| Chamber Music (PEPIN
CAMILLE) Sextuor [Partition] Jobert
Par PEPIN CAMILLE. Lorsque l'on m'a proposé de mettre en musique ce recueil de ...(+)
Par PEPIN CAMILLE. Lorsque l'on m'a proposé de mettre en musique ce recueil de poèmes de James Joyce (1882-1941), j'ai été immédiatement séduite par l'idée. Il s'agissait de mettre en musique ces poèmes en respectant l'ordre original selon lequel ils ont été conçus par James Joyce lui-même lors de la première édition de 1905 [1]. Avec la précieuse aide de Philippe Blanchon [2], j'ai choisi de mettre en musique dix-huit poèmes, conservant ainsi les épisodes incontournables, la trame dramaturgique et l'essence de l'univers Joycien. Ce qui m'a attirée d'emblée, c'est qu'il s'agit d'une véritable histoire : de la naissance de l'amour à la passion déclinante, menant à une éventuelle et tendre amitié entre les deux amants. J'ai donc conçu Chamber Music d'un seul tenant.
Au-delà des nombreuses références à la musique et aux sons de la nature - déjà 'musique' en eux-mêmes - l'oeuvre littéraire appelle à la mise en musique par sa forme. En effet, elle est déjà musicale dans sa construction. Les trois premiers poèmes constituent le prélude exprimant la solitude du poète. Nous assistons dans la première partie - crescendo - à la naissance de l'amour entre les deux amants, menant au poème central et point culminant de l'oeuvre : 'My Dove, my beautiful one'. La seconde partie - diminuendo - raconte la passion déclinante des amants qui nous conduit au finale, écho du premier poème et à la solitude du poète.
Le prélude musical illustre le paysage - tant visuel que sonore - décrit par James Joyce : 'Strings in the earth and air make music sweet', 'There's music along the river', 'The sighs of harps', 'Soft sweet music in the air'.
Inspirées de sonorités traditionnelles irlandaises, les mélodies de la première partie présentent un aspect populaire issu du folklore, comme une ode au monde de la danse - prégnant en Irlande. Ces mélodies modales et mélismatiques semblent improvisées, à la manière du chant gaélique irlandais. Elles se transforment au fur et à mesure en une véritable épopée romantique, expression de la relation passionnelle et charnelle des deux amants : 'Hurry over the dark lands and run upon the sea for seas and land shall not divide us my love and me', 'The odorous winds are weaving a music of sighs'. Ces mélodies extatiques, à la fois tendres et fragiles, tentent d'exprimer cette ivresse, cet état extatique - véritable état de 'transe' qui nous submerge lorsque l'amour envahit notre âme sans que l'on s'en aperçoive.
La deuxième partie reprend ces divers éléments musicaux dans leur cheminement inverse. Passés par le filtre de la mélancolie de l'amour déclinant au fil du temps, ils témoignent de la perte de repères après la séparation avec l'être aimé : 'Lay aside sadness and sing how love that passes is enough', 'Love came to us in time gone by'. Enfin, le finale exprime le retour à la solitude du poète, comme une résonance du début de l'oeuvre : 'The voice of the winter is heard at the door', 'My kiss will give peace now and quiet to your heart'.
Sans cesse en écho les unes des autres, les mélodies s'entremêlent dans un contrepoint lyrique et sensuel. En effet, le titre même du recueil m'a inspiré une oeuvre où chaque instrument serait d'égale importance. Le lyrisme de l'un ne peut exister sans l'autre. Ainsi, le rôle du quintette n'est pas seulement un accompagnement de la voix soliste. Leurs lignes d'amour se mêlent avec volupté les unes aux autres.
Plonger dans l'univers Joycien a impliqué mon immersion totale dans l'oeuvre. Lire ses mots, penser ses images, imaginer ses sonorités, a été un travail passionnant et c'est avec nostalgie que je referme ce recueil aujourd'hui. J'espère cependant avoir su retranscrire son univers poétique au plus proche.
Je profite de cette note pour remercier Philippe Blanchon pour son aide précieuse et Claire Bodin [3] pour sa confiance. C'est à la fois un grand honneur et un plaisir immense de rendre hommage à si grand artiste et de voir ce chef d'oeuvre littéraire naître une seconde fois en musique. / Contemporain / Répertoire / Sextuor
52.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Bataille, Sébastien :
Chroniques de luxe En Français [Livre] Le Bord de l'Eau
40 chanteurs francophones chroniquent le dernier album de 40 chanteurs francopho...(+)
40 chanteurs francophones chroniquent le dernier album de 40 chanteurs francophones.
Selon un célèbre journaliste, un bon rock-critique est forcément un bon musicien. Mais un bon musicien peut-il faire un bon rock-critique ? Ce livre regroupe les chroniques inédites d?artistes francophones qui ont bien voulu écrire sur le dernier album d?un collègue chanteur. Le choix du disque de chaque participant ne relève bien évidemment pas du hasard mais permet une vraie immersion entre objectivité et subjectivité dans l?espace de liberté totale que constitue une chronique d?album.
Ce bel objet (la signature manuscrite de chaque artiste est reproduite en bas de sa chronique) présente un intérêt littéraire et musical sans précédent, mais davantage encore : imagine-t-on le Serge Gainsbourg débutant de 1958 chroniquer le dernier album en date d?un Georges Brassens déjà consacré ? Ou Indochine écrire une page entière sur un album du groupe Téléphone à l?aube des années 80 ? Nul doute que ces documents possèderaient une valeur historique, voire sociologique, indéniable dans les bibliothèques. Chroniques de luxe réalise aujourd?hui le rêve des passionnés de musique et autres lecteurs curieux de cette expérience artistique sans précédent.
Didier Wampas chronique l'album de Johnny Halliday, Antoine l?album « Rouge sang », de Renaud. Quand l?un des groupes majeurs du rock français, Eiffel, chronique le dernier Louise Attaque, la langue s?étourdit d?étincelles, de fulgurances rimbaldiennes. Quand CharlElie Couture se penche sur le dernier Benjamin Biolay, on entend New York respirer derrière lui. Et ce ne sont que quatre exemples parmi 40 autres. On l?aura compris, la chanson francophone dans toute sa diversité est représentée : la nouvelle scène, les rockers, les punks, les metalleux, les artistes révélés par Internet, les figures incontournables, les chanteurs « cultes », etc.
Chaque « artiste-critique » bénéficie d?une note biographique dans le livre. / Variété / Livre /
18.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.1 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 1 (WSW 1) en mi M Sonata 2 (WSW 2) en ré M Sonata 3 (WSW 3) en sol m Sonata 4 (WSW 5) en sol M Sonata 5 (WSW 7) en ré m Sonata 6 (WSW 10) en mi M Sonata 7 (WSW 11) en ré m Sonata 8 (WSW 12) en la M Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
53.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.2 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 10 (WSW 15) en la M Sonata 11 (WSW 16) en sol M Sonata 12 (WSW 17) en do M Sonata 13 (WSW 18) en ré M Sonata 14 (WSW 19) en mi M Sonata 15 (WSW 21) en mi m Sonata 16 (WSW 22) en sol M Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.3 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 18 (WSW 24) en do M Sonata 19 (WSW 25) en sol m Sonata 20 (WSW 26) en ré M Sonata 21 (WSW 27) en ré m Sonata 22 (WSW 28) en mi M Sonata 23 (WSW 29) en la m Sonata 24 (WSW 30) en mi M Sonata 25 (WSW 31) en mi M Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
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| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.5 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Concert d'un luth et d'une flûte traversière WSW 6 Concert d'un luth avec une flûte traversière WSW 8 Concert d'un luth avec la flûte traversière WSW 9 Duo 4 WSW 14 en sol m Duo 5 WSW 20 en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
62.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Diapason Turquoise Vol. 1 En Français Paroles et Accords Presses d'lle de France
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Tous les chants sont accompagnés de leur partition et des accords de guitare. - Chants populaires du pays de France avec guide-chants en ligne.
