| Playtime Piano :
Kids' Songs Piano seul [Partition] - Facile Hal Leonard
Chansons enfantines Playtime Piano ® 'est une collection de chansons populaires...(+)
Chansons enfantines Playtime Piano ® 'est une collection de chansons populaires qui apporte une joie particulière aux enfants. Les chansons sont arrangées principalement dans les positions des mains fixes. Lorsque l'étudiant change de position, un certain nombre encerclé doigt aidera à montrer le changement. Mélodies attrayantes du livre sont excellentes pour renforcer les noms des notes et la reconnaissance d'intervalle. La simplicité, l'humour, et le charme des sélections permettra d'améliorer la jouissance de Piano au début pour les étudiants et les parents. / Piano
7.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Journey Through The
Classics: Complete Piano seul [Partition] Hal Leonard
Journey Through the Classics Complete est une compilation commode de tous les 98...(+)
Journey Through the Classics Complete est une compilation commode de tous les 98 pièces de Livres 1-4 de cette série populaire.Les morceaux gradués sont présentées dans un ordre progressif et disposent d'une variété de plats classiques essentiel de fondation éducative tout étudiant de piano.Le répertoire authentique est idéale pour les auditions et récitals, et chaque niveau comprend un tableau de référence pratique avec la clé, compositeur, période stylistique, et les éléments énumérés défi pour chaque pièce.Qualité et la valeur de ce volume font un compagnon idéal pour toute méthode classique! / Piano
27.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Mantovani Bruno -
L'autre Cote - Soli,
Choeur, Orchestre - Chant
and Piano Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et piano Lemoine, Henry
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique...(+)
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique d'après le roman d'Alfred Kubin, Die andere Seite Le livret a été tiré de L'Autre côté d'Alfred Kubin, traduction française de Robert Valençay revue par Christian Hubin (José Corti, 2000) Musique de Bruno Mantovani Livret de François Regnault (avec la collaboration de Bruno Mantovani) J'avais lu il y a longtemps L'Autre côté d'Alfred Kubin, dont le titre m'intriguait. J'avais dû voir des illustrations étranges, visiblement expressionnistes, audacieuses et cauchemardesques de l'artiste, et je m'étonnais qu'il eût écrit un roman. Le roman, assez vite, me saisit, puisqu'il racontait comment le héros, qui semble bien n'être autre que l'auteur, car il est comme lui dessinateur et a comme lui vécu à Salzbourg, se fait inviter par un ancien camarade de lycée dans un empire en lointaine Asie dont il est devenu le chef, et qu'il s'en va donc de l'Autre Côté, où commencent les aventures... On me fit rencontrer Bruno Mantovani, qui avait la commande d'un opéra, de la part de Nicholas Snowman, pour l'Opéra du Rhin. Nous nous sommes vus ensuite à plusieurs reprises, et je n'eus pas de mal à m'entendre avec ce compositeur moderne, dont les oeuvres que j'ai écoutées de lui me plaisent, qui connaît comme pas un - et de l'intérieur - toute l'histoire de l'opéra - et qui, en outre, comptait bien éviter quelques-uns des écueils sur lesquels nous tombions d'accord que l'opéra parfois s'échoue : sans mépris pour qui que ce soit, mais sans fausse modestie non plus. J'aimais l'opéra, depuis que j'avais vu Maria Callas en chanter deux, et depuis ma participation cinq ans comme dramaturge, ou ne je sais quoi, avec Patrice Chéreau à Bayreuth, et j'avais écrit un livret pour Georges Aperghis, avec qui j'ai eu le bonheur de travailler plusieurs fois. Sans parler d'un autre livret pour un autre opéra à venir. Mais étant essentiellement introduit dans le théâtre, je mesurai combien Mantovani sait que l'amour du théâtre, dont il est un excellent spectateur, est bien souvent le schibboleth qui départage les grands compositeurs d'opéra des autres. Le sujet On ne trouve pas forcément tout de suite un sujet de livret, et ensuite, on ne trouve pas forcément le livret de ce sujet. Nous envisagions quelques pistes, nous nous y engagions, et puis nous n'allions pas loin, ou c'était sans issue. D'entrée de jeu, nous étions convenus d'éviter la reprise d'un mythe ancien, fût-il grec ou amérindien, nous mesurions l'extrême difficulté de trouver un mythe moderne - cela ne s'invente pas - et nous répugnions aussi à prendre un sujet qui s'appliquât à l'actualité politique, faute de certitudes, ou plutôt par la conviction qu'on ne traite pas aisément des malheurs du monde, ou du moins, pas aussi frontalement que certains se l'imaginent. Les Soldats de Zimmermann, par exemple, parviennent à une telle portée esthétique et politique parce qu'il est passé par une pièce de Lenz, qui raconte des événements du XVIIIe siècle, Helmut Lachenmann est parvenu à une oeuvre poignante et d'une extrême beauté avec sa Petite Marchande d'allumettes pour parler du gauchisme, à partir d'un écrit de Gudrun Ensslin, parce qu'il est passé par un conte d'Andersen et par des textes de Léonard de Vinci. Je me suis alors souvenu de L'Autre côté, que j'ai relu, et Bruno et moi sommes vite tombés d'accord que cette oeuvre pouvait d'autant plus fortement nous inspirer que l'atmosphère d'inquiétante étrangeté, de fantastique et de décrépitude, très réussie, dans laquelle l'oeuvre est plongée, était au service d'une cause imaginaire, fabuleuse, invraisemblable, mais qui pouvait fonctionner comme une grande et terrible allégorie politique : l'Empire du Rêve, créé