| Jazz : La Discothèque
Idéale En 25 Albums
Originaux (Coffret 25 CD) CD [Coffret CDs]
- Record Label: Sony - Catalog#: 88697 720092 - Country Of Release:...(+)
- Record Label: Sony - Catalog#: 88697 720092 - Country Of Release: NLD - Year Of Release: 2010 - Notes: 25 Original Albums In Noble Box
104.00 EUR - vendu par Amazon Délais: En Stock | |
| Dufourt H. - Les
Chardons D'apres Van Gogh
En Français Alto et orchestre Lemoine, Henry
Les Chardons d'après Van Gogh Discipline / Instrument : Alto et orchestre ...(+)
Les Chardons d'après Van Gogh Discipline / Instrument : Alto et orchestre de chambre Nomenclature : 1( picc).1( ca).2( clB).1(cbn) / 1.1.1.0 / perc / 1.1.2.1.1 Genre : contemporain Média : Partition Nombre de pages : 90 Format : A3 Editeur : Lemoine Réf. : 28792 Date de parution : 28/05/2009 ISBN / ISMN : 9790230987929 Création 09/09/2009 - Turin (Italie), Festival Settembre Musica, Geneviève Strosser (vla), Ensemble Orchestral Contemporain, Daniel Kawka (direction) Commanditaire Commande de l'Etat à l'initiative de Daniel Kawka et de l'Ensemble Orchestral Contemporain Notice Van Gogh écrit en 1888 : Le peintre de l'avenir, c'est un coloriste comme il n'y en a pas encore eu. A cette époque, Van Gogh se sépare des impressionnistes, élargit leur intuition de la couleur et la simplifie. La forme-couleur se crée plutôt qu'elle ne se recompose dans notre vision. Van Gogh ne se soucie plus que de l'énergie de l'image. Le peintre séjourne en Arles où Gauguin le rejoint quelque temps. Il veut rénover les fondements mêmes de l'art, changer la technique de la peinture. Il rêve de créer un atelier du Midi et pense trouver là le Japon idéal, les paysages de Monticelli, de Cézanne, le rayonnement du soleil et l'âpre lumière qui annonce l'art de l'avenir. Il forge un style original en deux cents tableaux, parmi lesquels les Tournesols (août 1888), Joseph Roulin, le postier (août 1888), L'Arlésienne (novembre 1888) et Les Chardons, qui datent de la même année. Des tons vifs et crus, des couleurs claires, éclatantes, étalées en des dispositions stridentes à grands coups de pinceau ou au couteau, résument tout le registre expressif de son art. Bleu contre jaune, vert contre rouge écarlate, lilas, gris-rose, gris-violet, bleu et vert, noir et jaune: la seule force des contrastes suffit au déploiement de la forme. Tournesols, oliviers, chaumes, cyprès, ravins, rochers, chardons, tous ces motifs lacérés, distordus, ont l'intensité spontanée d'un tourment intérieur. Van Gogh a délibérément renoncé à la capture de l'instant fugitif comme à la représentation de la lumière, de l'air, de l'atmosphère - la qualité transitoire de l'impression visuelle lui importe peu désormais. Ses toiles sont emportées par la véhémence des touches, la brutale évidence des couleurs, leur vitalité convulsive. Désespoir, lucidité, emportement sont les traits d'un art que l'on a reconnu précurseur de l'expressionnisme. Les Chardons nous découvrent les racines du monde, une sorte de brasier originel d'où jaillissent trois flamèches. Les assises géologiques du paysage - l'expression est de Cézanne - y semblent déchiquetées, consumées dans une perpétuelle fournaise. C'est un enchevêtrement d'arêtes vives, une nature émiettée, une image de passion et de fureur. Au fond, à gauche, se découpe un petit pan de ciel bleu, encastré dans un horizon surélevé de montagnes vertes. La terre, chauffée à blanc, y occupe tout l'espace. Au premier plan, un fourmillement de stries incandescentes qui se tordent et crépitent. Les Chardons d'après Van Gogh - ma propre transposition musicale inspirée du tableau auquel elle emprunte son titre - sont écrits pour un alto soliste et une formation de chambre de quinze instrumentistes. Cette pièce s'attache à restituer la vitalité sourde de la toile, son atmosphère d'embrasement. Elle n'a ni contours ni limites, ni, à proprement parler, de schèmes d'organisation. J'y ai plutôt recherché des agencements formels doués d'une valeur dynamique, donnant au modelé de la masse sonore un rôle ambigu: axes de forces, impulsion des gestes, variété des dimensions directrices, tensions du matériau, conflit des principes formateurs. L'alto décrit en permanence la trajectoire idéale d'un mouvement irréel - formes spiralées, volutes, arabesques. Mais il fraie son chemin dans un milieu constamment hostile. Le choix du timbre de l'alto met en valeur le registre du sous-médium, à l'intensité contenue. La technique d'écriture consiste en une composition de textures, dont le propre est l'enchevêtrement des forces et des formes. Les structures perceptibles elles-mêmes procèdent du seul jeu des masses et des couleurs. J'ai évidemment mis l'accent sur la dynamique de l'interaction des couleurs qui forment la trame sonore. Je nourris toutefois un certain scepticisme à l'égard des méthodes scientifiques et raisonnées qui s'appliquent au traitement des propriétés acoustiques du son. La culture du son n'est pas, à mon sens, réductible à la science du son. La musique, me semble-t-il, a ceci de commun avec la peinture qu'elle peut investir la couleur de qualités contraires. Un bleu violacé peut s'assimiler aussi bien à un pourpre tirant sur le bleu qu'à un bleu en train de rougir. Van Gogh soutenait précisément l'idée d'un dynamisme, et même d'une intentionnalité de la couleur, capable de se déployer selon des foyers et des aires de diffusion, en transgressant toute limite. La musique que je souhaite écrire n'a pourtant rien de commun avec une nouvelle forme d'impressionnisme. C'est le drame que je recherche dans la plastique sonore. Ce drame peut être aussi bien celui des structures dispersées que de l'amplification indéfinie des actes, celui de la violence des masses tumultueuses comme celui du surgissement ou de l'essor. La partition est une Commande de l'Etat, à l'initiative de Daniel Kawka et de l'Ensemble Orchestral Contemporain. Hugues Dufourt
65.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Flament Natalia - Les
Exercices A La Barre Sur
1/2 Pointes - Piano En Français Piano seul Lemoine, Henry
Pendant mes années d'enseignement avec Natalia Flament au CRR de Paris, j'ai ap...(+)
Pendant mes années d'enseignement avec Natalia Flament au CRR de Paris, j'ai apprécié son engagement et sa connaissance de la danse classique.
Nous avons recherché ensemble la plus juste harmonie entre le mouvement de danse et la phrase musicale. Chaque exercice à la barre comme au centre possédait son propre caractère : sensibilité, poésie, nuances, dynamiques, couleurs, puissance grâce à la capacité de Natalia de traduire les mouvements chorégraphiques en phrase musicale. Les retenues, les résonances, les accents, les anacrouses étaient en parfaite liaison avec mes explications et mes exigences de qualité de mouvement.
La diversité de son accompagnement donnait à chaque cours une ambiance particulière. Le travail avec Natalia à mon sens n'a pu se faire qu'avec une grande complicité et compréhension émotionnelle.
23.20 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
| Les Chardons
D'Après Van
Gogh (DUFOURT HUGUES) En Français Alto et Orchestre de Chambre [Partition] Lemoine, Henry
Par DUFOURT HUGUES. Van Gogh écrit en 1888 : 'Le peintre de l'avenir, c'est un ...(+)
Par DUFOURT HUGUES. Van Gogh écrit en 1888 : 'Le peintre de l'avenir, c'est un coloriste comme il n'y en a pas encore eu.' A cette époque, Van Gogh se sépare des impressionnistes, élargit leur intuition de la couleur et la simplifie. La forme-couleur se crée plutôt qu'elle ne se recompose dans notre vision. Van Gogh ne se soucie plus que de l'énergie de l'image. Le peintre séjourne en Arles où Gauguin le rejoint quelque temps. Il veut rénover les fondements mêmes de l'art, changer la technique de la peinture. Il rêve de créer un 'atelier du Midi' et pense trouver là le Japon idéal, les paysages de Monticelli, de Cézanne, le rayonnement du soleil et l'âpre lumière qui annonce l'art de l'avenir. Il forge un style original en deux cents tableaux, parmi lesquels les Tournesols (août 1888), Joseph Roulin, le postier (août 1888), L'Arlésienne (novembre 1888) et Les Chardons, qui datent de la même année.
Des tons vifs et crus, des couleurs claires, éclatantes, étalées en des dispositions stridentes à grands coups de pinceau ou au couteau, résument tout le registre expressif de son art. Bleu contre jaune, vert contre rouge écarlate, lilas, gris-rose, gris-violet, bleu et vert, noir et jaune: la seule force des contrastes suffit au déploiement de la forme.
Tournesols, oliviers, chaumes, cyprès, ravins, rochers, chardons, tous ces motifs lacérés, distordus, ont l'intensité spontanée d'un tourment intérieur. Van Gogh a délibérément renoncé à la capture de l'instant fugitif comme à la représentation de la lumière, de l'air, de l'atmosphère - la qualité transitoire de l'impression visuelle lui importe peu désormais. Ses toiles sont emportées par la véhémence des touches, la brutale évidence des couleurs, leur vitalité convulsive. Désespoir, lucidité, emportement sont les traits d'un art que l'on a reconnu précurseur de l'expressionnisme.
Les Chardons nous découvrent les racines du monde, une sorte de brasier originel d'où jaillissent trois flamèches. Les 'assises géologiques du paysage' - l'expression est de Cézanne - y semblent déchiquetées, consumées dans une perpétuelle fournaise. C'est un enchevêtrement d'arêtes vives, une nature émiettée, une image de passion et de fureur. Au fond, à gauche, se découpe un petit pan de ciel bleu, encastré dans un horizon surélevé de montagnes vertes. La terre, chauffée à blanc, y occupe tout l'espace. Au premier plan, un fourmillement de stries incandescentes qui se tordent et crépitent.
Les Chardons d'après Van Gogh - ma propre transposition musicale inspirée du tableau auquel elle emprunte son titre - sont écrits pour un alto soliste et une formation de chambre de quinze instrumentistes. Cette pièce s'attache à restituer la vitalité sourde de la toile, son atmosphère d'embrasement. Elle n'a ni contours ni limites, ni, à proprement parler, de schèmes d'organisation. J'y ai plutôt recherché des agencements formels doués d'une valeur dynamique, donnant au modelé de la 'masse sonore' un rôle ambigu: axes de forces, impulsion des gestes, variété des dimensions directrices, tensions du matériau, conflit des principes formateurs.
L'alto décrit en permanence la trajectoire idéale d'un mouvement irréel - formes spiralées, volutes, arabesques. Mais il fraie son chemin dans un milieu constamment hostile. Le choix du timbre de l'alto met en valeur le registre du sous-médium, à l'intensité contenue.
La technique d'écriture consiste en une composition de textures, dont le propre est l'enchevêtrement des forces et des formes. Les structures perceptibles elles-mêmes procèdent du seul jeu des masses et des couleurs. J'ai évidemment mis l'accent sur la dynamique de l'interaction des couleurs qui forment la trame sonore. Je nourris toutefois un certain scepticisme à l'égard des méthodes scientifiques et raisonnées qui s'appliquent au traitement des propriétés acoustiques du son. La culture du son n'est pas, à mon sens, réductible à la science du son.
La musique, me semble-t-il, a ceci de commun avec la peinture qu'elle peut investir la couleur de qualités contraires. Un bleu violacé peut s'assimiler aussi bien à un pourpre tirant sur le bleu qu'à un bleu en train de rougir. Van Gogh soutenait précisément l'idée d'un dynamisme, et même d'une intentionnalité de la couleur, capable de se déployer selon des foyers et des aires de diffusion, en transgressant toute limite.
La musique que je souhaite écrire n'a pourtant rien de commun avec une nouvelle forme d'impressionnisme. C'est le drame que je recherche dans la plastique sonore. Ce drame peut être aussi bien celui des structures dispersées que de l'amplification indéfinie des actes, celui de la violence des masses tumultueuses comme celui du surgissement ou de l'essor.