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Les amateurs de variété française apprécieront les chansons incontournables de Brel, de Brassens ou d'Édith Piaf mais aussi les textes d'artistes contemporains comme Zazie, M ou Alain Bashung. Les anglophones ne seront pas en reste et pourront se déchaîner avec les Clash ou Metallica, ou se laisser bercer par les ballades des Cranberries, de Bon Jovi ou encore d'Alanis Morissette... Les débutants de la six cordes, comme les pros, y trouveront leur compte. Grosse dose de fun et d'émotion garantie !
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| Jeder Lernt
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La guitare est un des instruments les plus populaires de tous les temps, mais seulement quelques-uns trouver le moyen de jouer de la guitare. La raison pour cela est souvent le manche technique gauche lourd.C'est là que le développement de Udo Zilkens et la méthode multi-breveté. Il utilise un grand C humeur et rend l'accompagnement vocal à la guitare un jeu d'enfant. Dans un très court laps de temps peut être de différents types de chansons accompagner les jeunes et les vieux.Dans ce livre, les motifs d'accompagnement harmonique de plus de 450 chansons en sept niveaux de difficulté pour le rendre compréhensible. Il ya aussi des conseils utiles pour travailler avec des enfants âgés de deux ans et des propositions pour faire de la musique avec des instruments Orff et autres instruments mélodiques. Grâce à leur style de jeu simples et un succès rapide met la joie de chanter et de faire de la musique au centre. / Guitare
17.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Les Plaisirs Du Chant
Vol.3A (BONNARDOT
JACQUELINE) En Français Voix moyenne, Piano [Partition + CD] Lemoine, Henry
Par BONNARDOT JACQUELINE. Ce volume 3A des Plaisirs du chant est, comme les pré...(+)
Par BONNARDOT JACQUELINE. Ce volume 3A des Plaisirs du chant est, comme les précédents, destiné aux jeunes chanteurs, ainsi qu'aux cours de formation musicale.
Les morceaux sont présentés dans une tessiture 'moyenne'.
Pour plus de facilité, des traductions françaises sont aussi proposées pour trois lieder (un peu remaniées, elles datent du 19e siècle).
Mais, sous cette apparente facilité, les morceaux choisis sont, pour la plupart, d'un mouvement assez lent, et donc, plus difficiles à lier et à animer. Ils aideront le jeune chanteur à extérioriser sa sensibilité musicale et poétique.
On ne saurait trop recommander aux professeurs de commencer la formation vocale des élèves par des morceaux de tessiture moyenne, comme ceux des Plaisirs du chant avant d'aborder les recueils spécifiques pour soprano, mezzo, ténor ou baryton, dans un deuxième temps.
La première pièce L'Amour de moy qui date du 15e siècle est donnée ici avec un accompagnement au piano, composé spécialement pour ce recueil, mais il est tout à fait possible de la chanter à 'voix seule', comme elle est notée dans le 'manuscrit de Bayeux'. C'est même un excellent exercice.
Jusqu'à la fin du 18e siècle, les ornements et variations n'étaient pas écrits dans les partitions, mais laissés à l'imagination des chanteurs (ces 'embellissements' pouvaient changer d'un concert à l'autre). Nous avons un peu perdu ce sens de l'improvisation, mais l'élève pourra s'inspirer des ornements et variations très simples proposés dans le CD par les deux chanteurs. Toutes les pièces de ce recueil peuvent être interprétées par des voix féminines ou masculines, sans distinction. Pour le CD, j'ai demandé la collaboration d'une soprano et d'un ténor dans le seul but de varier la couleur à l'écoute du disque.
Ces deux artistes ont chanté avec une grande économie de moyens pour que l'exemple ne soit pas trop lyrique et n'incite pas les jeunes chanteurs à dépenser une énergie inutile et néfaste.
L'accompagnement, enregistré au piano seul, aidera à la mise en place du morceau avant le travail avec l'accompagnateur.
Pour les exercices préliminaires à l'étude d'un morceau, on peut s'inspirer des 'exercices pour les débuts' qui figurent dans mon ouvrage Le Professeur de chant: un luthier qui construit une voix (référence: VV375) paru aux éditions Van de Velde.
L'expérience prouve que toutes les pièces du recueil sont adoptées avec plaisir par les étudiants et suscitent des progrès sur le plan vocal et musical.
Jacqueline Bonnardot / classique / Répertoire / Voix Moyenne et Piano
28.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Etudes 2ème Cahier
(LACOTE THOMAS) En Français Orgue [Partition] Lemoine, Henry
Par LACOTE THOMAS. Ces trois pièces ont été composées entre 2012 et 2015 sur...(+)
Par LACOTE THOMAS. Ces trois pièces ont été composées entre 2012 et 2015 sur l'orgue Cavaillé-Coll/Beuchet-Debierre de l'église de la Trinité à Paris. Pour The Fifth Hammer et Etude de transparence, la présence de deux boîtes expressives est indispensable. Pour Quilisma, une seule boîte expressive est nécessaire. Dans le cas d'une exécution complète de ce deuxième cahier, Quilisma peut être partagée entre les deux interprètes : l'un prend alors la place de l'autre à la mesure 62.
Pour ne pas surcharger la partition, seul un numéro de combinaison est noté sur la partition pour chaque changement de registration. Il renvoie à la table des combinaisons jointe en 'partie séparée' pour chaque pièce.
The Fifth Hammer
La partition est proposée dans deux versions.
La première, pensée pour les ressources de l'orgue de la Trinité, utilise une palette étendue (notamment Quinte 22/3 au Grand-Orgue, Tierce et Piccolo au Positif, Tierce au Récit, jeu d'anche de 16' à chaque clavier).
La seconde est une adaptation pour un orgue de dimensions plus restreintes (pas de Quinte 22/3 au Grand-Orgue, pas de Tierce au Récit, pas de jeu d'anche de 16' au Positif) à partir du modèle de l'orgue Rieger du Conservatoire de Paris (CNSMDP).
Aux mesures 1 à 23, quel que soit la clavier sur lequel il joue, l'interprète placé à gauche manipule la boîte expressive du Positif, et celui à droite celle du Récit, selon la disposition habituelle. Durant cette section, on veillera à ouvrir et fermer très progressivement les boîtes expressives, avec un maximum d'amplitude et de précision.
Quilisma
Dans cette pièce, les passages notés avec une grande précision rythmique visent en premier lieu l'efficacité qualitative d'un phénomène sonore global : ils seront donc interprétés, comme le reste de la pièce, avec la souplesse nécessaire.
Mes. 37 : Pour ne pas surcharger la partition, les liaisons ne sont pas notées. Lier toutes les notes communes entre les accords.
Mes. 63 : Chaque son, joué initialement au Récit (sans cercle) ou au Positif (avec cercle), est tenu, jusqu'à son passage à l'autre clavier ou une croix. Aucune hauteur n'est jouée simultanément sur les deux claviers à la fois. Durant ce passage, on cherchera le maximum de legato et de continuité dans l'échange entre les deux claviers.
Etude de transparence
Durant toute la pièce, veiller à ouvrir et fermer très progressivement les boîtes expressives, avec un maximum d'amplitude et de précision. / Contemporain / Etude / Orgue
33.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Les Plaisirs Du Chant
Vol.3B (BONNARDOT
JACQUELINE) En Français Voix moyenne, Piano [Partition + CD] Lemoine, Henry
Par BONNARDOT JACQUELINE. Ce volume 3B des Plaisirs du chant est, comme les pré...(+)
Par BONNARDOT JACQUELINE. Ce volume 3B des Plaisirs du chant est, comme les précédents, destiné aux jeunes chanteurs, ainsi qu'aux cours de formation musicale.
Les morceaux sont présentés dans une tessiture 'moyenne'.
Dans un but pédagogique, les morceaux choisis sont pour la plupart écrits dans un mouvement assez lent, et donc, plus difficiles à lier et à animer.
Des petits chefs-d'oeuvre comme Die Lotosblume, Das Verlassene Mägdelein, Romance, Lungi da te, Canciôn de Cuna, demandent de la part de l'interprète une grande sensibilité musicale et des nuances subtiles. Leur exécution exige une grande attention.
