| Celtic Fake Book Over 400
Songs 'C' Instruments en Do [Fake Book] Hal Leonard
Edition c. La popularité de la musique celtique a explosé au cours des dix der...(+)
Edition c. La popularité de la musique celtique a explosé au cours des dix dernières années en raison de la recrudescence des instruments folk, danse celtique et la culture irlandaise globale. Cette étonnante collection réunit plus de 400 chansons d'Irlande, Ecosse et du pays de Galles - complet, avec des paroles gaéliques, le cas échéant - et un guide de prononciation. Titres comprennent: à travers l'ouest de l'océan o avec mon amour, j'irai o autel Isle o ' la mer o Auld Lang Syne o Avondale o The Band Played On o o Barbara Allen bénédiction de la route o o The Blue Bells of Scotland The Lass Bonniest o o A Bunch of thym The Chanty que captif le o de la sorcière Colomb était un irlandais o o Danny Boy de Duffy bourdes o Erin ! OH Erin ! o o de sillage du père Murphy o Finnegan Galway Piper o la fille j'ai laissé derrière moi o a quelqu'un ici vu Kelly o je sais où je suis Irish Rover Goin ' o o Loch Lomond o o Molly Malone My Bonnie trouve au-dessus de l'océan o mon o Rose irlandais sauvage les rives du Amerikay o The Sons of Liberty o qui est un o berceuse irlandais lorsque irlandais Ey... / Instruments En C / 256 pages / Partition
40.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Pianolude Volume 1 En Français Piano seul [Partition + CD] - Débutant Van de Velde
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Piano...(+)
Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
Pianolude aborde des aspects de l'enseignement du piano rarement évoqués côte à côte dans un même recueil: intégrer la musique de notre temps à l'enseignement traditionnel. Parallèlement à l'apprentissage traditionnel et progressif du jeu pianistique, Pianolude convie les enfants à jouer avec l'ensemble des ressources sonores de l'instrument. Le CD inclus dans l'ouvrage propose l'interprétation de l'ensemble du répertoire et fournit des exemples de réalisation des activités de création.
Presse : Apprendre à jouer du piano c'est apprendre à jouer avec le piano.
A lui seul, le titre de ce recueil est tout un programme. Pianolude associe l'instrument et le jeu, mêlant les aspects les plus traditionnels de l'apprentissage pianistique à une exploration ludique de l'instrument.
Comme un livre d'images. Sa présentation, très esthétique, regorge d'illustrations poétiques et humoristiques dignes des plus jolis albums pour enfants. Le graphisme clair, les caractères en lettres attachées, le papier légèrement glacé et la reliure à spirales en font un album agréable à feuilleter sur lequel on s'attarde volontiers. Les premières pages se parcourent comme un livre d'images. On y découvre quelques suggestions de jeu autour du piano. L'élève peut ainsi s'en inspirer pour explorer et découvrir de lui-même tout un monde sonore: timbres, intensités, durées, tessitures, modes de jeu... et s'approprier ainsi ce monstre sonore qu'est le piano.
L'enfant prenant graduellement possession de l'instrument, l'approche de la lecture se fait graduellement à partir du do central, mains alternées. On s'échappe assez vite de l'incontournable do majeur pour explorer des échelles plus colorées. Les notions musicales et solfégiques sont abordées de manière très progressive, associant chaque nouvel élément théorique à l'étude d'une pièce musicale. L'introduction des altérations se fait assez tôt et les mains se déplacent plutôt rapidement sur l'ensemble du clavier par le biais des 8va.
Jouer tout seul ou avec les autres. La plupart des pièces sont présentées avec un accompagnement du professeur - ou d'un élève plus avancé - dont les harmonies, enrichissant les mélodies jouées par l'élève, viennent parfois chatouiller l'oreille de légères dissonances et taquiner l'imaginaire de sonorités nouvelles. De nombreuses pièces sont écrites pour quatre, six ou huit mains. Conçues comme des pièces à géométrie variable, on peut n'en jouer que la partie principale - écrite en grosses notes - ou bien y associer les autres parties en les distribuant à d'autres élèves pour une version plus collective. Ces pièces, plus abordables que les pièces en solo, véritable intermède récréatif dans la progression de l'élève, constituent ainsi un bon outil pour la lecture à vue et la pratique collective.
Tout un monde sonore. Le répertoire très éclectique des pièces de Pianolude est constitué en grande majorité de compositions originales. On y trouve quelques arrangements de chansons du répertoire populaire traditionnel: Au clair de la lune, j'ai perdu mon âne, Ah vous dirai-je maman... quelques petites pièces un peu jazzy: New Orleans Parade, Comme un blues, Oh When the saints... D'autres, plus exotiques, comme La petite maison russe ou La poupée chinoise, invitent doucement au voyage musical.
Mais la plus grande originalité de cette méthode réside dans l'introduction d'un langage plus contemporain, incluant les codages non traditionnels et des modes de jeux spécifiques (clusters, glissandi, notes muettes, séquences aléatoires, écriture graphique. jeu dans les cordes...), mettant la musique contemporaine à la portée des plus réfractaires. La première pièce, intitulée En colère, écrite dans une alternance de notes traditionnelles (deux notes autour du do central), de clusters et de petites séquences d'improvisation guidées, regorge d'indications expressives: en colère, en se calmant, grosse colère, ...énorme colère, ...très calme. Sans efforts considérables et par le biais des humeurs et de leurs contrastes, l'élève aborde les rudiments du codage musical: aigu/grave, bas/haut, droite/gauche, fort/doux, long/court... Parmi les autres pièces utilisant un langage contemporain, on trouve l'irrésistible Chant des étoiles, qui recueille un succès certain auprès des élèves - et de leurs parents - mêlant clusters, notes aléatoires, glissando dans une ambiance délicieusement céleste, scintillante, toute faite de résonances entremêlées. Les ambiances proposées à travers ces courtes pièces rejoignent l'imaginaire de l'élève et permettent par ce biais de développer son sens de l'écoute et d'accroître sensiblement sa palette sonore.
