| Pianolude Volume 1 En Français Piano seul [Partition + CD] - Débutant Van de Velde
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Piano...(+)
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Pianolude aborde des aspects de l'enseignement du piano rarement évoqués côte à côte dans un même recueil: intégrer la musique de notre temps à l'enseignement traditionnel. Parallèlement à l'apprentissage traditionnel et progressif du jeu pianistique, Pianolude convie les enfants à jouer avec l'ensemble des ressources sonores de l'instrument. Le CD inclus dans l'ouvrage propose l'interprétation de l'ensemble du répertoire et fournit des exemples de réalisation des activités de création.
Presse : Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
A lui seul, le titre de ce recueil est tout un programme. Pianolude associe l'instrument et le jeu, mêlant les aspects les plus traditionnels de l'apprentissage pianistique à une exploration ludique de l'instrument.
Comme un livre d'images. Sa présentation, très esthétique, regorge d'illustrations poétiques et humoristiques dignes des plus jolis albums pour enfants. Le graphisme clair, les caractères en lettres attachées, le papier légèrement glacé et la reliure à spirales en font un album agréable à feuilleter sur lequel on s'attarde volontiers. Les premières pages se parcourent comme un livre d'images. On y découvre quelques suggestions de jeu autour du piano. L'élève peut ainsi s'en inspirer pour explorer et découvrir de lui-même tout un monde sonore: timbres, intensités, durées, tessitures, modes de jeu... et s'approprier ainsi ce monstre sonore qu'est le piano.
L'enfant prenant graduellement possession de l'instrument, l'approche de la lecture se fait graduellement à partir du do central, mains alternées. On s'échappe assez vite de l'incontournable do majeur pour explorer des échelles plus colorées. Les notions musicales et solfégiques sont abordées de manière très progressive, associant chaque nouvel élément théorique à l'étude d'une pièce musicale. L'introduction des altérations se fait assez tôt et les mains se déplacent plutôt rapidement sur l'ensemble du clavier par le biais des 8va.
Jouer tout seul ou avec les autres. La plupart des pièces sont présentées avec un accompagnement du professeur - ou d'un élève plus avancé - dont les harmonies, enrichissant les mélodies jouées par l'élève, viennent parfois chatouiller l'oreille de légères dissonances et taquiner l'imaginaire de sonorités nouvelles. De nombreuses pièces sont écrites pour quatre, six ou huit mains. Conçues comme des pièces à géométrie variable, on peut n'en jouer que la partie principale - écrite en grosses notes - ou bien y associer les autres parties en les distribuant à d'autres élèves pour une version plus collective. Ces pièces, plus abordables que les pièces en solo, véritable intermède récréatif dans la progression de l'élève, constituent ainsi un bon outil pour la lecture à vue et la pratique collective.
Tout un monde sonore. Le répertoire très éclectique des pièces de Pianolude est constitué en grande majorité de compositions originales. On y trouve quelques arrangements de chansons du répertoire populaire traditionnel: Au clair de la lune, j'ai perdu mon âne, Ah vous dirai-je maman... quelques petites pièces un peu jazzy: New Orleans Parade, Comme un blues, Oh When the saints... D'autres, plus exotiques, comme La petite maison russe ou La poupée chinoise, invitent doucement au voyage musical.
Mais la plus grande originalité de cette méthode réside dans l'introduction d'un langage plus contemporain, incluant les codages non traditionnels et des modes de jeux spécifiques (clusters, glissandi, notes muettes, séquences aléatoires, écriture graphique. jeu dans les cordes...), mettant la musique contemporaine à la portée des plus réfractaires. La première pièce, intitulée En colère, écrite dans une alternance de notes traditionnelles (deux notes autour du do central), de clusters et de petites séquences d'improvisation guidées, regorge d'indications expressives: en colère, en se calmant, grosse colère, ...énorme colère, ...très calme. Sans efforts considérables et par le biais des humeurs et de leurs contrastes, l'élève aborde les rudiments du codage musical: aigu/grave, bas/haut, droite/gauche, fort/doux, long/court... Parmi les autres pièces utilisant un langage contemporain, on trouve l'irrésistible Chant des étoiles, qui recueille un succès certain auprès des élèves - et de leurs parents - mêlant clusters, notes aléatoires, glissando dans une ambiance délicieusement céleste, scintillante, toute faite de résonances entremêlées. Les ambiances proposées à travers ces courtes pièces rejoignent l'imaginaire de l'élève et permettent par ce biais de développer son sens de l'écoute et d'accroître sensiblement sa palette sonore.