Pour les trois premiers numéros, précisons que jusqu'à la fin du 18e siècle, les ornements et variations n'étaient pas écrits, mais laissés à l'imagination des chanteurs (ces 'embellissements' pouvaient changer d'un concert à l'autre). Nous avons un peu perdu ce sens de l'improvisation mais les étudiants pourront s'inspirer des ornements et variations très simples proposés dans le CD par les deux chanteurs.
Pour La Rondinella de Charles Gounod, nous avons choisi le texte italien, paru à Londres en 1865, plutôt que le texte français L'Ame d'un ange sur un poème de Th. de Banville.
Toutes les pièces de ce recueil peuvent être chantées par des voix féminines ou masculines (sauf Das Verlassene Mädgdelein de Wolf qui se prête davantage à une voix de soprano). L'air de Fortunio peut être chanté par toutes les voix pour le travail, mais dans une situation d'examen, il est plus adapté à une voix masculine. Autrement, les textes musicaux et poétiques conviennent à toutes les voix, même la berceuse de Montsalvage.
Pour le CD, j'ai demandé la collaboration d'une soprano et d'un ténor dans le seul but de varier les couleurs à l'écoute du disque.
Les deux artistes ont chanté avec une grande économie de moyens pour que l'écoute du CD n'incite pas les jeunes chanteurs à 'forcer'.
L'accompagnement enregistré du piano seul aidera à la mise en place du morceau avant le travail avec l'accompagnateur.
Pour la préparation à l'étude d'un morceau, on pourra s'inspirer des exercices ciblés et classés qui se trouvent dans le livre Le Professeur de chant: un luthier qui construit une voix (référence: VV375) paru aux Editions Van de Velde. L' expérience prouve que tous ces morceaux sont travaillés avec un grand plaisir par les étudiants et sont source de progrès.
Jacqueline Bonnardot. / classique / Répertoire / Voix Moyenne et Piano
28.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Guide de la musique de
chambre (TRANCHEFORT F-R) En Français [Livre] Fayard
Par TRANCHEFORT F-R.. La musique de chambre bénéficie dans notre pays, depuis ...(+)
Par TRANCHEFORT F-R.. La musique de chambre bénéficie dans notre pays, depuis plusieurs années, d'un regain d'intérêt de la part d'un public aussi exigeant qu'attentif, et qui correspond sans doute à une pratique musicale plus intime, plus ' secrête ' que celle des grandes salles de concert ou d'opéra. N'est-ce point là le signe d'un affinement du goût, ainsi que d'une volonté d'initiation aux arcanes de la musique'Ce Guide de la musique de chambre, conçu dans le même esprit et selon la même présentation que les précédents Guide de la musique symphonique et Guide de la musique de piano et de clavecin, aborde à son tour un vaste répertoire avec l'intention d'accompagner efficacement, par les informations essentielles qu'il apporte, l'écoute _ et peut-être la pratique active _ des oeuvres du genre. ' Genre ' dont les frontiêres, au demeurant, ne se tracent pas sans peine: on observera que, s'il regroupe l'ensemble des oeuvres écrites pour un petit nombre d'instruments (de deux à dix, en principe), il exclut certes toute la musique de piano, mais non celle pour le violon ou le violoncelle seul, par exemple. Quelque cent soixante-quinze compositeurs sont alphabétiquement représentés dans ce volume, avec une très grande variété d'analyses (ou de commentaires plus succincts) qu'enrichissent des précisions sur les formes et les ' styles ' , les circonstances de composition, les dates et lieux de création, les durées moyennes d'exécution. Les oeuvres du répertoire de base sont toutes présentes, _ avec l'intégralité des musiques de chambre des grands ' classiques ' (de Jean-Sébastien Bach à Pierre Boulez); mais d'autres moins connues sont offertes à la curiosité du lecteur-auditeur, _ qui ressortissent à des ' écoles ' ou sphêres d'influence nationales encore mal explorées (slaves, scandinaves, anglaises, américaines, etc. ). Ainsi ce nouveau Guide, qui s'est aussi donné pour but d'éviter toute technicité ardue par l'emploi d'un vocabulaire accessible au plus grand nombre, devrait-il devenir l'inséparable compagnon de tout ' chambriste ' et, plus généralement, de tout véritable mélomane. Ce volume a été réalisé sous la direction de François-René TRANCHEFORT, avec la collaboration d'Adélaïde de PLACE, Pierre-Emile BARBIER, Harry HALBREICH, Jean-Alexandre MENETRIER, Alain POIRIER et Marc VIGNAL. / / Date parution : 1989-12-06/ Livre / Livres
34.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Machado Jean-Marie :
Pistacos Spices Vibraphone Dhalmann
'Pistacos' : petits diables.'Spices' : les épices.'Les épices des diablotins'....(+)
'Pistacos' : petits diables.'Spices' : les épices.'Les épices des diablotins'...en épis et jubilations, Pistacotiques.Collection 'Percussion Plaisir' proposée par Christian Hamouy.Pianiste, compositeur d'origine portugaise et italo-espagnole, Jean-Marie Machado a passé son enfance au Maroc. Jeune adulte, il étudie la musique auprès de la concertiste classique Catherine Collard et s'initie en autodidacte à la musique pop et au jazz.En 1986, Jean-Marie Machado fait son irruption sur la scène du jazz avec un trio aux conceptions tout à fait originales (Trio Machado avec Louis et François Moutin), et un répertoire entièrement neuf, atteignant, selon Martial Solal, 'un degré de raffinement et de perfection rarement atteint dans ce domaine'. Il est reconnu comme 'l'un des jazzmen les plus inventifs de sa génération'.En 1991, il crée la première version de l'orchestre 'Vibracordes' et enregistre un disque avec le percussionniste Nana Vasconcelos et les cordes du Nouvel Orchestre Philharmonique de Radio-France.Dès lors, Jean-Marie Machado s'affirme comme un leader talentueux de formations originales au service d'une musique riche de croisements entre les mondes du classique, du jazz et des musiques traditionnelles.'Septuor Vibracordes' réunit entre 1993 et 1998 la fine fleur de la jeune scène du jazz français (Laurent Dehors, Sylvain Beuf, David Chevallier, François Thuillier, Ramon Lopez, Yves Rousseau, Franck Tortiller) et crée en 1996 le spectacle ' Septuor Vibracordes et les musiques de Bretagne ' (Chants de la Mémoire, Hopi, 1997). En mai 1998, le ' French Piano Trio ' réunit trois pianistes : Martial Solal, Jean-Marie Machado et François Raulin autour d'un répertoire entièrement original. Jean-Marie Machado témoigne de son intérêt pour la poésie et la voix en créant à l'automne 2001 un spectacle en grand orchestre intitulé ' La Main des Saisons ', oratorio profane inspiré des poèmes de Fernando Pessoa, avec la collaboration du metteur en scène Philippe Delaigue et du Choeur Les Solistes de Lyon Bernard Tétu (Leve, leve, muito leve, Hortus distrib. Codaex, 2003).Jean-Marie Machado ne délaisse pas pour autant les petites formations : il se produit en solo dans de nombreux festivals, joue et enregistre avec Jean-Marc Padovani en duo et en quartet (Takiya, Tokaya avec Paul Motian et Jean-François Jenny-Clark, Hopi), ainsi qu'en duo avec le batteur Ramon Lopez ou le percussionniste Keyvan Chemirani (Azul, Hopi, 1998).Parallèlement, son activité de compositeur l'amène à multiplier les collaborations : avec les Percussions de Strasbourg, l'Ensemble de Trompettes de Paris, La Maîtrise du Choeur de Radio France (commande du Festival Présence en 2001), pour la danse (Elsa Wolliatson, Compagnie Taffanel, L'Estampe), le théâtre (avec Enzo Corman, La Cie Le Bruit des Hommes), la radio. En 