de toutes pièces par un richissime illuminé, Claus Patera, condisciple, donc, du dessinateur, constitué par des restes ramassés ou aux quatre coins du monde, dans une région nauséeuse et miasmatique, dont l'idéal promis au début se révèle vite une imposture, sans qu'on sache à qui la faute, car on apprendra que le dictateur lui-même, qu'on ne voit presque jamais, n'y croit plus guère, et combine dans sa personne les traits d'une adolescence angélique, d'une sénilité précoce et d'une espèce de déphasage complet d'avec ce qui se passe dans son Empire. Et pourtant, ce n'est pas faute qu'il n'ait des partisans fanatiques dans la population bizarre de la ville de Perle, capitale de l'Empire. Lorsqu'un Américain tout aussi richissime viendra prendre le défi de le renverser et de s'arroger le gouvernement de l'Empire, peut-être convient-il que vous n'y voyiez pas aussitôt quelque arrangement d'événements récents, non seulement parce que ce roman fut écrit en 1908, avant même ceux de Kafka (que Kubin rencontra d'ailleurs plusieurs fois, et qui restait perplexe devant L'Autre côté), mais aussi parce que l'imaginaire fantastique et la vision poétique de l'auteur viennent hanter le récit de formes et de couleurs venues d'un autre monde : des profondeurs de l'inconscient, sûrement, à une époque où on lui en supposait encore - du fond d'une Angoisse dont on devine que l'auteur est incessamment traversé - mais surtout d'une capacité plastique de rêverie qui franchit constamment la barrière supposée étanche entre l'écriture et le dessin - et si Kubin ne manque pas d'illustrer son propre livre, lui aussi, d'inquiétants dessins étranges, on admire d'autant plus sa virtuosité que les deux techniques qu'il pratique ici de conserve se défendent très bien chacune indépendamment l'une de l'autre. Comme Holbein illustrant Erasme, comme le Goethe du Voyage d'Italie, comme Kipling s'illustrant ses Histoires comme ça, rares exemples. Le livret Je me suis vite dit que ce serait évidemment à la musique de prendre en charge l'imaginaire et le fantastique, et que les indications scéniques du livret, issues toutes du livre, ne seraient là que pour suggérer ce que le compositeur pouvait lire aussi bien que moi dans l'ouvrage. Mais je me suis dit aussi que puisqu'il y aurait des personnages - nous en avons réduit le nombre - et qu'ils parleraient, c'est-à-dire chanteraient, il fallait prendre le plus grand soin qu'avec assez peu de paroles, on puisse suivre exactement l'histoire, la psychologie des personnages principaux (et ici j'utilise à dessein le vocabulaire le plus conventionnel, non pas pour rassurer le réactionnaire et inquiéter l'avant-gardiste, mais parce que chanter des paroles est la matière même de l'opéra), le cours des événements, en même temps que les transformations, métamorphoses, catastrophes et l'apocalypse d'un Empire démoniaque, suscitées sans doute, au-delà de son tyran, par des forces innommables. Si je lui faisais parfois part des représentations musicales ou rythmiques de certaines scènes qu'il avait la gentillesse d'écouter et de transposer dans son art, Bruno Mantovani était en retour plus qu'attentif à la moindre des répliques à mettre en musique, entendant d'une oreille de théâtre ce qui peut se dire, se chanter, se mi-dire, etc. (il y a bien des façons, depuis longtemps, dans l'opéra ou dans le théâtre musical, de dialectiser en musique la différence du parler et du chanter, opposition qui reste opératoire dans son principe, mais qui s'ouvre depuis au moins Schönberg à des variations infinies). Pour la composition d'ensemble, je sais combien l'harmonie, le contrepoint éventuel (il y a un choral !), le rythme, les timbres peuvent, chez un musicien exigeant, s'engendrer, sinon se déduire, à partir de structures simples ou complexes, de sorte que l'écriture, et, donc aussi la perception, consciente ou inconsciente, d'une oeuvre ne se fassent pas au seul fil du récit, ni en fonction du seul effet, même si, au dire de plusieurs compositeurs que j'admire, l'opéra, par sa nature théâtrale, sa spatialité et sa temporalité spécifiques, demande moins de rigueur apparente que d'autres formes d'écriture. Aussi n'ai-je pu m'empêcher, même dans ce qui n'est que le livret, de suivre ou de m'imposer des structures, elles, fort simples, dans l'organisation des scènes, de leurs rapports de ressemblance ou de dissemblance, de leurs correspondances thématiques, - contrastes, répétitions, citations, allusions - d'autant que la fable principale conte la substitution symétrique, jusque dans son affrontement corporel, entre le Maître de l'Empire et l'Américain qui le renverse. L'hybride Il était aisé, en ce sens, de diviser l'oeuvre en deux actes (même si le roman a davantage de parties et de nombreux chapitres), avec un Prologue et un Epilogue : grandeur et décadence de l'Empire du Rêve, conclura-t-on, même si l'intérêt de ce conte est justement de montrer que tout est déjà pourri dans le Royaume de Perle, et que le salut venu d'ailleurs ne fait que liquider la pourriture ! Oui, l'oeuvre de Kubin, aussi bien dessinée qu'écrite (il a écrit plusieurs autres nouvelles), est foncièrement pessimiste. Lorsqu'il a constaté, moins l'horreur du monde que la capacité qu'a le sommeil de la raison d'enfanter des monstres, pour reprendre la formule de Goya, un peintre qu'il aimait, il lui reste à les lâcher en les dessinant. Si Dieu a créé le monde, Claudel pensait qu'il fallait le lui restituer en louange et en poésie, ou en drames dans lesquels le pire ne fût pas toujours