Un CD, inclus dans l'ouvrage, présente l'enregistrement de la plupart des pièces de la méthode, interprétées sur un vrai piano avec beaucoup de finesse et de musicalité, ainsi que des exemples de réalisation de petites créations effectuées par des enfants. Celles-ci constituent des pistes pour l'improvisation et, pourquoi pas, pour l'élaboration d'un langage plus personnel.
Pédagogie du piano contemporain ou pédagogie contemporaine du piano? Cette méthode est le résultat d'une réflexion collective des auteurs, inspirée par l'expérience sur le terrain d'une pédagogie de la musique contemporaine. Sans que celle-ci soit assénée manière obsessive, Pianolude s'en inspire pour éveiller la curiosité de l'élève pour des sonorités moins conventionnelles que la plupart de celles des méthodes plus traditionnelles. Si cet ouvrage peut paraître au premier abord un peu dispendieux, la qualité de sa présentation et la richesse de son contenu dépassent de loin le prix qu'il en coûte.
Le choix d'une méthode est souvent difficile, très personnel et toujours subjectif. On choisit une méthode parce qu'elle adhère aux principes de notre enseignement, qu'elle répond aux besoins du moment et traduit un certain état d'esprit. À moins qu'il ne s'agisse d'un état d'âme. On s'y essaye comme on essaye un nouveau vêtement. Avec le temps, on s'y sent parfois un peu à l'étroit, un peu mal à l'aise. Alors on en change. Pour avoir essayé Pianolude, l'avoir testé, expérimenté, pratiqué depuis sa parution en 2002 avec la plupart de mes élèves débutants, je peux dire que j'ai trouvé là vêtement à ma taille.
En résumé, c'est un support riche et éclectique pour la première année d étude du piano. À l'aide de son vaste choix de pièces, le professeur peut établir son propre parcours, en fonction de ses propres goûts et de ceux de ses élèves. Son approche ludique favorise la recherche et la créativité tout en intégrant une certaine exigence musicale et en incitant à une écoute active et à un jeu expressif.
Un petit avertissement cependant: certains jeux ou pièces musicales requièrent nécessairement l'utilisation d'un vrai piano (qui vibre et résonne de toutes ses cordes). / Méthodes and Etudes Instrumentales / Partition / Barkeshli, Pari / Chartreux, Annick / Guérin-Descouturelle, Valérie / Joste, Martine
35.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 1 ex. en stock, commandez vite ! | |
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.4 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Menuet 1 (WSW 1.8) Menuet 2 (WSW 1.9) Gavotte (WSW 1.10) Gavotte et Double (WSW 2.8/WSW 2.9) Prélude (WSW 4.1) Ouverture (WSW 4.2) Courante (WSW 4.3) Bourrée (WSW 4.4) Allegro (WSW 1*) Courante Royale (WSW 2*) Prélude (WSW 10.1) [Menuet '] (WSW 4*) Fuga (WSW 6*) Fuga (WSW 7*) L'Amant malheureux (WSW 8*) Fantasie (WSW 9*) [Menuet] (WSW 10*) Plainte (WSW 15.1) Tombeau du Baron d'Hartig (WSW 11*) [Bourrée '] (WSW 12*) Menuet (WSW 13*) Gavotte (WSW 14*) Menuet (WSW 15*) Praelude [and Fugue] (WSW 17*) [Menuet] (WSW 18*) Trio (WSW 19*) Bourrée (WSW 31.7*) Tombeau de Logy (WSW 20*) Prélude de Weiss (WSW 21*) Fantaisie (WSW 24*) Menuet (WSW 22*) Gavotte (WSW 23*) Capricio (WSW 25*) Menuet 1 (WSW 26*) Menuet 2 (WSW 27*) Mademoiselle Tiroloise (WSW 28*) Bourrée (WSW 13.4) / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