2005, il crée une oeuvre pluri-artistique pour l'Ensemble, Orchestre régional de Basse-Normandie, (Direction Dominique Debard).Entre 1994 et 2001, Jean-Marie Machado participe à des résidences de création et de sensibilisation (à Quimper, Les Ulis, Chelles, Niort, Lannion, Valence, Foix) qui ont donné naissance, entre autres aventures collectives, au ' Chant des Pierres dans l'eau ' (pièce pour quinze pianistes, un choeur d'enfants et un choeur d'adultes, amateurs et professionnels), L'Autre Rive (Hortus, 2005, pièces pour choeur, violon, accordéon, tuba, deux percussions) et à deux grandes pièces pour soliste et ensemble d'harmonie fréquemment re-crées : présentées dans l'album Hymne (enregistré en 2002 par l'Ensemble Instrumental de l'Ariège, direction Eric Villevière).De ses résidences naissent également des formes artistiques pour la jeunesse comme en 1998 le ' musi-contage ' Double Croche et Sortilège avec le conteur Jean-Jacques Fdida (L'Oiseau de Vérité - conte musique - Editions Didier Jeunesse, 2003) puis en 2004 dans une formule musicale étoffée l'Opéra-Conte 'La Fille du Diable' (deux chanteurs, un conteur, piano, violoncelle, percussion).En 2001, Jean-Marie Machado effectue un retour remarqué vers un format plus ' classique ' du jazz avec la création à Banlieues Bleues du Quartet Lyrisme avec autour de Riccardo Del Fra et Jacques Mahieux des solistes tels Paolo Fresu, Andy Sheppard, Glenn Ferris, Sylvain Beuf, Claus Stötter. Cette formation est à l'affiche des plus grands festivals de jazz de l'été 2002 (Jazz à Vienne, Marciac, LaVillette, Orléans) et effectue un grand nombre de concerts sur les scènes nationales. En 2003, le quartet devient sextet pour interpréter une suite instrumentale de jazz d'aujourd'hui dédiée aux grands thèmes de la musique classique et traditionnelle andalouse (Andaloucia, Le chant du Monde - Harmonia Mundi , 2005)En 2003, Jean-Marie Machado crée un magnifique duo avec le saxophoniste américain David Liebman autour d'un répertoire dédié en partie au fado. Le fado est également au coeur de son nouveau répertoire en piano solo et trio intitulé 'Soeurs de sang' avec Jacques Mahieux et Jean-Philippe Viret. En 2004, une nouvelle collaboration voit le jour avec le chanteur Antonio Placer. En 2008 il crée son nouveau grand ensemble : ' Danzas '. / Vibraphone Et Piano
69.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Les Lusiades Pour
Hautbois Solo En Français Hautbois Delatour France
Camões (1524-1580) est le plus grand poète portugais de la Renaissance, En...(+)
Camões (1524-1580) est le plus grand poète portugais de la Renaissance, En 1572, il publie son chef-d'oeuvre, les Lusiades (Os Lusiadas), vaste épopée en vers qui relate l'histoire du Portugal et surtout le voyage de Vasco de Gama en Inde (1497-1498), Ma seule ambition a été de prolonger l'univers poétique de Camões, à la fois lyrique, irréel et nostalgique, Le hautbois y est traité de manière expérimentale et quasi symphonique, I - Le Roi de Mélinde La flotte du Roi de Mélinde (actuellement Malindi, Kenya) accueille dans la liesse celle de Vasco de Gama, (chant II strophes 73-113), Le foisonnement de motif, d'effets, de doigtés spéciaux imite les canons, les feux d'artifice, l'ivresse de la foule et le ' discordant vacarme ' des fanfares qui jaillissent de chaque bateau, de chaque barque, Tout doit ici déborder de joie, Deux continents, deux peuples, deux cultures se fêtent mutuellement dans une lumière éclatante, II - Egarés par la faim Délire des marins accablés par la faim, la soif et le scorbut, (chant IV strophes 70-71 et 81-83) Mer d'huile, chaleur accablante, Sans transition, la frénésie du premier mouvement fait place à la maladie et la mort, On reconnaît les fanfares, mais elles ne sont plus que lambeaux, Les berceuses de l'enfance viennent hanter les agonisants, Interlude 1 - Le Vieillard du Restelo A Lisbonne, neuf mois plus tôt, devant les caravelles prêtes à lever l'ancre, un vieillard s'était élevé pour condamner l'appétit de gloire et la barbarie des hommes, déguisée sous le nom de bravoure, Il avait prédit aux marins de grandes épreuves, (chant IV strophes 94-104) Le souvenir de ces imprécations (accords énigmatiques, brouillés, lointains) se mêlent aux berceuses du mouvement précédent, III - La trombe marine Terreur des marins devant un cyclone, phénomène qui leur est inconnu, (chant V strophes 18-22) Véritable catharsis éclatant au ' furioso ' et se résorbant très progressivement, Ici plus qu'ailleurs, le hautbois sort de ses limites, Interlude 2 Cet épisode ne figure pas dans le texte de Camões, Après le passage de la trombe, les imprécations du vieillard planent à nouveau sur le bateau et n'en sont que plus solennelles, IV - L'île des Amours Vénus réserve aux valeureux survivants, découvreurs des Indes, une île enchanteresse peuplée de nymphes, (chant IX strophes 38-89) Ce ne sont pas les ébats des marins et des nymphes qui sont évoqués ici, mais le grouillant mystère de l'île, L'homme a abandonné toute ambition matérielle, Il fusionne avec le monde, / Hautbois
26.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| La Méthode Bleue
(SOREL ALEXANDRE) En Français Piano seul Lemoine, Henry
Par SOREL ALEXANDRE. Lorsque Chopin improvisait, Georges Sand disait qu'il cherc...(+)
Par SOREL ALEXANDRE. Lorsque Chopin improvisait, Georges Sand disait qu'il cherchait La note bleue. Le bleu est la couleur de l'âme... Cette méthode s'adresse à l'enfant débutant qui ne sait encore rien de la musique ni du piano. Son propos est de lui apprendre à jouer tout de suite des petits morceaux qui seront agréables à entendre, pour lui et ses parents. Tout en assimilant les premières connaissances de solfège et de grammaire musicale, il devra les interpréter avec une vraie musicalité et simultanément se familiariser avec les bons principes de technique manuelle, car tout doit être développé ensemble. La grande clé de l'art du piano est de comprendre que la musique doit commencer à vivre dans l'oreille et l'imagination de l'enfant avant que celui-ci ne pose ses doigts sur les touches. C'est pourquoi le petit Mozart a tout de suite joué du piano. Dès les premières leçons, l'enfant doit donc apprendre à chanter ce qu'il va jouer, car la raison d'être des signes qu'il voit devant lui est de transcrire des sons vivants, destinés à l'oreille. Cette méthode vise donc à ne jamais séparer la lecture des notes - du chant - de la quête du beau son et du phrasé.
La dimension affective est par ailleurs essentielle pour assimiler la musique. C'est pourquoi ces morceaux sont ici proposés avec des paroles, comme des comptines. L'expérience prouve en effet que les images aident beaucoup les petits à chanter et à mémoriser. Les paroles aident en outre l'enfant à phraser naturellement, sans même qu'il ait à penser à cette notion de 'phrasé' qui est bien trop abstraite pour lui au début. Les histoires et les images stimulent ses émotions or, sans émotion, l'on ne retient rien !
Cette méthode contient aussi, outre les éléments de solfège habituels, des conseils 'techniques' expliquant comment il faut toucher le piano et quels gestes il faut faire pour obtenir un beau son, un beau phrasé. Car, si l'on ressent la musique mais que le geste est inadéquat, rien n'est possible !
Un Cd permettra d'écouter les morceaux, joués à deux ou à quatre mains. L'enfant pourra également jouer tout seul, tout en se faisant accompagner par le Cd.