La partition est une Commande de l'Etat, à l'initiative de Daniel Kawka et de l'Ensemble Orchestral Contemporain.
Hugues Dufourt / contemporain / Répertoire / Alto et Orchestre de Chambre
68.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Erewhon I, II, III Et IV
(DUFOURT HUGUES) En Français 6 Percussions [Partition] Lemoine, Henry
Par DUFOURT HUGUES. Erewhon I
image d'un monde-genèse, d'un pur espace en acti...(+)
Par DUFOURT HUGUES. Erewhon I
image d'un monde-genèse, d'un pur espace en action. Décharges, vrilles, turbulences, saccades. Les formes s'enchevêtrent, s'encastrent, ou s'écrasent mutuellement sous la pression du dynamisme qui les soulève. La violence formelle vise à la concentration la plus dense, à l'imbrication la plus serrée. Elle brise et contracte - un formalisme du heurt et de la fracture. La percussion des peaux se prête tout particulièrement aux métamorphoses brutales - libérée de contraintes d'échelle, elle ne s'attache qu'à l'aspect énergétique du son. Avec un nombre suffisant d'instruments, on dispose d'un véritable clavier d'impulsions dynamiques: attaques sèches et abruptes, ébranlements sourds, secousses avec résonance timbrée, ou impacts mats. Rythmique, métrique, dynamique sont totalement dissociées. L'est leur imbrication forcée qui crée la tension de l'oeuvre. La mise en oeuvre consiste à articuler entre elles ces configurations explosives, en jouant plus ou moins de leurs conflits de structure.
Erewhon II
est un essai de stéréodynamique fantastique. Qu'adviendrait-il d'un espace brusquement saturé de toutes les figures de l'énergie, comme échappées des mailles de l'univers ? Il en surgirait peut-être un monde de pur mouvement sans limite assignable, une tourmente d'architectures tremblées, la prolifération soudaine d'une flambée d'interférences.
Pour traduire l'image de cette complexité effervescente, j'ai tenté de réaliser une architecture mouvante de timbres métalliques (plaques de tôle, cymbales, gongs, tam-tams) où prévaudraient la fluence, l'ambiguïté, l'indéfini des transitions.
Un jeu de glissements incessants, le recouvrement mutuel des masses sonores tendent à produire un effet de fuite indéfinie. La superposition ou l'alternance des timbres, qui creusent et soulèvent tour à tour l'onde sonore constituent un élément rythmique. Autre forme de scansion: les blocs de lumière plantés dans la masse (vibraphones, glockenspiels) se dressent dans un mouvement de surrection radicale. Dans cette oeuvre, j'ai tenté de tirer systématiquement parti des ressources spécifiques de la percussion pour métaux: modification du timbre par l'attaque, lente transformation de la couleur du son sous l'effet des roulements de baguettes douces (plaques de tôle, gongs, tam-tams), utilisation des grains de résonance (le scintillement progressif d'une cymbale), modulation des spectres dynamiques de la résonance.
La percussion métallique modifie profondément les relations entre la production et la perception du son. Elle remet en question l'équilibre traditionnel (instrumental ou vocal) entre les mouvements articulatoires et les ondes acoustiques qu'ils engendrent. Il faut précisément tenir compte de ce coefficient dynamique propre aux résonances métalliques, qui donne naissance à une nouvelle classe de sons 'fluides'.
Erewhon III
adagio pour percussion qui traite les instruments comme des voix: gongs, cloches tubes, cloches de vache, timbales, marimba. Dans cette oeuvre, j'ai expressément tenu compte de la dynamique globale du son de percussion. Frapper un gong, ébranler un tam-tam, c'est créer un évènement énergétique avec un foyer (le choc), et une aire d'irradiation (le signal rayonné). Le temps métrique est entièrement subordonné à la durée interne de phases de résonance. De plus, la résonance d'un instrument métallique produit une forme dont le modelé s'anime d'un mouvement interne d'expansion. Elle donne à l'espace sonore une loi de croissance, de courbure, elle lui imprime une allure évolutive. Les propriétés physiques de la résonance des métaux dessinent d'elles-mêmes une géométrie expressive. J'ai tenté de tirer parti de cet alphabet de configurations fugaces, mais nettement différenciées par leur spectre de dispersion. Leur emploi contraint à une organisation spécifiée par des lois d'affinité ou de contraste. Enfin, le traitement des cloches et des gongs pose un problème harmonique particulier: on a affaire à des sons hybrides qui s'entendent tantôt comme des hauteurs définies, tantôt comme des sons complexes (paquets de spectres harmoniques), fixes en tessiture, mais sans degré assignable. D'où l'intérêt des équivoques, des oscillations, des transitions entre ces deux régimes distincts du son. Erewhon III est un paysage imaginaire, à la manière d'Edgar Poe: résurgence lointaine d'un écho rémanent.
Erewhon IV
avec cette oeuvre, j'ai tenté d'approcher une situation limite. Que resterait-il d'un langage dont la parole s'est retirée, d'un discours sans la communication ? Il ne subsisterait rien sans doute, sinon les indices d'un monde aboli, des traces, un souffle, une illusion sonore. J'ai imaginé à ce propos un fourmillement imperceptible, un état dynamique extrêmement ténu, formé d'une grêle d'attaques sèches et incisives sur les peaux. Cette matière est animée de gonflements très lents, de fluctuations à peine marquées, traversées çà et là de coulées métalliques diffuses. Pour modeler ces volumes accordés à leur propre pulsation, je me suis inspiré des techniques de la gravure. L'art de l'entaille sait, avec des moyens d'une précision aigüe, évoquer un lointain, un ailleurs, traduire le flottement d'un espace sans attache. Quelques traits, un dégradé de points, suffisent à susciter un jeu d'ombres, un mélange de clarté livide et de scintillement noir. Précisément, l'esprit de l'écriture musicale ne me paraît pas étranger à cette économie graphique, qui crée du flou avec de l'acéré. C'est pourquoi je me suis limité, dans cette oeuvre, à une composition de grains, plus ou moins resserrés, plus ou moins dilatés: battuto, roulements, frottements, résonances.
Extrait du programme du Centre Beaubourg, Paris, 1989 / contemporain / Répertoire / 6 Percussions
157.50 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Les Sept Paroles (MURAIL
TRISTAN) En Français Orchestre, Choeur et Electronique [Partition] Lemoine, Henry
Par MURAIL TRISTAN. (...) (Les Sept paroles) bénéficie(nt) des plus récents d...(+)
Par MURAIL TRISTAN. (...) (Les Sept paroles) bénéficie(nt) des plus récents développements sur le plan de la synthèse vocale. L'intervention de l'ordinateur durant le concert a été remplacé par une collection très élargie d'échantillons que le compositeur a élaborés avec son assistant (Grégory Beller) dans les studios parisiens de l'Ircam. Pendant le concert, les échantillons audio sont activés par un seul clavier situé au centre de l'orchestre. De cette façon, la synchronisation entre musiques acoustique et électronique est parfaite. Cette technique permet de confronter un choeur virtuel au choeur réel. Ceci est de très grande importance, car les chanteurs, si doués soient-ils, sont limités en termes de registre ainsi qu'en capacité d'intonation.
Tristan Murail indique : 'A certains moments précis, le choeur virtuel chante dans l'extrême aigu ou dans l'extrême grave et produit des micro-intervalles qui complètent les hauteurs diatoniques du choeur réel. J'utilise également des effets électroniques d'écho et de spatialisation qui présentent des similitudes avec le Requiem de Berlioz.'
Mais la référence à la musique de l'époque romantique s'arrête là. Les chanteurs de chair et d'os ne chantent pas une histoire ni ne traduisent d'émotion vive, sauf au milieu de la partie 4, où la partie de choeur atteint un point culminant. A l'échelle de l'ensemble de la pièce, l'orchestre et le choeur sont parfaitement unis. Ceci correspond à la sobriété de l'approche de Tristan Murail qui n'a pas voulu écrire un oratorio, mais 'une oeuvre orchestrale avec voix'. Pour les mêmes raisons, il s'est tout à fait détourné de l'idée d'un soliste qui représenterait le Christ.
'Je voulais absolument éviter le pathos du XIXème siècle. J'espère que l'émotion viendra de la forme musicale et non des mots. Afin de ne pas me laisser entraîner par le récit, j'ai d'abord écrit les notes. Ce n'est qu'ensuite que j'ai réfléchi à la mise en place du texte. J'ai pu ainsi dans mon processus de composition tenir le contenu sémantique à distance.' (Tristan Murail).
L'oeuvre commence par une introduction orchestrale de treize minutes qui édifie un décor où sont déjà mis en exergue certains éléments musicaux déterminants. Suivent les sept paroles elles-mêmes (sept parties enchaînées). Afin de fournir à l'auditeur des repères quant au déroulement de la forme, chaque partie est annoncée par des sons de cloches échantillonnés. Les textes de l'oeuvre n'ont pas tant trait aux sept dernières paroles du Christ en elles-mêmes qu'à un besoin spirituel plus général qui correspondrait à la condition humaine.
Les mots désespérés du Christ en croix : 'Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-Tu abandonné' (Matthieu, 27-46), sont empruntés à un Psaume dans lequel le croyant se plaint explicitement auprès de l'Eternel : 'Mon Dieu, j'appelle de jour et Tu ne réponds pas - et, de nuit, je ne m'apaise pas.' (Psaume 22-3). Tristan Murail a été touché par cette plainte et par l'interprétation radicale qu'en donnera Nietzsche bien des siècles plus tard : 'Dieu est mort'.
Sa composition se termine dans la déception par un choral extrêmement doux, presque murmuré, dans lequel le choeur répète la ligne du Psaume.
Dans l'oeuvre de Tristan Murail, la voix humaine joue un rôle discret. Il n'y a pas de chant soliste. Le chant choral intervient trois fois seulement : dans ces Sept paroles, dans leur précédent de 1988 et dans ...Amaris et dulcibus aquis... pièce pour choeur, synthétiseur et électronique de 1994.
Est-ce que Tristan Murail cherchera à dépasser à l'avenir l'énorme faille existant entre chant et spectralisme ? Son collègue spectral Gérard Grisey s'est tourné vers la musique vocale dans les dernières années de sa vie de manière très réussie. Tristan Murail nous dit que : 'la voix humaine ne fait partie d'aucun de mes projets pour les trois prochaines années. Il y aura peut-être des possibilités plus tard. Pendant la composition des Sept paroles, j'ai fait des découvertes dans ce domaine. J'ai par exemple été très satisfait du choral spectral qui revient à plusieurs reprises et de la manière dont, dans la cinquième partie, la mélodie vocale est colorée par le son de l'orchestre. Le choeur chante des intervalles simples qui sont perçus différemment grâce aux harmonies spectrales de l'orchestre.'