42.90 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.1 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 1 (WSW 1) en mi M Sonata 2 (WSW 2) en ré M Sonata 3 (WSW 3) en sol m Sonata 4 (WSW 5) en sol M Sonata 5 (WSW 7) en ré m Sonata 6 (WSW 10) en mi M Sonata 7 (WSW 11) en ré m Sonata 8 (WSW 12) en la M Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
53.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.2 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 10 (WSW 15) en la M Sonata 11 (WSW 16) en sol M Sonata 12 (WSW 17) en do M Sonata 13 (WSW 18) en ré M Sonata 14 (WSW 19) en mi M Sonata 15 (WSW 21) en mi m Sonata 16 (WSW 22) en sol M Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.3 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 18 (WSW 24) en do M Sonata 19 (WSW 25) en sol m Sonata 20 (WSW 26) en ré M Sonata 21 (WSW 27) en ré m Sonata 22 (WSW 28) en mi M Sonata 23 (WSW 29) en la m Sonata 24 (WSW 30) en mi M Sonata 25 (WSW 31) en mi M Sonata 26 (WSW 32) en mi M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.5 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Concert d'un luth et d'une flûte traversière WSW 6 Concert d'un luth avec une flûte traversière WSW 8 Concert d'un luth avec la flûte traversière WSW 9 Duo 4 WSW 14 en sol m Duo 5 WSW 20 en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
62.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Oxford Service Music For
Organ: Manuals Only, Book
3 (MARSDEN THOMAS ANNE) Orgue [Partition] - Facile Oxford University Press
Par MARSDEN THOMAS ANNE. Musiciens Importante collection de musique d'orgue pour...(+)
Par MARSDEN THOMAS ANNE. Musiciens Importante collection de musique d'orgue pour les étudiants, les joueurs, et l'église de tous les niveaux et les capacités
Chaque groupe livre des pièces en fonction des besoins de service: Préludes, Interludes, processions, Postludes
Mélodieux, répertoire attrayant, couvrant cents 16e au 21e. avec quelques nouvelles pièces écrites spécialement pour la collection
Les plus grands compositeurs de l'instrument bien représentés
Pieces nouveau modifié de présenter la musique de façon claire et pratique pour les joueurs, avec des suggestions d'enregistrement et de tempo pour chaque pièce
Une forte représentation dans les syllabus ABRSM nouvelles (à partir de 2011)
Noté collection: env. livre 1 Grades 1-4- réserver 2 Gr. 4-6, livre 3 gr. 6-8
Editeur de haut-profil, des enseignants de premier plan et organiste de concert
Il s'agit d'une importante collection de musique d'orgue pour les étudiants, les joueurs, et les musiciens d'église de tous les niveaux et les capacités. Compiler et rédacteur en chef Anne Marsden Thomas a tiré sur sa longue expérience de l'enseignement et la lecture pour sélectionner les plus intéressantes, le répertoire mélodieux dans deux nouvelles séries d'anthologies classé, un ensemble (3 volumes) pour les manuels seulement, la seconde série (3 volumes) pour claviers et pédalier.
Dans chaque produit, les pièces sont regroupées selon les besoins de services en préludes, intermèdes, processions, et Postludes. Le répertoire s'étend du 16e au 21e siècle, avec quelques nouvelles pièces écrites spécialement pour la collection. Un certain nombre de pièces dans la collection ont été sélectionnés pour le programme d'organes ABRSM.