Ajoutons enfin l'essentiel : tout le coeur de cette méthode s'appuie sur les conseils que Chopin donnait à ses élèves pour apprendre à jouer du piano. Ils figurent dans 'Esquisses de Méthode', cet ouvrage élaboré par Chopin lui-même mais qu'il n'a pu achever, et dans le livre incontournable du grand musicologue Jean-Jacques Eigeldinger, le spécialiste mondial de Chopin : Chopin vu par ses élèves (1). A la mesure du débutant, nous tenterons d'appliquer ici pas à pas ces principes du Maître. Chaque chapitre sera ainsi ponctué de phrases de Chopin telles que : 'Il vous faut chanter si vous voulez jouer du piano' ou : 'Le poignet est la respiration dans la voix', 'Soyez souple jusqu'au bout des pieds'. Emanant de l'un des plus grands musiciens qui ait écrit pour le piano, lui-même génial pianiste et admirable pédagogue, sa pensée mérite d'être gravée dans le coeur de chaque petit(e) pianiste qui se lance dans cette grande aventure du piano...
Alexandre Sorel/ Méthode / Piano
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| Histoire de la musique En Français
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public, cette synthèse guide
le mélomane dans le...(+)
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labyrinthe des périodes, des
écoles et des styles au fil
de 4000 ans d’histoire de la
musique.
Présentée chronologiquement,
l’histoire des compositeurs
et des œuvres, du langage
musical, des courants et de
grandes écoles esthétiques.
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les époques : de la musique
hellénique et romaine au
chant grégorien, du baroque
au répertoire classique et
romantique, jusqu’à la
musique contemporaine.
Un plan clair, précis et
pédagogique :
- une présentation du
contexte historique et
culturel,
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sur la notation et la
théorie musicale,
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compositeurs les plus
marquants et les
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langage musical et des œuvre
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| Musique De Chambre Pour
Instruments A Cordes - 13
Volumes Réunis
Dans Un Coffret
(BEETHOVEN LUDWIG VAN) Musique de chambre pour Cordes [Partition] G. Henle
Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Les amoureux de la musique de chambre vont se réjouir...(+)
Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Les amoureux de la musique de chambre vont se réjouir de cette offre spéciale: l'intégralité de la musique de chambre de Beethoven pour instruments à cordes et formations mixtes bois et cordes est maintenant disponible dans un coffret contenant 13 éditions d'étude. L'étendue de son contenu va des petites pièces de circonstances pour duos de cordes, en passant par le genre – central pour Beethoven – du quatuor à cordes avec sa Grande Fugue op. 133 dépassant toutes les dimensions, jusqu'au célèbre Septuor op. 20 du début de sa vie, l'une des pièces les plus populaires de musique de chambre en grand effectif. Toutes ces éditions d'étude sont conformes au texte musical de l'édition complète des oeuvres de Beethoven et fournissent une préface informative ainsi qu'un bref commentaire critique, qui livre des renseignements sur les sources de l'édition et les variantes les plus significatives des différentes oeuvres./ Répertoire / Musique de chambre pour Cordes
168.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Les Chardons
D'Après Van
Gogh (DUFOURT HUGUES) En Français Alto et Orchestre de Chambre [Partition] Lemoine, Henry
Par DUFOURT HUGUES. Van Gogh écrit en 1888 : 'Le peintre de l'avenir, c'est un ...(+)
Par DUFOURT HUGUES. Van Gogh écrit en 1888 : 'Le peintre de l'avenir, c'est un coloriste comme il n'y en a pas encore eu.' A cette époque, Van Gogh se sépare des impressionnistes, élargit leur intuition de la couleur et la simplifie. La forme-couleur se crée plutôt qu'elle ne se recompose dans notre vision. Van Gogh ne se soucie plus que de l'énergie de l'image. Le peintre séjourne en Arles où Gauguin le rejoint quelque temps. Il veut rénover les fondements mêmes de l'art, changer la technique de la peinture. Il rêve de créer un 'atelier du Midi' et pense trouver là le Japon idéal, les paysages de Monticelli, de Cézanne, le rayonnement du soleil et l'âpre lumière qui annonce l'art de l'avenir. Il forge un style original en deux cents tableaux, parmi lesquels les Tournesols (août 1888), Joseph Roulin, le postier (août 1888), L'Arlésienne (novembre 1888) et Les Chardons, qui datent de la même année.
Des tons vifs et crus, des couleurs claires, éclatantes, étalées en des dispositions stridentes à grands coups de pinceau ou au couteau, résument tout le registre expressif de son art. Bleu contre jaune, vert contre rouge écarlate, lilas, gris-rose, gris-violet, bleu et vert, noir et jaune: la seule force des contrastes suffit au déploiement de la forme.
Tournesols, oliviers, chaumes, cyprès, ravins, rochers, chardons, tous ces motifs lacérés, distordus, ont l'intensité spontanée d'un tourment intérieur. Van Gogh a délibérément renoncé à la capture de l'instant fugitif comme à la représentation de la lumière, de l'air, de l'atmosphère - la qualité transitoire de l'impression visuelle lui importe peu désormais. Ses toiles sont emportées par la véhémence des touches, la brutale évidence des couleurs, leur vitalité convulsive. Désespoir, lucidité, emportement sont les traits d'un art que l'on a reconnu précurseur de l'expressionnisme.
Les Chardons nous découvrent les racines du monde, une sorte de brasier originel d'où jaillissent trois flamèches. Les 'assises géologiques du paysage' - l'expression est de Cézanne - y semblent déchiquetées, consumées dans une perpétuelle fournaise. C'est un enchevêtrement d'arêtes vives, une nature émiettée, une image de passion et de fureur. Au fond, à gauche, se découpe un petit pan de ciel bleu, encastré dans un horizon surélevé de montagnes vertes. La terre, chauffée à blanc, y occupe tout l'espace. Au premier plan, un fourmillement de stries incandescentes qui se tordent et crépitent.
Les Chardons d'après Van Gogh - ma propre transposition musicale inspirée du tableau auquel elle emprunte son titre - sont écrits pour un alto soliste et une formation de chambre de quinze instrumentistes. Cette pièce s'attache à restituer la vitalité sourde de la toile, son atmosphère d'embrasement. Elle n'a ni contours ni limites, ni, à proprement parler, de schèmes d'organisation. J'y ai plutôt recherché des agencements formels doués d'une valeur dynamique, donnant au modelé de la 'masse sonore' un rôle ambigu: axes de forces, impulsion des gestes, variété des dimensions directrices, tensions du matériau, conflit des principes formateurs.
L'alto décrit en permanence la trajectoire idéale d'un mouvement irréel - formes spiralées, volutes, arabesques. Mais il fraie son chemin dans un milieu constamment hostile. Le choix du timbre de l'alto met en valeur le registre du sous-médium, à l'intensité contenue.
La technique d'écriture consiste en une composition de textures, dont le propre est l'enchevêtrement des forces et des formes. Les structures perceptibles elles-mêmes procèdent du seul jeu des masses et des couleurs. J'ai évidemment mis l'accent sur la dynamique de l'interaction des couleurs qui forment la trame sonore. Je nourris toutefois un certain scepticisme à l'égard des méthodes scientifiques et raisonnées qui s'appliquent au traitement des propriétés acoustiques du son. La culture du son n'est pas, à mon sens, réductible à la science du son.
La musique, me semble-t-il, a ceci de commun avec la peinture qu'elle peut investir la couleur de qualités contraires. Un bleu violacé peut s'assimiler aussi bien à un pourpre tirant sur le bleu qu'à un bleu en train de rougir. Van Gogh soutenait précisément l'idée d'un dynamisme, et même d'une intentionnalité de la couleur, capable de se déployer selon des foyers et des aires de diffusion, en transgressant toute limite.
La musique que je souhaite écrire n'a pourtant rien de commun avec une nouvelle forme d'impressionnisme. C'est le drame que je recherche dans la plastique sonore. Ce drame peut être aussi bien celui des structures dispersées que de l'amplification indéfinie des actes, celui de la violence des masses tumultueuses comme celui du surgissement ou de l'essor.
La partition est une Commande de l'Etat, à l'initiative de Daniel Kawka et de l'Ensemble Orchestral Contemporain.
