| Jazz : La Discothèque
Idéale En 25 Albums
Originaux (Coffret 25 CD) CD [Coffret CDs]
- Record Label: Sony - Catalog#: 88697 720092 - Country Of Release:...(+)
- Record Label: Sony - Catalog#: 88697 720092 - Country Of Release: NLD - Year Of Release: 2010 - Notes: 25 Original Albums In Noble Box
104.00 EUR - vendu par Amazon Délais: En Stock | |
| Mantovani Bruno -
L'autre Cote - Soli,
Choeur, Orchestre - Chant
and Piano Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et piano Lemoine, Henry
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique...(+)
Commanditaire L'Etat et l'Opéra National du Rhin Notice Un opéra fantastique d'après le roman d'Alfred Kubin, Die andere Seite Le livret a été tiré de L'Autre côté d'Alfred Kubin, traduction française de Robert Valençay revue par Christian Hubin (José Corti, 2000) Musique de Bruno Mantovani Livret de François Regnault (avec la collaboration de Bruno Mantovani) J'avais lu il y a longtemps L'Autre côté d'Alfred Kubin, dont le titre m'intriguait. J'avais dû voir des illustrations étranges, visiblement expressionnistes, audacieuses et cauchemardesques de l'artiste, et je m'étonnais qu'il eût écrit un roman. Le roman, assez vite, me saisit, puisqu'il racontait comment le héros, qui semble bien n'être autre que l'auteur, car il est comme lui dessinateur et a comme lui vécu à Salzbourg, se fait inviter par un ancien camarade de lycée dans un empire en lointaine Asie dont il est devenu le chef, et qu'il s'en va donc de l'Autre Côté, où commencent les aventures... On me fit rencontrer Bruno Mantovani, qui avait la commande d'un opéra, de la part de Nicholas Snowman, pour l'Opéra du Rhin. Nous nous sommes vus ensuite à plusieurs reprises, et je n'eus pas de mal à m'entendre avec ce compositeur moderne, dont les oeuvres que j'ai écoutées de lui me plaisent, qui connaît comme pas un - et de l'intérieur - toute l'histoire de l'opéra - et qui, en outre, comptait bien éviter quelques-uns des écueils sur lesquels nous tombions d'accord que l'opéra parfois s'échoue : sans mépris pour qui que ce soit, mais sans fausse modestie non plus. J'aimais l'opéra, depuis que j'avais vu Maria Callas en chanter deux, et depuis ma participation cinq ans comme dramaturge, ou ne je sais quoi, avec Patrice Chéreau à Bayreuth, et j'avais écrit un livret pour Georges Aperghis, avec qui j'ai eu le bonheur de travailler plusieurs fois. Sans parler d'un autre livret pour un autre opéra à venir. Mais étant essentiellement introduit dans le théâtre, je mesurai combien Mantovani sait que l'amour du théâtre, dont il est un excellent spectateur, est bien souvent le schibboleth qui départage les grands compositeurs d'opéra des autres. Le sujet On ne trouve pas forcément tout de suite un sujet de livret, et ensuite, on ne trouve pas forcément le livret de ce sujet. Nous envisagions quelques pistes, nous nous y engagions, et puis nous n'allions pas loin, ou c'était sans issue. D'entrée de jeu, nous étions convenus d'éviter la reprise d'un mythe ancien, fût-il grec ou amérindien, nous mesurions l'extrême difficulté de trouver un mythe moderne - cela ne s'invente pas - et nous répugnions aussi à prendre un sujet qui s'appliquât à l'actualité politique, faute de certitudes, ou plutôt par la conviction qu'on ne traite pas aisément des malheurs du monde, ou du moins, pas aussi frontalement que certains se l'imaginent. Les Soldats de Zimmermann, par exemple, parviennent à une telle portée esthétique et politique parce qu'il est passé par une pièce de Lenz, qui raconte des événements du XVIIIe siècle, Helmut Lachenmann est parvenu à une oeuvre poignante et d'une extrême beauté avec sa Petite Marchande d'allumettes pour parler du gauchisme, à partir d'un écrit de Gudrun Ensslin, parce qu'il est passé par un conte d'Andersen et par des textes de Léonard de Vinci. Je me suis alors souvenu de L'Autre côté, que j'ai relu, et Bruno et moi sommes vite tombés d'accord que cette oeuvre pouvait d'autant plus fortement nous inspirer que l'atmosphère d'inquiétante étrangeté, de fantastique et de décrépitude, très réussie, dans laquelle l'oeuvre est plongée, était au service d'une cause imaginaire, fabuleuse, invraisemblable, mais qui pouvait fonctionner comme une grande et terrible allégorie politique : l'Empire du Rêve, créé de toutes pièces par un richissime illuminé, Claus Patera, condisciple, donc, du dessinateur, constitué par des restes ramassés ou aux quatre coins du monde, dans une région nauséeuse et miasmatique, dont l'idéal promis au début se révèle vite une imposture, sans qu'on sache à qui la faute, car on apprendra que le dictateur lui-même, qu'on ne voit presque jamais, n'y croit plus guère, et combine dans sa personne les traits d'une adolescence angélique, d'une sénilité précoce et d'une espèce de déphasage complet d'avec ce qui se passe dans son Empire. Et pourtant, ce n'est pas faute qu'il n'ait des partisans fanatiques dans la population bizarre de la ville de Perle, capitale de l'Empire. Lorsqu'un Américain tout aussi richissime viendra prendre le défi de le renverser et de s'arroger le gouvernement de l'Empire, peut-être convient-il que vous n'y voyiez pas aussitôt quelque arrangement d'événements récents, non seulement parce que ce roman fut écrit en 1908, avant même ceux de Kafka (que Kubin rencontra d'ailleurs plusieurs fois, et qui restait perplexe devant L'Autre côté), mais aussi parce que l'imaginaire fantastique et la vision poétique de l'auteur viennent hanter le récit de formes et de couleurs venues d'un autre monde : des profondeurs de l'inconscient, sûrement, à une époque où on lui en supposait encore - du fond d'une Angoisse dont on devine que l'auteur est incessamment traversé - mais surtout d'une capacité plastique de rêverie qui franchit constamment la barrière supposée étanche entre l'écriture et le dessin - et si Kubin ne manque pas d'illustrer son propre livre, lui aussi, d'inquiétants dessins étranges, on admire d'autant plus sa virtuosité que les deux techniques qu'il pratique ici de conserve se défendent très bien chacune indépendamment l'une de l'autre. Comme Holbein illustrant Erasme, comme le Goethe du Voyage d'Italie, comme Kipling s'illustrant ses Histoires comme ça, rares exemples. Le livret Je me suis vite dit que ce serait évidemment à la musique de prendre en charge l'imaginaire et le fantastique, et que les indications scéniques du livret, issues toutes du livre, ne seraient là que pour suggérer ce que le compositeur pouvait lire aussi bien que moi dans l'ouvrage. Mais je me suis dit aussi que puisqu'il y aurait des personnages - nous en avons réduit le nombre - et qu'ils parleraient, c'est-à -dire chanteraient, il fallait prendre le plus grand soin qu'avec assez peu de paroles, on puisse suivre exactement l'histoire, la psychologie des personnages principaux (et ici j'utilise à dessein le vocabulaire le plus conventionnel, non pas pour rassurer le réactionnaire et inquiéter l'avant-gardiste, mais parce que chanter des paroles est la matière même de l'opéra), le cours des événements, en même temps que les transformations, métamorphoses, catastrophes et l'apocalypse d'un Empire démoniaque, suscitées sans doute, au-delà de son tyran, par des forces innommables. Si je lui faisais parfois part des représentations musicales ou rythmiques de certaines scènes qu'il avait la gentillesse d'écouter et de transposer dans son art, Bruno Mantovani était en retour plus qu'attentif à la moindre des répliques à mettre en musique, entendant d'une oreille de théâtre ce qui peut se dire, se chanter, se mi-dire, etc. (il y a bien des façons, depuis longtemps, dans l'opéra ou dans le théâtre musical, de dialectiser en musique la différence du parler et du chanter, opposition qui reste opératoire dans son principe, mais qui s'ouvre depuis au moins Schönberg à des variations infinies). Pour la composition d'ensemble, je sais combien l'harmonie, le contrepoint éventuel (il y a un choral !), le rythme, les timbres peuvent, chez un musicien exigeant, s'engendrer, sinon se déduire, à partir de structures simples ou complexes, de sorte que l'écriture, et, donc aussi la perception, consciente ou inconsciente, d'une oeuvre ne se fassent pas au seul fil du récit, ni en fonction du seul effet, même si, au dire de plusieurs compositeurs que j'admire, l'opéra, par sa nature théâtrale, sa spatialité et sa temporalité spécifiques, demande moins de rigueur apparente que d'autres formes d'écriture. Aussi n'ai-je pu m'empêcher, même dans ce qui n'est que le livret, de suivre ou de m'imposer des structures, elles, fort simples, dans l'organisation des scènes, de leurs rapports de ressemblance ou de dissemblance, de leurs correspondances thématiques, - contrastes, répétitions, citations, allusions - d'autant que la fable principale conte la substitution symétrique, jusque dans son affrontement corporel, entre le Maître de l'Empire et l'Américain qui le renverse. L'hybride Il était aisé, en ce sens, de diviser l'oeuvre en deux actes (même si le roman a davantage de parties et de nombreux chapitres), avec un Prologue et un Epilogue : grandeur et décadence de l'Empire du