sûr. Si le Diable a fait le monde, dirai-je que Kubin pense qu'il faut lui restituer l'histoire de ses calamités et lui tendre le miroir de ses immondices ' La dernière phrase de L'Autre Côté nous donne une étrange réponse : Le démiurge est un être hybride. Tout un roman de quelques centaines de pages pour parvenir à cette phrase peu claire, digne des Gnostiques des premiers siècles du Christianisme ! Mais la phrase peut aussi bien s'éclairer de ce qu'on a dit : puisque le monde semble mauvais, il faut au moins, pour que le pire n'en soit pas toujours le plus sûr, muni de son carnet de croquis, en faire le relevé régulier, en tenant par l'art le malheur à distance, et en mesurant constamment que le démiurge qui a raté le monde, ne pouvait pas faire mieux, qu'il y a en lui du meilleur et du pire, en bref qu'il est hybride ! Mais hybride après tout comme l'homme lui-même, sa victime et son destinataire - ou plutôt, son dessinateur ! Claus Patera, est en effet un personnage dont on ne sait s'il a gardé son innocence ou s'il est déjà complètement abîmé, intrinsèquement, physiquement et spirituellement hybride, à mi-chemin entre le réel et l'irrationnel, habité de forces obscures ou de pulsions obscènes et morbides, mais l'Américain Hercule Bell, un peu décrit comme un Américain digne de Jules Verne, est pris lui aussi dans une dangereuse oscillation entre le philanthrope vantard et le tyran sanguinaire ! Si donc a lieu le Jugement dernier, car aucune apocalypse n'est à écarter, à défaut de nos fautes, nous montrerons nos pulsions, et pour défendre notre prochain ne sachant dessiner, nous arborerons les illustrations par nous de ce monde où nous avons été jetés. Et si le feu ou le déluge anéantissent toutes choses, peut-être restera-t-il au moins quelque part un trait sur le papier, carbonisé ou délavé. A l'ancien camarade de classe, au dictateur hybride, à cet Américain sauveur lui-même si douteux, et qui font couple à la fin dans une espèce de répugnant coït, s'ajoutent donc le couple principal, Kubin - nous l'avons appelé ainsi, bien que l'auteur de le nomme pas - et sa femme. Nous avons, autour d'eux, réduit à trois les personnages qui les entourent, le Coiffeur-philosophe, qui leur sous-loue un appartement, l'Editeur qui passe un contrat avec le dessinateur, et le médecin Lampenbogen, qui soignera Madame Kubin et accompagnera le mari veuf jusqu'à la fin. Les autres personnages sont des comparses, mais il y a le Choeur, qui a une grande importance, et qui compose le peuple entier de Perle, versatile, monstrueux, prêt à tout, morbide et orgiaque, auxquels s'ajoutent mammifères, serpents et insectes, qui sont peut-être des hallucinations, mais dans un monde fantastique, le cauchemar et la réalité se confondent. Le dessinateur La fin de l'aventure se solde pour Kubin par un rapatriement suivi d'un internement. Il serait alors aisé d'en conclure, comme on le fait souvent dans des cas semblables, que toute cette aventure n'aura été qu'une immense hallucination. Outre que ce n'est pas l'idée d'Alfred Kubin, l'auteur réel du livre, cela ne changerait guère la représentation qui en résulterait sur la scène d'un opéra, où ce qu'on voit, que ce soit la vision d'un Faust ou celle d'un Hoffmann, passe forcément pour réel. Le public ne croit que ce qu'il voit et ce qu'il entend, plus qu'ailleurs, il croit tout ce qu'il voit et tout ce qu'il entend, et c'est lui qui a raison. Surtout, j'aime fort que les dernières paroles de Kubin reviennent à dire que désormais, il passe ses meilleures heures avec du papier, des crayons et des bâtons d'encre de Chine... plus proche de l'artiste rêveur, du voyant... Et ce qu'il représentera désormais s'inspirera donc de cette espèce de cosmologie duelle qu'il évoque à propos de Patera : L'attraction et la répulsion... les pôles de la terre... le jours et la nuit... le blanc et le noir... Le blanc et le noir ! Voilà tout le manifeste esthétique de l'illustrateur expressionniste à qui nous devons, disséminées dans des musées et des livres, ces gravures, reconnaissables entre toutes, devant lesquelles nous nous défendons mal d'un malaise devant les souffrances aisément devinables d'un artiste plus écorché que les autres - la guérison par l'art ' Sa vie, racontée par Kubin lui-même ne nous incite pas à conclure ainsi. Là où nous sommes confrontés à la névrose étrangère et toute constituée, écrit Freud à peu près à l'époque même où Kubin écrit L'Autre côté, dans la vie nous appellerons le médecin et tiendrons la figure pour inapte à la scène. Pourtant, sans remontrer à Jérôme Bosch, à Goya, en tout cas à tous ceux que Kubin admira, jusqu'à Odilon Redon et James Ensor, une bonne partie des oeuvres offensives du XXe siècle n'ont-elles pas consisté, malgré les réticences de Freud, à tirer un peu de jouissance de beaucoup de souffrance, et sans réveiller en nous forcément sadisme et masochisme, à nous inviter, à défaut de pâmoisons devant la beauté, ou de complaisances avec la douleur, à de la compassion devant cette souffrance ' L'oeuvre de Kubin n'est pas exempte de bonté lorsqu'il prend pour finir pitié de son persécuteur moribond, et qu'il va jusqu'à trouver de la beauté à son cadavre : L'image d'un dieu antique ! Comme il est beau ! - mais il y a encore, dans cette oeuvre, une autre source de plaisir dont nous souhaitons que l'opéra la fasse aussi sourdre pour le spectateur, c'est une espèce d'humour rocambolesque et glauque qui rend souvent les pulsions des personnages burlesques, leur sexualité, franchement saugrenue, leurs