Pièces pour orgue (transcription : Olivier Miquel) . Par DU MONT HENRI. Les transcriptions pour orgue proposées ici ne sont pas fortuites, Du Mont lui-même en est l’instigateur, par le simple fait qu’il mentionne sans équivoque, dans la préface de ses Meslanges imprimés en 1657 : « (...) On trouvera outre lesdites pièces, plusieurs Preludes en façon d’Allemandes à deux parties, pour la Basse et le Dessus de Violle, lesquelles se pourront se jouer seules ou avec la Basse-continue si l’on veut (...). Ces Preludes serviront aussi pour les Dames Religieuses qui touchent l’Orgue en façon de Duo : j’ay marqué ceux qui sont propres pour l’Orgue, ils n’auront qu’à les transcrire pour les jouer avec plus de facilité. » Mais, il était tentant de ne pas se cantonner à cette indication, et ce recueil propose l’intégralité des 20 Preludes. En 1661, Du Mont fait paraître un livret contenant une « Troisième partie ajoutées aux Preludes des Meslanges, pour un Dessus ou une Taille de Viole ». Il précise : « pour faire plus grande harmonie ». Ces préludes, en trios, ont été transcrits ici sous cette forme. Dans le recueil des Cantica sacra paru en 1652, on trouve cinq pièces instrumentales indépendantes, Ces pièces, notées pour trois ou quatre violes et basse continue, ouvrent cet ouvrage. Olivier Miquel ? Henri Du Mont : né en 1610 dans le diocèse de Liège, Henry Du Mont étudie la musique à Maastricht, où il devient organiste à l’âge de 19 ans. Les troubles politiques de cette région convainquent certainement Du Mont de tenter sa chance à Paris. Il y arrive dès 1638, sous le règne de Louis XIII, et on le retrouve, en 1643, titulaire de l’orgue de l’église Saint-Paul dans le Marais (église détruite à la Révolution), poste qu’il honorera jusqu’à sa mort en 1684./ Recueil / Orgue

Rolande Falcinelli a écrit de nombreuses pièces pour orgue, notamment Triptyque op. 11, Poèmes-Etudes op. 26, Prophétie op. 42, Esquisses symphoniques op.45, Le Sermon sur la Montagne op. 46, Variations-Etudes sur une Berceuse op.48, Mathnavi op. 50, ainsi que Le Mystère de la Sainte-Messe op. 59 pour deux orgues) ainsi que des oeuvres pour instrument seul (violoncelle, flûte) ou en formation de chambre (alto et piano, violoncelle et piano, voix et piano, piano et orgue, orgue et un ou deux altos, quatuor à cordes, etc.) et pour orchestre (avec orgue, piano ou voix). Son écriture, d'une tenue technique exigeante est toujours pensée et intériorisée. Elle s'attacha notamment, suite à ses activités au sein du CEMO (Centre d'Etudes de Musique Orientale), à intégrer des éléments de musique iranienne dans certaines de ses compositions (Mathnavi op. 50 pour orgue, Miniatures persanes op. 52 pour orgue, Azân op. 61 pour flûte et orgue). / Orgue

Rolande Falcinelli a écrit de nombreuses pièces pour orgue, notamment Triptyque op. 11, Poèmes-Etudes op. 26, Prophétie op. 42, Esquisses symphoniques op.45, Le Sermon sur la Montagne op. 46, Variations-Etudes sur une Berceuse op.48, Mathnavi op. 50, ainsi que Le Mystère de la Sainte-Messe op. 59 pour deux orgues) ainsi que des oeuvres pour instrument seul (violoncelle, flûte) ou en formation de chambre (alto et piano, violoncelle et piano, voix et piano, piano et orgue, orgue et un ou deux altos, quatuor à cordes, etc.) et pour orchestre (avec orgue, piano ou voix). Son écriture, d'une tenue technique exigeante est toujours pensée et intériorisée. Elle s'attacha notamment, suite à ses activités au sein du CEMO (Centre d'Etudes de Musique Orientale), à intégrer des éléments de musique iranienne dans certaines de ses compositions (Mathnavi op. 50 pour orgue, Miniatures persanes op. 52 pour orgue, Azân op. 61 pour flûte et orgue). / Orgue

Editeur : Paris, Boivin, Lyon, Brotonne, 1740Editées après la mort de Louis Marchand, en hommage au compositeur, ces pièces pourraient être celles du premier livre d'orgue (perdu) publié en 1700. - Présentation de : Philippe Lescat : catalogue des oeuvres de Louis MarchandJean Saint-Arroman : Lecture de la partition, agrémentation - / Orgue / 52 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 22 X 31

Book 1. Par HARWOOD BASIL. Sonata No. 1, Op. 5 Two Preludes, Op. 52 Two Meditations, Op. 57 A Quiet Voluntary, Op. 70 Basil Harwood's organ music takes a chronological journey through the composer's creative years. This journey begins with the Organ Sonata No. 1 in C sharp minor, op. 5 and ends with Quiet Voluntary for Evensong, op. 70, composed in 1946 when the composer was eighty-seven. In the intervening years came many and varied compositions often demanding an instrument of ample resources together with a player equal to their somewhat formidable technical demands. Displaying a fine sense of craftsmanship, they represent an important contribution to the organ repertoire. Unjustly neglected in the years since the composer's death, it is hoped that these six volumes will continue the ever-growing interest in Basil Harwood's music./ Répertoire / Orgue