Hugues Dufourt / contemporain / Répertoire / Alto et Orchestre de Chambre
68.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| HUREL PHILIPPE - PAS A
PAS Lemoine
Résumé08/10/2015 - Venise - Biennale, Sala delle Colonne - Ensemble Recherche ...(+)
Résumé08/10/2015 - Venise - Biennale, Sala delle Colonne - Ensemble Recherche DescriptionIl y a quinze ans, j'écrivais Figures libres pour l'ensemble Recherche au complet. Cette nouvelle pièce a ceci de particulier - et c'est un souhait de l'ensemble - qu'elle ne fait pas intervenir le trio à cordes pourtant si emblématique de Recherche. Entre les deux pièces, les différences ne s'arrêtent pas là : la première est dirigée et sa forme a été en grande partie prédéterminée avant l'écriture, la seconde est une oeuvre de musique de chambre et sur le plan formel, elle a été organisée progressivement, pas à pas.Tout semble donc séparer ces deux pièces tant les projets qui les ont fait naître sont différents. Pourtant, c'est ce contraste entre les deux propositions qui m'a poussé à reprendre des principes développés dans Figures libres, que je n' avais pas repris depuis, et que je pourrais qualifier de principes de contamination . Des textures sonores ou des situations musicales distinctes, superposées ou juxtaposées, finissent par se contaminer au point de se ressembler et de ne constituer qu'une seule et même texture, une seule et unique structure. Dans Figures libres, c'est le trio à cordes d'un côté et les vents et le piano de l'autre qui, juxtaposés, font entendre, dès début de la pièce, des structures musicales différenciées, voire contradictoires. Ici, en l'absence des cordes, c'est le piano et la percussion d'un côté et les trois bois de l'autre, qui créent, dès les premières mesures, ces deux niveaux qui semblent n'entretenir aucun rapport entre eux mais qui, par contamination rythmique et morphologique, vont finir par se fondre en des spectres frappés et résonants avant de reprendre leur autonomie puis se reformer en groupes de deux ou trois pour se contaminer encore.Loin d'un jeu stérile de constuction formelle, le but de ces transformations successives est, on l'aura compris, d'organiser la dramaturgie de la pièce et de varier la perception de l'auditeur.Je revisite donc ici des principes que j'avais mis en place il y a une vingtaine d'années, alors conforté par la lecture d'un livre marquant de Claude Simon, Leçon de choses, dans lequel plusieurs récits, apparemment autonomes et hétérogènes, se contaminent par le biais des odeurs, des couleurs, de l'érotisme, de la violence... et finissent ainsi par créer une situation narrative sinon tout à fait compréhensible, du moins tout à fait homogène sur le plan de la perception.Une fois de plus, je remarque que des principes de composition que l'on a mis en place dans le passé peuvent être mis de côté plusieurs années pour resurgir dans un contexte propice à leur épanouissement. Ici, penser à l'ensemble Recherche aura fonctionné comme la madeleine de Proust, me renvoyant à l'esprit des sensations et des pensées musicales que j'avais enfouies. Ecrire, méticuleusement, mais en prenant du recul, peu de temps - la commande est implacable -, en estimant les possibilités qu'offrent les biffures de la veille, pas à pas, et sans se retourner plus qu'il ne faut car la fin de l'oeuvre n'est pas décidée par l'auteur mais par les autres acteurs, du graveur aux musiciens, du programmateur à l'éditeur. Cette inquiétude, Maurice Blanchot l'aura mieux exprimée dans l'Espace littéraire...Philippe Hurel / Grand format / Lemoine
80.50 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| La Contrebasse Dans
L'Orchestre (MASSARD
DANIEL) En Français Contre Basse [Partition] - Débutant Combre
Par MASSARD DANIEL. '[La répétition] des trente-six contrebasses surtout fut c...(+)
Par MASSARD DANIEL. '[La répétition] des trente-six contrebasses surtout fut curieuse. Quand nous en vînmes au trait du scherzo de la symphonie en ut mineur de Beethoven, qui figurait dans le programme, il nous sembla entendre les grognements d'une cinquantaine de porcs effarouchés : telle était l'incohérence et le défaut de justesse de l'exécution de ce passage. Peu à peu cependant elle devint meilleure, l'ensemble s'établit et la phrase apparut nettement dans toute sa sauvage rudesse'.
Hector Berlioz, Mémoires, Chapitre LIII
Dans ses Mémoires, Hector Berlioz, compositeur français de l'époque romantique (1803-1869) se tenait 'pour satisfait de pouvoir organiser et diriger un concert gigantesque' pour lequel il parvint 'à réunir un personnel de mille vingt deux exécutants'. Cette citation relate les répétitions partielles (par pupitre) du scherzo de la cinquième symphonie de Beethoven placées sous sa direction pour un concert exceptionnel donné à Paris lors de l'Exposition des produits de l'industrie en 1844. Ce scherzo réputé difficile pour la justesse, la conduite de l'archet et la manière de l'interpréter devenait particulièrement délicat, exécuté par un pupitre de trente-six contrebasses.
Depuis l'époque de Berlioz, l'apprentissage de la contrebasse a évolué. Les professeurs enseignant dans les structures musicales permettent à nos élèves de devenir de vrais contrebassistes, de vrais techniciens, de vrais professionnels, de vrais musiciens. Néanmoins, le travail de pupitre (ou répétitions partielles) reste indispensable.
Contrebassiste au sein de l'Orchestre National du Capitole de Toulouse pendant quarante ans, mon expérience professionnelle m'a permis de découvrir un vaste répertoire musical. De la musique symphonique à la musique de chambre en passant par le répertoire lyrique, j'ai pu aborder tous les styles de musique depuis l'époque baroque à la musique contemporaine. Les grands chefs d'orchestre qui m'ont dirigé m'ont appris à connaître tous les grands compositeurs de notre musique occidentale, la manière d'interpréter une oeuvre, de la comprendre et de l'analyser. Nous devons écouter et surtout entendre. J'ai voulu donc, par ce premier recueil, transmettre ce que j'avais appris à l'Orchestre et permettre aux élèves de découvrir ce répertoire musical.
Professeur de contrebasse au CRD de Montauban, j'ai mis au programme du premier cycle et expérimenté avec mes élèves tous les textes présentés dans ce recueil. Les jeunes contrebassistes ont toujours été très sensibles au travail des extraits musicaux. Ils sont au contact avec la Musique. Afin de parachever leur travail personnel, il est souhaitable qu'ils écoutent les musiques étudiées (enregistrements et concerts). Ces acquisitions leur permettront de découvrir les compositeurs et d'apprendre le langage musical.
Ce recueil pédagogique offre un voyage musical de l'époque baroque à l'époque postromantique (de Johann Sebastian Bach à Camille Saint-Saëns). Il est destiné aux élèves du premier cycle des conservatoires et écoles de musique. Les professeurs pourront commencer à l'aborder dès la première année.
Tous les extraits musicaux sont tirés du répertoire d'orchestre : de chambre, lyrique et symphonique. Ils sont joués dans la tonalité originale.
Les coups d'archet originaux sont notés en noir. Les coups d'archet préconisés par les contrebassistes professionnels jouant dans les plus grandes formations orchestrales symphoniques ou lyriques en France et à l'étranger sont ajoutés en rouge.
Daniel Massard
Contrebassiste à l'Orchestre National du Capitole de Toulouse,
Professeur au CRD de Montauban.
Je remercie mes élèves de la classe de contrebasse du Conservatoire à Rayonnement Départemental de Montauban, les bibliothécaires de l'Orchestre National du Capitole de Toulouse et Véronique Lafargue, docteur en musicologie. / Niveau : 1er Cycle / classique / Méthode / Contrebasse
31.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Métissages Vol.2
(MINDY PAUL / SAMMUT
ERIC) En Français Percussion [Conducteur et Parties séparées + CD] Lemoine, Henry
Par MINDY PAUL / SAMMUT ERIC. Métissages est né d'une rencontre artistique ent...(+)
Par MINDY PAUL / SAMMUT ERIC. Métissages est né d'une rencontre artistique entre Paul Mindy et Eric Sammut. C'est tout naturellement que ces deux musiciens, par ailleurs passionnés de pédagogie, ont voulu créer une passerelle entre les classes de percussions traditionnelles et classiques. Les pièces présentées dans ce recueil sont de styles variés, offrant un large éventail de musiques : classique, traditionnelle, originale. Elles revêtent toutes un indéniable intérêt pédagogique, tant d'un point de vue technique que de l'interprétation et de la connaissance des styles.