Michel Khalifa,
Extrait du programme de salle des ZaterdagMatinee,
Concertgebouw Amsterdam, 10 avril 2010
Traduction française : Editions Henry Lemoine / contemporain / Répertoire / Orchestre, Choeur et Electronique
84.60 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Diptych (SILVESTROV
VALENTIN) Choeur Mixte a Cappella (SSAATTBB et
Basse Profond Belaieff
Cantata. Par SILVESTROV VALENTIN. Diptychon est une composition de deux volets, ...(+)
Cantata. Par SILVESTROV VALENTIN. Diptychon est une composition de deux volets, qui peut être comparée à un retable. En plus d'une image du Christ, cela représente généralement la vie d'un saint. L'image du Christ correspond à la liturgie, notre père '(premier mouvement) et la vie d'un saint pour le célèbre poème de Tarass Chevtchenko, ' Zapovit ' (qui signifie 'dévouement' en ukrainien) (second mouvement). Strictement parlant, le premier texte est également une dédicace. Le développement musical au sein des mouvements semble aller dans des directions différentes, bien qu'il y a une sorte de plan caché. La Loi de la recherche au ciel correspond à la ' descente ' tragique de terre et de l'humanité, qui est implorèrent pour être miséricordieux et tenir en souvenir... Cette lecture me semble plus précis et plus réaliste. Pour cette raison, j'ai préféré pour démarrer avec la prière et de ne pas mettre fin avec elle, mais je me rends compte que ce ne soit pas la séquence traditionnelle. ' (V. Silvestrov)/ Répertoire / Choeur Mixte a Cappella (SSAATTBB et Basse Profond
18.30 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Souvenirs En Français Violoncelle, Piano Salabert
Pièce inédite de Francis Poulenc, publiée avec l'autorisation de la Biblioth...(+)
Pièce inédite de Francis Poulenc, publiée avec l'autorisation de la Bibliothèque historique de la ville de Paris et de Benoît Seringe, secrétaire de l'Association des Amis de Francis Poulenc. Le 1er avril 1944, Le Voyageur sans bagage d'Anouilh, qui avait été créé en 1937 avec de la musique de Darius Milhaud, est repris au Théâtre de la Michodière. Francis Poulenc a été sollicité afin d'écrire une nouvelle musique de scène. On ignorait tout de cette partition inédite, jusqu'au jour où Bérengère de l'Epine, conservateur à la Bibliothèque historique de la ville de Paris, nous signala l'existence d'un manuscrit dans le fonds de l'Association de la Régie théâtrale. Poulenc mit au point sa partition entre le 19 et le 21 mars 1944. Elle comprend neuf numéros, tous écrits pour un petit effectif instrumental réunissant un hautbois, une clarinette, un violoncelle et un piano. Cependant, à la fin de son manuscrit, le compositeur reprend le #2 Lent et en donne une seconde version, pour violoncelle et piano. Curieusement, la version originale de ce numéro n'est pas biffée dans le manuscrit. Poulenc semble nous inviter à considérer comme un morceau distinct cette pièce pour violoncelle et piano dont nous proposons ici l'édition. Elle a été créée par Marc Coppey, accompagné de Jean-François Heisser, lors du concert donné durant le colloque organisé pour le cinquantenaire du décès de Poulenc, le mercredi 23 janvier 2013, salle d'orgue du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris (CNSMDP). Quelques éléments sur le contexte dramatique permettront de se faire une idée du caractère du morceau, que Benoît Seringe, ayant droit Poulenc, a judicieusement choisi d'intituler Souvenirs. Le personnage principal de la pièce d'Anouilh, Gaston, a été retrouvé amnésique à la fin de la Première Guerre Mondiale. Plusieurs familles le réclament. On veut voir en lui un parent disparu. Les Renaud se montrent particulièrement tenaces - mais Gaston ne parvient à se reconnaître dans l'enfant et le jeune homme dont on lui trace le portrait : un être violent et sans scrupule. Au tableau 3 de l'acte I, resté seul un moment, écrasé par l'histoire de cet autre lui-même qu'il découvre peu à peu, indigné par le désir des personnes qui l'entourent de le ramener à elles au détriment de celui qu'il voudrait être désormais, il se murmure ces paroles : ' Vous avez tous des preuves, des photographies ressemblantes, des souvenirs précis comme des crimes? je vous écoute tous et je sens surgir peu à peu derrière moi un être hybride où il y a un peu de chacun de vos fils et rien de moi '? C'est sur ces mots que Poulenc a choisi de placer le #2 de sa partition de musique de scène. Comme il le fait souvent, il emprunte à une composition antérieure une part de son matériau. Dans ce cas précis, il réutilise pour le début du morceau la section ' Lent et mélancolique ' de l'Histoire de Babar, composée entre 1940 et 1945, créée en 1946 (à moins que ce ne soit Babar qui réutilise l'idée musicale du Voyageur). Le héros-éléphant s'est décidé à partir pour retrouver la grande forêt. Il a embrassé la vieille dame, lui a promis de revenir, l'a rassurée : jamais il ne l'oubliera. Restée seule, la vieille dame, triste et pensive, se demande quand elle reverra son ami Babar. La situation est similaire à celle du Voyageur sans bagage : solitude, tristesse, instant de trouble et de retour sur soi, crainte de l'oubli, présence des souvenirs? / Violoncelle Et Piano (Ou 2 Violoncelles)
12.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Grau Jean-pierre - Les
Chemins De La Virtuosite
- Reaching Toward
Virtuosity Vol.3 -
Guitare
Guitare Guitare classique Lemoine, Henry
Voici un formidable ouvrage préparé avec rigueur et maîtrise par l'excellent ...(+)
Voici un formidable ouvrage préparé avec rigueur et maîtrise par l'excellent guitariste et compositeur Jean-Pierre Grau. Ces volumes, pour une technique instrumentale virtuose de la guitare, forment un parcours d'une précision rare et pensé avec minutie. Ils apparaissent aujourd'hui comme une référence absolue, un condensé historique et une projection de l'avenir. Les exemples précis faciliteront la progression des apprentis, dans la plus grande clarté et la plus indispensable nécessité. Jean-Pierre Grau offre au monde des guitaristes leur fondamentale bible aux ramications essentielles. Daniel Tosi Directeur du CRR de Perpignan-Méditerranée, Grand prix de Rome de Composition, Prix George Enesco. Aux trois maîtres catalans Ferran Sor, Francesc Tarrega, Emili Pujol Ce troisième et dernier volume des Chemins de la virtuosité est particulièrement dédié au travail de la main droite (alternance buté-pincé, déplacement d'arpège). Si la main gauche matérialise les notes du texte musical, l'utilisation de la main droite est essentiellement dévolue au phrasé et à l'expression de l'oeuvre. C'est cette main qui incarne nos émotions, notre ressenti intérieur et notre compréhension stylistique, par le biais des intensités, des couleurs sonores et du traitement rythmique. C'est également la main droite qui pâtit le plus de notre méforme, des effets du trac et du manque d'intériorisation du texte musical. Il m'a donc semblé judicieux de porter une attention particulière à ces recherches de mobilité et d'alternance buté-pincé, afin de développer une conscience plus claire et plus efficace de l'action de la main droite. Le travail de lié en déplacement et extension, peu ou pas traité dans les ouvrages spécialisés, ainsi que quelques exercices de barré, développés de manière ludique sous forme de mini études, viennent clore cette trilogie de technique instrumentale. J'espère que ces quelques exercices permettront aux interprètes d'acquérir de nouvelles sensations, une liberté de mouvement dans la conscience du corps, et par là même d'accompagner leurs choix musicaux des fabuleuses possibilités sonores de notre instrument. Jean-Pierre Grau
42.00 EUR - vendu par Woodbrass Délais: Sur commande | |
| Les Chemins De La
Virtuosité -
Reaching Toward
Virtuosity Vol.3 (GRAU
JEAN-PIERRE) En Français Guitare [Partition] Lemoine, Henry
Par GRAU JEAN-PIERRE. Voici un formidable ouvrage préparé avec rigueur et maî...(+)
Par GRAU JEAN-PIERRE. Voici un formidable ouvrage préparé avec rigueur et maîtrise par l'excellent guitariste et compositeur Jean-Pierre Grau.
Ces volumes, pour une technique instrumentale virtuose de la guitare, forment un parcours d'une précision rare et pensé avec minutie. Ils apparaissent aujourd'hui comme une référence absolue, un condensé historique et une projection de l'avenir. Les exemples précis faciliteront la progression des 'apprentis', dans la plus grande clarté et la plus indispensable nécessité.
Jean-Pierre Grau off re au monde des guitaristes leur fondamentale bible aux rami cations essentielles.
Daniel Tosi
Directeur du CRR de Perpignan-Méditerranée,
Grand prix de Rome de Composition, Prix George Enesco.
Aux trois maîtres catalans
Ferran Sor, Francesc Tarrega, Emili Pujol
Ce troisième et dernier volume des Chemins de la virtuosité est particulièrement dédié au travail de la main droite (alternance buté-pincé, déplacement d'arpège).
Si la main gauche matérialise les notes du texte musical, l'utilisation de la main droite est essentiellement dévolue au phrasé et à l'expression de l'oeuvre.
C'est cette main qui incarne nos émotions, notre ressenti intérieur et notre compréhension stylistique, par le biais des intensités, des couleurs sonores et du traitement rythmique.
C'est également la main droite qui pâtit le plus de notre méforme, des effets du trac et du manque d'intériorisation du texte musical.
Il m'a donc semblé judicieux de porter une attention particulière à ces recherches de mobilité et d'alternance buté-pincé, afin de développer une conscience plus claire et plus efficace de l'action de la main droite.
Le travail de lié en déplacement et extension, peu ou pas traité dans les ouvrages spécialisés, ainsi que quelques exercices de barré, développés de manière ludique sous forme de mini études, viennent clore cette trilogie de technique instrumentale.
J'espère que ces quelques exercices permettront aux interprètes d'acquérir de nouvelles sensations, une liberté de mouvement dans la conscience du corps, et par là même d'accompagner leurs choix musicaux des fabuleuses possibilités sonores de notre instrument. / Méthode - Etudes / Etude / Guitare
46.10 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Vergehn Wie Rauch Chorale SSAATTBB Schott
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le ...(+)
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le livret de mon opéra de chambre Dafne (d'après Martin Opitz, écrit en 2005), j'ai intégré plusieurs poèmes de Opitz dans son jeu, et c'était aussi la première fois pour moi de composer des passages de choeur prolongées. Après avoir terminé ce travail, j'ai ressenti le besoin d'explorer la combinaison de choeur et les textes baroques dans un plus, la composition chorale indépendante. J'ai choisi des poèmes de Christian Hoffmann von Hoffmannswaldau, Andreas Gryphius, Martin Opitz, Georg Philipp Harsdörffer, Barthold Brockes Hinrich und Friedrich von Logau. En dehors de Trost aphoristique von Logau, les textes ont été raccourcies et réorganisé en profondeur. Les sujets similaires, en utilisant aussi des manières étroitement liées d'expression, et la tendance à des structures redondantes - souvent, une pensée à plusieurs reprises formulé de différentes façons - en fait des lignes de change, même possibles entre les différents poèmes.La façon dont les textes sont examinés les changements entre cadre cohérent et la langue en utilisant comme matière sonore et l'élément structurel. Un aspect important est la technique de laisser mots ou des syllabes tourner à travers tout le choeur, qui - soutenus par différents niveaux dynamiques et d'un unisono souvent légèrement imprécise - crée un effet panoramique comparables. Le moins son temps difficiles de la langue baroque, riche en consonnes, les métaphores lourdes, mais aussi les ondulée, parfois des expressions bizarres sont le plus souvent mis en musique plutôt discrète. Surtout, une duplication du caractère déclamatoire est évité, tandis que quelques belles images sont ramassés et transformés en sons. Le son choeur en tant que telle reste la plupart du temps 'intacte' au sens traditionnel- du brai est même traitée de manière très restrictive - un seul passage (le début du mouvement IIIe) fait usage de la pleine échelle chromatique. L'abstinence de spectaculaires effets attire l'attention sur compréhensibles structures harmoniques, les nuances dynamiques, un large éventail de combinaisons de voix et de registre et les variations subtiles des textes dans les différentes pièces.Formellement, l'ensemble du cycle de sept pièces sont regroupées en grandes sections de plusieurs mouvements. La devise en forme de début se transforme à la fois du texte et de l'harmonie dans le mouvement Gryphius dans laquelle le choeur est progressivement étendue d'une région à moyen terne à plus de registres contrastés jusqu'à ce que les fondus sonores away 'wie Rauch' [comme] la fumée et se transforme en fines pétille. Un petit interlude - la seule section qui présente le quatuor de cuivres - mène à Echo Opitz ', qui se déplace d'un endroit sombre, pesante, son dissonant des voix d'hommes dans une atmosphère de plus en plus léger, qui est ensuite repris par le plutôt simple , paysage d'automne mélancolique de Harsdörffer. La pièce maîtresse du cycle suivant, basé aussi bien sur le poème d'automne par Brockes, contraste fortement avec la simplicité du mouvement précédent. L'image d'une douche à effet pluie de feuilles qui tombent, méditative qui tournent autour lui-même, est transféré dans une longue et complexe 'spirale' paysage sonore sans cesse en rotation dans un maximum de 16 pièces individuelles, chacun d'entre eux d'explorer une version légèrement différente du texte du poème. Tandis que le choeur se développe pour le plus grand nombre de registres et de plus forte densité de la pièce, l'expression, dans le style de la langue Brockes ', reste plutôt affectée. La dernière section reprend le slogan du début, en explorant les deux enlacés textes Hofmannswaldau de manière plus approfondie, et conduit à la court épilogue qui sert comme un commentaire ironique sur baroque lassitude du monde sous la forme d'une merry-go-round avec les syllabes du poème de rotation spirituellement rapide grâce à la chorale.Le quatuor de cuivres partie soutient, accompagne et complète en partie le choeur d'une façon presque totalement la fusion. Il ya à peine une note qui n'est pas directement associée à l'une des voix de la chorale. Cependant, l'utilisation ou ommitting les cuivres affecte également la Charakter de la performance de la chorale - de cette manière, deux versions égales de la pièce sont combinés en un seul score, et vergehn wie Rauch peut être effectuée a cappella à la fois l'original et d'aujourd'hui les sens du terme.- Benjamin Schweitzer / Choeur Mixte (SSAATTBB), Trompette En Sib, Cor En Fa, Trombone Et Tuba