Rêve, conclura-t-on, même si l'intérêt de ce conte est justement de montrer que tout est déjà pourri dans le Royaume de Perle, et que le salut venu d'ailleurs ne fait que liquider la pourriture ! Oui, l'oeuvre de Kubin, aussi bien dessinée qu'écrite (il a écrit plusieurs autres nouvelles), est foncièrement pessimiste. Lorsqu'il a constaté, moins l'horreur du monde que la capacité qu'a le sommeil de la raison d'enfanter des monstres, pour reprendre la formule de Goya, un peintre qu'il aimait, il lui reste à les lâcher en les dessinant. Si Dieu a créé le monde, Claudel pensait qu'il fallait le lui restituer en louange et en poésie, ou en drames dans lesquels le pire ne fût pas toujours sûr. Si le Diable a fait le monde, dirai-je que Kubin pense qu'il faut lui restituer l'histoire de ses calamités et lui tendre le miroir de ses immondices ' La dernière phrase de L'Autre Côté nous donne une étrange réponse : Le démiurge est un être hybride. Tout un roman de quelques centaines de pages pour parvenir à cette phrase peu claire, digne des Gnostiques des premiers siècles du Christianisme ! Mais la phrase peut aussi bien s'éclairer de ce qu'on a dit : puisque le monde semble mauvais, il faut au moins, pour que le pire n'en soit pas toujours le plus sûr, muni de son carnet de croquis, en faire le relevé régulier, en tenant par l'art le malheur à distance, et en mesurant constamment que le démiurge qui a raté le monde, ne pouvait pas faire mieux, qu'il y a en lui du meilleur et du pire, en bref qu'il est hybride ! Mais hybride après tout comme l'homme lui-même, sa victime et son destinataire - ou plutôt, son dessinateur ! Claus Patera, est en effet un personnage dont on ne sait s'il a gardé son innocence ou s'il est déjà complètement abîmé, intrinsèquement, physiquement et spirituellement hybride, à mi-chemin entre le réel et l'irrationnel, habité de forces obscures ou de pulsions obscènes et morbides, mais l'Américain Hercule Bell, un peu décrit comme un Américain digne de Jules Verne, est pris lui aussi dans une dangereuse oscillation entre le philanthrope vantard et le tyran sanguinaire ! Si donc a lieu le Jugement dernier, car aucune apocalypse n'est à écarter, à défaut de nos fautes, nous montrerons nos pulsions, et pour défendre notre prochain ne sachant dessiner, nous arborerons les illustrations par nous de ce monde où nous avons été jetés. Et si le feu ou le déluge anéantissent toutes choses, peut-être restera-t-il au moins quelque part un trait sur le papier, carbonisé ou délavé. A l'ancien camarade de classe, au dictateur hybride, à cet Américain sauveur lui-même si douteux, et qui font couple à la fin dans une espèce de répugnant coït, s'ajoutent donc le couple principal, Kubin - nous l'avons appelé ainsi, bien que l'auteur de le nomme pas - et sa femme. Nous avons, autour d'eux, réduit à trois les personnages qui les entourent, le Coiffeur-philosophe, qui leur sous-loue un appartement, l'Editeur qui passe un contrat avec le dessinateur, et le médecin Lampenbogen, qui soignera Madame Kubin et accompagnera le mari veuf jusqu'à la fin. Les autres personnages sont des comparses, mais il y a le Choeur, qui a une grande importance, et qui compose le peuple entier de Perle, versatile, monstrueux, prêt à tout, morbide et orgiaque, auxquels s'ajoutent mammifères, serpents et insectes, qui sont peut-être des hallucinations, mais dans un monde fantastique, le cauchemar et la réalité se confondent. Le dessinateur La fin de l'aventure se solde pour Kubin par un rapatriement suivi d'un internement. Il serait alors aisé d'en conclure, comme on le fait souvent dans des cas semblables, que toute cette aventure n'aura été qu'une immense hallucination. Outre que ce n'est pas l'idée d'Alfred Kubin, l'auteur réel du livre, cela ne changerait guère la représentation qui en résulterait sur la scène d'un opéra, où ce qu'on voit, que ce soit la vision d'un Faust ou celle d'un Hoffmann, passe forcément pour réel. Le public ne croit que ce qu'il voit et ce qu'il entend, plus qu'ailleurs, il croit tout ce qu'il voit et tout ce qu'il entend, et c'est lui qui a raison. Surtout, j'aime fort que les dernières paroles de Kubin reviennent à dire que désormais, il passe ses meilleures heures avec du papier, des crayons et des bâtons d'encre de Chine... plus proche de l'artiste rêveur, du voyant... Et ce qu'il représentera désormais s'inspirera donc de cette espèce de cosmologie duelle qu'il évoque à propos de Patera : L'attraction et la répulsion... les pôles de la terre... le jours et la nuit... le blanc et le noir... Le blanc et le noir ! Voilà tout le manifeste esthétique de l'illustrateur expressionniste à qui nous devons, disséminées dans des musées et des livres, ces gravures, reconnaissables entre toutes, devant lesquelles nous nous défendons mal d'un malaise devant les souffrances aisément devinables d'un artiste plus écorché que les autres - la guérison par l'art ' Sa vie, racontée par Kubin lui-même ne nous incite pas à conclure ainsi. Là où nous sommes confrontés à la névrose étrangère et toute constituée, écrit Freud à peu près à l'époque même où Kubin écrit L'Autre côté, dans la vie nous appellerons le médecin et tiendrons la figure pour inapte à la scène. Pourtant, sans remontrer à Jérôme Bosch, à Goya, en tout cas à tous ceux que Kubin admira, jusqu'à Odilon Redon et James Ensor, une bonne partie des oeuvres offensives du XXe siècle n'ont-elles pas consisté, malgré les réticences de Freud, à tirer un peu de jouissance de beaucoup de souffrance, et sans réveiller en nous forcément sadisme et masochisme, à nous inviter, à défaut de pâmoisons devant la beauté, ou de complaisances avec la douleur, à de la compassion devant cette souffrance ' L'oeuvre de Kubin n'est pas exempte de bonté lorsqu'il prend pour finir pitié de son persécuteur moribond, et qu'il va jusqu'à trouver de la beauté à son cadavre : L'image d'un dieu antique ! Comme il est beau ! - mais il y a encore, dans cette oeuvre, une autre source de plaisir dont nous souhaitons que l'opéra la fasse aussi sourdre pour le spectateur, c'est une espèce d'humour rocambolesque et glauque qui rend souvent les pulsions des personnages burlesques, leur sexualité, franchement saugrenue, leurs extases, ridicules ! Telles sont quelques-unes des questions que le musicien et le librettiste se sont d'abord posées, avant le metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, qui a si intimement adhéré au projet aussitôt qu'il l'a connu et qui y a fait entrer de plain pied ses collaborateurs - telle est cette étrange entreprise qu'il nous plaît à tous trois de regarder encore aujourd'hui comme risquée. Vérifier que le public voudra bien courir le risque avec nous est notre plus cher désir. François Regnault Presse Bruno Mantovani aborde, à bientôt trente-deux ans, son premier opéra avec l'ambition de rendre au fantastique du roman d'Alfred Kubin (1877-1959) sa force originale et son étrangeté narrative. L'Autre côté, fable sans morale, met en scène l'Empire du rêve, absurde refuge contre tout progrès, qui plonge dans le chaos après avoir été soustrait à la dictature de son chef Patéra. Récit admirable et visionnaire, accompagné par l'auteur d'effrayantes illustrations, il a marqué l'Europe centrale littéraire et artistique du début du XXe siècle. Bruno Mantovani, associé au dramaturge François Regnault et au metteur en scène Emmanuel Demarcy-Mota, cherche à rendre le mouvement perpétuel de cet effondrement. L'orchestre y est vaste et brillant, incluant six percussions dont le rôle est d'élargir l'espace sonore. Le choeur - cette masse grouillante proche des images apocalyptiques de Kubin - mobilise et anime la scène. Les rôles solistes enfin se répartissent autour du narrateur, Alfred Kubin lui-même, personnage central emporté dans ce drame sans fin. Cette création mondiale constitue l'élément fédérateur du portrait consacré au jeune compositeur français par Musica, en collaboration avec l'Opéra national du Rhin. Musica Antoine Gindt
71.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Diapason ROUGE Vol. 6
En Français Paroles et Accords [Partition] Presses d'lle de France
Un nouveau Diapason rouge : le volume 6 !
300 chants de variété française...(+)
Un nouveau Diapason rouge : le volume 6 !
300 chants de variété française et internationale avec accords de guitare.
Jouer ses premiers accords de guitare, accompagner des amis au chant, se retrouver autour d?un feu lors d?une veillée, relire un texte et laisser résonner les mots qu?un autre a écrit... Depuis plus de 25 ans, un Diapason rouge, c?est une malle aux trésors pour de multiples occasions de rêve, de partage et de fou-rires.
Ce volume 6 poursuit l?histoire en se plongeant dans le répertoire des années 1990 à aujourd?hui.
Fréro Delavega, Christophe Maé, Louane, Emmanuel Moire, Ridan, Stromae sont les nouveaux artistes d?années où la chanson française mélange plus que jamais légèreté et engagement.
Diam?s, Abd Al Malik, Grand Corps Malade, HK et les Saltimbanks cisèlent des textes bazookas.
Et comme tout Diapason, le DR6 fait la part belle aux tubes, ceux qui ont saturé les bonnes ondes de ces dernières années.
