| Cantate Egale Pays #3 -
Gd Mmré (PESSON
GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
Gd Mmré
La troisième cantate, qui utilise le tutti des instruments et des voix, est sur un texte d'Elena Andreyev (poète et par ailleurs musicienne), Gd Mmré, dont j'ai réalisé, avec son accord et son aide, un découpage. C'est un théâtre choral où la voix parlée, chantonnée (les comédiens Valérie Blanchon et Christophe Brault), donne une dimension dramatique à ce texte convoquant tant d'images, toujours sous la forme d'une introspection ardente, d'un traveling intense, parfois ironique, distancé, souvent questionneur. L'électronique feuillette ici la polyphonie des voix et des paroles - elle dispose les décors nombreux appelés par le texte, qui sont des doublures en plis vifs et cassés, elle ouvre des pistes, qui sont parfois des leurres. L'électronique est la maladresse des mots, sa fragilité digitale. Elle rêve tous les timbres qu'elle synthétise ou qu'elle commente de façon moqueuse, elle 'échantillonne' les résidus de la parole et du souffle, elle s'instille en échos menaçants. L'électronique est le pied de côté, la rime subsidiaire, le sous-titrage asynchrone de ce Grand Murmuré.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
46.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Pesson Gerard - Cantate
Egale Pays N.1 - Jachere
Aidant - Voix, Ensemble
Et Electronique Lemoine, Henry
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : 2S / T ...(+)
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : 2S / T / B / fl / cl / clav / perc / vl / vla / vlc / electr. Durée : 20' Genre : Contemporain Média : Partition Editeur : Lemoine Date de parution : 17/05/2010 Librettiste : Poèmes de Mathieu Nuss (1980) Commanditaire : Ircam-Centre Pompidou et Ars Musica Création : 07/06/2010 - Paris, Festival Agora, Centre Pompidou - Ensemble vocal Exaudi, l'Instant Donné, Daniel Lévy (mise en espace), Sébastien Roux (Réalisation informatique musicale, Ircam) ISBN / ISMN : 9790230988698 Notice Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle. Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les ciels acoustiques, l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble. Dans ce pays-cantate qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée. Extrait du programme du Festival Agora J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à la question de Dieu et au décor planté dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev). Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell. L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier. L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un décor sonore) est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre. Jachère aidant La première cantate, sur un texte du poète Mathieu Nuss, écrit spécialement pour cette occasion, est une sorte de cantate express, liquide, changeante, bruissante, parfois fredonnée, chaque unité étant extrêmement brève. Un narrateur semble livrer sa vision de manière joueuse, souvent interrogative. Le découpage est lui-même rapide, comme le story-board d'une histoire à développer, mais donnée là dans l'urgence. L'électronique est liée au clavier de sensations dont j'ai parlé, conçu à partir de bruits quotidiens ou atmosphériques qui, peu à peu, se changent en gammes musicales et en clavier chantant. Gérard Pesson
52.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Cantate Egale Pays #1 -
Jachère Aidant
(PESSON GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
Jachère aidant
La première cantate, sur un texte du poète Mathieu Nuss, écrit spécialement pour cette occasion, est une sorte de cantate express, liquide, changeante, bruissante, parfois fredonnée, chaque unité étant extrêmement brève. Un narrateur semble livrer sa vision de manière joueuse, souvent interrogative. Le découpage est lui-même rapide, comme le story-board d'une histoire à développer, mais donnée là dans l'urgence. L'électronique est liée au 'clavier de sensations' dont j'ai parlé, conçu à partir de bruits quotidiens ou atmosphériques qui, peu à peu, se changent en gammes musicales et en clavier chantant.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
54.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Pesson Gerard - Cantate
Egale Pays N.2 - God's
Grandeur - Voix, Ensemble
Et Electronique Lemoine, Henry
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : S / Hc ...(+)