Le résultat est une magnifique collection de répertoire pour tous les joueurs, contenant une foule de morceaux attrayants et variés qui offrent beaucoup de soutien pratique pour les musiciens d'église et d'enrichir et de développer leur jeu. / Niveau : Facile / Recueil / Orgue
23.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Pièces De Clavecin
Second Livre (1717) For
Harpsichord Clavecin Barenreiter
Avec 8 Préludes et 1 Allemande De 'L'Art De Toucher Le Clavecin' (1716-1717). P...(+)
Avec 8 Préludes et 1 Allemande De 'L'Art De Toucher Le Clavecin' (1716-1717). Par COUPERIN LOUIS. Once again the French musicologist Denis Herlin, who mastered the harpsichord under the tutelage of such keyboard legends as Kenneth Gilbert and Huguette Dreyfus, has presented an exemplary edition of a classic from the harpsichord repertoire.' (Jury of the German Music Edition Prize on BA 10844)
Bärenreiter presents Book II of Couperin's 'Pièces de clavecin”, first published in 1717, In addition the eight preludes and one allemande from his treatise 'L'Art de toucher le clavecin” are included in the appendix. For the first time Denis Herlin has evaluated the many later impressions of the original print, most of which he unearthed himself in international libraries. By preserving the essential features of the original print while largely dispensing with disruptive page-turns within the pieces, the volume brings modern performers close to the special sound of this music. Rounding off this pioneering new edition are an extensive Foreword, notes on historical performance practice, a comprehensive glossary, facsimile pages and a detailed Critical Commentary.
- Pioneering edition with the first-time evaluation of an extensive body of sources
- Includes Couperin's original expression marks
- Contains nine original compositions from 'L'Art de toucher le clavecin”(1716-17)/ Répertoire / Clavecin
63.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Petite Trilogie Pour Deux
Violons (SATIE ERIK) En Français 2 Violons (duo) [Partition] - Débutant Lemoine, Henry
Par SATIE ERIK. Cette petite trilogie d´Erik Satie a été transcrite pour 2 je...(+)
Par SATIE ERIK. Cette petite trilogie d´Erik Satie a été transcrite pour 2 jeunes violonistes (niveau débutant en 1ère position) voulant rapidement pratiquer la musique d´ensemble. Cette partition pour deux violons et récitant facultatif permet d´aborder dès la première année d´instrument l´univers musical, original, du compositeur.
Le petit texte figure sur la partition d´Erik Satie. Les jeunes élèves d´aujourd´hui pourront sourire devant la description des personnages et de leur environnement. Mais nous sommes en 1913 et on sait l´humour et la fantaisie qui caractérisaient Erik Satie dans sa vision de l´époque.
Menus propos enfantins (Le chant guerrier du Roi des haricots - Ce que dit la petite Princesse des Tulipes - Valse du Chocolat aux Amendes) - Enfantillages pittoresques (Petit prélude à la journée - Berceuse - Marche du Grand Escalier) - Pecadilles importantes (Etre jaloux de son camarade qui a une grosse tête - Lui manger sa tartine - Profiter de ce qu´il a des cors aux pieds pour lui prendre son cerceau) / Niveau : Débutant / classique / Répertoire / 2 Violons
15.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Piano Scores Unlimited En Français Piano seul [DVD-ROM] IPE Music
Ecoles de Musique, Conservatoires, Médiathèques, Etablissements Scolaires, Pro...(+)
Ecoles de Musique, Conservatoires, Médiathèques, Etablissements Scolaires, Professeurs de Piano, Pianistes débutants ou confirmés, Concertistes... désormais, vous pouvez imprimer, utiliser et faire circuler librement un grand répertoire de partitions sans que ce soit considéré comme une photocopie pour les cours, les examens, les auditions, les concerts, le travail chez soi'
Voici les plus grand répertoire de partitions pour Piano libre de droit et sans restrictions sur un seul DVD-Rom comprenant : - 630 Oeuvres Majeures doigtées avec soin et classées par niveau de difficulté - 2 500 Pages de Musique à imprimer dans une qualité irréprochable - 26 heures d'écoute au format MP3 à exporter et à utiliser sans limitation
Quelques exemples d'utilisation