De quoi lire, rire, chanter, danser... À vous de jouer ! / Variétés / Partition /
24.50 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Légendes Urbaines
(MURAIL TRISTAN)
En Français 22 Instruments [Partition] Lemoine, Henry
Par MURAIL TRISTAN. (Prendre les mots 'légendes' et 'urbaines' dans leurs diffÃ...(+)
Par MURAIL TRISTAN. (Prendre les mots 'légendes' et 'urbaines' dans leurs différents sens et en tester toutes les combinaisons)
Légendes urbaines est le résultat d'une commande précise de l'Ensemble intercontemporain, à l'occasion d'un concert 'à thème', lui-même partie d'une saison thématique. Ces thèmes, comme l'on sait, sont: la ville, le voyage, et plus précisément, pour ce concert, New York - New York n'étant évidemment pas une destination de voyage pour moi, sinon celle d'un 'commuting' fréquent depuis ma résidence semi-rurale. Les thèmes littéraires ou visuels en musique ont fait couler beaucoup d'encre et plongent plus d'un dans la perplexité. La musique peut-elle exprimer ou raconter ? Est-il possible de ressusciter le poème symphonique ? D'écrire encore des opéras ? Si oui, est-il légitime de le faire, ou n'est-ce pas définitivement obsolète ? Comme je crois à la méthode expérimentale, j'ai décidé de relever le défi et de m'essayer au thème proposé, non sans garder quelque distance ironique vis-à -vis de l'exercice. Occasion aussi de rechercher quelques modèles et de ne pas se priver de références, plus ou moins transparentes, à quelques-uns de mes prédécesseurs sur le nouveau continent. Le modèle formel est celui des Tableaux d'une exposition, avec sa suite de vignettes sonores entrelacées de promenades - les références musicales, on pourra s'amuser à les deviner. Les allusions visuelles, points de départ ou d'arrivée de la rêverie musicale, ne seront pas l'Empire State Building, la Statue de la Liberté et autres cartes postales formatées pour le tourisme, mais plutôt les images et sensations suscitées par la fréquentation d'une ville à la fois très familière et tout à fait étrangère.
Promenade 1
Les 'promenades' de Moussorgski s'effectuaient d'un pas à la fois martial et guilleret... Dans Manhattan, les distances sont grandes, qui inciteront à prendre plutôt le 'Subway', célèbre pour son infernal vacarme métallique. Par prudence pour nos tympans, on l'écoutera d'assez loin, accompagné d'appels de cuivres, le plus souvent sous forme de tierces descendantes - les 5 espèces de tierces permises par l'écriture en quarts de tons. Vacarmes métalliques et appels de cuivres ne se limitent d'ailleurs pas à constituer l'essentiel des 'promenades', mais envahissent les recoins de toute la pièce.
Staten Island Ferry
Autrefois, la 'skyline' (la ligne des gratte-ciels) de Manhattan surgissait pour le voyageur lentement sur l'horizon, objet de tous les rêves et de tous les espoirs, au terme d'une longue traversée maritime. Le bateau franchissait la rade de New-York, saluait au passage la Statue de la Liberté, et allait s'amarrer directement au pied des 'high-rises'. On se rappelle les vieux films et vues d'archives. New York ne s'aborde plus par la mer et cet aspect du rêve américain a donc disparu, mais on peut revivre l'expérience, dans une certaine mesure, en prenant le ferry de Staten Island. Au retour, on peut s'imaginer, accoudé à la rambarde d'un paquebot, découvrant la ville longtemps espérée... la vue est splendide, et le ferry gratuit - chose rare en ce pays.
Central Park at twilight
Superposition de musiques émanant de lieux différents, et se mouvant à différentes vitesses. Sensation étrange d'échapper un moment à la réalité de la ville dont les bruits ne parviennent qu'étouffés. Instants ambigus du crépuscule, brefs et éternels, bruissements dans les fourrés déjà obscurs (ce ne sont que les écureuils), les silhouettes des gratte-ciels s'illuminent une à une à travers les frondaisons. Chant harmonique de la 'Swainson's thrush' (grive à dos olive). Les derniers promeneurs se hâtent vers les sorties: de nos jours, il n'est plus très recommandé de rester écouter les sons de 'Central Park in the Dark'.
Sunday Joggers
Toujours à Central Park: le dimanche, s'installer le long de l'une des routes qui traversent le parc, et qui, fermées à la circulation, sont envahies par une foule ahanante, transpirante et clopinante. 'Joggers' de tous âge, sexe, taille, couleur et embonpoint - toutes vitesses, allures et harnachements. Certain(e)s promènent leur progéniture dans des poussettes de course (3 roues surdimensionnées, profilage aérodynamique), d'autres peinent à suivre leur(s) chien(s). Quelques tricheurs passent à vélo ou sur patins à roulettes. Toute une humanité pantelante défile devant vos yeux, et il faudrait être Daumier pour croquer le spectacle - ici c'est le prétexte d'une modeste étude sur les tempi superposés.
Whirlwinds
Le plan de Manhattan est intéressant: systématiquement rectangulaire, mais avec quelques grandioses irrégularités, en particulier celles provoquées par Broadway qui, vestige d'un vieux chemin indien, coupe diagonalement rues et avenues, provoquant de ce fait quelques extravagances architecturales et topologiques. Une autre conséquence du plan d'urbanisme - ou d'une absence de celui-ci - est que la circulation atmosphérique se trouve très fortement perturbée. Certains carrefours sont ainsi le siège de redoutables tourbillons venteux, en particulier ces carrefours complexes provoqués par l'intrusion de Broadway dans le damier urbain, ou encore la climatiquement terrifiante intersection entre Riverside et la 122ème rue, où la présence d'un clocher-gratte-ciel néo-pré-raphaélite perturbe fortement les masses d'air qui circulent le long de la rivière Hudson.
Promenade 2
Plus agitée que la Promenade 1, et conduisant au triptyque suivant:
George Washington Bridge 1
The Frozen River
George Washington Bridge 2
'Non seulement les possibilités des harmoniques des sons seront-elles révélées dans toute leur splendeur, mais encore l'usage de certaines interférences créées par les partiels constituera-t-il une contribution appréciable. On pourra s'attendre à l'utilisation, jamais envisagée jusqu'à ce jour, des résultants inférieurs et des sons différentiels et additionnels. Une magie sonore totalement nouvelle !' (Edgar Varèse, extrait d'une conférence donnée à Santa Fe en 1936).
George Washington Bridge, c'est notre Grande Porte de Kiev - et l'une des peu nombreuses voies d'accès à l'île de Manhattan (car Manhattan est une île, on l'oublie parfois). Une 'Grande Porte' en ferraille et en réfection permanente, mais qui fut un symbole de modernité en son temps et fascina, dit-on, Edgar Varèse, qui venait en surveiller l'avancement des travaux. C'est aussi l'occasion d'un triptyque intérieur, qui respecte la symétrie de l'ouvrage, ses deux piliers de métal argenté, son double pont d'où l'on peut jouir de vues somptueuses sur la skyline, le tout jeté sur un fleuve parfois gelé en hiver. C'est enfin un hommage à l'intuition prophétique de Varèse, dont la citation ci-dessus décrit très précisément les types d'harmonies développés quarante ans plus tard par les techniques dites 'spectrales' - sans que lui-même n'ait pu mettre ces idées en application.
Promenade 3
Au ralenti, et tuilée avec:
Hyperlinks
Où des connexions s'établissent subitement entre divers moments entendus précédemment - établissement de 'liens' inattendus entre textures les plus opposées.
Promenade 4
Rappel de la promenade 1, puis retour à Central Park, qui maintenant s'enfonce dans la nuit - dernier chant de la grive à dos olive...
Tristan Murail
Programme de l'EIC, Concert à la Cité de la Musique / contemporain / Répertoire / 22 Instruments
88.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Diapason Rouge Vol. 5 En Français Paroles et Accords [Partition] Presses d'lle de France
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare
La célébre coll...(+)
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare
La célébre collection des Diapasons Rouges s'agrandit. En mélangeant les genres, ces recueils ont permis à des milliers de guitaristes français de se faire un répertoire. Dans ce volume 5, le cahier pour apprendre à jouer de la guitare est très largement complété
21.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 1 ex. en stock, commandez vite ! | |
| Diapason Rouge Vol. 1
En Français Paroles et Accords Presses d'lle de France
460 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
Depui...(+)
460 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
Depuis qu?il a été cité par Jérôme Bonaldi sur Canal Plus, ce premier recueil de près de 460 chansons est une référence dans le domaine des carnets de chants depuis plus de dix ans. Chacun y trouvera un répertoire pour chanter toutes les circonstances de la vie. Pour les guitaristes, tous les chants sont accompagnés de leurs accords. Le premier chapitre, 'Salut l?artiste', est un recueil de variétés françaises : Brel, Goldman, Souchon, Renaud? 'Au rythme du monde' regroupe des chansons à thème susceptibles de provoquer la réflexion ou d?affirmer un engagement. 'Racines et couleurs du temps' emprunte au folklore français, aux négro-spirituals et au patrimoine des mouvements de jeunes et d?éducation populaire. La quatrième partie, 'Fêtes et rencontres', offre un éventail de chansons pour se réunir dans la joie, l?émotion ou la fantaisie. Une sélection de 'Canons et ritournelles' termine le carnet. Un index alphabétique par auteurs et par titres, à la fin du carnet, complète le sommaire.
21.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 1 ex. en stock, commandez vite ! | |
| Pianolude Volume 1 En Français Piano seul [Partition + CD] - Débutant Van de Velde
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Piano...(+)
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Pianolude aborde des aspects de l'enseignement du piano rarement évoqués côte à côte dans un même recueil: intégrer la musique de notre temps à l'enseignement traditionnel. Parallèlement à l'apprentissage traditionnel et progressif du jeu pianistique, Pianolude convie les enfants à jouer avec l'ensemble des ressources sonores de l'instrument. Le CD inclus dans l'ouvrage propose l'interprétation de l'ensemble du répertoire et fournit des exemples de réalisation des activités de création.