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : S / Hc / T / B / fl / hb / cl / hp / clav / perc / vlc / electr. Durée : 17' Genre : Contemporain Média : Partition Editeur : Lemoine Date de parution : 17/05/2010 Librettiste : Poèmes de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) Commanditaire : Ircam-Centre Pompidou et Ars Musica Création : 07/06/2010 - Paris, Festival Agora, Centre Pompidou - Ensemble vocal Exaudi, l'Instant Donné, Daniel Lévy (mise en espace), Sébastien Roux (Réalisation informatique musicale, Ircam) ISBN / ISMN : 9790230988889 Notice Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle. Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les ciels acoustiques, l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble. Dans ce pays-cantate qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée. Extrait du programme du Festival Agora J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à la question de Dieu et au décor planté dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev). Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell. L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier. L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un décor sonore) est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre. God's Grandeur Cette cantate, d'après quatre poèmes de Gerard Manley Hopkins, forme un moment suspendu, découpé selon des unités poétiques auxquelles correspondent ce que j'ai appelé des ciels acoustiques, sortes de monochromes électroniques, cyclos sonores minimaux sur lesquels les voix et les instruments se posent : basse fréquence, ou hyper aiguë, impression sonore de ciel étoilé, bruit de vaporetto au loin, etc. Le son peut sembler parfois comme un léger parasite qui entame l'écoute. Un petit clavier de verre dialogue avec des échantillonnages d'orgue véritable. C'est la plus hiératique, la plus chantée et récitative, la plus sombre aussi des trois cantates. Gérard Pesson
37.70 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Cantate Egale Pays #2 -
God's Grandeur
(PESSON GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
God's Grandeur
Cette cantate, d'après quatre poèmes de Gerard Manley Hopkins, forme un moment suspendu, découpé selon des unités poétiques auxquelles correspondent ce que j'ai appelé des 'ciels acoustiques', sortes de monochromes électroniques, cyclos sonores minimaux sur lesquels les voix et les instruments se posent : basse fréquence, ou hyper aiguë, impression sonore de ciel étoilé, bruit de vaporetto au loin, etc. Le son peut sembler parfois comme un léger parasite qui 'entame' l'écoute. Un petit clavier de verre dialogue avec des échantillonnages d'orgue véritable. C'est la plus hiératique, la plus chantée et récitative, la plus sombre aussi des trois cantates.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
39.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Dactylopraxie - Trois
Petites Pièces
Pour Toucher L'Orgue En Français Orgue Delatour France
 Péface d'Eric Lebrun, conseils de Pascale Rouet Les trois suites qui compose...(+)
 Péface d'Eric Lebrun, conseils de Pascale Rouet Les trois suites qui composent Dactylopraxie se rapportent au genre de la Partita qu'affectionnaient les compositeurs italiens et allemands des XVIIème et XVIIIème siècle, Comme leurs aînées, chacune d'entre-elles consiste en une succession de pièces brèves et de caractère contrasté, reliées entre elles par un propos fédérateur, cherchant à mettre en valeur une large palette des sonorités de l'instrument, Comme autant d'hommages à des compositeurs à la personnalité attachante, le cycle est parsemé ça et là de clins d'oeil variés dans l'espace et dans le temps : la musique de Bartók ou de Satie, un ' thème ' de Bruce Mather, les turpitudes métriques de Régis Campo, les tambourins de Corrette, les pièces pour horloges à flûtes de Haydn, les partitas de Pachelbel ou encore l'esprit de la ' courbure du temps ' de la grammaire musicale de François Leclère, Si le recueil vise à faire progresser l'acquisition des principaux réflexes digitaux pour des organistes commençants, un instrumentiste plus confirmé pourra aussi y trouver des miniatures sonores et colorées, simples à déchiffrer et écrites dans un langage d'aujourd'hui, - DACTYLOPRAXIE Micro-Suite pour explorer le clavier    03'11''- DACTYLOPRAXIE Variations sur dix notes fixes    05'- DACTYLOPRAXIE Partitta quand la dernière comprend l'ensemble    06'31'' / Orgue
18.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| HAYDN JOSEPH - SYMPHONIE
EN RE MAJEUR Hob. I:101
(L’HORLOGE) - SCORE Conducteur G. Henle