Un CD, inclus dans l'ouvrage, présente l'enregistrement de la plupart des pièces de la méthode, interprétées sur un vrai piano avec beaucoup de finesse et de musicalité, ainsi que des exemples de réalisation de petites créations effectuées par des enfants. Celles-ci constituent des pistes pour l'improvisation et, pourquoi pas, pour l'élaboration d'un langage plus personnel.
Pédagogie du piano contemporain ou pédagogie contemporaine du piano? Cette méthode est le résultat d'une réflexion collective des auteurs, inspirée par l'expérience sur le terrain d'une pédagogie de la musique contemporaine. Sans que celle-ci soit assénée manière obsessive, Pianolude s'en inspire pour éveiller la curiosité de l'élève pour des sonorités moins conventionnelles que la plupart de celles des méthodes plus traditionnelles. Si cet ouvrage peut paraître au premier abord un peu dispendieux, la qualité de sa présentation et la richesse de son contenu dépassent de loin le prix qu'il en coûte.
Le choix d'une méthode est souvent difficile, très personnel et toujours subjectif. On choisit une méthode parce qu'elle adhère aux principes de notre enseignement, qu'elle répond aux besoins du moment et traduit un certain état d'esprit. À moins qu'il ne s'agisse d'un état d'âme. On s'y essaye comme on essaye un nouveau vêtement. Avec le temps, on s'y sent parfois un peu à l'étroit, un peu mal à l'aise. Alors on en change. Pour avoir essayé Pianolude, l'avoir testé, expérimenté, pratiqué depuis sa parution en 2002 avec la plupart de mes élèves débutants, je peux dire que j'ai trouvé là vêtement à ma taille.
En résumé, c'est un support riche et éclectique pour la première année d étude du piano. À l'aide de son vaste choix de pièces, le professeur peut établir son propre parcours, en fonction de ses propres goûts et de ceux de ses élèves. Son approche ludique favorise la recherche et la créativité tout en intégrant une certaine exigence musicale et en incitant à une écoute active et à un jeu expressif.
Un petit avertissement cependant: certains jeux ou pièces musicales requièrent nécessairement l'utilisation d'un vrai piano (qui vibre et résonne de toutes ses cordes). / Méthodes and Etudes Instrumentales / Partition / Barkeshli, Pari / Chartreux, Annick / Guérin-Descouturelle, Valérie / Joste, Martine
35.00 EUR - vendu par Note4Piano Délais: En Stock Plus que 1 ex. en stock, commandez vite ! | |
| Coffret Great Piano Solos
Vol.2 Piano seul Amsco Wise Publications
A superb four-volume collection of over 180 solos for the intermediate level Pia...(+)
A superb four-volume collection of over 180 solos for the intermediate level Pianist. Includes popular film and show tunes - themes and songs from top TV shows - and classical favourites from choral works, concertos, ballets, operas and symphonies. / Piano
115.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Kane Joy - Mon Corps
Sait Chanter - Move That
Song Along ! + Cd En Français Formation musicale - Solfège Lemoine, Henry
Collection : La Musique, c'est toi (You are the Music) Nombre de pages : 36 La ...(+)
Collection : La Musique, c'est toi (You are the Music) Nombre de pages : 36 La musique, c'est toi est une série de recueils, souvent accompagnés de CD, regroupant des chansons qui sont porteuses d'enseignements musicaux spécifiques. Ces chansons encouragent le futur musicien, non seulement à apprendre, mais aussi à vivre la musique. Les appareils auditif et vocal, tous deux régis par le système nerveux, induisent une interaction entre l'écoute et l'émission, notamment dans la perception de la hauteur des sons. D'autre part, nous possédons tous un instrument de musique prodigieux et complexe, le corps, qui est trop souvent oublié par certains, voire gênant pour d'autres, lorsqu'il s'agit de bouger en musique. Il est donc intéressant d'associer à une mélodie, une expression corporelle, une gestuelle musicale. Pour réunir ces deux notions, l'auteur propose des chansons simples et cocasses, dont les textes illustrent, selon les recueils, un phénomène musical particulier. Etre la musique est l'objectif essentiel de ces recueils. La maîtrise progressive de points techniques, tels que la reconnaissance spontanée d'intervalles, d'accords, de rythmes et l'acquisition d'automatismes, permettront au musicien d'associer sans effort perception auditive, reconnaissance, interprétation. Enfin, l'auteur invite les pianistes accompagnateurs à prendre, au gré de leur inspiration, autant de liberté avec les accompagnements écrits, qu'il a pu en prendre lors de l'enregistrement. Joy Kane Diplômée du Cleveland Institut of Music (Ohio) et de l'Institut International de rythmique Jaques-Dalcroze de Genève, Joy Kane s'est installée à Paris en 1981. Durant les vingt années pendant lesquelles elle a vécu et enseigné en France et en Europe, sollicitée pour ses ateliers de rythmique, d'improvisation et de technique vocale, ses interventions et stages dans les écoles de musique classique et de jazz, les centres polyphoniques ou même dans le cadre de l'Education nationale, ont soulevé l'enthousiasme de ses élèves, professeurs de musique et de danse, qui se sont arrachés ses morceaux pédagogiques. Voici enfin regroupés et enregistrés, à la demande de nombreux enseignants, ces fameux morceaux, améliorés encore et encore, ainsi que des nouveaux, dans une série de recueils intitulée La musique, c'est toi.