Percussionniste et chanteur, Paul Mindy, professeur au CNR d'Aubervilliers-la-Courneuve, est spécialiste des musiques du Brésil. Il anime des masterclasses dans le monde entier. Il reçoit le prix Georges Brassens et se produit en tant que chanteur à l'Olympia. Il reçoit également en 2001 le prix de l'Assemblée Nationale et en 2002 le prix de l'Académie Charles Cros. Son talent de percussionniste lui a permis de jouer avec de grands musiciens : Richard Galliano, Roland Dyens, Carlo Rizzo, Franck Tortillier, Dave Samuel, Baden Powell... Il joue aussi avec le groupe 'Quai #5', l'Orchestre pour la paix, Flavio Esposito. Sa discographie comprend des enregistrements en solo (Le monde à l'envers, Mosaïque), en trio avec J.C. Hoarau et A. Vérité (Notre Brésil), et avec la chanteuse Fabienne Magnant (Canto instrumental), un DVD 'méthode pour percussion africaine, brésilienne et cubaine'. Paul Mindy est aussi l'auteur de livres-CD à succès aux éditions Didier Jeunesse : A l'ombre de l'olivier, Comptines du Baobab, Papagaio, Comptines créoles... En 2006, il participe au festival Percpan à Salvador de Bahia.
Eric Sammut a débuté ses études musicales par l'apprentissage du piano, puis a suivi la classe de percussion de Michel Ventula au CNR de Toulouse. En 1989, l'année même où il obtient un premier prix à l'unanimité dans la classe de François Dupin et Georges van Gucht au CNSM de Lyon, Eric Sammut entre comme premier percussionniste à l'Orchestre de l'Opéra National de Lyon. Puis en 1995, le premier prix international de marimba de New York lui est décerné - il effectue alors une tournée de récitals et de masterclasses aux Etats-Unis, mais aussi en Europe et au Japon. Il enseigne le marimba au CNR de Toulouse depuis 1997, au CNR de Paris, ainsi qu'à la Royal Academy of London, et il est soliste à l'Orchestre de Paris. Après avoir participé à de nombreux enregistrements discographiques et vidéos avec l'Orchestre du Capitole de Toulouse, l'Orchestre National de Bordeaux-Aquitaine, l'Orchestre National de Lyon, l'Orchestre de l'Opéra National de Lyon, l'Orchestre de Paris, il réalise en 2005 un album de marimba solo, 'Four-Mallet Ballet'. Un enregistrement pour un nouveau CD est prévu en 2006, avec les musiciens Philippe Berrod, Eric Echampard et David Patrois.
Sometimes I feel like a Mother Child
Percu. classique : le marimba fait ressortir la mélodie dans un débit ternaire - au vibra., les accords doivent être joués d'une manière profonde et colorée - le marimba basse doit être en osmose rythmique avec les percu. traditionnelles. Percu. trad. : travail de coordination sur kenkeni, sangbang et doumdoum - chaque musicien devra travailler chacune des parties séparément. Le travail d'ensemble sur kenkeni, sangbang et doumdoum développe l'écoute polyrythmique.
Hymne à la joie
Percu. classique : le marimba offre une partie ouverte où l'interprète peut prendre des libertés sur le mode de Ré majeur - le vibra., quant à lui, apporte le côté brillant et joyeux - le marimba basse a un rôle polyrythmique de 3 pour 4 avec la cloche. Percu. trad. : le but de ce morceau est de se familiariser avec cette cloche, que l'on retrouve partout sur 'le chemin des esclaves', de l'Afrique à l'Amérique du sud.
Touran
Percu. classique : cette pièce permet de se familiariser avec les mesures asymétriques, dans un esprit dansant. Percu. trad. : technique du pandeiro sur un rythme à 7/8 - passionnant !
Saudade pour Nina et Tali
Percu. classique : triangle et caxi xi donnent l'esprit du rythme de cette musique - de ce fait, les claviers doivent en tenir compte dans leur interprétation. Percu. trad. : technique d'interprétation autour du rythme du Nordeste (Brésil), le baiao.
Les Feuilles mortes
Percu. classique : il est important d'être à l'écoute des percu. traditionnelles afin que l'aspect syncopé dans le binaire soit bien interprété. Percu. trad. : l'intérêt est dans les techniques de congas et la connaissance des principaux rythmes cubains, la 'rumba guaguanco' , le 'chacha loquafon' (binaire) et le 'bembé' (ternaire)
/ Niveau : Débutant à Intermédiaire / variété - jazz / Méthode / Percussions
33.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Silvana Wev C.5 Band 3A Soli, choeur mixte et accompagnement Schott
La renommée de Carl Maria von Weber repose principalement sur, Der Freischütz ...(+)
La renommée de Carl Maria von Weber repose principalement sur, Der Freischütz '. Le succès sans précédent de cet opéra éclipsé tous ses autres ouvrages et a contribué à augmenter leur chute dans l'oubli. Certaines oeuvres comme, Preciosa ',, Oberon ', et, Euryanthe', les ouvertures, concertos solistes et sonates pour piano, le lied et de la chambre de travaille connu une grande popularité et ont été largement connu en Allemagne et à l'étranger aussi tard que la seconde moitié de la 19e siècle. Cependant, toute chance d'un renouveau de l'influence de Weber et deimportance de son oeuvre a été gaspillé dans les années 1920, quand une édition complète - commencé par Hans Joachim Moser et avec les contributeurs potentiels, y compris Wilhelm Kempff, Hans Pfitzner, Max von Schillings, Fritz Stein et Richard Strauss - a échoué après le troisième volume.Depuis il ya eu de nombreuses tentatives pour relancer une édition complète des oeuvres de Weber, mais comme ce genre de projet, il aurait fallu la coopération des chercheurs des deux côtés de la frontière inter-allemande, la situation politique après 1945 n'était pas propice à une telle entreprise. Négociations minutieuses conduit à des premières étapes tangibles dans les années 1980. L'intention, dès le début, était de placer l'oeuvre de Weber dans son contexte, et de ne pas séparer sa production musicale de son travail d'influence en tant qu'écrivain, critique et organisateur dans le domaine musical, mais de publier ses compositions avec ses lettres, journaux intimes et l'autre production littéraire comme le meilleur moyen de documenter la fertilisation croisée entre ses activités musicales, littéraires et pratique.Depuis la réunification allemande les deux parties de travailler les concernés - à la Staatsbibliothek zu Berlin, et au Séminaire Musikwissenschaftliches, Detmold / Paderborn - ont coopéré sur l'édition complète des oeuvres musicales (C. 45 volumes en 10 séries: sacrés la musique- cantates, des odes et d'autres oeuvres de circonstance- oeuvres théâtrales, des oeuvres de lieder et vocale- oeuvres pour orchestre- musique de chambre, musique pour piano- réductions pour piano- Miscellanea, arrangements et orchestrations, les oeuvres d'attribution douteuse). Le journal (6-8 vol.) Sont édités à Berlin et les lettres (8-10 vol.) Et d'autres écrits (2 vol.) À Detmold.Cette édition complète vise à constituer une base fiable de débat scientifique ainsi que pour la pratique de la performance authentique de la musique de Carl Maria von Weber. Conforme aux normes de ces dernières éditions historico-critiques, le matériau textuel sera basée sur toutes les sources disponibles authentiques, accompagnés par une documentation détaillée de la genèse et une liste de variantes pour chaque travail. L'importance des travaux musicologiques seront évaluées en les plaçant dans leur contexte historique, la présentation de leurs commentaires genèse, l'histoire et la critique. Les lettres, les écrits et les journaux seront traités comme liés entre eux et pertinentes les unes aux autres dans les commentaires, donc les lecteurs devraient bénéficier d'une mine d'informations concises et des références croisées. / Soliste, Choeur Et Orchestre
217.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Sorel Alexandre - La
Methode Bleue En Français Piano seul Lemoine, Henry