Installé dans une salle de cours, chaque professeur aura le loisir de faire écouter à son élève chaque morceau enregistré par des pianistes virtuoses. Puis le professeur imprimera naturellement la partition que l'élève emportera avec lui pour travailler à la maison. Pour les cours de musique collectifs, cours d'initiation dans les Ecoles primaires, Collèges, Lycées, Conservatoires', une solution ludique et inépuisable pour faire découvrir la musique des grands compositeurs. Le professeur imprime pour chaque élève la partition qu'il aura choisi de faire travailler, déchiffrer, expliquer, avec l'aide de l'Audio. Quoi qu'il en soit, même pour les bibliothèques, vous disposez d'un répertoire complet à imprimer à l'infini sans que ce soit considéré comme du « photocopillage » puisque les oeuvres contenues dans Piano Score Unlimited appartiennent au domaine public. Imprimez des partitions d'une qualité graphique exceptionnelle ! Doigtée avec soin, chaque partition est tirée de la première édition ou de l'oeuvre originale du compositeur. Pour vous aider dans vos choix, les pièces ont été classées par compositeur et par niveau de difficulté. Exportez le fichier MP3 qui a été interprété par des pianistes virtuoses pour l'utiliser sans restriction et libre de droit, agrémenter vos DVD, élaborer des programmes d'écoute pour vos élèves ou vous-même...
Débutez en travaillant les exercices du recueil « Le Premier Maître du Piano Opus 599 », « Les Cinq Doigts Opus 777 », « Les Etudes » de Czerny ou de Burgmuller, le célèbre « petit livre » d'Anna Magdalena BACH' Déchiffrez les partitions de l'incontournable répertoire de Piano : « Le Clavecin bien tempéré » de JS BACH ou les « Sonatines » de Clémenti ' Interprétez les « Nocturnes », « Préludes », « Mazurkas »,Grandes « Valses » de Chopin, les airs les plus connus (« Fantaisie », « Marche turque », « Petite Sonate`) et `Sonates` de Mozart, les « Petits Préludes » ou les fameuses « Fugues », les « Inventions à 2 et 3 voies » de J.S.Bach, les « Romances sans Paroles » de Mendelssohn, l' « Album pour la jeunesse », « Scènes d'enfants » de Schumann, les « Moments Musicaux », les « Impromptus » de Schubert, « Les Arabesques », le « Children's Corner » ,« Le Petit Nègre» de Debussy, les « Ragtimes » de Scott Joplin, pour ne citer qu'eux... De Haendel, Schubert, Beethoven, en passant entre autres par Tchaïkovski ou Purcell, Couperin, Gounod, Scarlatti'. / DVD /
59.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Premier Livre
D'Orgue Orgue Anne Fuzeau Productions
Edition : Paris, Baussend, Le Maire, Rouen, l'Auteur, 1690.Présentation de Marc...(+)
Edition : Paris, Baussend, Le Maire, Rouen, l'Auteur, 1690.Présentation de Marcel Degrutère : La vie et l'oeuvre de Boyvin.Ces deux livres comptent parmi les chefs-d'oeuvre de la musique d'orgue classique - : beauté et parfois hardiesse de l'harmonie, élégance et expressivité mélodique. Le traité d'accompagnement de Boyvin accompagne son second livre. / Orgue / 136 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 23.5 X31.5
56.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Prélude Et
Confettis (PROUST PASCAL) Saxophone Soprano ou Saxophone
Ténor et Piano [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire FLEX Editions
Par PROUST PASCAL. Petit prélude à un jour de fête, une musique légère dest...(+)
Par PROUST PASCAL. Petit prélude à un jour de fête, une musique légère destinée aux jeunes instrumentistes de fin de cycle 1. - Pascal PROUST - Formation : Musique de Chambre, Duo, Solo and Accompagnement Piano - Instrumentation : 1 Saxophone Soprano ou Ténor 1 Piano - Niveau de Difficulté : 3/6 - Intermédiaire - Durée : 3 mn 20 s - Style Musical : Classique, Pédagogique - Catégorie : Composition Originale - Compositeur : Pascal PROUST - / Niveau : Intermédiaire / Classique, Pédagogique / Répertoire / Saxophone Soprano ou Saxophone Ténor et Piano
15.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| 35 Petits Morceaux pour
piano - Niveau Facile En Français Piano Facile [Partition] - Facile Durand
Par . Un parcours au fil de 35 pièces parmi les plus représentatives des prest...(+)
Par . Un parcours au fil de 35 pièces parmi les plus représentatives des prestigieux catalogues Max Eschig, Durand et Salabert. Les morceaux sont disposés par ordre de difficulté d?exécution croissante. Édition fondamentale pour un voyage dans le monde du piano à travers le répertoire didactique du siècle dernier. / Niveau : Facile / Date parution : 2022-07-23/ Recueil / Piano