extases, ridicules ! Telles sont quelques-unes des questions que le musicien et le librettiste se sont d'abord posées, avant le metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, qui a si intimement adhéré au projet aussitôt qu'il l'a connu et qui y a fait entrer de plain pied ses collaborateurs - telle est cette étrange entreprise qu'il nous plaît à tous trois de regarder encore aujourd'hui comme risquée. Vérifier que le public voudra bien courir le risque avec nous est notre plus cher désir. François Regnault Presse Bruno Mantovani aborde, à bientôt trente-deux ans, son premier opéra avec l'ambition de rendre au fantastique du roman d'Alfred Kubin (1877-1959) sa force originale et son étrangeté narrative. L'Autre côté, fable sans morale, met en scène l'Empire du rêve, absurde refuge contre tout progrès, qui plonge dans le chaos après avoir été soustrait à la dictature de son chef Patéra. Récit admirable et visionnaire, accompagné par l'auteur d'effrayantes illustrations, il a marqué l'Europe centrale littéraire et artistique du début du XXe siècle. Bruno Mantovani, associé au dramaturge François Regnault et au metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, cherche à rendre le mouvement perpétuel de cet effondrement. L'orchestre y est vaste et brillant, incluant six percussions dont le rôle est d'élargir l'espace sonore. Le choeur - cette masse grouillante proche des images apocalyptiques de Kubin - mobilise et anime la scène. Les rôles solistes enfin se répartissent autour du narrateur, Alfred Kubin lui-même, personnage central emporté dans ce drame sans fin. Cette création mondiale constitue l'élément fédérateur du portrait consacré au jeune compositeur français par Musica, en collaboration avec l'Opéra national du Rhin. Musica Antoine Gindt
72.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Fifty Easy Classical
Guitar Solos Tab Cd Guitare notes et tablatures Guitare classique [Partition + CD] - Facile Amsco Wise Publications
Les pièces et les etudes vous devez développer votre premier répertoire de gu...(+)
Les pièces et les etudes vous devez développer votre premier répertoire de guitare classique. Ce livre et CD contient répertoire délicieux de pièces pour le joueur début ou intermédiaire. Les sélections sont tirées de toutes les périodes de la littérature de la guitare classique et ont été organisées et éditées par Jerry Willard nouvellement. Toute la musique, en notation standard tant l'onglet, à cinquante joyaux du répertoire pour les débutants, avec spectacles complets sur le CD-ROM d'accompagnement / Guitare / 78 pages / Partition Cd
29.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Vergehn Wie Rauch Chorale SSAATTBB Schott
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le ...(+)
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le livret de mon opéra de chambre Dafne (d'après Martin Opitz, écrit en 2005), j'ai intégré plusieurs poèmes de Opitz dans son jeu, et c'était aussi la première fois pour moi de composer des passages de choeur prolongées. Après avoir terminé ce travail, j'ai ressenti le besoin d'explorer la combinaison de choeur et les textes baroques dans un plus, la composition chorale indépendante. J'ai choisi des poèmes de Christian Hoffmann von Hoffmannswaldau, Andreas Gryphius, Martin Opitz, Georg Philipp Harsdörffer, Barthold Brockes Hinrich und Friedrich von Logau. En dehors de Trost aphoristique von Logau, les textes ont été raccourcies et réorganisé en profondeur. Les sujets similaires, en utilisant aussi des manières étroitement liées d'expression, et la tendance à des structures redondantes - souvent, une pensée à plusieurs reprises formulé de différentes façons - en fait des lignes de change, même possibles entre les différents poèmes.La façon dont les textes sont examinés les changements entre cadre cohérent et la langue en utilisant comme matière sonore et l'élément structurel. Un aspect important est la technique de laisser mots ou des syllabes tourner à travers tout le choeur, qui - soutenus par différents niveaux dynamiques et d'un unisono souvent légèrement imprécise - crée un effet panoramique comparables. Le moins son temps difficiles de la langue baroque, riche en consonnes, les métaphores lourdes, mais aussi les ondulée, parfois des expressions bizarres sont le plus souvent mis en musique plutôt discrète. Surtout, une duplication du caractère déclamatoire est évité, tandis que quelques belles images sont ramassés et transformés en sons. Le son choeur en tant que telle reste la plupart du temps 'intacte' au sens traditionnel- du brai est même traitée de manière très restrictive - un seul passage (le début du mouvement IIIe) fait usage de la pleine échelle chromatique. L'abstinence de spectaculaires effets attire l'attention sur compréhensibles structures harmoniques, les nuances dynamiques, un large éventail de combinaisons de voix et de registre et les variations subtiles des textes dans les différentes pièces.Formellement, l'ensemble du cycle de sept pièces sont regroupées en grandes sections de plusieurs mouvements. La devise en forme de début se transforme à la fois du texte et de l'harmonie dans le mouvement Gryphius dans laquelle le choeur est progressivement étendue d'une région à moyen terne à plus de registres contrastés jusqu'à ce que les fondus sonores away 'wie Rauch' [comme] la fumée et se transforme en fines pétille. Un petit interlude - la seule section qui présente le quatuor de cuivres - mène à Echo Opitz ', qui se déplace d'un endroit sombre, pesante, son