Joseph Haydn Symphonie en Ré majeur Hob. I:101 (L’Horloge) Horst Wa...(+)
Joseph Haydn Symphonie en Ré majeur Hob. I:101 (L’Horloge) Horst Walter (Editeur) Heide Volckmar-Waschk (Préface) Début février 1794, Haydn se rendit à Londres pour son deuxième séjour en Angleterre. Trois mouvements de la Symphonie en Ré majeur Hob. I:101 étaient, à ce moment-là , déjà terminés, et l’œuvre fut complétée puis exécutée le 3 mars. Les auditeurs de cette première exécution furent déjà frappés du mouvement pendulaire de la figure d’accompagnement du deuxième mouvement, qui fut d’ailleurs même mentionné dans une critique: «Le traitement de l’accompagnement de l’Andante, dans sa parfaite simplicité est en même temps un coup de maître.» La régularité de ce pendule éveilla de toute évidence l’imagination des auditeurs, au point qu’à la fin du XIXe siècle, le surnom de Die Uhr («L’Horloge») fut couramment employé. Et même si cette appellation n’a rien à voir avec Haydn lui-même - pouvons-nous aujourd’hui encore entendre ce célèbre deuxième mouvement sans faire cette association? Tous ceux qui souhaitent mieux connaître cette symphonie auront à cœur de se procurer cette édition d’étude bon marché - accompagnée de textes fiables consacrés à la naissance de l’œuvre, à ses sources et à l’édition elle-même, et comportant le texte musical irréprochable de l’Édition intégrale des œuvres de Haydn. / Partitions classique / Ensemble et orchestre / Conducteur / HENLE VERLAG
14.80 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Aaron, Michael : Cours De
Piano Primaire En Français Piano seul [Partition] - Débutant Carisch
Avec une lucidité étonnante, cette méthode préparatoire explique aux tout-pe...(+)
Avec une lucidité étonnante, cette méthode préparatoire explique aux tout-petits les premier éléments de la musique; elle leur fait battre des rythmes avec leurs mains, leur présente des mélodies simples, faciles à retenir, écrites en grosses notes. Des illustrations nombreuses éclaircissent les explications. / Partition / Agrafé /
10.50 EUR - vendu par Note4Piano | |
| Jazz Time Part One - The
Basics (BRIGGS FRANK) Batterie [Partition + CD] Mel Bay
Par BRIGGS FRANK. Une collection de 120 tambour d'exercices set conçu pour aide...(+)
Par BRIGGS FRANK. Une collection de 120 tambour d'exercices set conçu pour aider le début au batteur intermédiaire développer la coordination, l'indépendance et accompagnement des compétences entre la caisse claire et bass drum tout en gardant la constante de temps jazz sur la cymbale ride. Les pistes le long de jeu aidera les élèves à développer la capacité de reconnaître les 12-bar blues et le formulaire AABA de 32-bar, deux des formes de chanson plus populaires dans la musique jazz. Pratiquer avec les titres seront également vous aider à développer de meilleurs temps d'horloge et devrait inspirer certains interaction créative avec la musique enregistrée. Exercices comprennent les patrons à l'aide de notes de quart, combinaisons de quart et croche et triplets et autres combinaisons. La forme de chanson AABA 32-bar est pratiquée avec et sans batterie, et suivre les tempos avec une basse à la lente et rapide. La forme de 12-bar blues est pratiquée avec diverses combinaisons, y compris la batterie, basse, les deux, soit ni. Tous les tempos du CD sont indiqués dans le livre. Un glossaire utile des symboles et signes musicales est également inclus. / Niveau : Débutant à Intermédiaire / Jazz - Technic / Recueil / Batterie
16.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Hammadi, Méziane :
Francis Cabrel : Le
Vagabond des Etoiles En Français Biographie [Livre] Le Bord de l'Eau
Les livres sur le chanteur sont très rares... Ce livre comble un vide. Il s'agi...(+)
Les livres sur le chanteur sont très rares... Ce livre comble un vide. Il s'agit d'un portrait total sur la vie, la carrière et les chansons de Cabrel. En 30 ans, 10 albums et près de 110 chansons, Cabrel, le troubadour électrique, le barde rock et folk doux s?est imposé avec une écriture sensible, juste et des musiques dylaniennes.
L?immense popularité du poète d?Astaffort est sans doute liée à son style musical, et à des valeurs authentiques englouties par notre époque moderne : la fidélité amoureuse, un humanisme enraciné dans la terre de ses ancêtres... Dans ce livre, construit tel un abécédaire, l'auteur retrace les différentes étapes de la carrière de Francis Cabrel, analyse les textes des chansons, retrace les différentes étape de sa vie d'artiste... Une discographie et une chronologie complètent et accompagnent cet ouvrage.