Presse : Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
A lui seul, le titre de ce recueil est tout un programme. Pianolude associe l'instrument et le jeu, mêlant les aspects les plus traditionnels de l'apprentissage pianistique à une exploration ludique de l'instrument.
Comme un livre d'images. Sa présentation, très esthétique, regorge d'illustrations poétiques et humoristiques dignes des plus jolis albums pour enfants. Le graphisme clair, les caractères en lettres attachées, le papier légèrement glacé et la reliure à spirales en font un album agréable à feuilleter sur lequel on s'attarde volontiers. Les premières pages se parcourent comme un livre d'images. On y découvre quelques suggestions de jeu autour du piano. L'élève peut ainsi s'en inspirer pour explorer et découvrir de lui-même tout un monde sonore: timbres, intensités, durées, tessitures, modes de jeu... et s'approprier ainsi ce monstre sonore qu'est le piano.
L'enfant prenant graduellement possession de l'instrument, l'approche de la lecture se fait graduellement à partir du do central, mains alternées. On s'échappe assez vite de l'incontournable do majeur pour explorer des échelles plus colorées. Les notions musicales et solfégiques sont abordées de manière très progressive, associant chaque nouvel élément théorique à l'étude d'une pièce musicale. L'introduction des altérations se fait assez tôt et les mains se déplacent plutôt rapidement sur l'ensemble du clavier par le biais des 8va.
Jouer tout seul ou avec les autres. La plupart des pièces sont présentées avec un accompagnement du professeur - ou d'un élève plus avancé - dont les harmonies, enrichissant les mélodies jouées par l'élève, viennent parfois chatouiller l'oreille de légères dissonances et taquiner l'imaginaire de sonorités nouvelles. De nombreuses pièces sont écrites pour quatre, six ou huit mains. Conçues comme des pièces à géométrie variable, on peut n'en jouer que la partie principale - écrite en grosses notes - ou bien y associer les autres parties en les distribuant à d'autres élèves pour une version plus collective. Ces pièces, plus abordables que les pièces en solo, véritable intermède récréatif dans la progression de l'élève, constituent ainsi un bon outil pour la lecture à vue et la pratique collective.
Tout un monde sonore. Le répertoire très éclectique des pièces de Pianolude est constitué en grande majorité de compositions originales. On y trouve quelques arrangements de chansons du répertoire populaire traditionnel: Au clair de la lune, j'ai perdu mon âne, Ah vous dirai-je maman... quelques petites pièces un peu jazzy: New Orleans Parade, Comme un blues, Oh When the saints... D'autres, plus exotiques, comme La petite maison russe ou La poupée chinoise, invitent doucement au voyage musical.
Mais la plus grande originalité de cette méthode réside dans l'introduction d'un langage plus contemporain, incluant les codages non traditionnels et des modes de jeux spécifiques (clusters, glissandi, notes muettes, séquences aléatoires, écriture graphique. jeu dans les cordes...), mettant la musique contemporaine à la portée des plus réfractaires. La première pièce, intitulée En colère, écrite dans une alternance de notes traditionnelles (deux notes autour du do central), de clusters et de petites séquences d'improvisation guidées, regorge d'indications expressives: en colère, en se calmant, grosse colère, ...énorme colère, ...très calme. Sans efforts considérables et par le biais des humeurs et de leurs contrastes, l'élève aborde les rudiments du codage musical: aigu/grave, bas/haut, droite/gauche, fort/doux, long/court... Parmi les autres pièces utilisant un langage contemporain, on trouve l'irrésistible Chant des étoiles, qui recueille un succès certain auprès des élèves - et de leurs parents - mêlant clusters, notes aléatoires, glissando dans une ambiance délicieusement céleste, scintillante, toute faite de résonances entremêlées. Les ambiances proposées à travers ces courtes pièces rejoignent l'imaginaire de l'élève et permettent par ce biais de développer son sens de l'écoute et d'accroître sensiblement sa palette sonore.
Un CD, inclus dans l'ouvrage, présente l'enregistrement de la plupart des pièces de la méthode, interprétées sur un vrai piano avec beaucoup de finesse et de musicalité, ainsi que des exemples de réalisation de petites créations effectuées par des enfants. Celles-ci constituent des pistes pour l'improvisation et, pourquoi pas, pour l'élaboration d'un langage plus personnel.
Pédagogie du piano contemporain ou pédagogie contemporaine du piano? Cette méthode est le résultat d'une réflexion collective des auteurs, inspirée par l'expérience sur le terrain d'une pédagogie de la musique contemporaine. Sans que celle-ci soit assénée manière obsessive, Pianolude s'en inspire pour éveiller la curiosité de l'élève pour des sonorités moins conventionnelles que la plupart de celles des méthodes plus traditionnelles. Si cet ouvrage peut paraître au premier abord un peu dispendieux, la qualité de sa présentation et la richesse de son contenu dépassent de loin le prix qu'il en coûte.
Le choix d'une méthode est souvent difficile, très personnel et toujours subjectif. On choisit une méthode parce qu'elle adhère aux principes de notre enseignement, qu'elle répond aux besoins du moment et traduit un certain état d'esprit. À moins qu'il ne s'agisse d'un état d'âme. On s'y essaye comme on essaye un nouveau vêtement. Avec le temps, on s'y sent parfois un peu à l'étroit, un peu mal à l'aise. Alors on en change. Pour avoir essayé Pianolude, l'avoir testé, expérimenté, pratiqué depuis sa parution en 2002 avec la plupart de mes élèves débutants, je peux dire que j'ai trouvé là vêtement à ma taille.
En résumé, c'est un support riche et éclectique pour la première année d étude du piano. À l'aide de son vaste choix de pièces, le professeur peut établir son propre parcours, en fonction de ses propres goûts et de ceux de ses élèves. Son approche ludique favorise la recherche et la créativité tout en intégrant une certaine exigence musicale et en incitant à une écoute active et à un jeu expressif.
Un petit avertissement cependant: certains jeux ou pièces musicales requièrent nécessairement l'utilisation d'un vrai piano (qui vibre et résonne de toutes ses cordes). / Méthodes and Etudes Instrumentales / Partition / Barkeshli, Pari / Chartreux, Annick / Guérin-Descouturelle, Valérie / Joste, Martine
35.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 1 ex. en stock, commandez vite ! | |
| Chamber Music (PEPIN
CAMILLE) Sextuor [Partition] Jobert
Par PEPIN CAMILLE. Lorsque l'on m'a proposé de mettre en musique ce recueil de ...(+)
Par PEPIN CAMILLE. Lorsque l'on m'a proposé de mettre en musique ce recueil de poèmes de James Joyce (1882-1941), j'ai été immédiatement séduite par l'idée. Il s'agissait de mettre en musique ces poèmes en respectant l'ordre original selon lequel ils ont été conçus par James Joyce lui-même lors de la première édition de 1905 [1]. Avec la précieuse aide de Philippe Blanchon [2], j'ai choisi de mettre en musique dix-huit poèmes, conservant ainsi les épisodes incontournables, la trame dramaturgique et l'essence de l'univers Joycien. Ce qui m'a attirée d'emblée, c'est qu'il s'agit d'une véritable histoire : de la naissance de l'amour à la passion déclinante, menant à une éventuelle et tendre amitié entre les deux amants. J'ai donc conçu Chamber Music d'un seul tenant.
Au-delà des nombreuses références à la musique et aux sons de la nature - déjà 'musique' en eux-mêmes - l'oeuvre littéraire appelle à la mise en musique par sa forme. En effet, elle est déjà musicale dans sa construction. Les trois premiers poèmes constituent le prélude exprimant la solitude du poète. Nous assistons dans la première partie - crescendo - à la naissance de l'amour entre les deux amants, menant au poème central et point culminant de l'oeuvre : 'My Dove, my beautiful one'. La seconde partie - diminuendo - raconte la passion déclinante des amants qui nous conduit au finale, écho du premier poème et à la solitude du poète.
Le prélude musical illustre le paysage - tant visuel que sonore - décrit par James Joyce : 'Strings in the earth and air make music sweet', 'There's music along the river', 'The sighs of harps', 'Soft sweet music in the air'.
Inspirées de sonorités traditionnelles irlandaises, les mélodies de la première partie présentent un aspect populaire issu du folklore, comme une ode au monde de la danse - prégnant en Irlande. Ces mélodies modales et mélismatiques semblent improvisées, à la manière du chant gaélique irlandais. Elles se transforment au fur et à mesure en une véritable épopée romantique, expression de la relation passionnelle et charnelle des deux amants : 'Hurry over the dark lands and run upon the sea for seas and land shall not divide us my love and me', 'The odorous winds are weaving a music of sighs'. Ces mélodies extatiques, à la fois tendres et fragiles, tentent d'exprimer cette ivresse, cet état extatique - véritable état de 'transe' qui nous submerge lorsque l'amour envahit notre âme sans que l'on s'en aperçoive.
La deuxième partie reprend ces divers éléments musicaux dans leur cheminement inverse. Passés par le filtre de la mélancolie de l'amour déclinant au fil du temps, ils témoignent de la perte de repères après la séparation avec l'être aimé : 'Lay aside sadness and sing how love that passes is enough', 'Love came to us in time gone by'. Enfin, le finale exprime le retour à la solitude du poète, comme une résonance du début de l'oeuvre : 'The voice of the winter is heard at the door', 'My kiss will give peace now and quiet to your heart'.