Une clinique de créatifs pour tous-organe technique sur les accords, enregistrement, effets spéciaux, en développement effectuant des compétences et organiser. Comprend une variété de pièces. / Orgue / Partition

Dix pièces pour orgue inspirées par les Litanies de Lorette, en l'honneur de la Vierge Marie. Composées entre 1952 et 1953, elles sont dédiées aux grands noms de l?orgue, à l?époque, notamment André Fleury, André Marchal, Dante Granato. / Classique / Partition / Agrafé /

Deux sonates pour le Forte-Piano - oeuvres Ier - Paris, Ignace Pleyel, Naderman, s.d. (=1810).Présentation de Jeanne Roudet : Notice biographique - Eléments d'interprétation (accentuation, articulation). / Piano Ou Pianoforte / 52 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 24 X 33

Cette Fantaisie pour orgue est entièrement bâtie sur des chants de Noël, Ils se développent à travers différents mouvements, offrant chacun un caractère et une couleur spécifiques et évoluant depuis une Introduction méditative jusqu'au Finale, éblouissement de Lumière, dans un climat général jaillissant de la Joie de Noël,Les mélodies utilisées proviennent de divers pays :Introduction : Veni Emanuel (France, XVIe siècle)1, Ouverture : On the first day of Christmas (Angleterre, 1909)2, Berceuse : Leise rieselt der Schnee (Eduard Ebel, 1839-1905, Allemagne)3, Danse : We three kings (J, H, Hopkins, 1857, USA) Deck the hall with boughs of holly, (Angleterre, XVIe siècle)4, Finale : Freu dich, Erd und Sternzelt (Bohème, 1520)O Tannenbaum (Allemagne, XVIe siècle)Zu Bethlehem geboren (Allemagne, XVIe siècle) Première audition : 18 décembre 01/01/14, J, Thomas D, Gonder, organiste concertiste, Metropolitan United Church, Toronto, Ontario, Canada, / Orgue

Martin Luther. Par SCHNEIDER ENJOTT. On the occasion of the quincentenary of Reformation Day in 2017, the composer Enjott Schneider thoroughly studied Martin Luther the individual and all his contradictions. The result is a brilliant, demanding organ symphony which is perfect for concerts on the subject of Reformation and Martin Luther. The composer describes the five movements of the symphony as follows: '1st movement: Wir glauben all an einen Gott with its quintuplet-like beginning is very Gregorian in style, outlining the range of Lutheran emotionalism between the Middle Ages and the modern era. The irrationality of 'faith' ultimately has priority over any thought and evidence. At the beginning of the movement, sounds of knocking on wood remind of the nailing of the Ninety-Five Theses to the doors of churches in Wittenberg. The chorale melody sometimes hides with an almost rough medieval saltarello, referring to Luther's robustness and vitality with which he knew to carry away even common people. 2nd movement: In 1530, the electoral prince of Saxony presented to Luther at Coburg Castle the golden signet ring with the 'Luther rose' which became the symbol of his theology of grace. A white heart with black cross is fixed on a five-petalled rose. To him, 'white' is the colour of angels and ghosts, 'black' stands for the pain of crucification: 'The just shall live by faith, but by faith in the Crucified.' But the fact that the rose and the heart are the dominating symbols shows how Catholic Marian piety remained an ingredient of Luther's spirituality throughout his life. In line with the dominant five-petal structure of the rose, this movement was composed, to a large extent, in accordance with the floating, lyrical rhythm in 5/8 time. 3rd movement: The omnipresence of death and dying – from the plague and war to the never-ending dangers of daily life – was an essential part of the world view of that time. Fears ensued that might heighten into the grotesque, e.g. in the pictures of Hieronymus Bosch. The 'Danse macabre' was a popular motif in those years. Luther's chorale 'Mitten wir im Leben sind / mit dem Tod umfangen' from 1524 ('Enchiridion' from Erfurt) is based on the Gregorian chant 'Media vita in morte sumus' created in France around 750 and, with its idea of transience, inspired a simplistic air. 4th movement: The famous confession delivered at the Diet of Worms in 1521, 'I stand here and can say no more. God help me. Amen', are not Luther's words but the version later used as text for a pamphlet. However, it represents quite plainly the straightforwardness and inevitability of his mission. Musically, it was made into a 'perpetuum mobile', i.e. a dogged, ostinato and never-ending musical air. 5th movement: The 'Mighty Fortress', on the other hand, is one of the great symbols of Martin Luther which, with its shining C major key, embodies the Protestant ideology and willful nature of the Reformation unlike any other song. Heinrich Heine called it the 'Marseille anthem of the Reformation', Friedrich Engels the 'Marseillaise of the Peasants' Wars'. This disputability is not thought through to the end but rather interrupted: With a jubilant 'birdcall version' of the melody, the finale shows a rather chamber-music-like side of the 'ideals of freedom of Christians'.'/ Répertoire / Orgue

Quatre concertante pièces du compositeur acteur Schneider (né en 1950) de Munich. Schneider étudie la musique d'église à la Kirchenmusikhochschule de Ratisbonne et fait un nom en tant que compositeur de la toccata 'Schlafes Bruder' (ED 8525) qui joue un rôle vital dans le film du même nom. / Orgue