24.90 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| 4 Sonnets De Louise
Labé -
Nécessités
De La Douleur (PENARD
OLIVIER) Soprano Solo, Quatuor à Cordes
et Piano [Partition] Jobert
Nécessités De La Douleur. Par PENARD OLIVIER. Le choix de ces quatre sonnets p...(+)
Nécessités De La Douleur. Par PENARD OLIVIER. Le choix de ces quatre sonnets parmi les vingt-quatre que Louise Labé a rédigé au cours de sa vie est dicté par un enchaînement dramatique rigoureux répondant à ma sensibilité de compositeur. Faisant ainsi écho à mon expérience personnelle, la forme quasi-opératique de ce cycle illustre les différents visages de la passion amoureuse, depuis l'émergence du sentiment jusqu'à sa chute inexorable.
Tour à tour emprunte de violence crue et de tendresse, la musique propose une incarnation sonore des vers de 'la belle cordière' où l'érotisme brutal est omniprésent.
Composé sans retenue, le premier mouvement expose les éléments récurrents du cycle: tonalité sombre et secrète de mi mineur, plaintes langoureuses du quatuor à cordes, écriture quasi-orchestrale du piano. Il plonge ainsi l'auditeur dans un gouffre de lyrisme exacerbé où le texte de Louise Labé résonne de manière paroxysmique.
Le second volet du cycle fait éclater une violente rupture. Acide et énergique, il souligne les licences poétiques du texte construites sur le procédé de l'antinomie inspirée de la manière Pétrarquiste: la voix y souffre et exalte en même temps, la sensualité langoureuse y côtoie la passion animale.
Souvenir des plaintes du quatuor, rappel des motifs torturés de l'allegro précédent, la troisième partie agit sur la mémoire: celle de l'être aimé qui est absent, celle du sentiment qui n'a plus de réalité partagée. Une sorte de nostalgie extatique soutient avec tendresse le poème.
Le dernier mouvement du cycle est un long récitatif résigné. Le cycle se referme sur lui même par le glas des accords de piano, ne laissant place qu'à une douleur sourde, tragique, se consumant sans proposer d'alternative. / contemporain / Répertoire / Soprano Solo, Quatuor à Cordes et Piano
63.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Airs
D'Opéras-Comi
ques Mezzo Soprano Et
Duos Mezzo (VERSCHAEVE
MICHEL) En Français Voix Mezzo-Soprano [Octavo] Lemoine, Henry
Par VERSCHAEVE MICHEL. 'Du point de vue spectacle, l'opéra-comique français es...(+)
Par VERSCHAEVE MICHEL. 'Du point de vue spectacle, l'opéra-comique français est, dans l'ensemble, une réussite, et la musique y joue un rôle souvent fort plaisant. Tout cela est vif, alerte, spirituel, habile, parfois pétillant - cela chante dans toutes les mémoires, et il n'est nul besoin de connaître le rudiment du solfège pour s'en délecter. La musique, presque uniquement mélodique, encore qu'elle soit soutenue par un orchestre à la fois léger, transparent et qui, jamais, n'accapare indiscrètement l'attention, suit l'action avec souplesse, avec esprit, avec bonne humeur.' *
C'est dans les Airs sérieux et à boire, la Comédie Italienne et dans les théâtres de foires que l'Opéra-Comique confirme sa naissance, se développe et finit par s'imposer notamment grâce, à la fin du XVIIe siècle, aux foires St-Laurent et St-Germain (qui se déroulent du 3 février au dimanche de la Passion).
A la fin de l'année 1714, l'Opéra autorise le nom définitif de l'Opéra-Comique composé alors du Vaudeville (à l'origine Vau de Vire) mêlé d'ariettes.
C'est donc l'alternance du parlé et du chanté qui fait la spécificité de l'Opéra-Comique contrairement à l'Opéra qui est chanté de bout en bout. Il faut donc aux interprètes un solide travail d'acteur allié à des qualités vocales de plus en plus exigeantes. Le XIXe siècle produira un nombre considérable de partitions jouées des centaines de fois parmi lesquelles se distinguent notamment : La Dame Blanche (1825) de Boieldieu, Les Dragons de Villars (1856) de Maillard, Le Pré aux Clercs (1832) d'Hérold, Les Noces de Jeannette (1853) de Massé, Lalla Roukh (1862) de David ou Le Postillon de Longjumeau (1836) d'Adam.
Dans notre série de recueils, nous ne manquerons évidemment pas de proposer des oeuvres antérieures et postérieures à ces dates, oeuvres particulièrement choisies pour leurs différences (au niveau des tessitures, de l'agilité, du legato, etc.).
Il nous est apparu évident, lorsque c'était le cas, de laisser les textes parlés avant, pendant et après les airs, ce qui caractérise l'essence même de l'Opéra-Comique.
