Invisible Cities for Orchestra by Swedish composer Britta Byström (2013). Programme note: Invisible Cities is an orchestral piece inspired by the Italian writer Italo Calvino's novel 'Le città invisible' (1972). The novel consists of many short poetical descriptions of wondrous cities. This is what the explorer Marco Polo reports to Kublai Khan of what he has seen during his travels. Gradually though Kublai Khan begins to suspect that Marco Polo all the time describes one and the same city but in many different ways: Marco Polo's own hometownVenice.  This was also my musical idea: to present the same motif in many different ways. The piece has eleven movements just as the novel consists of eleven different kinds of cities. Before every new musical 'city' there is a 'walk' – a little piano line which takes the listener from one city to another. This piano line is a quotation from Witold Lutoslawski'sVenetian Games. There are also other music connected to Venice hidden in my piece: the well-known Barcarolle by Offenbach and some fragments from Carnival in Venice. These references are the 'invisible cities' of my piece the material hidden under the music's surface. Marco Polo explains to Kublai Khan: 'To distinguish the other cities' qualities I must speak of a first city that remains implicit. For me it is Venice.'  (c) Britta Byström  Britta Byström’s careful ear for musical qualities such as timbre and resonance has resulted in an idiom that could almost be labeled impressionistic. She began composing already as a teenager and later studied composition at Musikhögskolan in Stockholm with Pär Lindgren and Bent Sørensen.

Uses: Music Appreciation General Festival EasterScripture: I Samuel 16:23; I Corinthians 14:15This classic J. Paul Williams anthem is the first release in our “Legacy” series. Thisedition of the best-selling choral is presented with a newly engraved score complete with updates by the composer a fresh orchestration by Stan Pethel and offered for the first time in SSA and TTB voicings.

Par MANTOVANI BRUNO. Lorsque Frank Madlener m'a proposé le projet de confronter un orchestre symphonique avec la lutherie électronique, j'ai tout de suite accepté ce défi sachant qu'il me faudrait rapidement fixer des contraintes très fortes, tant le champ des possibles, qu'il soit instrumental ou électroacoustique, était infini. Mon idée initiale était d'utiliser pour la première fois des transformations en temps réel, afin d'assouplir les rapports de verticalité et d'utiliser l'informatique comme un moyen d'orchestration. Celle de Frank était de se demander comment l'électronique pouvait créer l'illusion d'un orchestre déployé dans l'espace, entourant le public, et créant des configurations acoustiques inouïes. Afin de travailler sur cette problématique, j'ai décidé d'utiliser une formation orchestrale défective, ou certains instruments (notamment ceux qui étaient les moins localisables à l'écoute, comme le basson ou le cor) seraient absents et 'remplacés' dans la texture générale par l'ordinateur. Qui dit 'illusion' dit aussi 'surprise', et j'avais besoin, pour élaborer la forme de l'oeuvre, de prendre comme point de départ une source qui ait à la fois une grande diversité interne (une succession d'instants pourraient être traduits musicalement par autant de configurations acoustiques) et une cohérence. Rapidement, il m'est apparu que mes recherches étaient finalement très similaires à celles de l'immense chef espagnol Ferran Adrià, dont la cuisine joue en permanence sur le conflit entre connu et inconnu, entre référence et invention abstraite, et dont les menus sont 'composés' avec un sens de la forme absolument saisissant. Très régulièrement, je tente d'établir des liens entre la musique et les arts de la bouche (gastronomie, oenologie), par l'improvisation au piano sur des vins ou des mets, et par l'écriture (notamment d'un duo pour alto et piano, Quelques effervescences, qui s'inspire de vins pétillants du monde). Les deux univers me semblent intimement liés, dans l'immédiateté de la réception, et dans le parallélisme entre les sensations éprouvées (de nombreux musiciens font appel à des métaphores gustatives pour parler de leur travail : un accord 'épicé', une sonorité 'grasse', une orchestration 'acide'...). Le menu que j'ai eu l'honneur de déguster en 2007 au restaurant 'El Bulli' s'articulait autour de 35 plats que j'ai utilisés chronologiquement, tant l'articulation entre le salé et le sucré, les mets marins et terriens, le végétal et l'animal était, en soi, une dramaturgie parfaite. L'illusion était présente dès le premier instant. Ainsi, 'l'olive sphérique' qui débutait ce repas jouait sur le contraste entre un objet visuellement identifiable (une olive) et son 'interprétation' surprenante (il s'agissait en fait d'une reconstruction visuelle de l'olive, mais qui n'était autre que de l'huile d'olive emprisonnée dans une fine couche gélatineuse verte : aspect et goût étaient en phase, mais la texture, elle, était inouïe). Musicalement, la traduction de ce plat était assez évidente : un impact reprenant l'explosion de cet met en bouche débute la pièce, et une texture plus continue vient évoquer le déploiement de l'huile dans la bouche. Certains plats sont assez unitaires, d'autres contiennent en eux un parcours que j'ai fidèlement reproduit (par exemple la 'framboise au wasabi', qui se déguste en trois temps successifs). J'ai aussi mis en relation certains plats entre eux, afin de créer des 'retours' qui permettent à la structure musicale de sortir d'une logique de catalogue (par exemple, une fleur de capucine, dégustée avant les desserts, renvoie gustativement, et donc musicalement, à une amande fraîche qui, elle, est présente dans le premier quart du repas). Ce 'livre' s'achève sur la texture aérienne d'un papier effervescent au cassis qui conclut de façon suspensive une pièce particulièrement animée, où les masses sonores s'opposent de façon frontale, et viennent occuper tout l'espace de la salle de concert. Commande de l'Orchestre de Paris et de l'Ircam, le Livre des illusions (hommage à Ferran Adrià) est dédié à Marie Linden et Grégoire Biasini. Cette oeuvre a été créée à la salle Pleyel le 11 juin 2009 sous la direction de Jean Deroyer. Bruno Mantovani Liste des plats au menu du restaurant 'El Bulli' de Ferran Adrià, illustrés dans l'oeuvre de Bruno Mantovani: - Olives sphériques - Gin Fizz - Chocolat sans chocolat #1 (pistache) - Snack doré - Mercedes - Frites d'ananas lyophilisé - Chocolat sans chocolat #2 (ananas) - Meringue de betterave au yaourt - Boule de cacao amer - Chocolat sans chocolat #3 (cassis) - G.P. - Galette curry/cacahuètes - Meringue à la pistache avec espuma de yaourt - Eponge de sésame - Dacquoise de pignons - Framboise au wasabi - Fleur de horchata - Amande fraîche et huile d'amande - Haricot géant à l'ail japonais - Meringue au Schweppes avec fraises lyophilisées - Anchois à la fleur de basilic - Assiette italienne - Risotto de pamplemousse - Gnocchi de polenta - Ravioles de graines de pimientos del Padron - Couteaux aux algues - Caviar d'escargots - Concombres de mer avec cannelloni d'algues - Anguille à la moelle/fleur de capucine/concombre - Barbe à papa, glace à la banane - Mûres à la liqueur de mûre - Dessert blanc - Fraises au vinaigre de Jerez - Sablés mandarine/thé vert/menthe - Papier effervescent au cassis / contemporain / Répertoire / Orchestre