dissonant des voix d'hommes dans une atmosphère de plus en plus léger, qui est ensuite repris par le plutôt simple , paysage d'automne mélancolique de Harsdörffer. La pièce maîtresse du cycle suivant, basé aussi bien sur le poème d'automne par Brockes, contraste fortement avec la simplicité du mouvement précédent. L'image d'une douche à effet pluie de feuilles qui tombent, méditative qui tournent autour lui-même, est transféré dans une longue et complexe 'spirale' paysage sonore sans cesse en rotation dans un maximum de 16 pièces individuelles, chacun d'entre eux d'explorer une version légèrement différente du texte du poème. Tandis que le choeur se développe pour le plus grand nombre de registres et de plus forte densité de la pièce, l'expression, dans le style de la langue Brockes ', reste plutôt affectée. La dernière section reprend le slogan du début, en explorant les deux enlacés textes Hofmannswaldau de manière plus approfondie, et conduit à la court épilogue qui sert comme un commentaire ironique sur baroque lassitude du monde sous la forme d'une merry-go-round avec les syllabes du poème de rotation spirituellement rapide grâce à la chorale.Le quatuor de cuivres partie soutient, accompagne et complète en partie le choeur d'une façon presque totalement la fusion. Il ya à peine une note qui n'est pas directement associée à l'une des voix de la chorale. Cependant, l'utilisation ou ommitting les cuivres affecte également la Charakter de la performance de la chorale - de cette manière, deux versions égales de la pièce sont combinés en un seul score, et vergehn wie Rauch peut être effectuée a cappella à la fois l'original et d'aujourd'hui les sens du terme.- Benjamin Schweitzer / Choeur Mixte (SSAATTBB), Trompette En Sib, Cor En Fa, Trombone Et Tuba
27.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Vergehn Wie Rauch Chorale SSAATTBB Schott
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le ...(+)
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le livret de mon opéra de chambre Dafne (d'après Martin Opitz, écrit en 2005), j'ai intégré plusieurs poèmes de Opitz dans son jeu, et c'était aussi la première fois pour moi de composer des passages de choeur prolongées. Après avoir terminé ce travail, j'ai ressenti le besoin d'explorer la combinaison de choeur et les textes baroques dans un plus, la composition chorale indépendante. J'ai choisi des poèmes de Christian Hoffmann von Hoffmannswaldau, Andreas Gryphius, Martin Opitz, Georg Philipp Harsdörffer, Barthold Brockes Hinrich und Friedrich von Logau. En dehors de Trost aphoristique von Logau, les textes ont été raccourcies et réorganisé en profondeur. Les sujets similaires, en utilisant aussi des manières étroitement liées d'expression, et la tendance à des structures redondantes - souvent, une pensée à plusieurs reprises formulé de différentes façons - en fait des lignes de change, même possibles entre les différents poèmes.La façon dont les textes sont examinés les changements entre cadre cohérent et la langue en utilisant comme matière sonore et l'élément structurel. Un aspect important est la technique de laisser mots ou des syllabes tourner à travers tout le choeur, qui - soutenus par différents niveaux dynamiques et d'un unisono souvent légèrement imprécise - crée un effet panoramique comparables. Le moins son temps difficiles de la langue baroque, riche en consonnes, les métaphores lourdes, mais aussi les ondulée, parfois des expressions bizarres sont le plus souvent mis en musique plutôt discrète. Surtout, une duplication du caractère déclamatoire est évité, tandis que quelques belles images sont ramassés et transformés en sons. Le son choeur en tant que telle reste la plupart du temps 'intacte' au sens traditionnel- du brai est même traitée de manière très restrictive - un seul passage (le début du mouvement IIIe) fait usage de la pleine échelle chromatique. L'abstinence de spectaculaires effets attire l'attention sur compréhensibles structures harmoniques, les nuances dynamiques, un large éventail de combinaisons de voix et de registre et les variations subtiles des textes dans les différentes pièces.Formellement, l'ensemble du cycle de sept pièces sont regroupées en grandes sections de plusieurs mouvements. La devise en forme de début se transforme à la fois du texte et de l'harmonie dans le mouvement Gryphius dans laquelle le choeur est progressivement étendue d'une région à moyen terne à plus de registres contrastés jusqu'à ce que les fondus sonores away 'wie Rauch' [comme] la fumée et se transforme en fines pétille. Un petit interlude - la seule section qui présente le quatuor de cuivres - mène à Echo Opitz ', qui se déplace d'un endroit sombre, pesante, son dissonant des voix d'hommes dans une atmosphère de plus en plus léger, qui est ensuite repris par le plutôt simple , paysage d'automne mélancolique de Harsdörffer. La pièce maîtresse du cycle suivant, basé aussi bien sur le poème d'automne par Brockes, contraste fortement avec la simplicité du mouvement précédent. L'image d'une douche à effet pluie de feuilles qui tombent, méditative qui tournent autour lui-même, est transféré dans une longue et complexe 'spirale' paysage sonore sans cesse en rotation dans un maximum de 16 pièces individuelles, chacun d'entre eux d'explorer une version légèrement différente du texte du poème. Tandis que le choeur se développe pour le plus grand nombre de registres et de plus forte densité de la pièce, l'expression, dans le style de la langue Brockes ', reste plutôt