27.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Vergehn Wie Rauch Chorale SSAATTBB Schott
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le ...(+)
Baroque allemand poésie me fascine depuis longtemps. Lorsque vous organisez le livret de mon opéra de chambre Dafne (d'après Martin Opitz, écrit en 2005), j'ai intégré plusieurs poèmes de Opitz dans son jeu, et c'était aussi la première fois pour moi de composer des passages de choeur prolongées. Après avoir terminé ce travail, j'ai ressenti le besoin d'explorer la combinaison de choeur et les textes baroques dans un plus, la composition chorale indépendante. J'ai choisi des poèmes de Christian Hoffmann von Hoffmannswaldau, Andreas Gryphius, Martin Opitz, Georg Philipp Harsdörffer, Barthold Brockes Hinrich und Friedrich von Logau. En dehors de Trost aphoristique von Logau, les textes ont été raccourcies et réorganisé en profondeur. Les sujets similaires, en utilisant aussi des manières étroitement liées d'expression, et la tendance à des structures redondantes - souvent, une pensée à plusieurs reprises formulé de différentes façons - en fait des lignes de change, même possibles entre les différents poèmes.La façon dont les textes sont examinés les changements entre cadre cohérent et la langue en utilisant comme matière sonore et l'élément structurel. Un aspect important est la technique de laisser mots ou des syllabes tourner à travers tout le choeur, qui - soutenus par différents niveaux dynamiques et d'un unisono souvent légèrement imprécise - crée un effet panoramique comparables. Le moins son temps difficiles de la langue baroque, riche en consonnes, les métaphores lourdes, mais aussi les ondulée, parfois des expressions bizarres sont le plus souvent mis en musique plutôt discrète. Surtout, une duplication du caractère déclamatoire est évité, tandis que quelques belles images sont ramassés et transformés en sons. Le son choeur en tant que telle reste la plupart du temps 'intacte' au sens traditionnel- du brai est même traitée de manière très restrictive - un seul passage (le début du mouvement IIIe) fait usage de la pleine échelle chromatique. L'abstinence de spectaculaires effets attire l'attention sur compréhensibles structures harmoniques, les nuances dynamiques, un large éventail de combinaisons de voix et de registre et les variations subtiles des textes dans les différentes pièces.Formellement, l'ensemble du cycle de sept pièces sont regroupées en grandes sections de plusieurs mouvements. La devise en forme de début se transforme à la fois du texte et de l'harmonie dans le mouvement Gryphius dans laquelle le choeur est progressivement étendue d'une région à moyen terne à plus de registres contrastés jusqu'à ce que les fondus sonores away 'wie Rauch' [comme] la fumée et se transforme en fines pétille. Un petit interlude - la seule section qui présente le quatuor de cuivres - mène à Echo Opitz ', qui se déplace d'un endroit sombre, pesante, son dissonant des voix d'hommes dans une atmosphère de plus en plus léger, qui est ensuite repris par le plutôt simple , paysage d'automne mélancolique de Harsdörffer. La pièce maîtresse du cycle suivant, basé aussi bien sur le poème d'automne par Brockes, contraste fortement avec la simplicité du mouvement précédent. L'image d'une douche à effet pluie de feuilles qui tombent, méditative qui tournent autour lui-même, est transféré dans une longue et complexe 'spirale' paysage sonore sans cesse en rotation dans un maximum de 16 pièces individuelles, chacun d'entre eux d'explorer une version légèrement différente du texte du poème. Tandis que le choeur se développe pour le plus grand nombre de registres et de plus forte densité de la pièce, l'expression, dans le style de la langue Brockes ', reste plutôt affectée. La dernière section reprend le slogan du début, en explorant les deux enlacés textes Hofmannswaldau de manière plus approfondie, et conduit à la court épilogue qui sert comme un commentaire ironique sur baroque lassitude du monde sous la forme d'une merry-go-round avec les syllabes du poème de rotation spirituellement rapide grâce à la chorale.Le quatuor de cuivres partie soutient, accompagne et complète en partie le choeur d'une façon presque totalement la fusion. Il ya à peine une note qui n'est pas directement associée à l'une des voix de la chorale. Cependant, l'utilisation ou ommitting les cuivres affecte également la Charakter de la performance de la chorale - de cette manière, deux versions égales de la pièce sont combinés en un seul score, et vergehn wie Rauch peut être effectuée a cappella à la fois l'original et d'aujourd'hui les sens du terme.- Benjamin Schweitzer / Choeur Mixte (SSAATTBB), Trompette En Sib, Cor En Fa, Trombone Et Tuba
18.80 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Sérénade Ou
Concert, Divisé En
Trois Suites. Ensembles Instrumentaux Anne Fuzeau Productions
Edition : Paris, C. Ballard, 1697.Présentation par le Département de musique a...(+)
Edition : Paris, C. Ballard, 1697.Présentation par le Département de musique ancienne du CNSMDP, classes d'Irène Ginger et de Jean Saint-Arroman : Danse et musique - Composition et instrumentation - Notation - Mesure - Terminologie - Basse continue. - Trois parties instrumentales séparées : premier dessus, second dessus, basse continue - L'instrumentation est généralement précisée.D'après le titre donné par Montéclair, ces pièces conviennent à la danse. Elles sont écrites pour dessus et basse ou en trio. De facture simple et claire, ce sont des modèles de pièces à danser. / Ensembles Instrumentaux / 116 pages / niveau : 1 / Fac-Similés - Format: 23.5 X 31.5
57.20 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Petite Messe Solennelle
(ROSSINI GIOACHINO) Soli, choeur mixte et accompagnement Soli, chœur mixte et piano Barenreiter
Par ROSSINI GIOACHINO. La 'Petite Messe solennelle' est le plus beau travail ces...(+)
Par ROSSINI GIOACHINO. La 'Petite Messe solennelle' est le plus beau travail ces dernières années de Rossini. Il a composé entre 1863 et 1864 à l'âge de 71 ans à titre de commission pour la comtesse Louise Pillet-Will pour la consécration de sa chapelle privée, où le travail a reçu sa première représentation en Mars 1864. Avec le 'Stabat mater', la masse est l'une des oeuvres sacrées mostimportant du compositeur.
L'instrumentation inhabituelle avec deux pianos et harmonium est tout à fait conforme à la tradition du clavier napolitaine du 18ème siècle qui a été cultivé en France à l'époque de Rossini. Il forme un contraste frappant avec le style des compositions sacrées de grande envergure comme l'a écrit, par exemple, Liszt et Bruckner. Rossini a expliqué qu'il a écrit la version orchestrale tard du travail datant de 1867 de crainte que s'il ne le faisait pas, d'autres compositeurs pourraient orchestrer la masse trop lourdement dans les accords ultérieurs.
La réduction pour piano par Andreas Kohs est très idiomatique et préserve en grande partie le caractère charmant de l'instrumentation inhabituelle.
- Basé sur le Urtext de la série 'oeuvres de Gioachino Rossini'
- Avant-propos en deux langues (anglais / allemand)
- Avec une part d'harmonium séparée et une partie de pianos I et II
'... Il est très difficile d'imaginer quelqu'un arriver à un texte plus savante, précis et pratiquement utile que cela.'
(Classics aujourd'hui Juillet 2010)
'Aucun compositeur dans la première moitié du 19e siècle a connu la mesure du prestige, la richesse, succès populaire ou de l'influence artistique qui appartenait à Gioachino Rossini. Ses contemporains l'ont reconnu comme le plus grand compositeur italien de son temps. Ses réalisations jeté dans l'oubli le monde de l'opéra de Cimarosa et Paisiello, la création de nouvelles normes par rapport auxquelles d'autres compositeurs devaient être jugés. C'est à la fois Bellini et Donizetti taillé styles personnels est indéniable, mais ils ont travaillé dans l'ombre de Rossini, et leurs personnalités artistiques ont émergé dans la confrontation avec ses opéras. Pas jusqu'à l'avènement de Verdi était Rossini remplacé au centre de la vie de l'opéra italien. '
(Philip Gossett, The New Grove Dictionary of Music and Musicians)/ Répertoire / Chant et Piano
22.70 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: 2-5 jours - En Stock Fournisseur | |
| Improvisation Nature Et
Pratique Dans La Musique En Français Formation musicale - Solfège Outre Mesure
L'ouvrage de Derek Bailey concerne l'ensemble des pratiques musicales, bien au-d...(+)
L'ouvrage de Derek Bailey concerne l'ensemble des pratiques musicales, bien au-delà de tel idiome ou de tel style. L'objectif premier de l'auteur est de mettre en évidence la présence de l'improvisation dans les domaines les plus variés de l'histoire et de l'expression musicales (musiques indienne, flamenco, baroque, d'orgue, rock, jazz, contemporaine, improvisation libre). L'auteur s'est appuyé sur les témoignages de nombreux improvisateurs, pratiquant leur art dans des contextes les plus divers. C'est au terme de ce tour d'horizon qu'il se tourne plus précisément vers sa propre expérience, l'improvisation libre ou ' totale ', lieu de tous les possibles... À l'opposé du manuel ou du traité, ce livre nous invite à examiner les questions soulevées par l'improvisation et plus généralement par la pratique de la musique : technique instrumentale, rapports avec le public, composition, enregistrement, pédagogie, notion de groupe... / Divers / Livre
20.90 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| Les Essentiels de la
musique - 600 mots de la
musique vol. B : genres
et formes (CAO HELENE) En Français Formation musicale - Solfège [Livre] Billaudot
Par CAO HELENE. Les deux tomes des 600 Mots de la musique couvrent l’essentiel...(+)
Par CAO HELENE. Les deux tomes des 600 Mots de la musique couvrent l’essentiel du vocabulaire de la musique occidentale dite « savante ». Ce volume A contient les mots concernant la théorie (chromatisme, tonalité), les procédés compositionnels (contrepoint, renversement), les pratiques (basse continue, transposition), les esthétiques et courants musicaux (baroque, style classique, musique spectrale). Le volume B s’attache aux genres et aux structures formelles. Les vocables relatifs à la facture instrumentale, qui appartiennent à un autre domaine, ont donc été écartés, ainsi que la terminologie propre aux traditions orales, musiques extra-européennes et populaires (chanson, jazz, pop, rock, etc.).
Les mots les plus importants donnent leur titre aux entrées. Mais au sein des notices, des termes supplémentaires sont également définis (par exemple, « bécarre » apparaît dans la page consacrée à « altération ») : il nous a semblé plus pertinent de mettre immédiatement en perspective des notions intimement liées et d’éviter la formule du dictionnaire qui aurait entraîné un grand nombre de redites. L’intitulé de quelques entrées associe deux ou trois mots (« ambitus, tessiture, registre », ou « chaconne et passacaille »), lorsqu’il s’avère judicieux de les traiter de conserve.
Un index regroupe la totalité des termes et permet de retrouver aisément ceux qui ne disposent pas d’entrée propre. Dans le corps du texte, le signe ‡ désigne les mots explicités dans le volume A ; l’astérisque *, ceux qui sont commentés dans le volume B. Afin d’alléger la présentation, les mots les moins « techniques » et les plus familiers (tels air, concert, improvisation, romantisme, tempo) ne portent pas systématiquement de signe de renvoi. Ces signes sont également absents des citations et des titres d’œuvres.