Sans cesse en écho les unes des autres, les mélodies s'entremêlent dans un contrepoint lyrique et sensuel. En effet, le titre même du recueil m'a inspiré une oeuvre où chaque instrument serait d'égale importance. Le lyrisme de l'un ne peut exister sans l'autre. Ainsi, le rôle du quintette n'est pas seulement un accompagnement de la voix soliste. Leurs lignes d'amour se mêlent avec volupté les unes aux autres.
Plonger dans l'univers Joycien a impliqué mon immersion totale dans l'oeuvre. Lire ses mots, penser ses images, imaginer ses sonorités, a été un travail passionnant et c'est avec nostalgie que je referme ce recueil aujourd'hui. J'espère cependant avoir su retranscrire son univers poétique au plus proche.
Je profite de cette note pour remercier Philippe Blanchon pour son aide précieuse et Claire Bodin [3] pour sa confiance. C'est à la fois un grand honneur et un plaisir immense de rendre hommage à si grand artiste et de voir ce chef d'oeuvre littéraire naître une seconde fois en musique. / Contemporain / Répertoire / Sextuor
47.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Diapason Rouge Vol. 3
En Français Paroles et Accords Presses d'lle de France
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 370 chansons d'...(+)
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 370 chansons d'hier et d'aujourd'hui
Le troisième recueil innove pour satisfaire une demande grandissante : en complément des chansons de variété française, des chansons de fête et de veillée, des canons et ritournelles, on y trouve davantage de variété étrangère, des génériques de séries télévisées, ainsi que quelques comédies musicales et opérettes incontournables telles que 'Notre-Dame de Paris', 'Émilie Jolie'? La première et la deuxième partie s?organisent selon l?ordre alphabétique des noms d?interprètes ; les autres parties selon le titre des chansons
21.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| ...Un Temps De Silence...
Concerto Pour Flûte
(JARRELL MICHAEL)
En Français Flûte traversière,
Orchestre [Partition] Lemoine, Henry
Par JARRELL MICHAEL. Michael Jarrell est un compositeur du dialogue. La plupart ...(+)
Par JARRELL MICHAEL. Michael Jarrell est un compositeur du dialogue. La plupart de ses oeuvres récentes pour grande formation mettent en regard, en écho ou en résonance un ou plusieurs solistes et la masse orchestrale. Citons ...prisme / incidences... pour violon et orchestre (1998), Assonance IX pour clarinette et orchestre (2000), le concerto pour piano Abschied (2001), Epigraphe pour accordéon et orchestre (2003), ou encore Sillages, avec flûte, hautbois et clarinette solistes, joué en première mondiale pendant la saison 2005-2006 de l'Orchestre de la Suisse Romande. Sa toute dernière création ...un temps de silence..., met cette fois la flûte seule en vedette. 'Ce n'est pas un concerto à proprement parler, mais un peu plus que les autres quand même !', confie avec malice le compositeur genevois (entretien réalisé par Luca Sabbatini en février 2007 à Genève). 'Bien sûr, il n'y a pas de hiérarchie traditionnelle soliste/accompagnement. La flûte doit constamment trouver sa place. L'orchestre ne joue pas un rôle de faire-valoir, il possède son autonomie. En cela, ...un temps de silence... est plus proche de mon concerto pour piano que de ...prisme / incidence..., où tout venait du violon.'
Comme le titre le suggère, la musique de cette nouvelle oeuvre tend vers sa propre dissolution. 'J'ai voulu faire entendre différents types de silence', confirme Michael Jarrell. 'On ne peut les percevoir qu'en variant les contextes. Le silence n'est pas le même après un seul accord ou après une cascade de notes.' Plusieurs idées temporelles d'affrontent. L'une, très pulsée, naît de l'orchestre et se transmet à la flûte. Une autre correspond à 'des moments hors du temps, qui glissent vers le silence'. La virtuosité exigée du soliste atteint des niveaux de difficulté proprement diaboliques. 'Emmanuel Pahud est venu me rendre visite et nous avons travaillé sur ce qu'il était possible de faire à la flûte', raconte le compositeur. 'La partition est écrite sur mesure, en tenant compte des capacités d'Emmanuel.'
...un temps de silence... s'ouvre sur trois accords marqués des cordes, percussion, harpe et piano, qui reviendront trois fois de façon audible, mais orchestrés différemment. Ces accords génèrent également 'l'harmonie fantôme' sur laquelle repose l'oeuvre. L'orchestre installe peu à peu une pulsation régulière, ce qui 'plonge la flûte dans une situation de stress', selon Michael Jarrell. Elle s'accroche, tente de rattraper l'orchestre, court après lui à bride abattue. La subtilité de la mise en place, avec de nombreux échanges ou superpositions rapides entre soliste et orchestre, rend tout le passage périlleux. Un grand tutti introduit la partie centrale, où les protagonistes entrent en symbiose sur un tempo très lent, qui dérive peu à peu vers un 'hors temps' énigmatique. Puis le silence. La dernière partie repart au galop, mais cette fois c'est la flûte qui dicte son rythme à l'orchestre, qui devient l'axe autour duquel tous les autres instruments tournent. L'orchestre finit par prendre le dessus dans ce jeu du chat et de la souris, au cours d'un épisode d'environ une minute, mené à une vitesse vertigineuse. Deux des trois accords du début reviennent, puis se diluent sur un tempo lent, où les percussions, notamment le bongo, dominent. Michael Jarrell cite alors son propre opéra Galilée, créé au Grand Théâtre de Genève la saison dernière: soutenu par trois rins japonais et quelques instruments, un woodblock aigu joue une pulsation régulière, sur laquelle la flûte vient poser ses commentaires. L'harmonie fait du sur place, le temps se fige, comme un arrêt sur image. La musique ne disparaît pas dans le silence. Elle est devenue son négatif, son ombre, son souffle.
Luca Sabbatini
in Programme du concert de l'Orchestre de la Suisse Romande du 22 mars 2007, Victoria Hall (Genève) / contemporain / Répertoire / Flûte Traversière et Orchestre
40.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Gliozzi M./ Simon D. -
L'orgue Aux Milles
Saveurs Vol.3
En Français Orgue Editions Buissonnieres
Les claviéristes gourmets se régalent ! Anthologie de pièces pour orgue (ou ...(+)
Les claviéristes gourmets se régalent ! Anthologie de pièces pour orgue (ou clavier) Comprenant une partie méthode pour pédalier, une partie pédagogique sur l'harmonie au clavier, et quelques pièces d'orgue à 4 mains et de musique d'ensemble. Recueil de 360 pages en 2 volumes Format 22,5 x 32 cm, couverture pelliculée Complément : livret relié de parties séparées pour la partie Musiques d'ensemble Ecrit par Marta Gliozzi et Damien Simon, professeurs d'orgue en conservatoire. Notre apprenti-cuisinier-organiste continue à explorer des matériaux musicaux dans divers styles, découvrant les différentes saveurs esthétiques des pays européens : dans ce deuxième volume, les auteurs poursuivent leur démarche pédagogique, en renouvelant l'approche de la formation de l'organiste. Élèves avec professeur, professeurs avec élèves, élèves avec amis, les pièces de musique d'ensemble et les pièces à 4 mains sont pensées pour vous ! Alors, bonne cuisine à tous, avec patience, écoute attentive de soi et de l'autre, rigueur et surtout amour de tout ce que vous faites ! Bonne dégustation ! Dans ce recueil : ' Chansons populaires, Noëls, Chorals. ' Chants grégoriens, mélodies populaires and canons au pédalier. ' Polyphonies : musique anglaise, allemande, espagnole et portugaise, française, italienne. ' Musiques d'aujourd'hui. ' Musique d'ensemble pour orgue et instrument soliste ou chanteur. ' Orgue à 4 mains. ' Au-delà de la musique écrite : harmonie, improvisation, jeux rythmiques pour l'indépendance. 3Dans ce 2e volume, nous poursuivons notre démarche pédagogique en renouvelant l'approche de la formation de l'organiste. Comme dans le premier volume de cette collection, notre apprenti-cuisinier-organiste continuera à explorer les matériaux musicaux des chansons populaires et des noëls. Il se familiarisera avec les thèmes de chorals et de chants grégoriens, fondateurs du répertoire de l'orgue. Il découvrira également les saveurs caractéristiques des esthétiques musicales et organistiques spécifiques des différents pays européens. Pour chacune d'entre elles, nous proposons quelques pistes d'écoute car, pour former le goût de notre organiste, il lui faut se nourrir et écouter bien d'autres pièces que celles qu'il est en train de travailler. La polyphonie est le c'ur et la quintessence du répertoire de l'orgue. C'est pourquoi, nous proposons un ensemble de courtes pièces manualiter puis pedaliter. Le développement de la technique de pédalier se fera tout autant par ces pièces que, dans un premier temps, par le travail approfondi de mélodies pour pédalier solo comme par celui de quelques mesures de canons pour assurer une coordination parfaite entre une main et le pédalier. Nous avons volontairement basé les débuts du jeu de pédale sur une technique favorisant un jeu articulé par l'utilisation en grande partie des pointes. L'usage du talon sera introduit petit à petit De même, nous proposons des doigtés manuels afin de faciliter la tâche de tous. Néanmoins, nous avons pleinement