1 Trumpet 2 Trombone (Bass clef) Trombone (Treble clef) Timpani Drum Kit Percussion 1 Percuission 2 Percussion 3.Strings (Violin 1 Violin 2 Violin 3 Viola Cello Bass)Orchanics 1 contains:-Playing Tag (Richard Ling); Eastern March (Richard Ling); Autumn from Four Seasons (Vivaldi); Entertainer (Joplin); St.Anthony Chorale (Brahms/Haydn); Jazz Train (Richard Ling); Caribbean Carnival (Richard Ling); Hark the herald angels sing.

Eight Varied Pieces For Orchestra-Three new collections of varied pieces for orchestra for players from beginner to grade 3 standard.This collection of three books each containing eight varied pieces has been compiled to capture the imagination of young players and to introduce them to a wide range of musical styles.Special effects appropriate to each instrument provide additional learning points and great entertainment both in rehearsal and performance. There are glissandos for strings and trombone flutter tonguing for flute and trumpets (for those able to) and a range of vocal sounds for all!The scoring allows these pieces to be played by variouscombinations of instruments. Ideally your orchestra should have some instruments from each section but if not (for example no brass) then the supplementary piano part (available separately) can be used to fill the gaps. It can also be used to provide extra support in rehearsals.As well as the normal percussion parts some of the pieces make use of a drum kit. For orchestras without a drum kit player a drum kit and bass backing track is available to download free of charge either as MP3 or WAV files.OrchestrationDescant recorder Treble recorder Flute 1 Flute 2 or Oboe Clarinet 1 Clarinet 2 Alto Sax Bassoon Horn in F Horn in Eb Trumpet 1 Trumpet 2 Trombone (Bass clef) Trombone (Treble clef) Timpani Drum Kit Percussion 1 Percuission 2 Percussion 3.Strings (Violin 1 Violin 2 Violin 3 Viola Cello Bass)Orchanics 3 contains:-Hallelujah + Ode to joy (Handel/Beethoven); Mairi's Wedding (Roberton); Ragtime Roundup (Richard Ling); Samborina (Richard Ling); Spring from Four Seasons (Vivaldi); Danserie (Susato); Yellow Bird (arr Ling); Silent Night.