2005-Søren Nils Eichberg's Symphony No. 1 'Stürzten wir uns ins Feuer' for Orchestra (2005). DK Programnote Eichbergs 1. Symfoni er skrevet i 2005 og blev uropført Ã¥ret efter af Odense Symfoniorkester. Symfonien er i ét sammenhængende forløb og varer en halv time. Den har en undertitel: 'Stürzten wir uns ins Feuer' ('Styrtede vi os i flammerne'). Ordene er taget fra bogen 'Jesusevangeliet' skrevet i 1991 af den portugiske Nobelprismodtager José Saramago. Det fulde citat er en dommedagsvision der lyder sÃ¥dan her: '… og var viligesÃ¥ dumdristige eller vovemodige som sommerfuglene og natsværmerne og styrtede vi os i flammerne én og alle hele menneskeslægten - mÃ¥ske sÃ¥ en sÃ¥ kraftig brand en sÃ¥ skærende lue ville gennemtrænge Vorherres lukkede øjenlÃ¥g og vække ham fra hans træge blunden - for sent ganske vist til at nÃ¥ at opfatte os men dog tidsnok til at mærke begyndelsen af det store intet nu da vi ikke længere var…' Visionen fascinerede Eichberg med det samme han læste bogen. 'Der er for mennesket noget direkte magisk tiltrækkende ved den kollektive selvdestruktion og katastrofen som sÃ¥dan ogsÃ¥ selvom det egentlig synes ulogisk og gang pÃ¥ gang styrter vi os hovedkulds ind i ilden. Jeg vidste med det samme at jeg ville bruge citatet i musik pÃ¥ et tidspunkt.' Men nÃ¥r citatet stÃ¥r over Søren Nils Eichbergs Symfoni nr. 1 er det konkret ogsÃ¥ fordi han fandt at det udtrykte noget om situationen i begyndelsen af 2000-tallet. 'Europa førte igen angrebskrig ' forklarer han 'og de politiske strømninger der 60 Ã¥r forinden lagde Europa i ruiner var pÃ¥ fremmarch igen. I Danmark lod man dem ligefrem fÃ¥ parlamentarisk indflydelse.