Le but de nos recueils est avant tout de développer un répertoire incontournable de l'histoire de la musique française et de donner la possibilité aux interprètes d'épanouir au mieux leurs qualités vocales et théâtrales. / classique / Répertoire / Mezzo-Soprano et Piano ou 2 Mezzo-Soprano
36.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Diapason Rouge Vol. 3 En Français Paroles et Accords Presses d'lle de France
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 370 chansons d'...(+)
Tous les chants sont accompagnés de leurs accords de guitare. - 370 chansons d'hier et d'aujourd'hui
Le troisième recueil innove pour satisfaire une demande grandissante : en complément des chansons de variété française, des chansons de fête et de veillée, des canons et ritournelles, on y trouve davantage de variété étrangère, des génériques de séries télévisées, ainsi que quelques comédies musicales et opérettes incontournables telles que 'Notre-Dame de Paris', 'Émilie Jolie'? La première et la deuxième partie s?organisent selon l?ordre alphabétique des noms d?interprètes ; les autres parties selon le titre des chansons
21.30 EUR - vendu par Note4Piano Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Concerto (FRANCOIS
SAMSON) Piano seul [Partition] Billaudot
Par FRANCOIS SAMSON. Samson François crée son concerto le 24 juillet 1951 au F...(+)
Par FRANCOIS SAMSON. Samson François crée son concerto le 24 juillet 1951 au Festival d'Aix-en-Provence*, avec l'orchestre de la Société des Concerts du Conservatoire, sous la direction d'Ernest Bour. La même année à Paris, il le joue avec le même orchestre, dirigé par Georges Tzipine, à qui il écrit : « Je vous dois un des plus beaux souvenirs de ma vie d'artiste ... »*
?uvre majeure de Samson François, composée de deux parties enchaînées, elle se développe selon une esthétique très personnelle qui n'est pas celle du concerto classique. « La véritable influence concernant son écriture est celle du jazz. Il n'a pas une forme de concerto à proprement dit, c'est une sorte d'improvisation à la fois du piano et de l'orchestre. »*
L'écriture pianistique, en fusion avec les couleurs de l'orchestre, exploite au maximum les possibilités sonores et techniques de l'instrument. On ressent la griffe d'un musicien en pleine maturité, qui nous plonge dans une alchimie sonore. Elle laisse à l'interprète une grande liberté d'expression. Pour Samson François : « Le piano n'est pas ! 'instrument le plus noble du monde, mais le plus essentiel. » Ici, il devient exutoire; le compositeur dialogue avec lui-même et nous dévoile ses états d'âmes.
Ce concerto pour piano n'a pas été redonné en concert depuis 1951. Le seul enregistrement pour le disque est celui de Samson François et Georges Tzipine en 1953. À ce titre, la présente édition revêt un caractère historique. Je suis particulièrement heureux de la soutenir pour porter l'?uvre à la connaissance du plus grand nombre.
Frédéric Demoulin
* Livre de Maximilien François : Samson François, Histoires de ... Mille Vies, Éditions Bleu Nuit Éditeur, France, 2002.
Toutes les citations sont de Samson François.
Partition et matériel d'orchestre en location. / Date parution : 2022-06-08/ Répertoire / Piano
26.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Cantate Egale Pays #2 -
God's Grandeur
(PESSON GERARD) En Français Voix, Ensemble et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates ...(+)
Par PESSON GERARD. Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle.
Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les 'ciels acoustiques', l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble.
Dans ce 'pays-cantate' qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée.
Extrait du programme du Festival Agora
J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à 'la question de Dieu' et au 'décor planté' dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev).
Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell.
L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier.
L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un 'décor sonore') est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre.
God's Grandeur
Cette cantate, d'après quatre poèmes de Gerard Manley Hopkins, forme un moment suspendu, découpé selon des unités poétiques auxquelles correspondent ce que j'ai appelé des 'ciels acoustiques', sortes de monochromes électroniques, cyclos sonores minimaux sur lesquels les voix et les instruments se posent : basse fréquence, ou hyper aiguë, impression sonore de ciel étoilé, bruit de vaporetto au loin, etc. Le son peut sembler parfois comme un léger parasite qui 'entame' l'écoute. Un petit clavier de verre dialogue avec des échantillonnages d'orgue véritable. C'est la plus hiératique, la plus chantée et récitative, la plus sombre aussi des trois cantates.
Gérard Pesson / contemporain / Répertoire / Voix, Ensemble et Electronique
39.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Onomatotek (POZZI MIRTHA) En Français Formation musicale - Solfège [Partition] Lemoine, Henry
Pièces Polyrythmiques En Onomatopées. Par POZZI MIRTHA. Onomatotek présente d...(+)
Pièces Polyrythmiques En Onomatopées. Par POZZI MIRTHA. Onomatotek présente des polyrythmies vocales, faisant parfois intervenir des jeux avec les mains et les pieds, sur place ou en mouvement.
La superposition de cellules rythmiques permet un jeu d'ensemble ainsi qu'un travail sur l'écoute individuelle et collective. Le jeu polyrythmique offre la possibilité d'une participation active à la création d'une musique forte et entrainante, impliquant tout le corps dans le processus sonore. L'instrument-voix, les phénomènes vocaux - respiration, phonation, vibrations... - sont mis au service de la production des sons dans l'espace.
Cette pratique des polyrythmies est une composante des musiques traditionnelles de percussion en Afrique, Amérique Latine, Inde... mais elle a aussi attiré des compositeurs de musique contemporaine, notamment Steve Reich avec Clapping music, Terry Riley avec IN C, et bien d'autres.
Une volonté pédagogique anime en permanence ce projet : donner des outils pour pratiquer le rythme de façon organique, avec une dimension ludique ainsi que de s'épanouir par la pratique de la musique d'ensemble.
Les cellules rythmiques sont construites à partir d'onomatopées, d'interjections, de locutions, de mots inventés, de mots en français, de 'mots de bruits', d'expressions empruntées au langage imagé, souvent insolites ou surprenantes.
Les mots sont choisis pour leurs sonorités. L'orthographe des mots en français peut être modifiée afin de donner un caractère plus proche de 'l'écriture d'un brui'. Il s'agit d'enlever aux mots leur signification et de les extraire de leurs rôles habituels.