Extrait de l'avant-propos : `Comme une horloge parfaitement réglée sur le temps qui passe, ses disques sortent tous les cinq ans depuis Sarbacane en 1989. 5 années pour oublier qu?il est chanteur et pour repartir à la conquête du public. Une bonne nouvelle chaque quinquennat.
Pour lui, quantité et qualité ne vont pas de pairs. Il préfère avoir peu de chansons mais plus de bonnes ! Faire des chansons à son rythme, sans contraintes.` / Variété / Livre /
17.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Papp, Lajos : Methode de
piano - Débutants
Piano seul [Partition] - Débutant Lemoine, Henry
Méthodes and études instrumentales / Classique / Partition / Il était autrefo...(+)
Méthodes and études instrumentales / Classique / Partition / Il était autrefois un temps où les enfants... chantaient beaucoup. Ils jouaient et dansaient en chantant.
Aujourd'hui, à l'aide de cette méthode de piano vous pourrez vous aussi jouer et danser: avec vos doigts.
Jeux de ballon, pour développer la sensibilité des doigts
Jeux d'imitation
Jeu de cartes avec le nom des notes
Jeux d'après l'horloge rythmique
Cette méthode, outre les pièces originales inédites de Lajos Papp, reprend nombre de précieuses chansons enfantines puisées au patrimoine vocal de pays européens pour la plupart, ainsi que des pièces des grands compositeurs: Bach, Mozart, Bartok, Satie, Kabalevski...
32.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Thomas Doss: Clockwork:
Concert Band: Score Orchestre d'harmonie Mitropa Music
Clockwork raconte sous forme d?images musicales pleines d?imagination l?histoi...(+)
Clockwork raconte sous forme d?images musicales pleines d?imagination l?histoire d?une petite fille qui a du mal à se lever le matin :Tous les soirs la jeune Barbara met son réveil pour se lever à temps le lendemain et arriver à l?heure à l?école. Aujourd?hui comme souvent elle reste au lit et laisse le réveil sonner à maintes reprises. Elle se rendort et rêve de chosesagréables de paysages et d?histoires tandis que le temps passe. Mais lorsque la grosse horloge du salon sonne huit coups sonores elle sursaute et réalise que la classe a déjà commencé ! Maintenant encore une fois elle va être en retard...
9.99 GBP - vendu par Musicroom GB | |
| Le Temps L'Horloge Voix Soprano, Orchestre Schott 33.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| It's About Time
(DINKINS FRED) Batterie et Percussions [Partition] Warner Bros.Publications
Par DINKINS FRED. Conçu pour aider les joueurs de tambour à comprendre, contrÃ...(+)
Par DINKINS FRED. Conçu pour aider les joueurs de tambour à comprendre, contrôler et améliorer leur sens du temps.C' est sur le temps se compose de concepts simples qui aideront à développer et renforcer votre horloge interne. En apprenant aux subdivisions et placement beat réel, wlp de ce livre vous comprendre des concepts tels que jouer derrière le beat, au milieu de la beat et sur le dessus de la beat. Egalement inclus des exercices sont conçus pour vous aider à contrôler et à mieux composer des remplissages de tambour dans un cadre musical donné. Le jeu du Spapter peut être utilisé pour l'échange de deux, quatre, huit et solos dans n'importe quel style et défis vous permet d'utiliser votre imagination pour créer les remplissages et les variations tout en adhérant à chronométrage strict et rainurage principes. Les 2 CD inclus dans les livre photoc enregistré démonstrations, chacune suivie par une piste de correspondants le long de jeu afin que vous pouvez pratiquer appliquant les concepts et les techniques. Les pistes le long de jeu et le bonus track labyrinthe de temps offre l'occasion d'effectuer avec certains des session haut p de LA / Pédagogie / Recueil / Batterie et Percussions
43.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| #Tictac ? 5 pièces
courtes pour violon et
piano (ROBIN
JEAN-BAPTISTE) Violon et Piano [Partition] Billaudot
Par ROBIN JEAN-BAPTISTE. Ce #Tictac pour piano et violon (2019) en cinq mouvemen...(+)
Par ROBIN JEAN-BAPTISTE. Ce #Tictac pour piano et violon (2019) en cinq mouvements, aux tempi alternativement rapides et lents, tour à tour rythmiques et mélodiques, place à sa base le mouvement obsédant du balancier d'horloge, élément structurel dont les cinq mouvements proposent de multiples variations.