Par souci de lisibilité et d’accessibilité, les exemples musicaux des œuvres anciennes sont imprimés en notation moderne et l’orthographe des citations anciennes est actualisée. La date indiquée à la suite d’une oeuvre correspond à l’année de son achèvement. Lorsque la composition s’étend sur un nombre d’années conséquent et qu’il nous semble utile de donner cette information, la date de début de composition est précisée en sus de celle de fin. La date d’édition se substitue à la date de composition lorsque celle-ci reste inconnue./ Solfège/Formation Musicale / Formation Musicale
22.00 EUR - vendu par LMI-partitions Délais: En Stock | |
| CAO HELENE - 600 MOTS DE
LA MUSIQUE VOL.A -
HISTOIRE ET TECHNIQUE
(COLL. LES ESSENTIELS DE
LA MUSIQU Formation musicale - Solfège BILLAUDOT
Les deux tomes des 600 Mots de la musique couvrent l’essentiel du vocabulaire ...(+)
Les deux tomes des 600 Mots de la musique couvrent l’essentiel du vocabulaire de la musique occidentale dite « savante ». Ce volume A contient les mots concernant la théorie (chromatisme, tonalité), les procédés compositionnels (contrepoint, renversement), les pratiques (basse continue, transposition), les esthétiques et courants musicaux (baroque, style classique, musique spectrale). Le volume B s’attache aux genres et aux structures formelles. Les vocables relatifs à la facture instrumentale, qui appartiennent à un autre domaine, ont donc été écartés, ainsi que la terminologie propre aux traditions orales, musiques extra-européennes et populaires (chanson, jazz, pop, rock, etc.). Les mots les plus importants donnent leur titre aux entrées. Mais au sein des notices, des termes supplémentaires sont également définis (par exemple, « bécarre » apparaît dans la page consacrée à « altération ») : il nous a semblé plus pertinent de mettre immédiatement en perspective des notions intimement liées et d’éviter la formule du dictionnaire qui aurait entraîné un grand nombre de redites. L’intitulé de quelques entrées associe deux ou trois mots (« ambitus, tessiture, registre », ou « chaconne et passacaille »), lorsqu’il s’avère judicieux de les traiter de conserve. Un index regroupe la totalité des termes et permet de retrouver aisément ceux qui ne disposent pas d’entrée propre. Dans le corps du texte, le signe ‡ désigne les mots explicités dans le volume A ; l’astérisque *, ceux qui sont commentés dans le volume B. Afin d’alléger la présentation, les mots les moins « techniques » et les plus familiers (tels air, concert, improvisation, romantisme, tempo) ne portent pas systématiquement de signe de renvoi. Ces signes sont également absents des citations et des titres d’œuvres. Par souci de lisibilité et d’accessibilité, les exemples musicaux des œuvres anciennes sont imprimés en notation moderne et l’orthographe des citations anciennes est actualisée. La date indiquée à la suite d’une oeuvre correspond à l’année de son achèvement. Lorsque la composition s’étend sur un nombre d’années conséquent et qu’il nous semble utile de donner cette information, la date de début de composition est précisée en sus de celle de fin. La date d’édition se substitue à la date de composition lorsque celle-ci reste inconnue. / Méthodes et pédagogie / Formation musicale / Formation musicale - solfège / BILLAUDOT
19.90 EUR - vendu par Woodbrass Délais: En Stock | |
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| Transcriptions of Lieder Piano seul Carl Fischer
Chamber Music Piano SKU: CF.PL1056 Composed by Clara Wieck-Schumann, Fran...(+)
Chamber Music Piano
SKU: CF.PL1056
Composed by Clara
Wieck-Schumann, Franz
Schubert, and Robert
Schumann. Edited by
Nicholas Hopkins.
Collection. With Standard
notation. 128 pages. Carl
Fischer Music #PL1056.
Published by Carl Fischer
Music (CF.PL1056).
ISBN 9781491153390.
UPC: 680160910892.
Transcribed by Franz
Liszt. Introduction
It is true that Schubert
himself is somewhat to
blame for the very
unsatisfactory manner in
which his admirable piano
pieces are treated. He
was too immoderately
productive, wrote
incessantly, mixing
insignificant with
important things, grand
things with mediocre
work, paid no heed to
criticism, and always
soared on his wings. Like
a bird in the air, he
lived in music and sang
in angelic fashion.
--Franz Liszt, letter to
Dr. S. Lebert (1868) Of
those compositions that
greatly interest me,
there are only Chopin's
and yours. --Franz Liszt,
letter to Robert Schumann
(1838) She [Clara
Schumann] was astounded
at hearing me. Her
compositions are really
very remarkable,
especially for a woman.
There is a hundred times
more creativity and real
feeling in them than in
all the past and present
fantasias by Thalberg.
--Franz Liszt, letter to
Marie d'Agoult (1838)
Chretien Urhan
(1790-1845) was a
Belgian-born violinist,
organist and composer who
flourished in the musical
life of Paris in the
early nineteenth century.
According to various
accounts, he was deeply
religious, harshly
ascetic and wildly
eccentric, though revered
by many important and
influential members of
the Parisian musical
community. Regrettably,
history has forgotten
Urhan's many musical
achievements, the most
important of which was
arguably his pioneering
work in promoting the
music of Franz Schubert.
He devoted much of his
energies to championing
Schubert's music, which
at the time was unknown
outside of Vienna.
Undoubtedly, Urhan was
responsible for
stimulating this
enthusiasm in Franz
Liszt; Liszt regularly
heard Urhan's organ
playing in the
St.-Vincent-de-Paul
church in Paris, and the
two became personal
acquaintances. At
eighteen years of age,
Liszt was on the verge of
establishing himself as
the foremost pianist in
Europe, and this
awakening to Schubert's
music would prove to be a
profound experience.
Liszt's first travels
outside of his native
provincial Hungary were
to Vienna in 1821-1823,
where his father enrolled
him in studies with Carl
Czerny (piano) and
Antonio Salieri (music
theory). Both men had
important involvements
with Schubert; Czerny
(like Urhan) as performer
and advocate of
Schubert's music and
Salieri as his theory and
composition teacher from
1813-1817. Curiously,
Liszt and Schubert never
met personally, despite
their geographical
proximity in Vienna
during these years.
Inevitably, legends later
arose that the two had
been personal
acquaintances, although
Liszt would dismiss these
as fallacious: I never
knew Schubert personally,
he was once quoted as
saying. Liszt's initial
exposure to Schubert's
music was the Lieder,
what Urhan prized most of
all. He accompanied the
tenor Benedict
Randhartinger in numerous
performances of
Schubert's Lieder and
then, perhaps realizing
that he could benefit the
composer more on his own
terms, transcribed a
number of the Lieder for
piano solo. Many of these
transcriptions he would
perform himself on
concert tour during the
so-called Glanzzeit, or
time of splendor from
1839-1847. This publicity
did much to promote
reception of Schubert's
music throughout Europe.
Once Liszt retired from
the concert stage and
settled in Weimar as a
conductor in the 1840s,
he continued to perform
Schubert's orchestral
music, his Symphony No. 9
being a particular
favorite, and is credited
with giving the world
premiere performance of
Schubert's opera Alfonso
und Estrella in 1854. At
this time, he
contemplated writing a
biography of the
composer, which
regrettably remained
uncompleted. Liszt's
devotion to Schubert
would never waver.
Liszt's relationship with
Robert and Clara Schumann
was far different and far
more complicated; by
contrast, they were all
personal acquaintances.
What began as a
relationship of mutual
respect and admiration
soon deteriorated into
one of jealousy and
hostility, particularly
on the Schumann's part.
Liszt's initial contact
with Robert's music
happened long before they
had met personally, when
Liszt published an
analysis of Schumann's
piano music for the
Gazette musicale in 1837,
a gesture that earned
Robert's deep
appreciation. In the
following year Clara met
Liszt during a concert
tour in Vienna and
presented him with more
of Schumann's piano
music. Clara and her
father Friedrich Wieck,
who accompanied Clara on
her concert tours, were
quite taken by Liszt: We
have heard Liszt. He can
be compared to no other
player...he arouses
fright and astonishment.
His appearance at the
piano is indescribable.
He is an original...he is
absorbed by the piano.
Liszt, too, was impressed
with Clara--at first the
energy, intelligence and
accuracy of her piano
playing and later her
compositions--to the
extent that he dedicated
to her the 1838 version
of his Etudes d'execution
transcendante d'apres
Paganini. Liszt had a
closer personal
relationship with Clara
than with Robert until
the two men finally met
in 1840. Schumann was
astounded by Liszt's
piano playing. He wrote
to Clara that Liszt had
played like a god and had
inspired indescribable
furor of applause. His
review of Liszt even
included a heroic
personification with
Napoleon. In Leipzig,
Schumann was deeply
impressed with Liszt's
interpretations of his
Noveletten, Op. 21 and
Fantasy in C Major, Op.
17 (dedicated to Liszt),
enthusiastically
observing that, I feel as
if I had known you twenty
years. Yet a variety of
events followed that
diminished Liszt's glory
in the eyes of the
Schumanns. They became
critical of the cult-like
atmosphere that arose
around his recitals, or
Lisztomania as it came to
be called; conceivably,
this could be attributed
to professional jealousy.
Clara, in particular,
came to loathe Liszt,
noting in a letter to
Joseph Joachim, I despise
Liszt from the depths of
my soul. She recorded a
stunning diary entry a
day after Liszt's death,
in which she noted, He
was an eminent keyboard
virtuoso, but a dangerous
example for the
young...As a composer he
was terrible. By
contrast, Liszt did not
share in these negative
sentiments; no evidence
suggests that he had any
ill-regard for the
Schumanns. In Weimar, he
did much to promote
Schumann's music,
conducting performances
of his Scenes from Faust
and Manfred, during a
time in which few
orchestras expressed
interest, and premiered
his opera Genoveva. He
later arranged a benefit
concert for Clara
following Robert's death,
featuring Clara as
soloist in Robert's Piano
Concerto, an event that
must have been
exhilarating to witness.
Regardless, her opinion
of him would never
change, despite his
repeated gestures of
courtesy and respect.
Liszt's relationship with
Schubert was a spiritual
one, with music being the
one and only link between
the two men. That with
the Schumanns was
personal, with music
influenced by a hero
worship that would
aggravate the
relationship over time.
Nonetheless, Liszt would
remain devoted to and
enthusiastic for the
music and achievements of
these composers. He would
be a vital force in
disseminating their music
to a wider audience, as
he would be with many
other composers
throughout his career.
His primary means for
accomplishing this was
the piano transcription.
Liszt and the
Transcription
Transcription versus
Paraphrase Transcription
and paraphrase were
popular terms in
nineteenth-century music,
although certainly not
unique to this period.
Musicians understood that
there were clear
distinctions between
these two terms, but as
is often the case these
distinctions could be
blurred. Transcription,
literally writing over,
entails reworking or
adapting a piece of music
for a performance medium
different from that of
its original; arrangement
is a possible synonym.
Adapting is a key part of
this process, for the
success of a
transcription relies on
the transcriber's ability
to adapt the piece to the
different medium. As a
result, the pre-existing
material is generally
kept intact, recognizable
and intelligible; it is
strict, literal,
objective. Contextual
meaning is maintained in
the process, as are
elements of style and
form. Paraphrase, by
contrast, implies
restating something in a
different manner, as in a
rewording of a document
for reasons of clarity.
In nineteenth-century
music, paraphrasing
indicated elaborating a
piece for purposes of
expressive virtuosity,
often as a vehicle for
showmanship. Variation is
an important element, for
the source material may
be varied as much as the
paraphraser's imagination
will allow; its purpose
is metamorphosis.
Transcription is adapting
and arranging;
paraphrasing is
transforming and
reworking. Transcription
preserves the style of
the original; paraphrase
absorbs the original into
a different style.
Transcription highlights
the original composer;
paraphrase highlights the
paraphraser.
Approximately half of
Liszt's compositional
output falls under the
category of transcription
and paraphrase; it is
noteworthy that he never
used the term
arrangement. Much of his
early compositional
activities were
transcriptions and
paraphrases of works of
other composers, such as
the symphonies of
Beethoven and Berlioz,
vocal music by Schubert,
and operas by Donizetti
and Bellini. It is
conceivable that he
focused so intently on
work of this nature early
in his career as a means
to perfect his
compositional technique,
although transcription
and paraphrase continued
well after the technique
had been mastered; this
might explain why he
drastically revised and
rewrote many of his
original compositions
from the 1830s (such as
the Transcendental Etudes
and Paganini Etudes) in
the 1850s. Charles Rosen,
a sympathetic interpreter
of Liszt's piano works,
observes, The new
revisions of the
Transcendental Etudes are
not revisions but concert
paraphrases of the old,
and their art lies in the
technique of
transformation. The
Paganini etudes are piano
transcriptions of violin
etudes, and the
Transcendental Etudes are
piano transcriptions of
piano etudes. The
principles are the same.