Il y a dans ces polyrythmies une absence de hiérarchie entre les parties. Toutes ont la même importance - on peut cependant trouver des degrés de difficultés. Il faut faire comprendre aux musiciens qui la pratiquent que chaque voix appartient à un 'tout'. La difficulté et la complexité ne se trouvent pas seulement dans chacune d'elles mais dans leurs imbrications, la précision de la mise en place et la cohésion de l'ensemble.
La méthode conseillée pour l'étude de la partition est : transmission orale / reproduction / critique et autocritique / mémorisation / et finalement la lecture. Si on souhaite aborder les partitions par la lecture (le déchiffrage), cela devrait se faire à haute voix afin d'être d'emblée dans la production de l'univers sonore.
Des jeux musicaux préparatoires sont proposés afin de se familiariser avec le matériel musical.
Tous les participants sont invités à étudier et pratiquer toutes les parties de la polyrythmie. L'étude des cellules doit précéder celle de la structure.
L'écriture des notes est empruntée aux partitions de percussions. Les valeurs de notes sont généralement brèves, la hauteur est indéterminée, proche du langage parlé. La position de notes dans la portée indique des hauteurs relatives.
L'indication métronomique peut être observée avec une certaine souplesse. C'est la pratique qui doit la déterminer, en veillant à préserver la force rythmique de l'ensemble.
Le caractère répétitif fait partie de cette musique - comme on peut le trouver dans multiples formes de polyrythmies, notamment en percussion. Il faut éviter la mécanisation dans la répétition des cellules, chercher à avoir toujours une écoute vigilante et conserver l'énergie qui nourrit l'ensemble tout au long de l'exécution.
La musique est sans cesse recréée.../ Solfège/Formation Musicale / Formation Musicale
22.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Pesson Gerard - Cantate
Egale Pays N.2 - God's
Grandeur - Voix, Ensemble
Et Electronique Lemoine, Henry
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : S / Hc ...(+)
Discipline / Instrument : voix, ensemble et électronique Nomenclature : S / Hc / T / B / fl / hb / cl / hp / clav / perc / vlc / electr. Durée : 17' Genre : Contemporain Média : Partition Editeur : Lemoine Date de parution : 17/05/2010 Librettiste : Poèmes de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) Commanditaire : Ircam-Centre Pompidou et Ars Musica Création : 07/06/2010 - Paris, Festival Agora, Centre Pompidou - Ensemble vocal Exaudi, l'Instant Donné, Daniel Lévy (mise en espace), Sébastien Roux (Réalisation informatique musicale, Ircam) ISBN / ISMN : 9790230988889 Notice Méditée depuis 2007, aiguisée par la lecture des cantates de Bach, la création de Gérard Pesson marque sa première rencontre avec l'électronique et la lutherie virtuelle. Toute la poétique du compositeur français, un théâtre de lumières et d'intermittences, investit l'espace scénique des cantates : une machinerie minutieuse de gestes instrumentaux, d'objets trouvés, détournés ou fabriqués - les ciels acoustiques, l'orgue de verre. La dramaturgie se souvient du découpage baroque avec ses mouvements à configuration variable, les rythmes de danse ou l'alternance entre solistes et ensemble. Dans ce pays-cantate qui est tout à la fois trace et mémoire, origine et destination, l'écriture vive du présent (les textes du jeune Mathieu Nuss ou d'Elena Andreyev) est interrompue par la visitation du passé, ici l'immense poésie de Gérard Manley Hopkins et sa vision d'une nature transfigurée. Extrait du programme du Festival Agora J'ai voulu ces cantates comme un théâtre intérieur, un théâtre de mots où le paysage de la musique, son mouvement panoramique, sa vitesse, sont le poème. Poème ami, d'abord supputé, appelé, discuté, biffé, dit et redit. Texte construit par lectures passionnées qui devient la préfiguration exacte du temps de la musique. Alors, musique et poème font territoire. Ils sont l'un à l'autre le pays. La cantate est opéra de climats, respiration articulée dans laquelle la musique devient didascalie du poème, son envers scandé. La cantate est une et fragmentée, c'est une narration librement relancée, souvent interceptée par son propre commentaire. Son fonds d'images serait comme partagé, ainsi que devait l'être, à l'époque de Bach, l'histoire biblique. J'ai souhaité que ces cantates, qui sont une dramaturgie sans action explicite, soient pourtant mises en profondeur, en lumières, en mots aussi, par un artiste venant du spectacle. J'en ai fait la proposition à Daniel Lévy avec qui j'ai déjà eu la chance de collaborer. Ces trois cantates sont distinctes, elles ont des effectifs vocaux et instrumentaux légèrement différents, mais une diagonale les traverse, qui passe par la poésie profonde et sidérante de Gerard Manley Hopkins (1844-1889) où se concentrent une méditation sur la présence de Dieu et une observation de la nature, de ses éléments dont la musique elle-même est une part atmosphérique. On retrouve un écho à la question de Dieu et au décor planté dans les deux textes contemporains des cantates 1 (Mathieu Nuss) et 3 (Elena Andreyev). Ces cantates adoptent une forme en numéros successifs, souvent brefs, enchaînés ou non. On trouve, par exemple dans la première, des chorals, des airs, des récitatifs, même si rien dans la musique (à part peut-être le son d'un orgue) ne fait allusion à l'univers baroque - si ce n'est aussi (dans la deuxième cantate) l'utilisation du poème de Manley Hopkins en hommage à Henry Purcell. L'électronique est ici la tentative qui prolonge et met en danger le poème (et non moins le musicien). Elle est pour moi l'aventure par excellence - ma première véritable incursion dans ce domaine. Foi en le poème, doute en l'électronique. Ce qui les lie est une sorte d'instrumentalisation dont la technique du sample devient le précipité poétique, changé ici en un clavier de