Le Tictac tictac initial expose le motif principal et entame d'emblée un premier processus de métamorphoses.
Le tic-tac donne lieu à des motifs secondaires, comme si le mouvement de balancier livrait différents états d'âme: tour à tour espiègle, lyrique, emporté, majestueux, rêveur et finalement éclatant.
À l'intérieur du continuum en figurations rapides de Mouvement stellaire, d'où émerge un thème lyrique, le tic-tac manifeste sa présence de façon diffuse. Un flux ininterrompu représentant les astres tournoyant accompagne une mélodie passionnée elle-même empreinte de mélodies circulaires. Le mouvement s'évanouit comme il a commencé, comme la fin et le début d'une boucle.
Entrechoc, manière de scherzo, se présente comme une variation du premier mouvement, en remettant ses éléments en circulation (l'écriture en pizz. notamment) et en replaçant le tic-tac au premier plan.
L'impressionniste Goutte de temps, deuxième mouvement lent, lui-même vanauon de Mouvement stellaire, confie au violon une longue cantilène sous-tendue par des figurations d'arpèges composés du piano, qui ne sont en fait qu'une poétique et expressive variation du tic-tac de base.
Le finale, Les secondes dansent, propose une ultime métamorphose du tic-tac sur des rythmes décalés et énergiques.
Gilles THIÉBLOT / Date parution : 2022-11-29/ Répertoire / Violon et Piano
26.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Easy Steps 2 [Fr] Saxophone Alto [Partition + CD] De Haske Publications
Easy Steps est une méthode en deux volumes qui contient tous les éléments né...(+)
Easy Steps est une méthode en deux volumes qui contient tous les éléments nécessaires à l'initiation au saxophone. Richement illustrée, elle offre des exercices pour stimuler la formation auditive et le jeu d'ensemble, de nombreux morceaux, des jeux musicaux et bien plus encore. Les CD fournis comportent des accompagnements pour toutes les pièces, dont certaines sont également enregistrées en version complète permettant d'entendre le résultat voulu. L'abondance des ressources proposées ici garantit le succès des cours du professeur. L'accès en ligne à ce matériel est inclus dans le prix du présent ouvrage. / Saxophone Alto
33.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Korg Hb-1wh Humidi-beat
Blanc Aucune valeur
Basé sur le métronome MA-1, l\'Humidi-Beat HB-1 offre toutes les fonctionnalit...(+)
Basé sur le métronome MA-1, l\'Humidi-Beat HB-1 offre toutes les fonctionnalités habituelles de ce genre d\'accessoire, mais il est équipé, en plus, d\'un thermomètre, d\'un capteur d\'humidité etd\'une horloge. Ces fonctionnalités vous permettent de suivre les conditions qui peuvent affecter votre instrument à l\'intérieur de son étui.Une mémoire est également intégrée, elle permettra de rappeler les paramètres que vous utilisez le plus.Quant aux fonctionnalités du métronome, celui-ci comprend un tap tempo, 5 patterns pour pratiquer différents styles musicaux, ou encore un mode Beat de 0 à 9.Vous pourrez également visualiser le temps et le tempo choisi à l\'écran.Le métronome est disponible en blanc ou en noir.
39.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Le Temps L'Horloge Voix Soprano, Piano Schott
/ Soprano Et Orchestre / 20 pages / Partition
39.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Dutilleux Henri - Le
Temps L'horloge - Soprano
And Orchestra Voix Soprano, Orchestre Schott 29.50 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Harrison's Clocks Piano seul Boosey and Hawkes
Le titre de ces cinq garde-temps musicales désigne l'horloger de la XVIIIe siè...(+)
Le titre de ces cinq garde-temps musicales désigne l'horloger de la XVIIIe siècle John Harrison dont lutte pour développer le premier chronomètre navigation fiable est lié au livre de Dava Sobel ' ' de Longitude. Le travail poursuit la préoccupation du compositeur avec le temps et l'idée de mécanismes musicales. / Piano
33.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Allerme, Jean - Marc :
Pianotes Modern Classic
Volume 4 En Français Piano seul [Partition] Combre
Petites pièces originales pour Piano de difficultés progressives / Méthodes a...(+)
Petites pièces originales pour Piano de difficultés progressives / Méthodes and études instrumentales / Partition / Agrafé /
16.40 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
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