affectée. La dernière section reprend le slogan du début, en explorant les deux enlacés textes Hofmannswaldau de manière plus approfondie, et conduit à la court épilogue qui sert comme un commentaire ironique sur baroque lassitude du monde sous la forme d'une merry-go-round avec les syllabes du poème de rotation spirituellement rapide grâce à la chorale.Le quatuor de cuivres partie soutient, accompagne et complète en partie le choeur d'une façon presque totalement la fusion. Il ya à peine une note qui n'est pas directement associée à l'une des voix de la chorale. Cependant, l'utilisation ou ommitting les cuivres affecte également la Charakter de la performance de la chorale - de cette manière, deux versions égales de la pièce sont combinés en un seul score, et vergehn wie Rauch peut être effectuée a cappella à la fois l'original et d'aujourd'hui les sens du terme.- Benjamin Schweitzer / Choeur Mixte (SSAATTBB), Trompette En Sib, Cor En Fa, Trombone Et Tuba
18.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Blondeau Thierry : Murmel
Klavier Piano (2 exécutants) [Partition + CD] Dhalmann
Pour piano (2 exécutants) et électronique. Partition fournie avec cd comprenan...(+)
Pour piano (2 exécutants) et électronique. Partition fournie avec cd comprenant l'oeuvre exécutée avec piano et bande et la bande de diffusion.Collection 'Carnets du 21e siècle'.Le titre ' Murmelklavier ? signifie piano bille en allemand. La pièce a été jouée pour la première fois par les élèves d'une école de musique en Allemagne, c'est pourquoi le titre est resté en allemand.Il importe avant de jouer la pièce au piano d'écouter attentivement la partie électroacoustique fixée sur le cd.Chacune de tes interventions devra tenir compte de ce qui se passe sur la partie enregistrée.A chaque page correspond une minute de musique, sauf la première page.Il faut être deux pianistes pour jouer. L'un des deux est assis au clavier, l'autre agit dans les cordes même. Il faut bien sûr pour cela disposer d'un piano à queue.Page 1En effet, il faut d'abord jouer avec la bille dans les cordes. Il s'agit d'un calot, c'est à dire d'une grosse bille. Dans le doute, demande à ton petit frère ou à ton petit cousin, il saura sûrement dans quel magasin de jouet le trouver !La pièce commence donc par le son du calot rebondissant sur les cordes aigues du piano (approximativement les cordes indiquées sur la partition). Il faudra que le son que tu obtiens ressemble à celui que l'on entend au début de la partition.Quand, après plusieurs essais si nécessaire, le son ressemble, tu peux déclencher le lecteur cd.Les figures qui sont sur la page sont à jouer au choix, et peuvent être répétées si tu entends qu'elles vont bien avec la musique enregistrée.Le son de bille, et les glissandi le long des cordes sont à jouer dans les cordes, les autres figures au clavier.Page 2Le ou la pianiste qui est au clavier joue un trait rapide dans le grave en utilisant les notes indiquées. Il ou elle peut changer l'ordre des notes. Attention la figure doit comme toutes les figures s'allier avec les sons de la partie enregistrée !L'autre pianiste effectue un mouvement de frottement sur les cordes graves du piano. Ce mouvement doit être très rapide et faire alterner des nuances extrêmes crescendo et descrendo, comme indiqué sur la partition.Page 3La figure jouée au clavier peut être répétée, allongée, raccourcie etc?Il n'est pas nécessaire de jouer tout le temps. Il ne faut pas avoir peur du silence, ou plutôt d'écouter la bande par moment pour jouer avec elle.La figure dans les cordes fait appel à ton inventivité. Tu peux chercher des objets avec lesquels tu vas effectuer le même mouvement que précédemment mais de timbre différent. J'ai fait quelques propositions, mais tu peux allonger la liste?Page 4Tu écoutes la partie enregistrée. Attention, un évènement sonore doit être synchrone, c'est à 3'37'. Soit il faut disposer d'une lecteur cd muni d'un compteur, soit apprendre à écouter la partie enregistrée pour se caler dessus.La figure suivante est aussi jouée au piano. C'est une échelle en alternance de tons entiers et de demi tons, que l'on trouve chez Scriabine, Bartok ou Messiaen. Les rythmes qui sont indiqués au-dessus donnent une indication des figures à jouer.Page 5Il s'agit d'un jeu de cache cache entre les sons que joue le ou la pianiste au clavier, et le ou la pianiste dans les cordes.Les notes jouées au claviers sont à choisir ainsi :Touches blanche pour la première octave (notes avec des têtes blanches)Touches noires pour l'octave suivante (note avec des têtes noires)Et ainsi de suite.Le ou la pianiste qui est au clavier essaie de varier assez vite pour que le ou la pianiste qui agit sur les cordes ne puisse pas avoir le temps d'étouffer le son avec les mains.Si c'est tout même le cas, le rythme est parfois interrompu par le joueur qui est dans les cordes. C'est le but recherché. Mais le résultat ne sera jamais deux fois le même !Page 6Il faut impérativement arrêter de jouer à 5'10' ! Il y a dans la partie enregistrée un faux parasite ! Les auditeurs doivent penser que quelque chose ne fonctionne pas à la régie technique ! En fait, la suite leur prouvera que ce son fait bien partie de la musique?On terminera de nouveau par la bille dans les cordes. Sur le cd, ce son voyage dans l'espace, puis le son parasite termine le tout en un clin d'oeil aux auditeurs. / Clavier, Piano Et Duo
50.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Jubiloso (SPARKE PHILIP) Ensemble de cuivres [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire Anglo Music