Lorsque Chopin improvisait, Georges Sand disait qu'il cherchait La note bleue. L...(+)
Lorsque Chopin improvisait, Georges Sand disait qu'il cherchait La note bleue. Le bleu est la couleur de l'âme... Cette méthode s'adresse à l'enfant débutant qui ne sait encore rien de la musique ni du piano. Son propos est de lui apprendre à jouer tout de suite des petits morceaux qui seront agréables à entendre, pour lui et ses parents. Tout en assimilant les premières connaissances de solfège et de grammaire musicale, il devra les interpréter avec une vraie musicalité et simultanément se familiariser avec les bons principes de technique manuelle, car tout doit être développé ensemble. La grande clé de l'art du piano est de comprendre que la musique doit commencer à vivre dans l'oreille et l'imagination de l'enfant avant que celui-ci ne pose ses doigts sur les touches. C'est pourquoi le petit Mozart a tout de suite joué du piano. Dès les premières leçons, l'enfant doit donc apprendre à chanter ce qu'il va jouer, car la raison d'être des signes qu'il voit devant lui est de transcrire des sons vivants, destinés à l'oreille. Cette méthode vise donc à ne jamais séparer la lecture des notes - du chant - de la quête du beau son et du phrasé. La dimension affective est par ailleurs essentielle pour assimiler la musique. C'est pourquoi ces morceaux sont ici proposés avec des paroles, comme des comptines. L'expérience prouve en effet que les images aident beaucoup les petits à chanter et à mémoriser. Les paroles aident en outre l'enfant à phraser naturellement, sans même qu'il ait à penser à cette notion de phrasé qui est bien trop abstraite pour lui au début. Les histoires et les images stimulent ses émotions or, sans émotion, l'on ne retient rien ! Cette méthode contient aussi, outre les éléments de solfège habituels, des conseils techniques expliquant comment il faut toucher le piano et quels gestes il faut faire pour obtenir un beau son, un beau phrasé. Car, si l'on ressent la musique mais que le geste est inadéquat, rien n'est possible ! Un Cd permettra d'écouter les morceaux, joués à deux ou à quatre mains. L'enfant pourra également jouer tout seul, tout en se faisant accompagner par le Cd. Ajoutons enfin l'essentiel : tout le coeur de cette méthode s'appuie sur les conseils que Chopin donnait à ses élèves pour apprendre à jouer du piano. Ils figurent dans Esquisses de Méthode, cet ouvrage élaboré par Chopin lui-même mais qu'il n'a pu achever, et dans le livre incontournable du grand musicologue Jean-Jacques Eigeldinger, le spécialiste mondial de Chopin : Chopin vu par ses élèves (1). A la mesure du débutant, nous tenterons d'appliquer ici pas à pas ces principes du Maître. Chaque chapitre sera ainsi ponctué de phrases de Chopin telles que : Il vous faut chanter si vous voulez jouer du piano ou : Le poignet est la respiration dans la voix, Soyez souple jusqu'au bout des pieds. Emanant de l'un des plus grands musiciens qui ait écrit pour le piano, lui-même génial pianiste et admirable pédagogue, sa pensée mérite d'être gravée dans le coeur de chaque petit(e) pianiste qui se lance dans cette grande aventure du piano... Alexandre Sorel (1) Chopin vu par ses élèves, par Jean-Jacques Eigeldinger, 3e édition revue et commentée, 450 pages, La Baconnière, Neuchâtel, 1998. Réédité par Fayard, octobre 2006, 454 pages / et : Chopin : Esquisses pour une Méthode de piano, Textes réunis et présentés par J. Jacques Eigeldinger, Paris, éditions Flammarion, coll. Harmoniques, 138 p. Mars 2010. Presse La Méthode Rose a formé tant de jeunes pianistes. D'autres méthodes d'Alfred Cortot (Principes rationnels de la technique pianistique) ou d'Isidor Philipp sont conçues pour l'acquisition de la vélocité ; celles de Marie Jaëll (1846-1925) et de Blanche Selva (1884-1942), pour la qualité du son. Tout récemment, sont parus les 2 volumes du vaste et original manuel de piano : A Compianon (fin 2018, en 2 volumes, 300 p.) de Stéphan Patin (né en 1966) - pour débutant et pianiste plus chevronné, reposant sur l'apprentissage mental et digital, et l'appropriation formatrice des quelque 200 morcelets très diversifiés. Voici, cette année, (préfacée par J.-J. Eigeldinger, le spécialiste de Chopin), la Méthode Bleue (en 2 volumes, avec illustrations sonores et conseils pédagogiques) d'Alexandre Sorel selon lequel la musique doit commencer à vivre dans l'oreille et l'imagination de l'enfant avant que celui-ci ne pose ses doigts sur les touches... et qu'il doit donc apprendre à chanter ce qu'il va jouer. A cet effet, il propose des morceaux avec des paroles comme des comptines, ce qui facilite la mémorisation. Au fil des 10 leçons, le débutant est appelé à emprunter la marche à suivre claire et bien pensée du pédagogue. L'auteur précède les questionnements de l'enfant et des parents, et y répond, étape par étape. L'imaginaire enfantin est sollicité grâce à la présence d'un bestiaire engageant (puce, chat, chien, tourterelle, écureuil, grenouille, perroquet...). Le tout est joliment agrémenté de médaillons de caractère assez naïf, du meilleur effet. L'auteur cite les conseils donnés par Frédéric Chopin à ses élèves, les intégrant judicieusement dans le cursus pédagogique jalonné par les différentes étapes indispensables à l'autonomisation progressive du musicien en herbe. Mine de rien, lecture des notes, apprentissage rythmique, incorporation de la gestuelle pianistique, développement de l'appropriation musicale se font dans un contexte délibérément rassurant (familial, amical) et un climat de confiance, avec des figures musicales tutélaires (Mozart, Chopin) pour aboutir à quelques pages accessibles du maître franco-polonais : Polonaise en sol mineur, Valse en la mineur... (Voir CD : Chopin à Nanteuil... Récital d'Alexandre Sorel). Edith Weber L'Education musicale n°127 (sept-oct 2019)
40.80 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Ma Deuxième
Année De Trompette
(BOURGUET MICHEL) En Français Trompette [Partition + CD] H Cube
Par BOURGUET MICHEL. Avec Ma deuxième année de trompette, j'ai voulu avant tou...(+)
Par BOURGUET MICHEL. Avec Ma deuxième année de trompette, j'ai voulu avant tout que cet ouvrage tienne compte du niveau réel des élèves ayant effectué une première année, c'est pourquoi la progression pédagogique de cette méthode ne s'effectue pas forcément d'après des schémas pré-établis, mais plutôt d'après la réalité constatée de ce qu'un élève moyen peut faire (niveau de lecture, rythmes, tessiture, endurance, tempos du CD, etc).
Par ailleurs, je n'ai pas voulu proposer un énième 'cahier de chansons avec CD' mais bien une 'méthode' où l'élève peut trouver, bien sûr, le côté ludique des ouvrages modernes, mais également une véritable approche des indispensables exercices techniques (doigtés, gammes, poses de sons, souplesse, etc.) qui ont permis tant de réussites et ont fait la réputation des grandes méthodes traditionnelles.
Chaque exercice technique est volontairement court (une à trois lignes) mais choisi et placé de manière à préparer au mieux les nouvelles difficultés.
Les nouveaux rythmes sont mis en pratique avec des airs connus - l'élève, tout en affirmant sa musicalité, peut faire ainsi plus facilement le rapport entre l'écrit et la réalité sonore.
Une approche du jazz, de l'improvisation et de la musique contemporaine est également abordée.
Je souhaite que cette méthode soit facile à lire, efficace, et que sans esquiver la notion de travail, elle permette au plus grand nombre d'aborder cette deuxième année dans la confiance, la motivation et le plaisir !
Michel Bourguet / méthode - études / Méthode / Trompette
29.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
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