conscience que la morphologie et la taille des mains de chacun puissent rendre certains doigtés que nous proposons inapropriés ou peu commodes. Libre à chacun de les modifier ! La priorité ' et il faut le rappeler aux élèves ' n'est pas le doigté mais la note, la phrase musicale ; le doigté n'est qu'un auxiliaire. Parallèlement à ces esthétiques nationales des siècles passés, nous vous offrons également quelques pièces de compositeurs actuels afin de découvrir d'autres langages harmoniques ! L'ensemble des pièces de cette anthologie peut également constituer un réservoir non négligeable pour l'organiste liturgique. Il y découvrira des pièces faciles d'exécution qui trouveront aisément leur place dans un office. Enfin, si une majeure partie du répertoire de l'orgue est solistique, notre instrument à tuyaux n'en demeure pas moins un partenaire formidable pour l'accompagnement. Aussi, ce recueil propose quelques éléments d'harmonie, amuse-bouches préparatoires à une découverte de la basse continue ainsi que de petits arrangements pour un instrument mélodique et orgue. Élèves avec votre professeur, professeurs avec vos élèves, élèves avec vos amis, les pièces de musique d'ensemble et les pièces à 4 mains ' les organistes peuvent jouer entre-eux ' sont pensées pour vous ! Alors, bonne cuisine à tous, avec patience, écoute attentive de soi et de l'autre, rigueur et surtout amour de tout ce que vous faites !3 Bonne dégustation ! Les auteurs Marta Gliozzi et Damien Simon Table des matières Introduction Le facteur d'orgue et cuisinier Quelques règles d'or Chansons populaires Trois jeunes tambours Arr. Damien Simon J'ai du bon tabac Arr. Damien Simon Le roi Renaud Arr. Marta Gliozzi Noëls Puer nobis nascitur J.-F. Dandrieu Michau qui causoit ce grand bruit J.-F. Dandrieu Chantons je vous prie J.-F. Dandrieu Noëls en tambourin J.-J. Beauvarlet-Charpentier Vom Himmel hoch, da komm ich her F. W. Zachow Noël angevin C. Franck Variations sur Il est né le divin enfant E. Thomas Variation sur Il est né le divin enfant D. Simon Chorals Allein Gott in der Höh sei Ehr J. P. Sweelinck Allein Gott in der Höh sei Ehr G. P. Telemann Herzlich tut mich verlangen J. G. Walther Herzlich tut mich verlangen G. P. Telemann Jesu meine Freude G. P. Telemann Liebster Jesu, wir sind hierJ. G. Walther Chants grégoriens et autres mélodies pour pédalier solo Puer natus Adeste fideles Ecce nomen Domini Emmanuel Victimae paschali laudes Mélodies traditionnelles celtiques : Mélodie traditionnelle de Basse-Bretagne Gwerz Penmarc'h (la complainte de Penmarc'h) Kabiten Sant-Maloï (le capitaone de Saint Malo) Hirvoudou, mélodie traditionnelle écossaise An alarc'h Mélodies traditionnelles juives : Esa Enai Lév Tahor Adir hu Shalom Alèchem Yo m'enamori d'un aire Quelques thèmes célèbres : Air H. Purcell Thème, d'après le Concerto Brandebourgeois n°3 J.-S. Bach Thème extrait de la Symphonie Inachevée F. Schubert Thème extrait de la Symphonie n°3 J. Brahms Thème extrait du Lac des cygnes P. I. Tchaïkovski Canons à une main and pédalier Canons 1 and 2 Traditionnels Canon à la quinte G. P. Palestrina Dona nobis pacem attribué à W. A. Mozart Canon J. P. Sweelinck O Flamme M. Praetorius Canon F. Schubert Se alla festa Traditionnel italien Manualiter : un peu de vélocité et d'agilité Allegro D. Zipoli Klavierstück für die rechte oder linke Hand allein C. Ph. E. Bach Solfeggio C. Ph. E. Bach Praeambulum et Versus in D J. A. Kobrich Vorspiel in B Anonyme, Salzburger Orgelbuch Praeludium in F J. Krieger Allegro E. Gigout Allegro vivace E. Gigout Musique anglaise des xvie, XVII et XVIIIe siècles Prelude H. Purcell Extrait de Voluntary in C J. C. Pepush Pavan, the Earle of Salisbury W. Byrd Prelude J. Blow Prelude in the eight mode J. Bull Voluntary in AJ. Stanley Voluntary in G G. Berg Siciliana W. Walond Musique allemande des XVIIe et XVIIIe siècles Prelude J.-S. Bach Fuga prima J. C. F. Fischer Fuga sexta J. C. F. Fischer Fuga tertia J. C. F. Fischer Finale J. C. F. Fischer Praeambulum et fuga in h J. B. Peyer Praeambulum in f J. B. Peyer Praeambulum et fuga in E J. B. Peyer Praeambulum et fuga in Es J. B. Peyer Praeambulum in e / IV ton J. X. Nauß Praeludium in g J. Krieger Vorspiel in A Anonyme, Salzburger Orgelbuch Fuga a 3 L. van Beethoven Musique espagnole et portugaise Fantasia T. de Santa Maria Dic nobis, Maria A. de Cabezón A duo, del poner obras en el Monacordio T. de Santa Maria Romance : Paseà base el rey-moro F. F. Palero Romance V : Para quien crie yo cabellos A. de Cabezón Versos del sexto tono A. de Cabezón Ligaduras de 3° tono, para la Elevaciòn Anonimo, Juan Cabanilles ' Toccata C. Seixas Musique française du XVII au XIXe siècle Chantons, je vous prie J.-F. Dandrieu Feste sauvage M. Corrette Rondeau M. Corrette Offertoire II, la St Benoist M. Corrette Musette, Suite du Ier ton M. Corrette Récit de nazar, Suite du Ier ton M. Corrette Grand jeu, Suite du 2e ton M. Corrette Ha voisin, quelle nouvelle J.-N. Geoffroy Basse de Cromorne L.-N. Clérambault Extrait de L'organiste C. Franck Petites fleurs musicales : Dominica Resurrectionis Ch. Tournemire mmaculata Conceptio Ch. Tournemire Festum Omnium Sanctorum Ch. Tournemire Heures mystiques : Andante L. Boëllmann Heures mystiques : Lento L. Boëllmann Heures mystiques : Andantino ma non troppo L. Boëllmann Heures mystiques : Allegro marcato L. Boëllmann Verset L. Boëllmann Musique italienne Fiori musicali : Kyrie alio modo G. Frescobaldi Fiori musicali : Kyrie alio modo G. Frescobaldi Fughetta A. Scarlatti Folia A. Scarlatti Partita D. Zipoli Ritirada del emperador de los Dominicos de España D. Zipoli Sarabanda, Suite II in sol minore D. Zipoli Due versetti G. Pera Pédaliter Übungen im Pedalspiele G. A. Merkel Cantabile J.-N. Lemmens Finale J. C. F. Fischer Toccata in G Minor J. Ch. Pachebel Praeludium et fuga ex F-Dur J. C. Simon Praeludium in Fa per organo pleno J. L. Krebs Pastorale D. Zipoli Toccata [en Sol] G. B. Martini Toccata [en Sib] G. B. Martini Versetti in re minore P. B. Bellinzani Versetti in re minore : Larghetto P. B. Bellinzani Versetti in re minore : Largo P. B. Bellinzani Elevation in E minor A. Guilmant Offertoire Ch. Tournemire Gnossienne n°2 E. Satie 1ère gymnopédie E. Satie Musiques d'aujourd'hui Deux pièces manuelle pour orgue : I-Offertoire en duo à deux clavier P. Reber II- Aria P. Reber Canzone à 3 voix P. Reber Danse laudative P. Reber Let silence talk to you H. Lesvenan Destination H. Lesvenan Happiness is your birthright H. Lesvenan The heart sees deeper than eyes H. Lesvenan Mystère H. Lesvenan Musiques d'ensemble Lauda Natalizia Padre F. Soto Il Ballerino G. G. Gastoldi Il Risentito G. G. Gastoldi Maledetto sia l'aspetto, Scherzi musicali C. Monteverdi Et incarnatus est J. Cererols Change thy mind since she doth change R. Martin Shewes ans nightly revels T. Lupo Gavotte F. Barsanti Menuet F. Barsanti Menuet J. C. F. Fischer Pauls Steeple, Variations sur un Passamezzo Antico Anonyme anglais, XVIIIe s. Son questi i crespi, canzonette C. Monteverdi When Phoebus first did Daphne love J. Dowland Gavotte G. B. Martini Fuga W. A. Mozart L'alphabet W. A. Mozart Due pupille amabili (extrait des 6 nocturnes) W. A. Mozart Adagio W. A. Mozart Menuet J. Haydn Menuet F. Schubert Mich zieht es nach dem Dörfchen R. Schumann Meneham H. Lesvenan BerceuseTraditionnel russe, Arr. H. Lesvenan Orgue à 4 mains Suite de danses : Bransle de Champaigne C. Gervaise Pavane Passemaize C. Gervaise Bransle : Je fille quant Dieu C. Gervaise Come again J. Dowland La, la, la, je ne l'ose dire P. Certon O Bethlehem Anonyme anglais, XVIe s. Ach wie flüchtig, ach wie nichtig J. S. Bach Au-delà de la musique écrite Harmonie Improvisation sur le Canon de Pachelbel Jeux rythmiques et d'indépendance Et encore... Historique and fonctionnement Tableau de travail Marta Gliozzi and Damien Simon
59.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Murail Tristan - Une
Relecture Des
Kinderszenen De Robert
Schumann Lemoine, Henry
MURAIL Tristan Une relecture des Kinderszenen de Robert Schumann Discipline...(+)