Par SPARKE PHILIP. Jubiloso est une oeuvre de commande pour le 30ème anniversai...(+)
Par SPARKE PHILIP. Jubiloso est une oeuvre de commande pour le 30ème anniversaire du Brass Band japonais Utsunomiya Brass Society, en 2008. Utsunomiya est la capitale de la préfecture de Tochigi au Japon. Elle se trouve à environ 100 km au nord de Tokyo, à une heure de la capitale japonaise par la ligne de train à grande vitesse (Shinkansen Tohoku). Fondé en 1978, le Brass Band d’Utsunomiya est un ensemble talentueux et polyvalent que Philip Sparke a dirigé à plusieurs reprises en tant que chef invité. À l’occasion du 30ème anniversaire, les musiciens formulèrent le souhait de marquer l’événement par une marche brillante et pétulante qui pourrait devenir une sorte d’indicatif musical. Ils confièrent la mission à Philip Sparke qui leur composa Jubiloso, une marche idéale pour une ouverture de concert. Jubiloso s’inscrit dans la lignée des marches Slipstream et The Bandwagon : un style « broadwayien », des mélodies fortement syncopées, un trio cantabile assez conventionnel et quelques surprenantes mesures irrégulières qui viennent troubler le rythme régulièrement cadencé de la marche. / Niveau : 3 / Marche de concert / Répertoire / Brass Band
81.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Jubiloso (SPARKE PHILIP) Ensemble de cuivres [Conducteur] - Intermédiaire Anglo Music
Par SPARKE PHILIP. Jubiloso est une oeuvre de commande pour le 30ème anniversai...(+)
Par SPARKE PHILIP. Jubiloso est une oeuvre de commande pour le 30ème anniversaire du Brass Band japonais Utsunomiya Brass Society, en 2008. Utsunomiya est la capitale de la préfecture de Tochigi au Japon. Elle se trouve à environ 100 km au nord de Tokyo, à une heure de la capitale japonaise par la ligne de train à grande vitesse (Shinkansen Tohoku). Fondé en 1978, le Brass Band d’Utsunomiya est un ensemble talentueux et polyvalent que Philip Sparke a dirigé à plusieurs reprises en tant que chef invité. À l’occasion du 30ème anniversaire, les musiciens formulèrent le souhait de marquer l’événement par une marche brillante et pétulante qui pourrait devenir une sorte d’indicatif musical. Ils confièrent la mission à Philip Sparke qui leur composa Jubiloso, une marche idéale pour une ouverture de concert. Jubiloso s’inscrit dans la lignée des marches Slipstream et The Bandwagon : un style « broadwayien », des mélodies fortement syncopées, un trio cantabile assez conventionnel et quelques surprenantes mesures irrégulières qui viennent troubler le rythme régulièrement cadencé de la marche. / Niveau : 3 / Marche de concert / Répertoire / Brass Band
23.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Beethoven,ludwig van
(FAVRE-TISSOT-BONVOIS) En Français Biographie [Livre] Bleu Nuit
Par FAVRE-TISSOT-BONVOIS. Considéré comme le père de la musique romantique, L...(+)
Par FAVRE-TISSOT-BONVOIS. Considéré comme le père de la musique romantique, Ludwig van Beethoven (1770-1827) a aussi fortement contribué à la renommée des formes sonates pour piano, de la musique de chambre mais surtout de la symphonie. Outre de nombreuses mélodies et quoiqu'ayant été pendant quelques temps directeur du Teater an der Wien, il n'a composé qu'un seul opéra, Fidelio, qui compte toutefois aujourd'hui de nombreux adeptes inconditionnels. Mais que ce soit dans les titres ou les sujets qu'il a traité, c'est son amour de la nature et des éléments, tout comme des sentiments passionnés, qui le classent définitivement dans la ligne fondatrice de son temps. / Relié / Livre / Livres
25.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Embâcle (COMBIER
JEROME) En Français Piano seul [Partition] - Avancé Lemoine, Henry
Par COMBIER JEROME. Quelques figures président à l'écriture d'Embâcle. Je me...(+)
Par COMBIER JEROME. Quelques figures président à l'écriture d'Embâcle. Je me les suis données a priori. Ce sont des accords répétés et enrichis d'un mouvement descendant souvent caché à l'intérieur, ce sont des arpèges croisés, brefs et construits sur des intervalles d'octaves, des échelles descendantes rapides, des figures rythmiques irrégulières à un tempo rapide et dans le registre grave, ce sont des sonorités frottées dans le piano faisant entendre sans aucune attaque aucune les résonances aigues des cordes. Tout cela est difficile à décrire et à rendre compte, mais a constitué, pourrait-on dire, mon imaginaire. De manière fragmentaire tout d'abord, il fut ensuite question de concevoir un cadre - comprendre une forme - au devenir de ces éléments, à leur dialogue et leur opposition, leurs devenirs.
Dans Embâcle, certaines notes graves du piano sont étouffées, privées ainsi de brillance, d'autres graves encore préparées à l'aide de morceaux de gomme en vue d'obtenir une résonance inattendue. L'idée de trouver - comprendre travailler à la manière d'un sculpteur - une qualité de résonance particulière a fortement motivé mes recherches et mon écoute. Le choix de l'octave comme intervalle et comme sonorité de référence va en ce sens d'un espace ouvert souhaité, un agrandissement.
Et puis, je ne sais pourquoi, je n'ai pu me départir, tout au long de l'écriture d'Embâcle, du chant du mouvement lent de la sonate en La majeur D 959 de Franz Schubert. Pourtant ce n'est guère là de mon usage, moi qui m'applique et tente de pièce en pièce de débusquer un monde où les scories du passé se regarderaient lointainement, sans méfiance aucune toutefois, seulement comme quelque chose ne pouvant être ayant été, une jeunesse.