17.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Petite Messe Solennelle
(ROSSINI GIOACHINO) Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et piano Barenreiter
Par ROSSINI GIOACHINO. La 'Petite Messe solennelle' est le plus beau travail ces...(+)
Par ROSSINI GIOACHINO. La 'Petite Messe solennelle' est le plus beau travail ces dernières années de Rossini. Il a composé entre 1863 et 1864 à l'âge de 71 ans à titre de commission pour la comtesse Louise Pillet-Will pour la consécration de sa chapelle privée, où le travail a reçu sa première représentation en Mars 1864. Avec le 'Stabat mater', la masse est l'une des oeuvres sacrées mostimportant du compositeur.
L'instrumentation inhabituelle avec deux pianos et harmonium est tout à fait conforme à la tradition du clavier napolitaine du 18ème siècle qui a été cultivé en France à l'époque de Rossini. Il forme un contraste frappant avec le style des compositions sacrées de grande envergure comme l'a écrit, par exemple, Liszt et Bruckner. Rossini a expliqué qu'il a écrit la version orchestrale tard du travail datant de 1867 de crainte que s'il ne le faisait pas, d'autres compositeurs pourraient orchestrer la masse trop lourdement dans les accords ultérieurs.
La réduction pour piano par Andreas Kohs est très idiomatique et préserve en grande partie le caractère charmant de l'instrumentation inhabituelle.
- Basé sur le Urtext de la série 'oeuvres de Gioachino Rossini'
- Avant-propos en deux langues (anglais / allemand)
- Avec une part d'harmonium séparée et une partie de pianos I et II
'... Il est très difficile d'imaginer quelqu'un arriver à un texte plus savante, précis et pratiquement utile que cela.'
(Classics aujourd'hui Juillet 2010)
'Aucun compositeur dans la première moitié du 19e siècle a connu la mesure du prestige, la richesse, succès populaire ou de l'influence artistique qui appartenait à Gioachino Rossini. Ses contemporains l'ont reconnu comme le plus grand compositeur italien de son temps. Ses réalisations jeté dans l'oubli le monde de l'opéra de Cimarosa et Paisiello, la création de nouvelles normes par rapport auxquelles d'autres compositeurs devaient être jugés. C'est à la fois Bellini et Donizetti taillé styles personnels est indéniable, mais ils ont travaillé dans l'ombre de Rossini, et leurs personnalités artistiques ont émergé dans la confrontation avec ses opéras. Pas jusqu'à l'avènement de Verdi était Rossini remplacé au centre de la vie de l'opéra italien. '
(Philip Gossett, The New Grove Dictionary of Music and Musicians)/ Répertoire / Chant et Piano
22.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Konzert Im
Flötenzirkus 1 Ou 2 Flûtes A Bec Soprano Schott
Cette fois, il est dans une flûte cirque concert festif avec une variété des ...(+)
Cette fois, il est dans une flûte cirque concert festif avec une variété des plus belles mélodies de cinq siècles qui connaissent beaucoup de grands musiciens au cours de leur formation et ont appris à jouer. Maintenant, les petits musiciens sont sur ??la liste! Dans la partie avant de la question sont des pièces qui peuvent être lus avec le groupe en deux et trois de 'cirque de Flûte' apprises tons immédiatement. Pour les pièces à l'arrière de la capacité est de volume trois du 'Cirque de flûte' est nécessaire. Les mélodies sont fixés sonore et garantissent un caractère propre de concert. / 1 Ou 2 Flûtes A Bec Soprano
18.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Diapason Rouge Vol. 2 En Français Paroles et Accords Presses d'lle de France
400 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
La s...(+)
400 chants de veillée et de variété française avec accords de guitare
La sélection de ce second carnet, publiée en 1996, comprend des chants traditionnels et de veillées, cependant elle met davantage l?accent sur la variété interprétée par Bruel, Cabrel, Gainsbourg, Mitchell, Le Forestier ou les Beatles? Le classement des chansons est le même que celui du premier volume : 'Salut l?artiste' pour la variété française, 'Au rythme du monde' pour les chansons à thème, 'Racines et couleurs du temps' pour le folklore et le patrimoine des mouvements de jeunes, 'Fêtes et rencontres' pour les moments de fête, et une sélection de 'Canons et ritournelles' pour terminer le carnet.