sensations. Samples de voix, de vents, de pluies, de souffles, de train dans le lointain, d'horloges et d'oiseaux. Le murmure du monde - ce Naturlaut dont parlait Gustav Mahler - rentre tout entier dans une boîte à merveilles, laissant voir ses coutures (jusqu'aux gimmicks des boîtes à rythmes), mais non moins son aspiration presque enfantine à se fondre dans toutes les voix, à les épouser, à les déplier comme un de ces génies des contes orientaux qui sortent de la lampe à huile si on la frotte - et ici, on frotte beaucoup. Puis à son tour le sample, qui est affaire de cadrage serré, réensemence les instruments qui deviennent greffons de clavier. L'électronique, dans les trois cantates, est délibérément non spatialisée. Elle doit former avec les instruments et les voix, tous amplifiés, un son homogène et centré qui délimite l'espace du jeu, celui de la parole. L'électronique (sauf dans la cantate 2, où elle assume davantage la fonction d'un décor sonore) est le plus souvent fondue avec les musiciens en un méta-instrument. A aucun moment l'électronique n'affirme de puissance, de brillance. Sa présence, souvent indiscernable, est un point de fuite de l'écoute, comme une perturbation qu'on peut intégrer pleinement à l'image sonore, ou bien laisser opérer comme un venin légèrement urticant du timbre. God's Grandeur Cette cantate, d'après quatre poèmes de Gerard Manley Hopkins, forme un moment suspendu, découpé selon des unités poétiques auxquelles correspondent ce que j'ai appelé des ciels acoustiques, sortes de monochromes électroniques, cyclos sonores minimaux sur lesquels les voix et les instruments se posent : basse fréquence, ou hyper aiguë, impression sonore de ciel étoilé, bruit de vaporetto au loin, etc. Le son peut sembler parfois comme un léger parasite qui entame l'écoute. Un petit clavier de verre dialogue avec des échantillonnages d'orgue véritable. C'est la plus hiératique, la plus chantée et récitative, la plus sombre aussi des trois cantates. Gérard Pesson
37.70 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.1 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 1 (WSW 1) en mi M Sonata 2 (WSW 2) en ré M Sonata 3 (WSW 3) en sol m Sonata 4 (WSW 5) en sol M Sonata 5 (WSW 7) en ré m Sonata 6 (WSW 10) en mi M Sonata 7 (WSW 11) en ré m Sonata 8 (WSW 12) en la M Sonata 9 (WSW 13) en ré m / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
53.10 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.2 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. Un ouvrage indispensable pour les guitaristes qui souhaitent aborder au mieux ce monument.» Laurent Duroselle - Magazine Guitare Classique Sonata 10 (WSW 15) en la M Sonata 11 (WSW 16) en sol M Sonata 12 (WSW 17) en do M Sonata 13 (WSW 18) en ré M Sonata 14 (WSW 19) en mi M Sonata 15 (WSW 21) en mi m Sonata 16 (WSW 22) en sol M Sonata 17 (WSW 23) en la M / Partitions classique / Guitare - luth / Guitare / DOBERMAN YPPAN
55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Piano Sonata No. 13 In Eb
Major Op. 27 No. 1
(BEETHOVEN LUDWIG VAN) Piano seul G. Henle
Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Beethoven gave this sonata the unusual title “Sonata...(+)
Par BEETHOVEN LUDWIG VAN. Beethoven gave this sonata the unusual title “Sonata quasi una Fantasia, ” which it shares, along with its opus number, with the considerably more famous “Moonlight” Sonata. Both sonatas – along with the preceding sonata with the funeral march op. 26, and the three sonatas op. 31 soon to follow – usher in Beethoven ’s conquest of new musical territory in this genre. With a complex structure that oscillates between fantasia and sonata, op. 27 no. 1 has long presented pianists with great interpretive challenges that, once they have been overcome, bring to light a true jewel. G. Henle Publishers now also offers this sonata in a new edition, with provenfingering and interpretive suggestions by Murray Perahia and edited by the team of Beethoven experts Gertsch and Perahia. / Gertsch, Norbert / Perahia, Murray / Répertoire / Piano
11.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| 8. Sinfonie (PENDERECKI
KRZYSZTOF) Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et orchestre [Conducteur d'étude / Miniature] Schott
Lieder der Vergänglichkeit for three soloists (SMezBar), mixed choir and orches...(+)
Lieder der Vergänglichkeit for three soloists (SMezBar), mixed choir and orchestra. Par PENDERECKI KRZYSZTOF. The form of this work is not so much based on the classical symphony, but is closer to a song cycle structure which has now grown to include 13 movements for choir and orchestra. The Romantic characteristics and form of the 8th Symphony are both reminiscent of Gustav Mahler’s choral symphonic works and his Lied von der Erde. Krzysztof Penderecki here extends and augments his expressive musical material, for example through cluster techniques and glissandi, possibilities which he has been systematically exploring since the 1950s. He has compiled the texts from poetry by Eichendorff, Rilke, Brecht, Kraus, Hesse, Goethe, Bethge and von Arnim on the theme of ’forests and trees’, which has long been close to his heart as demonstrated by his private arboretum near Luslavice (’my personal Ithaca’) containing over 1500 species of trees./ Répertoire / Solistes, Choeur et Orchestre
71.40 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| DOBERMAN YPPAN SILVIUS
LEOPOLD WEISS - LONDON
MANUSCRIPT VOL.3 Guitare Doberman
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de...(+)