Jorden Rundt i 80 Dage er en spændende og farverig musical med skuespillere sangere og stort orkester. Historien er Jules Vernes frit bearbejdet af komponist og sangskriver Thomas Bo Borchersen i samarbejde med sanger forfatter og instruktør Tine Olsen. I hæsblæsende fart må Phileas Fogg nå Jorden rundt for at vinde et væddemål men der bliver alligevel tid til at dvæle ved de mange oplevelser og personer som støder til selskabet på vejen. Historien er fortalt i 15 sange og kædet sammen af dialog så hele ensemblet kan folde sig ud i denne udødeligeklassiker. Fra forordet: Hovedformålet med musicalen er at vise bredden i musikskolen og forsøge at skabe nogle nye unikke muligheder for samarbejde mellem lærer og elevgrupper i det nye musikskolemiljø der er opstået efter musikskolesammenlægningerne. Vi mener at der er et stort og stadigt voksende behov for at samle musikskolen i store fælles projekter dels for at forbedre infrastrukturen i musikskolen men også for at få den helt nødvendige kommunikation til samfundet omkring musikskolen. Vi mener der et et stort behov for at få synliggjort arbejdet med talentmassen på musikskolerne og at store kompetent udførte projekter ofte er en mangelvare på mindre og halvstore musikskoler. - Musicalerne egner sig selvfølgelig til at blive opført på alle musikskoler - store som små men er især tænkt som en særlig oplagt mulighed for at få samarbejde imellem musikskolerne igang på tværs af kommunegrænserne. Arrangementenes sværhedsgrad er forsøgt tilpasset det gennemsnitlige elevpræstationsniveau for aldersgruppen 12 til 18 år på musikskolen. Det har været en af topprioriteterne at lave arrangementerne

'Le Voyage Dans La Lune is a continuous orchestral score of approximately 14 minutes comprising two outer fast sections and a slower inner section of a dream-like character. The work is directly inspired by the film Le Voyage Dans La Lune (1902) written and directed by the pioneering French film-maker Georges Méliès. Méliès was influenced by 19th century interests in science and discoveries as well as the science fiction of Jules Verne. At the same time his work seems fantastic surreal and satirical. Some critics point out an underlying critique of colonial adventuring. The plot centres on a group of astronomers who decide tolaunch a rocket to the moon containing a handful of their number. They reach the moon (famously landing on the moon?s face) and then encounter a strange race of aliens whom they battle and destroy. The return to earth involves a dramatic descent a plunge into the ocean and then celebratory dancing. The film inhabits a surreal and dream-like space and uses an idiosyncratic visual language which transforms reality. This inspired an active musical response in my own score which is by turns abrupt smooth lyrical and violent and expresses something of the strange shifting surfaces and multiple and layered tempos evident in the film. The canons in the horns in the first scene reflect the intense arguments of the astronomers as they consider the project. The slower inner section is inspired by the scenes of the industrial City viewed from its rooftops by the astronomers. It also expresses the wonder of the astronomers as they see the earth rise from the perspective of the moon after their arrival there. The music of the final section is in places conflicted reflecting the violent encounters with the moon?s inhabitants. It moves into a more harmonious phase at the close to match the celebrations upon the astronomers? return from their adventuring. The music could be considered to be a surreal mini-opera

Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. La création de l’œuvre, en décembre 1813, fait partie des plus grands succès que Beethoven, en tant que compositeur, ait pu fêter publiquement. Un critique écrivit alors que cette nouvelle symphonie comportait des thèmes «si plaisants et si accessibles que tout ami de la musique se sentait puissamment attiré par sa beauté». La caractérisation de ses thèmes dépend essentiellement du caractère d’ostinato des rythmes de base, qui contribuent à la formation des spécificités marquantes de chaque mouvement. Richard Wagner alla même jusqu’à donner à cette œuvre, avec son Finale enivrant, le titre d’«Apothéose de la danse». Basée sur le texte musical de l’édition complète des œuvres de Beethoven et accompagnée d’une nouvelle préface, cette toute récente édition fait état du stade actuel de la recherche beethovénienne. Avec cette édition d’étude, ce texte est maintenant accessible à tous à peu de frais et dans un format maniable. / Date parution : 2020-07-04/ Répertoire / Orchestre Symphonique

nach dem Text der Arnold Schönberg Gesamtausgabe Bd. 13. Par SCHOENBERG ARNOLD. / Répertoire / Orchestre