21.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 2 ex. en stock, commandez vite ! | |
| 3Eme Recueil De
Pièces, Petits
Airs, Brunettes, Menuets,
Etc.- S.D. (=1757) Orchestre de chambre Anne Fuzeau Productions
Edition : Paris, l'Auteur, Bayard, Leclerc, s.d. (=1744)Pièces à deux instrume...(+)
Edition : Paris, l'Auteur, Bayard, Leclerc, s.d. (=1744)Pièces à deux instruments égaux, particulièrement deux flûtes seules, de différents auteurs, dont Blavet. Certaines pièces suivies de variations.Présentation par Jean SaintArroman : Utilisation pédagogique des pièces.Ces trois recueils de pièces à deux flûtes seules, offrent un panorama de la musique du milieu du XVIIIe siècle en France, avec l'ajout de quelques airs étrangers. Les pièces sont de difficultés variées. Les phrasés sont très bien indiqués, et l'agrémentation, détaillée dans l'introduction, est très représentative du classicisme français. / Musique De Chambre / 96 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 23.5 X 31.5
45.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Messe De Mort Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et
Orchestre Eulenburg
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Mi...(+)
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Missa ad maiorem Dei Gloriam, la Messe de mort et un grand nombre de grands motets. Toutes ces oeuvres démontrent la maîtrise du compositeur de conventions théâtrales - descriptives préludes instrumentales et scènes dramatiquement représentants ne sont pas rares - et leur style est imprégnée de l'esprit italianisant mondaine, à la mode de l'époque. La Messe de la mort est aujourd'hui l'un des plus souvent jouées des oeuvres sacrées de Campra et c'est aussi l'un des plus énigmatiques scores de toute sa production. L'occasion de sa commission et la première performance sont inconnus. Montagnier, toutefois, propose l'hypothèse que la Messe de mort a été expressément composée pour le service commémoratif pour Philippe II duc d'Orléans (patron de Campra depuis 1697) qui est mort à Versailles le 4 février 1723. / Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et Orchestre
25.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Messe De Mort Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et
Orchestre Eulenburg
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Mi...(+)
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Missa ad maiorem Dei Gloriam, la Messe de mort et un grand nombre de grands motets. Toutes ces oeuvres démontrent la maîtrise du compositeur de conventions théâtrales - descriptives préludes instrumentales et scènes dramatiquement représentants ne sont pas rares - et leur style est imprégnée de l'esprit italianisant mondaine, à la mode de l'époque. La Messe de la mort est aujourd'hui l'un des plus souvent jouées des oeuvres sacrées de Campra et c'est aussi l'un des plus énigmatiques scores de toute sa production. L'occasion de sa commission et la première performance sont inconnus. Montagnier, toutefois, propose l'hypothèse que la Messe de mort a été expressément composée pour le service commémoratif pour Philippe II duc d'Orléans (patron de Campra depuis 1697) qui est mort à Versailles le 4 février 1723. / Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et Orchestre
6.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Messe De Mort Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et
Orchestre Eulenburg
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Mi...(+)
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Missa ad maiorem Dei Gloriam, la Messe de mort et un grand nombre de grands motets. Toutes ces oeuvres démontrent la maîtrise du compositeur de conventions théâtrales - descriptives préludes instrumentales et scènes dramatiquement représentants ne sont pas rares - et leur style est imprégnée de l'esprit italianisant mondaine, à la mode de l'époque. La Messe de la mort est aujourd'hui l'un des plus souvent jouées des oeuvres sacrées de Campra et c'est aussi l'un des plus énigmatiques scores de toute sa production. L'occasion de sa commission et la première performance sont inconnus. Montagnier, toutefois, propose l'hypothèse que la Messe de mort a été expressément composée pour le service commémoratif pour Philippe II duc d'Orléans (patron de Campra depuis 1697) qui est mort à Versailles le 4 février 1723. / Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et Orchestre