He concludes by noting,
Paraphrase has shaded off
into
composition...Composition
and paraphrase were not
identical for him, but
they were so closely
interwoven that
separation is impossible.
The significance of
transcription and
paraphrase for Liszt the
composer cannot be
overstated, and the
mutual influence of each
needs to be better
understood. Undoubtedly,
Liszt the composer as we
know him today would be
far different had he not
devoted so much of his
career to transcribing
and paraphrasing the
music of others. He was
perhaps one of the first
composers to contend that
transcription and
paraphrase could be
genuine art forms on
equal par with original
pieces; he even claimed
to be the first to use
these two terms to
describe these classes of
arrangements. Despite the
success that Liszt
achieved with this type
of work, others viewed it
with circumspection and
criticism. Robert
Schumann, although deeply
impressed with Liszt's
keyboard virtuosity, was
harsh in his criticisms
of the transcriptions.
Schumann interpreted them
as indicators that
Liszt's virtuosity had
hindered his
compositional development
and suggested that Liszt
transcribed the music of
others to compensate for
his own compositional
deficiencies.
Nonetheless, Liszt's
piano transcriptions,
what he sometimes called
partitions de piano (or
piano scores), were
instrumental in promoting
composers whose music was
unknown at the time or
inaccessible in areas
outside of major European
capitals, areas that
Liszt willingly toured
during his Glanzzeit. To
this end, the
transcriptions had to be
literal arrangements for
the piano; a Beethoven
symphony could not be
introduced to an
unknowing audience if its
music had been subjected
to imaginative
elaborations and
variations. The same
would be true of the 1833
transcription of
Berlioz's Symphonie
fantastique (composed
only three years
earlier), the
astonishingly novel
content of which would
necessitate a literal and
intelligible rendering.
Opera, usually more
popular and accessible
for the general public,
was a different matter,
and in this realm Liszt
could paraphrase the
original and manipulate
it as his imagination
would allow without
jeopardizing its
reception; hence, the
paraphrases on the operas
of Bellini, Donizetti,
Mozart, Meyerbeer and
Verdi. Reminiscence was
another term coined by
Liszt for the opera
paraphrases, as if the
composer were reminiscing
at the keyboard following
a memorable evening at
the opera. Illustration
(reserved on two
occasions for Meyerbeer)
and fantasy were
additional terms. The
operas of Wagner were
exceptions. His music was
less suited to paraphrase
due to its general lack
of familiarity at the
time. Transcription of
Wagner's music was thus
obligatory, as it was of
Beethoven's and Berlioz's
music; perhaps the
composer himself insisted
on this approach. Liszt's
Lieder Transcriptions
Liszt's initial
encounters with
Schubert's music, as
mentioned previously,
were with the Lieder. His
first transcription of a
Schubert Lied was Die
Rose in 1833, followed by
Lob der Tranen in 1837.
Thirty-nine additional
transcriptions appeared
at a rapid pace over the
following three years,
and in 1846, the Schubert
Lieder transcriptions
would conclude, by which
point he had completed
fifty-eight, the most of
any composer. Critical
response to these
transcriptions was highly
favorable--aside from the
view held by
Schumann--particularly
when Liszt himself played
these pieces in concert.
Some were published
immediately by Anton
Diabelli, famous for the
theme that inspired
Beethoven's variations.
Others were published by
the Viennese publisher
Tobias Haslinger (one of
Beethoven's and
Schubert's publishers in
the 1820s), who sold his
reserves so quickly that
he would repeatedly plead
for more. However,
Liszt's enthusiasm for
work of this nature soon
became exhausted, as he
noted in a letter of 1839
to the publisher
Breitkopf und Hartel:
That good Haslinger
overwhelms me with
Schubert. I have just
sent him twenty-four new
songs (Schwanengesang and
Winterreise), and for the
moment I am rather tired
of this work. Haslinger
was justified in his
demands, for the Schubert
transcriptions were
received with great
enthusiasm. One Gottfried
Wilhelm Fink, then editor
of the Allgemeine
musikalische Zeitung,
observed of these
transcriptions: Nothing
in recent memory has
caused such sensation and
enjoyment in both
pianists and audiences as
these arrangements...The
demand for them has in no
way been satisfied; and
it will not be until
these arrangements are
seen on pianos
everywhere. They have
indeed made quite a
splash. Eduard Hanslick,
never a sympathetic
critic of Liszt's music,
acknowledged thirty years
after the fact that,
Liszt's transcriptions of
Schubert Lieder were
epoch-making. There was
hardly a concert in which
Liszt did not have to
play one or two of
them--even when they were
not listed on the
program. These
transcriptions quickly
became some of his most
sough-after pieces,
despite their extreme
technical demands.
Leading pianists of the
day, such as Clara Wieck
and Sigismond Thalberg,
incorporated them into
their concert programs
immediately upon
publication. Moreover,
the transcriptions would
serve as inspirations for
other composers, such as
Stephen Heller, Cesar
Franck and later Leopold
Godowsky, all of whom
produced their own
transcriptions of
Schubert's Lieder. Liszt
would transcribe the
Lieder of other composers
as well, including those
by Mendelssohn, Chopin,
Anton Rubinstein and even
himself. Robert Schumann,
of course, would not be
ignored. The first
transcription of a
Schumann Lied was the
celebrated Widmung from
Myrten in 1848, the only
Schumann transcription
that Liszt completed
during the composer's
lifetime. (Regrettably,
there is no evidence of
Schumann's regard of this
transcription, or even if
he was aware of it.) From
the years 1848-1881,
Liszt transcribed twelve
of Robert Schumann's
Lieder (including one
orchestral Lied) and
three of Clara (one from
each of her three
published Lieder cycles);
he would transcribe no
other works of these two
composers. The Schumann
Lieder transcriptions,
contrary to those of
Schubert, are literal
arrangements, posing, in
general, far fewer
demands on the pianist's
technique. They are
comparatively less
imaginative in their
treatment of the original
material. Additionally,
they seem to have been
less valued in their day
than the Schubert
transcriptions, and it is
noteworthy that none of
the Schumann
transcriptions bear
dedications, as most of
the Schubert
transcriptions do. The
greatest challenge posed
by Lieder transcriptions,
regardless of the
composer or the nature of
the transcription, was to
combine the vocal and
piano parts of the
original such that the
character of each would
be preserved, a challenge
unique to this form of
transcription. Each part
had to be intact and
aurally recognizable, the
vocal line in particular.
Complications could be
manifold in a Lied that
featured dissimilar
parts, such as Schubert's
Auf dem Wasser zu singen,
whose piano accompaniment
depicts the rocking of
the boat on the
shimmering waves while
the vocal line reflects
on the passing of time.
Similar complications
would be encountered in
Gretchen am Spinnrade, in
which the ubiquitous
sixteenth-note pattern in
the piano's right hand
epitomizes the
ever-turning spinning
wheel over which the
soprano voice expresses
feelings of longing and
heartache. The resulting
transcriptions for solo
piano would place
exceptional demands on
the pianist. The
complications would be
far less imposing in
instances in which voice
and piano were less
differentiated, as in
many of Schumann's Lieder
that Liszt transcribed.
The piano parts in these
Lieder are true
accompaniments for the
voice, providing harmonic
foundation and rhythmic
support by doubling the
vocal line throughout.
The transcriptions, thus,
are strict and literal,
with far fewer demands on
both pianist and
transcriber. In all of
Liszt's Lieder
transcriptions,
regardless of the way in
which the two parts are
combined, the melody
(i.e. the vocal line) is
invariably the focal
point; the melody should
sing on the piano, as if
it were the voice. The
piano part, although
integral to contributing
to the character of the
music, is designed to
function as
accompaniment. A singing
melody was a crucial
objective in
nineteenth-century piano
performance, which in
part might explain the
zeal in transcribing and
paraphrasing vocal music
for the piano. Friedrich
Wieck, father and teacher
of Clara Schumann,
stressed this point
repeatedly in his 1853
treatise Clavier und
Gesang (Piano and Song):
When I speak in general
of singing, I refer to
that species of singing
which is a form of
beauty, and which is a
foundation for the most
refined and most perfect
interpretation of music;
and, above all things, I
consider the culture of
beautiful tones the basis
for the finest possible
touch on the piano. In
many respects, the piano
and singing should
explain and supplement
each other. They should
mutually assist in
expressing the sublime
and the noble, in forms
of unclouded beauty. Much
of Liszt's piano music
should be interpreted
with this concept in
mind, the Lieder
transcriptions and opera
paraphrases, in
particular. To this end,
Liszt provided numerous
written instructions to
the performer to
emphasize the vocal line
in performance, with
Italian directives such
as un poco marcato il
canto, accentuato assai
il canto and ben
pronunziato il canto.
Repeated indications of
cantando,singend and
espressivo il canto
stress the significance
of the singing tone. As
an additional means of
achieving this and
providing the performer
with access to the
poetry, Liszt insisted,
at what must have been a
publishing novelty at the
time, on printing the
words of the Lied in the
music itself. Haslinger,
seemingly oblivious to
Liszt's intent, initially
printed the poems of the
early Schubert
transcriptions separately
inside the front covers.
Liszt argued that the
transcriptions must be
reprinted with the words
underlying the notes,
exactly as Schubert had
done, a request that was
honored by printing the
words above the
right-hand staff. Liszt
also incorporated a
visual scheme for
distinguishing voice and
accompaniment, influenced
perhaps by Chopin, by
notating the
accompaniment in cue
size. His transcription
of Robert Schumann's
Fruhlings Ankunft
features the vocal line
in normal size, the piano
accompaniment in reduced
size, an unmistakable
guide in a busy texture
as to which part should
be emphasized: Example 1.
Schumann-Liszt Fruhlings
Ankunft, mm. 1-2. The
same practice may be
found in the
transcription of
Schumann's An die Turen
will ich schleichen. In
this piece, the performer
must read three staves,
in which the baritone
line in the central staff
is to be shared between
the two hands based on
the stem direction of the
notes: Example 2.
Schumann-Liszt An die
Turen will ich
schleichen, mm. 1-5. This
notational practice is
extremely beneficial in
this instance, given the
challenge of reading
three staves and the
manner in which the vocal
line is performed by the
two hands. Curiously,
Liszt did not use this
practice in other
transcriptions.
Approaches in Lieder
Transcription Liszt
adopted a variety of
approaches in his Lieder
transcriptions, based on
the nature of the source
material, the ways in
which the vocal and piano
parts could be combined
and the ways in which the
vocal part could sing.
One approach, common with
strophic Lieder, in which
the vocal line would be
identical in each verse,
was to vary the register
of the vocal part. The
transcription of Lob der
Tranen, for example,
incorporates three of the
four verses of the
original Lied, with the
register of the vocal
line ascending one octave
with each verse (from low
to high), as if three
different voices were
participating. By the
conclusion, the music
encompasses the entire
range of Liszt's keyboard
to produce a stunning
climactic effect, and the
variety of register of
the vocal line provides a
welcome textural variety
in the absence of the
words. The three verses
of the transcription of
Auf dem Wasser zu singen
follow the same approach,
in which the vocal line
ascends from the tenor,
to the alto and to the
soprano registers with
each verse.