MURAIL Tristan Une relecture des Kinderszenen de Robert Schumann Discipline / Instrument : Relecture pour flûte, violoncelle et piano Création 03/03/2019 - Segry, Abbaye de La Prée - Samuel Bricault (flûte), Marie Ythier (violoncelle), Marie Vermeulin (piano) Notice [...] Enfin, pour bien illustrer cette rencontre qui est le thème de cet album, l'idée a germé, et s'est rapidement imposée, d'une réalisation que je ferais d'une oeuvre de Schumann, et qui constituerait le lien le plus évident entre les deux mondes sonores. Cette réalisation serait donc naturellement écrite pour les trois partenaires du disque, violoncelle, flûte et piano. L'idée m'est vite venue que les Kinderszenen (Scènes d'enfants) seraient parfaites pour ce projet. En effet, les Scènes d'enfants ont un potentiel musical, expressif, évocateur, qui dépasse de loin la réalisation pour piano de Schumann. Sans doute a-t-il voulu rester simple et facile - dans son esprit, les pièces devaient être jouables par des enfants. Je ne suis pas sûr que ce soit vraiment le cas... certaines pièces ne sont pas si faciles, d'autres supposent des écarts inaccessibles à une main d'enfant. Mais presque toutes sont de petits chefs-d'oeuvre, avec une grande puissance imaginative, reposant pourtant sur des idées simples et concises. Comment alors aborder cette réalisation, ou plutôt ce qui deviendra une relecturs : le regard d'un compositeur sur un autre compositeur ? J'ai vite écarté l'idée d'une instrumentation dans un style d'époque plausible - qui n'aurait presque rien apporté aux pièces originales, aussi bien que celle d'une trop profonde réécriture risquant d'aboutir à une trahison. J'ai cherché, finalement, à faire bénéficier les pièces de Schumann d'une mise en couleurs (comme on colorise de vieux films originellement en noir et blanc), d'une amplification des idées et des sentiments, tout en restant le plus fidèle à la lettre comme à l'esprit de la partition. J'ai repensé, toutes choses égales par ailleurs - car nous ne sommes là pas du tout à la même échelle -, à l'exemple magnifique des Tableaux d'une exposition orchestrés par Ravel. Ravel n'avait pas simplement orchestré le piano, il avait cherché à retrouver, cachée derrière la réalisation pianistique de Moussorgski, l'essence même des idées musicales qui avaient en fait préludé à la réalisation pour le piano, qui n'en était clairement qu'une des réalisations possibles. Fort de ces réflexions, je n'ai pas hésité, pour mon regard sur les Scènes d'enfants, à utiliser toute la moderne palette des techniques instrumentales, démultipliant ainsi les timbres disponibles et les effets acoustiques résultants de leurs combinaisons. Le flûtiste joue souvent la flûte alto, au timbre si chaud et expressif, au registre grave qui permet par endroit au violoncelle de chanter la voix supérieure. Le violoncelle est employé dans toutes ses possibilités d'articulations, de timbre, et de registre, changeant très vite d'un mode de jeu et d'une sonorité à l'autre. Réutilisant une approche de l'instrumentation que j'avais déjà mise en oeuvre dans des pièces telles que La Barque mystique, je fais rapidement changer de rôle chaque instrument, donnant ainsi l'illusion d'une orchestration bien plus nombreuse qu'un simple trio. J'ai donc cherché à accentuer le caractère de chacune des pièces, et à retrouver les intentions cachées derrière la simplicité du piano de Schumann, et j'ai ainsi obtenu des contrastes que la version originale ne permet pas - ou permet moins. Pour amplifier le côté enfantin ou féérique de la musique, je me suis autorisé quelques ajouts, que j'évoquerai plus loin ; néanmoins j'ai voulu respecter le texte intégralement, en ce sens que pas une note ne manque de la partition originale, que les harmonies tonales sont intégralement respectées, de même que l'écriture rythmique. En revanche, de concert avec les interprètes, nous n'avons pas toujours suivi les mouvements métronomiques indiqués par Schumann, qui paraissaient souvent trop rapides (il y a d'ailleurs parfois quelques contradictions entre les commentaires de Schumann sur ses pièces, et les tempi indiqués). Les pièces originales, probablement en raison des contraintes mentionnées plus haut, sont cantonnées dans les registres médium et médium-grave. J'ai décidé de les éclaircir par endroit, en ajoutant des résonances ou doublures aiguës, ou à l'inverse d'ajouter quelques notes plus graves pour donner plus de corps à la sonorité. C'est donc ainsi qu'une étrange sonorité (bisbigliando de flûte, trille d'harmoniques du violoncelle) introduit la première pièce, puis plane au-dessus d'elle (Von fremden Ländern und Menschen = Des Pays et des hommes étrangers - ou étranges), que Hasche-Mann (Colin-Maillard) deviendra encore plus furtif, tandis que le Cheval de bois (Ritter vom Steckenpferd) claquera, soufflera et hennira. Fürchtenmachen fera vraiment peur ! Dans l'ultra-célèbre Rêverie (Traümerei), après l'énoncé du thème dans ce registre si expressif de l'aigu du violoncelle, le piano prendra soudain la parole, comme dans un concerto romantique. Comme je le disais plus haut, quelques éléments enfantins viendront, à l'occasion, s'ajouter à la trame sonore : petite boîte à musique (dans l'aigu du piano) dans la première et la dernière pièce, sons percussifs col legno du violoncelle dans Wichtige Begebenheit (Evénement important) - transformé pour l'occasion en marche militaire pour soldats de plomb... Et finalement, l'enfant s'endormira (Kind im Einschlummern), bercé par le violoncelle se balançant entre ponticello et ordinario, et apaisé par les sons éoliens de la flûte... J'espère que les auditeurs partageront le plaisir que j'ai eu à imaginer cette relecture, et que nous avons eu à l'enregistrer ; un grand merci aux trois interprètes, Marie Ythier, Marie Vermeulin, et Samuel Bricault, pour leur participation enthousiaste à cette entreprise, et pour leurs nombreuses et judicieuses suggestions.
50.70 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Yisrael (serdoura)
Miguel - Methode De Luth
Baroque, Guide Pratique
Pour Luthiste Debutant Et
Avance
En Français Luth Ut Orpheus
Cette Méthode de Luth Baroque peut vous donner les bases techniques et musicale...(+)
Cette Méthode de Luth Baroque peut vous donner les bases techniques et musicales nécessaires à l?obtention d?une structure assez solide et complète du jeu du luth baroque. Et c?est là tout l?enjeu et le défi de l?écriture de cet ouvrage : donner, au plus grand nombre de passionnés, l?opportunité de s?exprimer à travers le luth baroque, et ce, indépendamment de leur niveau d?apprentissage. Notre livre est destiné non seulement à celui qui n?a jamais joué d?un instrument de musique, mais aussi au guitariste avisé qui veut s?initier aux mystères du luth baroque !
Mode d?emploi
Notre Méthode de Luth Baroque est divisée en trois parties.
La première partie, plutôt théorique, aidera à mieux comprendre la façon de jouer la musique écrite pour le luth baroque. Nous avons jugé indispensable d?avoir des connaissances élémentaires de solfège occidental mais aussi de la tablature (forme de notation musicale spécifique au luth). Ces connaissances, insuffisantes si étudiées de manière isolée, ont été enrichies d?un lexique des pièces instrumentales ainsi que de biographies de la plupart des compositeurs de musique pour luth baroque à 11 et 13 ch?urs.
En deuxième partie, nous avons dédié tout un chapitre à l?étude de la technique et de la production sonore du luth. Riche en photos et détails de toutes les étapes techniques que nous devrons franchir, ce chapitre est, sans aucun doute, le plus important de toute notre Méthode pour bien comprendre l?univers sonore du luth baroque ! Ensuite, nous vous proposons 21 exercices, tous d?un niveau élémentaire, mais progressifs, accompagnés de plusieurs pièces de musique. Vous allez d?abord jouer des mélodies pour ensuite ajouter les basses, et seulement après commencer à jouer les ornements.
En troisième partie, nous avons choisi près de 250 pièces pour luth baroque à 11 et 13 ch?urs. Ces pièces, divisées en trois niveaux, sont d?un degré de difficulté qui s?échelonne du niveau « débutant », « moyen » à « avancé ». Nous avons, tout comme à l?époque baroque, séparé ces pièces selon leurs tonalités et leur nom. Aussi, nous n?avons choisi que très peu de tonalités différentes, afin que le luthiste débutant puisse travailler l?essentiel de son instrument, au lieu de perdre son temps à essayer de s?accorder tout le temps et de jouer des morceaux bien trop complexes pour son niveau. Il n?y a pas de mauvaise musique mais, parfois, il y a de mauvais musiciens ! Faire de la musique n?est simplement pas jouer des notes et réaliser quelques acrobaties, souvent sans intérêt. Un musicien « mûr » se plaît le plus souvent à jouer une simple mélodie et à jouir des merveilles sonores de son instrument !
Nous espérons que cette méthode pourra aider ceux qui n?ont pas accès à un professeur (même si nous leur conseillons d?aller en voir un le plus régulièrement possible), mais aussi tous les professeurs n?ayant pas suffisamment de matériel pour faire travailler, d?une manière systématique, leurs élèves. Bon courage à tous ! Miguel Yisrael - formerly Miguel Serdoura, now carrying the surname of his mother - was born in Lisbon, where he began his musical and artistic career, earning his Diploma in Classical Guitar in 1994. In 1995, he moved to Paris, where he studied the lute with Claire Antonini in the Early Music Department of the Conservatoire Supérieur de Paris - CNR. He also took part in several master classes in his discipline, with Rolf Lislevand and other prestigious artists. From 1999 to 2004, he completed his musical education at the Schola Cantorum Basiliensis in Basel, Switzerland with the grand maestro Hopkinson Smith. As a soloist, Miguel Yisrael has given recitals in France, Portugal, United-Kingdom, Germany, Belgium, Switzerland, China and USA. In 2000, he took part in a television documentary devoted to the lutenist Hopkinson Smith, broadcast by Arte, Mezzo, Classica, RTBF and TSR. He currently lives and teaches baroque and renaissance lute in Paris, where he gives frequent concerts/lectures in the framework of the ?Musicien au Musée? program of the Musée de la Musique - Cité de la Musique in Paris. Miguel Yisrael performs on lutes built by Cezar Mateus, Princeton, USA, and with strings from Mimmo Peruffo, Vicenza, Italy. He recorded his first solo CD for the Dutch Label Brilliant Classics in 2008.