60.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Messe De Mort Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et
Orchestre Eulenburg
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Mi...(+)
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Missa ad maiorem Dei Gloriam, la Messe de mort et un grand nombre de grands motets. Toutes ces oeuvres démontrent la maîtrise du compositeur de conventions théâtrales - descriptives préludes instrumentales et scènes dramatiquement représentants ne sont pas rares - et leur style est imprégnée de l'esprit italianisant mondaine, à la mode de l'époque. La Messe de la mort est aujourd'hui l'un des plus souvent jouées des oeuvres sacrées de Campra et c'est aussi l'un des plus énigmatiques scores de toute sa production. L'occasion de sa commission et la première performance sont inconnus. Montagnier, toutefois, propose l'hypothèse que la Messe de mort a été expressément composée pour le service commémoratif pour Philippe II duc d'Orléans (patron de Campra depuis 1697) qui est mort à Versailles le 4 février 1723. / Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et Orchestre
7.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Messe De Mort Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et
Orchestre Eulenburg
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Mi...(+)
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Missa ad maiorem Dei Gloriam, la Messe de mort et un grand nombre de grands motets. Toutes ces oeuvres démontrent la maîtrise du compositeur de conventions théâtrales - descriptives préludes instrumentales et scènes dramatiquement représentants ne sont pas rares - et leur style est imprégnée de l'esprit italianisant mondaine, à la mode de l'époque. La Messe de la mort est aujourd'hui l'un des plus souvent jouées des oeuvres sacrées de Campra et c'est aussi l'un des plus énigmatiques scores de toute sa production. L'occasion de sa commission et la première performance sont inconnus. Montagnier, toutefois, propose l'hypothèse que la Messe de mort a été expressément composée pour le service commémoratif pour Philippe II duc d'Orléans (patron de Campra depuis 1697) qui est mort à Versailles le 4 février 1723. / Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et Orchestre
6.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Messe De Mort Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et
Orchestre Schott
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Mi...(+)
Musique sacrée de Campra comprend 5 livres de petits motets, la polyphonique Missa ad maiorem Dei Gloriam, la Messe de mort et un grand nombre de grands motets. Toutes ces oeuvres démontrent la maîtrise du compositeur de conventions théâtrales - descriptives préludes instrumentales et scènes dramatiquement représentants ne sont pas rares - et leur style est imprégnée de l'esprit italianisant mondaine, à la mode de l'époque. La Messe de la mort est aujourd'hui l'un des plus souvent jouées des oeuvres sacrées de Campra et c'est aussi l'un des plus énigmatiques scores de toute sa production. L'occasion de sa commission et la première performance sont inconnus. Montagnier, toutefois, propose l'hypothèse que la Messe de mort a été expressément composée pour le service commémoratif pour Philippe II duc d'Orléans (patron de Campra depuis 1697) qui est mort à Versailles le 4 février 1723. / Solistes, Choeur Mixte (SATB) Et Orchestre
13.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
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