Fruhlingsglaube adopts
the opposite approach, in
which the vocal line
descends from soprano in
verse 1 to tenor in verse
2, with the second part
of verse 2 again resuming
the soprano register;
this is also the case in
Das Wandern from
Mullerlieder. Gretchen am
Spinnrade posed a unique
problem. Since the poem's
narrator is female, and
the poem represents an
expression of her longing
for her lover Faust,
variation of the vocal
line's register, strictly
speaking, would have been
impractical. For this
reason, the vocal line
remains in its original
register throughout,
relentlessly colliding
with the sixteenth-note
pattern of the
accompaniment. One
exception may be found in
the fifth and final verse
in mm. 93-112, at which
point the vocal line is
notated in a higher
register and doubled in
octaves. This sudden
textural change, one that
is readily audible, was a
strategic means to
underscore Gretchen's
mounting anxiety (My
bosom urges itself toward
him. Ah, might I grasp
and hold him! And kiss
him as I would wish, at
his kisses I should
die!). The transcription,
thus, becomes a vehicle
for maximizing the
emotional content of the
poem, an exceptional
undertaking with the
general intent of a
transcription. Registral
variation of the vocal
part also plays a crucial
role in the transcription
of Erlkonig. Goethe's
poem depicts the death of
a child who is
apprehended by a
supernatural Erlking, and
Schubert, recognizing the
dramatic nature of the
poem, carefully depicted
the characters (father,
son and Erlking) through
unique vocal writing and
accompaniment patterns:
the Lied is a dramatic
entity. Liszt, in turn,
followed Schubert's
characterization in this
literal transcription,
yet took it an additional
step by placing the
register of the father's
vocal line in the
baritone range, that of
the son in the soprano
range and that of the
Erlking in the highest
register, options that
would not have been
available in the version
for voice and piano.
Additionally, Liszt
labeled each appearance
of each character in the
score, a means for
guiding the performer in
interpreting the dramatic
qualities of the Lied. As
a result, the drama and
energy of the poem are
enhanced in this
transcription; as with
Gretchen am Spinnrade,
the transcriber has
maximized the content of
the original. Elaboration
may be found in certain
Lieder transcriptions
that expand the
performance to a level of
virtuosity not found in
the original; in such
cases, the transcription
approximates the
paraphrase. Schubert's Du
bist die Ruh, a paradigm
of musical simplicity,
features an uncomplicated
piano accompaniment that
is virtually identical in
each verse. In Liszt's
transcription, the
material is subjected to
a highly virtuosic
treatment that far
exceeds the original,
including a demanding
passage for the left hand
alone in the opening
measures and unique
textural writing in each
verse. The piece is a
transcription in
virtuosity; its art, as
Rosen noted, lies in the
technique of
transformation.
Elaboration may entail an
expansion of the musical
form, as in the extensive
introduction to Die
Forelle and a virtuosic
middle section (mm.
63-85), both of which are
not in the original. Also
unique to this
transcription are two
cadenzas that Liszt
composed in response to
the poetic content. The
first, in m. 93 on the
words und eh ich es
gedacht (and before I
could guess it), features
a twisted chromatic
passage that prolongs and
thereby heightens the
listener's suspense as to
the fate of the trout
(which is ultimately
caught). The second, in
m. 108 on the words
Betrogne an (and my blood
boiled as I saw the
betrayed one), features a
rush of
diminished-seventh
arpeggios in both hands,
epitomizing the poet's
rage at the fisherman for
catching the trout. Less
frequent are instances in
which the length of the
original Lied was
shortened in the
transcription, a tendency
that may be found with
certain strophic Lieder
(e.g., Der Leiermann,
Wasserflut and Das
Wandern). Another
transcription that
demonstrates Liszt's
readiness to modify the
original in the interests
of the poetic content is
Standchen, the seventh
transcription from
Schubert's
Schwanengesang. Adapted
from Act II of
Shakespeare's Cymbeline,
the poem represents the
repeated beckoning of a
man to his lover. Liszt
transformed the Lied into
a miniature drama by
transcribing the vocal
line of the first verse
in the soprano register,
that of the second verse
in the baritone register,
in effect, creating a
dialogue between the two
lovers. In mm. 71-102,
the dialogue becomes a
canon, with one voice
trailing the other like
an echo (as labeled in
the score) at the
distance of a beat. As in
other instances, the
transcription resembles
the paraphrase, and it is
perhaps for this reason
that Liszt provided an
ossia version that is
more in the nature of a
literal transcription.
The ossia version, six
measures shorter than
Schubert's original, is
less demanding
technically than the
original transcription,
thus representing an
ossia of transcription
and an ossia of piano
technique. The Schumann
Lieder transcriptions, in
general, display a less
imaginative treatment of
the source material.
Elaborations are less
frequently encountered,
and virtuosity is more
restricted, as if the
passage of time had
somewhat tamed the
composer's approach to
transcriptions;
alternatively, Liszt was
eager to distance himself
from the fierce
virtuosity of his early
years. In most instances,
these transcriptions are
literal arrangements of
the source material, with
the vocal line in its
original form combined
with the accompaniment,
which often doubles the
vocal line in the
original Lied. Widmung,
the first of the Schumann
transcriptions, is one
exception in the way it
recalls the virtuosity of
the Schubert
transcriptions of the
1830s. Particularly
striking is the closing
section (mm. 58-73), in
which material of the
opening verse (right
hand) is combined with
the triplet quarter notes
(left hand) from the
second section of the
Lied (mm. 32-43), as if
the transcriber were
attempting to reconcile
the different material of
these two sections.
Fruhlingsnacht resembles
a paraphrase by
presenting each of the
two verses in differing
registers (alto for verse
1, mm. 3-19, and soprano
for verse 2, mm. 20-31)
and by concluding with a
virtuosic section that
considerably extends the
length of the original
Lied. The original
tonalities of the Lieder
were generally retained
in the transcriptions,
showing that the tonality
was an important part of
the transcription
process. The infrequent
instances of
transposition were done
for specific reasons. In
1861, Liszt transcribed
two of Schumann's Lieder,
one from Op. 36 (An den
Sonnenschein), another
from Op. 27 (Dem roten
Roslein), and merged
these two pieces in the
collection 2 Lieder; they
share only the common
tonality of A major. His
choice for combining
these two Lieder remains
unknown, but he clearly
recognized that some
tonal variety would be
needed, for which reason
Dem roten Roslein was
transposed to C>= major.
The collection features
An den Sonnenschein in A
major (with a transition
to the new tonality),
followed by Dem roten
Roslein in C>= major
(without a change of key
signature), and
concluding with a reprise
of An den Sonnenschein in
A major. A three-part
form was thus established
with tonal variety
provided by keys in third
relations (A-C>=-A); in
effect, two of Schumann's
Lieder were transcribed
into an archetypal song
without words. In other
instances, Liszt treated
tonality and tonal
organization as important
structural ingredients,
particularly in the
transcriptions of
Schubert's Lieder cycles,
i.e. Schwanengesang,
Winterreise a... $32.99 - Voir plus => AcheterDélais: 1 to 2 weeks | | |
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Extrait de la musique
de scène pour « Le
Voyageur sans bagages
». Composed by
Francis Poulenc.
Classical. Book and
Part(s). Composed 2016. 5
pages. Editions Salabert
#SLB 00595900. Published
by Editions Salabert
(BT.SLB-00595900).
INSSTR inches.
French. A
previously unreleased
piece by Francis Poulenc,
published with permission
from the Bibliothèque
Historique de la Ville de
Paris and Benoît
Seringe, secretary of the
Association des amis
de Francis Poulenc
[Association of the
Friends ofFrancis
Poulenc]. Le Voyageur
sans bagage [The
Traveller Without
Luggage], which had been
premiered in 1937 with
music by Darius Milhaud,
was reprised on 1 April
1944 at the Thé tre de
la Michodière; Francis
Poulenc was asked to
compose new stage music.
Theentire unpublished
score lay undiscovered
until Bérengère de
l’Épine, a
librarian at the
Bibliothèque
Historique de la Ville de
Paris, announced the
existence of a manuscript
in the Association de la
Régie Thé trale
collection.Poulenc
finalised the score
between 19 and 21 March
1944. It contains nine
songs, all written for a
small instrumental
ensemble including oboe,
clarinet, cello and
piano. However, at the
end of the manuscript,
the composer echoes the
second song Lent
[Slow] and creates
another version for cello
and piano; curiously, the
original version of the
song has not been erased
in the manuscript.
Poulenc seems to suggest
that we consider the
piece for cello and
piano, that we have
publishedhere, as a
different piece of music.
It was premiered on
Wednesday 23 January 2013
by Marc Coppey,
accompanied by
Jean-François Heisser,
in the organ auditorium
of the Conservatoire
National Supérieur de
Musique et Danse de Paris
(CNSMDP), during
thesymposium for the
fiftieth anniversary of
Poulenc’s
death.Given in a dramatic
context, some elements
allow us to get an idea
of the character of the
piece, which Benoît
Seringe, Poulenc’s
beneficiary, judiciously
chose to name
Souvenirs.The main
character of
Anouilh’s play,
Gaston, is suffering from
amnesia at the end of
World War One. Several
families try to claim
him; they want him to be
their missing relative.
The Renaud family prove
to be particularly
stubborn, but Gaston
doesnot recognize himself
in the child and young
man they depict: a
ruthless and violent
person. In Act 1 Scene 3,
left alone for a moment,
overwhelmed by the story
of the “old
Gaston†that is
gradually coming to
light, and outraged by
the desire ofthose around
him to appropriate him
(to the detriment of the
person he would like to
be from now on), he
whispers these words:
“You all have
proof, photographs that
look like me, memories as
clear as day…
I’ve listened to
you all and it’s
slowlycausing a hybrid
person to rise up in me;
a person in which there
is a piece of each of
your sons and nothing of
me.†Poulenc chose
to place the second piece
from his stage music
score as these words are
spoken.He borrowed part
of the material, as he
often did, from an
earlier composition. In
this particular case, the
beginning is a recycled
version of the
“slow and
melancholicâ€
section from
L’Histoire de
Babar , composed
between 1940 and 1945,
andpremiered in 1946
(unless it is Babar
that reuses the
musical idea from
Voyageur ).The
eponymous elephant
decides to leave in
search of the great
forest. He embraces the
old lady, promises her he
will return and reassures
her that he will never
forget her. Left alone,
the old lady, feeling sad
and pensive, wonders when
she’ll seeher
friend Babar again. The
situation is similar to
that in Voyageur sans
bagage: solitude,
sadness, a distressing
and introspective time,
fear of oblivion, the
presence of
memories…
Pi
èce inédite de
Francis Poulenc,
publiée avec
l’autorisation de
la Bibliothèque
historique de la ville de
Paris et de Benoît
Seringe, secrétaire de
l’Association des
Amis de Francis
Poulenc.Le 1er avril
1944, Le Voyageur sans
bagage d’Anouilh,
qui avait été
créé en 1937 avec
de la musique de Darius
Milhaud, est repris au
Thé tre de la
Michodière. Francis
Poulenc a été
sollicité afin
d’écrire une
nouvelle musique de
scène. On ignoraittout
de cette partition
inédite,
jusqu’au jour
où Bérengère de
l’Épine,
conservateur la
Bibliothèque
historique de la ville de
Paris, nous signala
l’existence
d’un manuscrit
dans le fonds de
l’Association de
la Régie thé
trale.Poulenc mit au
point sa partition entre
le 19 et le 21 mars 1944.
Elle comprend neuf
numéros, tous
écrits pour un petit
effectif instrumental
réunissant un
hautbois, une clarinette,
un violoncelle et un
piano.Cependant, la fin
de son manuscrit, le
compositeur reprend le no
2 Lent et en donne une
seconde version, pour
violoncelle et piano.
Curieusement, la version
originale de ce numéro
n’est pas
biffée dans le
manuscrit.Poulenc semble
nous inviter
considérer comme un
morceau distinct cette
pièce pour violoncelle
et piano dont nous
proposons ici
l’édition. Elle
a été créée
par Marc Coppey,
accompagné de
Jean-François Heisser,
lors du concert donné
durant lecolloque
organisé pour le
cinquantenaire du
décès de Poulenc,
le mercredi 23 janvier
2013, salle
d’orgue du
Conservatoire National
Supérieur de Musique
et de Danse de Paris
(CNSMDP).Quelques
éléments sur le
contexte dramatique
permettront de se faire
une idée du
caractère du morceau,
que Benoît Seringe,
ayant droit Poulenc, a
judicieusement choisi
d’intituler
Souvenirs.Le personnage
principal de la pièce
d’Anouilh, Gaston,
a été retrouvé
amnésique la fin de la
Première Guerre
Mondiale. Plusieurs
familles le réclament.