Un manuscrit de Prague à Londres Voici l?un des plus importants volumes de musique de tous les temps pour instrument soliste. Il s?agit du recueil de 317 pages de tablature manuscrite pour luth baroque qui se trouve à la British Library de Londres contenant 237 pièces de Silvius Leopold Weiss (1687-1750) groupées ainsi : 26 sonates solo complètes entre lesquelles se glissent 3 préludes, 2 fugues, 1 prélude et fugue, 2 fantaisies, 2 tombeaux, 1 caprice, 1 ouverture, 1 plainte, plusieurs menuets, gavottes et autres pièces ainsi que 5 autres ?uvres en ensemble, soit les 3 Concerts pour luth et flûte traversière, de 4 mouvements chacun mais dont les parties de flûte manquent, et les 2 « sonates mystère » ne portant également aucune partie supérieure ni indications, mais qui s?avèrent presque certainement aussi être des duos. Ce recueil ne porte aucun titre et c?est par habitude que nous l?appelons « Le Manuscrit de Londres », ce qui s?avère commode pour le distinguer des nombreux autres manuscrits contenant de la musique de Weiss, comme par exemple ceux de Dresde, Salzbourg, Vienne, Moscou, Paris, etc. En fait, malgré son importance, celui de Londres représente moins de la moitié de l??uvre intégral de Weiss. Si le Manuscrit de Londres suit un ordre complet pour la pagination et un ordre partiel (quoique substantiel) pour la numérotation des pièces, il ne semble pas le faire à prime abord quant à la chronologie, aux tonalités ou au style, mais à bien observer on voit que même ces aspects ont été relativement contrôlés. Il s?agit d?une compilation qui s?est agrandie au fil des ans et qui est finalement devenue un précieux objet de collection pour son propriétaire définitif, le comte Adlersfeld de Prague. Cette importante masse de musique, composée entre 1706 et 1730, ne fut jamais publiée en son temps : n?oublions pas que Weiss devançait Paganini quant à cette pratique consistant en la possession exclusive et nécessaire de ses oeuvres par un virtuose et quelques rares amis. Dans ce cas-ci, l?ami privilégié était Adlersfeld. Silvius Léopold dut avoir en lui une entière confiance pour permettre une telle exception, sachant aussi que Adlersfeld était plus un collectionneur qu?un luthiste et que par définition, celui-ci voudrait toujours garder jalousement son trésor. D?un collectionneur à l?autre le recueil dut passer de main en main après la mort du comte, et finit par être acquis au prix de deux livres Sterling par le British Museum en 1877. D.A. Smith y a identifié avec précision six différentes écritures, dont celle du maître. Cela nous permet de voir que celui-ci a effectué plusieurs retouches, notamment dans les pièces rédigées par les cinq autres copistes. Nous savons en outre que la pagination complète du manuscrit et la numérotation pièce à pièce qu?on y voit sont contemporaines de la rédaction des oeuvres. Tout ceci appuie donc la thèse d?un ouvrage minutieusement révisé par son auteur et vu comme un tout, mais non destiné à la publication, ce qui explique l?écart entre la minutie musicale et la négligence quant aux titres, l?absence de chronologie complète (quelques-unes des oeuvres seulement étant datées) et de séparations précises entre les ?uvres. Cette nette dichotomie nous aide donc, contrairement à ce que l?on croit à première vue, à considérer sérieusement le Manuscrit de Londres comme étant musicalement généralement le plus fiable lorsqu?il s?agit de comparer les sources de son contenu. Les armoiries peintes sur la reliure du Manuscrit de Londres ont longtemps constitué une énigme. Grâce à la recherche de Claire Madl, nous savons maintenant qu?elles étaient celles de Johann Christian Anthoni von Adlersfeld, un marchand pragois haut en couleurs, passionné de musique et collectionneur, dont parle d?ailleurs Stölzel dans une publication de Mattheson de 1740, Grundlagen einer Ehrenpforte. Celle-ci contient également des références sur L?Académie de musique de Prague et son chef spirituel, le Baron d?Hartig, frère de celui auquel Weiss a dédié un Tombeau après sa mort prématurée due à une chute de cheval, à l?âge de 33 ans. En examinant à la British Library le volume original, qui a été étonnamment bien conservé, nous découvrons des détails que les photocopies les plus sophistiquées ne peuvent rendre. Par exemple, nous constatons que la couleur de l?encre est partout d?un noir foncé très uniforme -ceci étant dû sans doute au passage du temps- sauf pour quelques notes corrigées, en plus pâle. On peut voir aussi que, des corrections ayant été typiquement faites en grattant avec un couteau, il arriva parfois que de petits trous se fassent dans le papier. Par contre, sauf pour les 25 dernières pages, chaque folio est d?un papier très épais, ceci prouvant qu?on a cherché la meilleure qualité possible pour faire cette compilation. Tim Crawford, qui a pris en charge, après la publication du Manuscrit de Londres par Douglas Alton Smith, la continuation de l?édition intégrale des oeuvres de Weiss, a longuement examiné les sources weissiennes et nous donne dans sa recherche de nombreuses explications pour comprendre la genèse du Manuscrit de Londres. Ainsi, il semble de plus en plus plausible que le volume ait été compilé à Prague en trois phases distancées dans le temps, auxquelles Weiss a participé, soit en 1717, 1719 et 1723. Il aurait la troisième fois non seulement apporté des corrections mineures aux oeuvres, mais refourni des pages perdues par le propriétaire du manuscrit, ce qui explique pourquoi certains changements d?écriture correspondent très systématiquement à des changements de feuilles. Précisons enfin que de la numérotation SC (Smith-Crawford), nous sommes désormais passés à la numérotation WSW ((Weiss Sämtliche Werke) telle qu?établie par Peter Steur. Les premiers volumes du manuscrit de Londres contiennent les Sonates (Suites) solo, puis viennent les pièces isolées, pour finir avec les duos avec flûte. «Le manuscrit de Londres de Weiss est probablement le plus important volume de musique pour instrument soliste. Ses 237 pièces représentent toutefois moins de la moitié du corpus de Weiss. Nous sommes tout de même devant un recueil majeur dont Michel Cardin s?est fait le spécialiste. On lui doit l?enregistrement complet de ce manuscrit au luth (12 CDs). C?est en toute logique qu?il nous propose, en cinq volumes, l?adaptation pour guitare de ces vingt-six sonates et des quelques pièces qui composent l?ouvrage. Ayant commencé par jouer ces pièces à la guitare avant de les aborder au luth, Michel Cardin sait parfaitement comment les adapter, ayant à l?esprit la sonorité et l?esprit attendus. Les transcriptions se veulent les plus proches de l?écriture originale à quelques adaptations «naturelles». Ajoutons que ces cinq volumes sont introduits par un texte extrêmement riche tant sur le manuscrit que sur l?approche qu?en a fait Michel Cardin. 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55.40 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