Jérôme Combier / Niveau : Difficile / contemporain / Date parution : 2009-06-15/ Répertoire / Piano
20.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| WYSCHNEGRADSKY IVAN - 3
PIECES OP.38 - PIANO Piano seul Jobert
Prélude - Elévation - SolitudeLa très grande majorité des compositions d'Iva...(+)
Prélude - Elévation - SolitudeLa très grande majorité des compositions d'Ivan Wyschnegradsky ont été écrites en micro-intervalles, du 1/3 au 1/12ème de ton. Son oeuvre comprend peu de pièces pour piano en demi-ton, la plus connue étant l'Etude sur le Carré magique sonore Op.40 (Ed. Belaïeff) qui avait fortement impressionné Olivier Messiaen *. Celui-ci l'avait même inscrite au programme du Concours International de Piano portant son nom en 1971 à Royan.Ces Trois pièces pour piano en demi-ton ont été réunies dans le même opus 38, bien que composées à différentes époques. En effet, les dates indiquées par le compositeur en fin de chacune des pièces (1957, 1964, 1959) représentent la dernière révision (ou remaniement , comme il aimait à l'exprimer) de l'oeuvre, souvent éloignée de la date originale de composition.J'ai eu le grand privilège de jouer et étudier nombre d'oeuvres d'Ivan Wyschnegradsky en sa présence et avec ses indications. Lors d'une séance de travail autour du Prélude Op.38, Ivan Wyschnegradsky m'a expliqué l'origine du leitmotiv qui apparaît quasiment dans toutes ses oeuvres. On le trouve ici aux mesures 30, 32 et 49 du Prélude. Ce motif en notes répétées, noté souvent accelerando et crescendo était pour lui une réminiscence d'un slogan scandé par les jeunes révolutionnaires en 1917 sous les mots Revoloutzia dans les rues de Petrograd (qui a retrouvé aujourd'hui son nom de Saint-Petersbourg).Il fallait l'entendre le déclamer avec son fort accent russe qui ne l'a jamais abandonné et la véhémence de son souvenir, si intense pour qu'il ressente la nécessité de l'inclure tout au long de sa vie, comme un sceau impérissable, dans chacune de ses oeuvres.Martine Joste* voir la lettre d'Olivier Messiaen dans le livre de Pascale Criton : Ivan Wyschnegradsky, Libération du son -Ecrits 1916-1979, Ed. Symétrie, page 469. / Piano / Jobert
14.50 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| 3 Pièces Pour
Piano Op. 38
(WYSCHNEGRADSKY IVAN
ALEXANDROWITSCH) Piano seul [Partition] Jobert
Par WYSCHNEGRADSKY IVAN ALEXANDROWITSCH. La très grande majorité des compositi...(+)
Par WYSCHNEGRADSKY IVAN ALEXANDROWITSCH. La très grande majorité des compositions d'Ivan Wyschnegradsky ont été écrites en micro-intervalles, du 1/3 au 1/12ème de ton. Son oeuvre comprend peu de pièces pour piano en ton, la plus connue étant l'Etude sur le Carré magique sonore Op.40 (Ed. Belaïeff) qui avait fortement impressionné Olivier Messiaen *. Celui-ci l'avait même inscrite au programme du Concours International de Piano portant son nom en 1971 à Royan.
Ces Trois pièces pour piano en ton ont été réunies dans le même opus 38, bien que composées à différentes époques. En effet, les dates indiquées par le compositeur en fin de chacune des pièces (1957, 1964, 1959) représentent la dernière révision (ou 'remaniement', comme il aimait à l'exprimer) de l'oeuvre, souvent éloignée de la date originale de composition.
J'ai eu le grand privilège de jouer et étudier nombre d'oeuvres d'Ivan Wyschnegradsky en sa présence et avec ses indications. Lors d'une séance de travail autour du Prélude Op.38, Ivan Wyschnegradsky m'a expliqué l'origine du 'leitmotiv' qui apparaît quasiment dans toutes ses oeuvres. On le trouve ici aux mesures 30, 32 et 49 du Prélude. Ce motif en notes répétées, noté souvent accelerando et crescendo était pour lui une réminiscence d'un slogan scandé par les jeunes révolutionnaires en 1917 sous les mots 'Revoloutzia' dans les rues de Petrograd (qui a retrouvé aujourd'hui son nom de Saint-Petersbourg).
Il fallait l'entendre le déclamer avec son fort accent russe qui ne l'a jamais abandonné et la véhémence de son souvenir, si intense pour qu'il ressente la nécessité de l'inclure tout au long de sa vie, comme un sceau impérissable, dans chacune de ses oeuvres.
Martine Joste/ Répertoire / Piano
16.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Classical Works Guitare Zen-on
Cette collection ' oeuvres classiques ' pour les joueurs de guitare contient plu...(+)
Cette collection ' oeuvres classiques ' pour les joueurs de guitare contient plusieurs pièces de différents compositeurs de la période classique sélectionnés par Yasuo Abe. Car pas de nombreuses oeuvres classiques pour guitare sont effectuées sur scène, Abe a choisi ces pièces, qui sont effectuées le plus souvent. À cela il a élu certaines des oeuvres plus populaires des compositeurs tels que Dionisio Aguado, Matteo Carcassi, Ferdinando Carulli, Anton Diabelli, Mauro Giuliani et Niccoló Paganini. / Guitare
59.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Centenary Édition
1913-2013 Berliner
Philharmoniker CD [Coffret CDs]
Performer: Agnes Baltsa,
Antonia Fahberg, Audience
Applause, Barbara Hendricks...(+)
Performer: Agnes Baltsa,
Antonia Fahberg, Audience
Applause, Barbara Hendricks,
Berliner Philharmoniker, et
al.
Orchestra: Berliner
Philharmoniker, Orchestre
Philharmonique de Berlin
Conductor: Alfred Hertz,
Arthur Nikisch, Bruno Walter,
Carlo Maria Giulini, Claudio
Abbado, et al.
Compositeur: Alban Berg, Anton
Bruckner, Anton Webern,
Antonin Dvorak, Antonio
Vivaldi, et al.
CD (16 septembre 2013)
Nombre de disques: 50
Format : Coffret, CD
Label: Deutsche Grammophon
106.00 EUR - vendu par Amazon | |
1
|