81.20 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Les Lusiades Pour
Hautbois Solo
En Français Hautbois Delatour France
  Camões (1524-1580) est le plus grand poète portugais de la Renaissance, En...(+)
  Camões (1524-1580) est le plus grand poète portugais de la Renaissance, En 1572, il publie son chef-d'oeuvre, les Lusiades (Os Lusiadas), vaste épopée en vers qui relate l'histoire du Portugal et surtout le voyage de Vasco de Gama en Inde (1497-1498), Ma seule ambition a été de prolonger l'univers poétique de Camões, à la fois lyrique, irréel et nostalgique, Le hautbois y est traité de manière expérimentale et quasi symphonique, I - Le Roi de Mélinde La flotte du Roi de Mélinde (actuellement Malindi, Kenya) accueille dans la liesse celle de Vasco de Gama, (chant II strophes 73-113), Le foisonnement de motif, d'effets, de doigtés spéciaux imite les canons, les feux d'artifice, l'ivresse de la foule et le ' discordant vacarme ' des fanfares qui jaillissent de chaque bateau, de chaque barque, Tout doit ici déborder de joie, Deux continents, deux peuples, deux cultures se fêtent mutuellement dans une lumière éclatante, II - Egarés par la faim Délire des marins accablés par la faim, la soif et le scorbut, (chant IV strophes 70-71 et 81-83) Mer d'huile, chaleur accablante, Sans transition, la frénésie du premier mouvement fait place à la maladie et la mort, On reconnaît les fanfares, mais elles ne sont plus que lambeaux, Les berceuses de l'enfance viennent hanter les agonisants, Interlude 1 - Le Vieillard du Restelo A Lisbonne, neuf mois plus tôt, devant les caravelles prêtes à lever l'ancre, un vieillard s'était élevé pour condamner l'appétit de gloire et la barbarie des hommes, déguisée sous le nom de bravoure, Il avait prédit aux marins de grandes épreuves, (chant IV strophes 94-104) Le souvenir de ces imprécations (accords énigmatiques, brouillés, lointains) se mêlent aux berceuses du mouvement précédent, III - La trombe marine Terreur des marins devant un cyclone, phénomène qui leur est inconnu, (chant V strophes 18-22) Véritable catharsis éclatant au ' furioso ' et se résorbant très progressivement, Ici plus qu'ailleurs, le hautbois sort de ses limites, Interlude 2 Cet épisode ne figure pas dans le texte de Camões, Après le passage de la trombe, les imprécations du vieillard planent à nouveau sur le bateau et n'en sont que plus solennelles, IV - L'île des Amours Vénus réserve aux valeureux survivants, découvreurs des Indes, une île enchanteresse peuplée de nymphes, (chant IX strophes 38-89) Ce ne sont pas les ébats des marins et des nymphes qui sont évoqués ici, mais le grouillant mystère de l'île, L'homme a abandonné toute ambition matérielle, Il fusionne avec le monde, / Hautbois
23.98 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: Sur commande | |
| Brun, Jérémy / Reynaud,
Armand : Kenny Barron :
The book - Relevés et
Analyses
En Français Piano seul [Partition] Lemoine, Henry
Transcriptions et analyses par Armand Reynaud et Jérémy Brun
Je su...(+)
Transcriptions et analyses par Armand Reynaud et Jérémy Brun
Je suis honoré d'écrire quelques mots à propos d'un des plus grands pianistes, Kenny Barron. Il a été une figure importante de la scène New Yorkaise durant quarante ans et il fait partie de l'élite des pianistes de jazz dans le monde.
J'ai tout d'abord rencontré Mr Barron en 1977 dans un haut lieu du duo piano/basse, au Bradley's, dans Greenwich Village. Je l'ai entendu à Cincinnati (dans la ville où j'habitais) en 1974 avec le Quartette de Yusef Lateef et fus très impressionné. Au Bradley's, il était chaleureux et a été très encourageant avec moi, pianiste de 21 ans récemment arrivé à Big Apple (New York). Le moment venu, il me laissa m'asseoir avec son bassiste, le grand Buster Williams - ce fut un réel plaisir.
Lorsque j'ai commencé à réaliser des CD pour le bénéfice de Classical Action : Performing Arts Against AIDS, dans le début des années 90, je lui ai demandé de participer au second enregistrement Fred Hersch and Friends : The Duo Album en jouant un duo avec moi. Cette organisation collecte des fonds vraiment nécessaires pour les services de personnes atteintes du Sida et la prévention. Kenny, sans attendre, donna de son temps et joua magnifiquement. Il apparaît aussi sur le disque suivant, The Richard Rodgers Centennial Solo Jazz Piano Album .
Nous avons également joué à deux pianos à New York au Town Hall et deux fois au Jazz Standard, pour mon plus grand plaisir. C'est un partenaire merveilleux et compréhensif, disposé à tout essayer. Bien qu'il soit difficile de l'identifier, et je ne veux le mettre dans aucune sorte de boîtes, je perçois son style comme étant en grande partie influencé par McCoy Tyner (les lignes longues et claires) et Tommy Flanagan (le phrasé et l'utilisation de l'espace). Il a réussi à obtenir le statut rare de maître du jazz par la vertu de sa longévité, sa profondeur et sa musicalité. Nous partageons tous les deux une passion pour la musique de Monk, Strayhorn et de l'American Popular Songbook et nous sommes tous les deux de grands partisans de l'idée de rendre ce que nous avons absorbé en enseignant aux jeunes pianistes et en devenant leurs mentors.
En plus, il a une personnalité chaleureuse et engageante - il est d'un grand soutien, a un grand sens de l'humour et une attitude posée. Je suis très heureux que ce livre puisse apporter un éclairage sur le parcours du pianiste Kenny Barron - je suis sûr que cela sera d'une grande valeur musicale et historique pour tous ceux qui suivent l'évolution du piano jazz. / Jazz / Partition /
54.50 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Méthode Vol.2 : 14
Grandes Leçons
(JOUBERT CLAUDE-HENRY)
En Français Violoncelle Combre
Par JOUBERT CLAUDE-HENRY. Le premier volume de cette méthode s'adressait aux é...(+)
Par JOUBERT CLAUDE-HENRY. Le premier volume de cette méthode s'adressait aux élèves débutants - ce deuxième volume est destiné aux élèves à partir du milieu du 1er cycle. Il est divisé en 14 'grandes leçons'. Chaque leçon peut faire l'objet d'un travail d'au moins deux semaines...
La leçon 13 (variations de Mozart) peut être utilisée comme une sorte de recueil d'études. Les grandes difficultés solfégiques qu'elle présente ne sont pas fortuites. Il semble indispensable que la découverte de nouveaux rythmes et de nouvelles écritures (les ornements par exemple) s'effectue au sein de la classe d'instrument, découverte portée par des textes de la plus grande qualité (Mozart...). Cette remarque s'applique également à la Siciliana de Haendel ou au Concerto per flautino de Vivaldi.
L'objectif de cet ouvrage est d'enseigner à chaque élève une méthode de travail. Les quatre pages qui composent chaque leçon obéissent à une construction logique que l'auteur a cherché à rendre perceptible. Tous les doigtés ne sont pas indiqués - apprendre à trouver de bons doigtés est une formation indispensable dès le début des études instrumentales.
L'invention est un fil conducteur important de cette méthode. Redisons-le : il ne s'agit pas de récréation, mais d'un élément fort et fondateur de l'éducation musicale et technique d'un violoncelliste. Ainsi chaque leçon propose :
- un prélude, dont il faut inventer tout ou partie,
- un exercice d'invention.
On trouvera quelques conseils destinés aux élèves, sur les coups d'archet, les doigtés, les démanchés, etc. - ils ne peuvent en aucun cas remplacer ceux du professeur... On a préféré commencer par l'extension arrière du premier doigt, plus aisée, peut-être, que l'extension avant pour laquelle toute la main est sollicitée. Mais le professeur pourrait inverser les leçons 2 et 3...
Un grand merci à Sébastien Robert qui enseigne le violoncelle au Conservatoire du Pays de Montbéliard et dirige l'Académie musicale de Lunéville. Il a relu ces pages, exprimé d'utiles appréciations, proposé de bons doigtés, et donné à l'auteur de très précieux conseils. / méthode - études / Méthode / Violoncelle
32.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Compilation : Un Siècle
de Chansons Françaises :
1959-1969
En Français Ligne De Mélodie, (Paroles) et
Accords [Partition] Fortin
L'essentiel du patrimoine français dans une collection qui couvrira la totalitÃ...(+)
L'essentiel du patrimoine français dans une collection qui couvrira la totalité du siècle. Un sommaire alphabétique et un sommaire par année pour reconstituer l'ambiance de l'époque et interpréter les airs connus ou introuvables. 301 Chansons dans chaque volume. / Variétés / Partition /
40.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
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