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WOLFGANG AMADEUS) Soli, choeur mixte et accompagnement satb (soli), SATB (chœur), Orchestre [Partition] Carus Verlag
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Moza...(+)
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Mozart's considerably shorter masses of the same period, as a 'Missa longa'. The prolixity of some of the movements and of concluding fugues in the 'Gloria' and 'Credo' is indeed surprising. The full orchestral scoring also emphasizes the ceremonial character of this Mass. / Messe / Répertoire / Solistes SATB, Choeur SATB, 2 Hautbois, 2 Cors, 2
7.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Missa Longa In C (MOZART
WOLFGANG AMADEUS) Soli, choeur mixte et accompagnement satb (soli), SATB (chœur), Orchestre [Partition] Carus Verlag
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Moza...(+)
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Mozart's considerably shorter masses of the same period, as a 'Missa longa'. The prolixity of some of the movements and of concluding fugues in the 'Gloria' and 'Credo' is indeed surprising. The full orchestral scoring also emphasizes the ceremonial character of this Mass. / Messe / Répertoire / Solistes SATB, Choeur SATB, 2 Hautbois, 2 Cors, 2
60.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Missa Longa In C (MOZART
WOLFGANG AMADEUS) Soli, choeur mixte et accompagnement satb (soli), SATB (chœur), Orchestre [Partition] Carus Verlag
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Moza...(+)
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Mozart's considerably shorter masses of the same period, as a 'Missa longa'. The prolixity of some of the movements and of concluding fugues in the 'Gloria' and 'Credo' is indeed surprising. The full orchestral scoring also emphasizes the ceremonial character of this Mass. / Messe / Répertoire / Solistes SATB, Choeur SATB, 2 Hautbois, 2 Cors, 2
7.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Missa Longa In C (MOZART
WOLFGANG AMADEUS) Soli, choeur mixte et accompagnement satb (soli), SATB (chœur), Orchestre [Partition] Carus Verlag
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Moza...(+)
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Mozart's considerably shorter masses of the same period, as a 'Missa longa'. The prolixity of some of the movements and of concluding fugues in the 'Gloria' and 'Credo' is indeed surprising. The full orchestral scoring also emphasizes the ceremonial character of this Mass. / Messe / Répertoire / Solistes SATB, Choeur SATB, 2 Hautbois, 2 Cors, 2
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WOLFGANG AMADEUS) Soli, choeur mixte et accompagnement satb (soli), SATB (chœur), Orchestre Carus Verlag
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Moza...(+)
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Mozart's considerably shorter masses of the same period, as a 'Missa longa'. The prolixity of some of the movements and of concluding fugues in the 'Gloria' and 'Credo' is indeed surprising. The full orchestral scoring also emphasizes the ceremonial character of this Mass. / Messe / Répertoire / Solistes SATB, Choeur SATB, 2 Hautbois, 2 Cors, 2
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WOLFGANG AMADEUS) Soli, choeur mixte et accompagnement satb (soli), SATB (chœur), Orchestre [Partition] Carus Verlag
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Moza...(+)
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Mozart's considerably shorter masses of the same period, as a 'Missa longa'. The prolixity of some of the movements and of concluding fugues in the 'Gloria' and 'Credo' is indeed surprising. The full orchestral scoring also emphasizes the ceremonial character of this Mass. / Messe / Répertoire / Solistes SATB, Choeur SATB, 2 Hautbois, 2 Cors, 2
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WOLFGANG AMADEUS) Soli, choeur mixte et accompagnement satb (soli), SATB (chœur), Orchestre [Partition] Carus Verlag
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Moza...(+)
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Mozart's considerably shorter masses of the same period, as a 'Missa longa'. The prolixity of some of the movements and of concluding fugues in the 'Gloria' and 'Credo' is indeed surprising. The full orchestral scoring also emphasizes the ceremonial character of this Mass. / Messe / Répertoire / Solistes SATB, Choeur SATB, 2 Hautbois, 2 Cors, 2
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WOLFGANG AMADEUS) Soli, choeur mixte et accompagnement satb (soli), SATB (chœur), Orchestre [Partition] Carus Verlag
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Moza...(+)
C-Dur. Par MOZART WOLFGANG AMADEUS. Leopold Mozart described KV 262, unlike Mozart's considerably shorter masses of the same period, as a 'Missa longa'. The prolixity of some of the movements and of concluding fugues in the 'Gloria' and 'Credo' is indeed surprising. The full orchestral scoring also emphasizes the ceremonial character of this Mass. / Messe / Répertoire / Solistes SATB, Choeur SATB, 2 Hautbois, 2 Cors, 2
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