On veut voir en lui un
parent disparu. Les
Renaud se montrent
particulièrement
tenaces ; maisGaston ne
parvient se
reconnaître dans
l’enfant et le
jeune homme dont on lui
trace le portrait : un
être violent et sans
scrupule. Au tableau 3 de
l’acte I, resté
seul un moment,
écrasé par
l’histoire de cet
autre lui-même
qu’il découvre
peu peu, indigné par
le désir des personnes
qui l’entourent de
le ramener elles au
détriment de celui
qu’il voudrait
être désormais, il
se murmure ces paroles :
« Vous avez tous des
preuves, des
photographies
ressemblantes, des
souvenirs précis
commedes crimes… je
vous écoute tous et je
sens surgir peu peu
derrière moi un
être hybride où il
y a un peu de chacun de
vos fils et rien de moi
»…C’est
sur ces mots que Poulenc
a choisi de placer le no
2 de sa partition de
musique de scène.Comme
il le fait souvent, il
emprunte une composition
antérieure une part de
son matériau. Dans ce
cas précis, il
réutilise pour le
début du morceau la
section « Lent et
mélancolique » de
l’Histoire de
Babar, composée entre
1940 et 1945, créée
en1946 ( moins que ce ne
soit Babar qui
réutilise
l’idée musicale
du Voyageur). Le
héros-éléphant
s’est décidé
partir pour retrouver la
grande forêt. Il a
embrassé la vieille
dame, lui a promis de
revenir, l’a
rassurée : jamais il
ne
l’oubliera.RestÃ
e seule, la vieille
dame, triste et pensive,
se demande quand elle
reverra son ami Babar. La
situation est similaire
celle du Voyageur sans
bagage : solitude,
tristesse, instantde
trouble et de retour sur
soi, crainte de
l’oubli,
présence des
souvenirs…. $11.95 - Voir plus => AcheterDélais: 4 to 6 weeks | | |
| Improv Duets for Classical Musicians GIA Publications
(A Concise Collection of Musical Games for Two Players). By Jeffrey Agrell. Musi...(+)
(A Concise Collection of
Musical Games for Two
Players). By Jeffrey
Agrell. Music Education.
Book. 46 pages. Published
by GIA Publications
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| This present moment used to be the unimaginable future... Quatuor à cordes: 2 violons, alto, violoncelle Breitkopf & Härtel
Composed by Christian Mason. World premiere: Paris, Cite de la musique, Januar...(+)
Composed by Christian
Mason.
World premiere: Paris,
Cite
de la musique, January
14,
2020. Breitkopf and
Haertel
#EB 9377. Published by
Breitkopf and Haertel
$46.95 - Voir plus => AcheterDélais: 3 to 4 weeks | | |
| A : A Precise Prelude and an Excellent March Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] American Composers Forum
Commissioned by American Composers Forum. Composed by Thomas Duffy. Score and fu...(+)
Commissioned by American
Composers Forum. Composed
by Thomas Duffy. Score
and full set of parts.
BandQuest. March.
Published by American
Composers Forum
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| Be Like a Bird Chorale 3 parties SSA A Cappella [Octavo] Cypress Choral Music
By Shiela Wright. For SSA choir, a cappella. Octavo. Published by Cypress Choral...(+)
By Shiela Wright. For SSA
choir, a cappella.
Octavo. Published by
Cypress Choral Music
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| Albion Ensemble de cuivres [Conducteur et Parties séparées] - Intermédiaire/avancé De Haske Publications
Brass Band - Grade 6 SKU: BT.DHP-1012559-030 Composed by Jan Van der Roos...(+)
Brass Band - Grade 6
SKU:
BT.DHP-1012559-030
Composed by Jan Van der
Roost. Sovereign Series.
Concert Piece. Set (Score
& Parts). Composed 2001.
De Haske Publications
#DHP 1012559-030.
Published by De Haske
Publications
(BT.DHP-1012559-030).
Albion was
commissioned by the Swiss
Brass Band Federation as
the test piece for the
National Brass Band
Championships of England,
Belgium, The Netherlands,
and Switzerland in 2001,
and for Norway in 2002.
The composition is
dedicated to Markus
Bach.Albion, along with
Excalibur and Stonehenge,
is the third major piece
for brass band in which
Jan Van der Roost took
his inspiration from the
British Middle Ages.
Although the work is not
based on an actual story
there are unmistakable
epic elements found in
this symphonic poem. The
piece paints a picture of
the conquest of Albion
(the earliest known name
of the British Island),
in which the listener is
taken back to the timeof
King Arthur and his
legendary Knights of the
Round Table.
Albion ist
neben Excalibur
und Stonehenge das
dritte große Werk
für Brass Band, bei
dem sich Jan van der
Roost durch das englische
Mittelalter inspirieren
ließ. Obgleich sie
nicht auf einer konkreten
Geschichte beruht sind
die erzählerischen
Momente in dieser
Sinfonischen Dichtung
nicht zu übersehen.
Der Anfang gibt einen
Einduck von der Eroberung
Albions (Albion ist der
erste überlieferte
Name der britischen
Insel); der Zuhörer
taucht dabei in die Zeit
von König Artus und
seinen legendären
Rittern der Tafelrunde
ein.
Après
Excalibur et
Stonehenge,
Albion est la
troisième œuvre
majeure pour Brass Band
de Jan Van der Roost
inspirée par
l’Angleterre du
Moyen ge. Bien que
l’œuvre ne
soit pas construite
autour d’une
histoire précise, ce
poème symphonique a
toute l’ampleur
d’une
épopée.
L’ouverture de
l’œuvre
semble dépeindre la
conquête
d’Albion (premier
nom connu de
l’Angleterre),
transportant
l’auditeur
l’époque du roi
Arthur et de ses
légendaires chevaliers
de la Table Ronde. Trois
groupes de cornets
dispersés au sein de
la formation et trois
tambours différents
reflètent, en autant
de tonalités et de
tempos, les périodes
de guerre qui plongent
l’Angleterredu
début du Moyen ge dans
la tourmente. Des accords
sombres et majestueux,
exposés dans le
registre grave, créent
un contraste et donnent
au son d’ensemble
un caractère trouble
et confus. Lorsque les
tambours se retrouvent
dans un même rythme,
l’ensemble de la
formation interprète
pour la première fois
l’unisson le
Thème
d’Albion.Un
allegro energico
plein d’agitation
apporte soudainement plus
d’élan et de
dynamisme. Des thèmes
virtuoses et guerriers se
succèdent, donnant au
passage un caractère
tumultueux. Cette suite
de thèmes se conclut
également avec le
Thème d’Albion,
soutenu cette fois-ci par
une structure harmonique
plus complexe.
S’ensuit un
passage intermédiaire
calme et serein,
permettant plusieurs
solistes
d’exploiter et de
révéler leurs
qualités musicales.
Après tout, Albion
n’a pas connu que
des périodes de
troubles et de misère.
Et le roi Arthur
n’est-il pas
considéré comme
celui qui a apporté
paix et stabilité au
pays ? Cette lente
succession de fragments
en solo progresse avec
une fluidité presque
évidente vers un
passage où
l’orchestre
interprète en
chœur les accords
majestueux des mesures
d’ouverture de
l’œuvre. Le
Brass Band sonne comme un
orgue et le Thème
d’Albion vient
tout naturellement
conclure cette oasis de
paix retrouvée. Dans
le finale impressionnant,
plusieurs éléments
thématiques. $157.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
| Everyday Composition Formation musicale - Solfège Alfred Publishing
Interactive Lessons for the Music Classroom. Composed by Joan Eckroth-Riley. C...(+)
Interactive Lessons for
the
Music Classroom. Composed
by
Joan Eckroth-Riley.
Classroom
Resources; Classroom/Pre-
School; Electronic
Interactive Resources;
General Music and
Classroom
Publications; Homeschool
Resources. Book;
Software. 56
pages. Alfred Music #00-
47164. Published by
Alfred
Music
$34.99 - Voir plus => AcheterDélais: 1 to 2 weeks | | |
| Music Publishing -- The Complete Guide Livre - Pas de partitions [Livre] Alfred Publishing
By Steve Winogradsky. Book; Reference Textbooks; Textbook - General. 408 pages. ...(+)
By Steve Winogradsky.
Book; Reference
Textbooks; Textbook -
General. 408 pages.
Published by Alfred Music
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| Thematic Catalogue of the Works Praha
By Nouza Zden K - Novy Miroslav. Czech title: Josef Suk. Tematicky katalog sklad...(+)
By Nouza Zden K - Novy
Miroslav. Czech title:
Josef Suk. Tematicky
katalog skladeb.
Published by Praha (Czech
import).
$153.95 - Voir plus => AcheterDélais: 1 to 2 weeks | | |
| White Rose (2nd Version 1984/85) Piano, Voix Deutscher Verlag für Musik
Voice and piano (Soli: SBar(T) - 1(picc.A-fl).1(cor ang).1(Ebclar.Bclar).0. - 1....(+)
Voice and piano (Soli:
SBar(T) -
1(picc.A-fl).1(cor
ang).1(Ebclar.Bclar).0. -
1.1.2.0. - perc - hp -
pno - str: 1.1.1.1.1.)
SKU: BR.DV-6140
Scenes for 2 Singers
and 15
Instrumentalists.
Composed by Udo
Zimmermann. Voice;
Softbound. Deutscher
Verlag. World premiere:
Hamburg, February 27,
1986DV 1140 awarded the
German Music Edition
Prize. Opera; Music
theatre; Music post-1945;
New music (post-2000).
Piano/Vocal Score.
Composed 1984/85. 140
pages. Duration 75'.
Deutscher Verlag fur
Musik #DV 6140. Published
by Deutscher Verlag fur
Musik (BR.DV-6140).
ISBN 9790200460230.
13.5 x 10.5
inches. Translation
: Engl. (S. Wadsworth)
(1988) / (Norbert
Rubesaat) (1993); French
(Jean-Pierre Wurtz)
(1997) Place and time:
Jail Munchen-Stadelheim,
in the hour before the
execution on 22nd
February 1943 Characters:
Sophie Scholl (soprano) /
Hans Scholl (baritone or
tenor) >>Weisse Rose<<
(White Rose) was the name
of the resistance group
to which Hans and Sophie
Scholl belonged. Udo
Zimmermann's composition
is characterized by the
varying structure of its
scenes: dramatic,
visionary scenes, e.g.
the remembered wartime
experiences on the front,
Sophie's anxiety about
the removal of the
children and the wish to
see her parents one last
time, contrast with
contemplative monologues
that are intended to
provide insights into the
individual's particular
situation. The composer
interweaves into the
structure of the piece
dream sequences with
sudden bursts of anxiety
that are not triggered by
the execution that is
about to take place but
by the consequences of
one's own actions. The
result is a deliberate
fusion of the various
parts into one another.
More than 100 different
productions prove that
the topic is as important
as ever and that the work
is both artistically
rewarding and
practicable. Udo
Zimmermann About the
piece Two young people,
the siblings Sophie and
Hans Scholl, are in a
prison cell, one hour
before they are to be put
to death by their fascist
executioners. Their
christian convictions and
sense of responsibility
gave them the courage to
put up resistance,
resistance against the
lies, the contempt for
humanity and all human
values. Sophie and Hans
Scholl took their stand
in the full knowledge
that they were taking a
deadly risk. They would
simply not have been able
to live with their
feelings of shame had
they not grasped the
chance of fighting for
what they believed in,
even though it was a
dangerous thing to do.
Memories of past events,
doubts, hopes and fears,
justification of deeds
and an acceptance of
death, all these things
happen and move in, and
between, these two people
during this
representation of the
hour before death. The
orchestra provides a
psycho-physical shorthand
of their inner mental
state. Musical effects
and gestures search for
their identity in human
behaviour. The moments of
stillness and silence
provide moments of
musical tension, which
are just as powerful as
the eruptions of fear and
desperation. CDs:
Gabriele Fontana
(soprano), Lutz-Michael
Harder (tenor),
Instrumentalensemble,
cond. Udo Zimmermann CD
Orfeo C 162 871 Grazyna
Szklarecka (soprano),
Frank Schiller (tenor),
musica viva-ensemble
dresden, cond. Udo
Zimmermann CD Berlin
Classics Eterna BC 0120
060-2 CD (excerpts):
Gabriele Fontana
(soprano), Lutz-Michael
Harder (tenor), Ein
Instrumentalensemble,
cond. Udo Zimmermann CD
BMG 74321 73628 2
Bibliography : Kornel ,
Attila: ,,Tief unter uns
nur Schweigen - Die
Asthetik der Stille in
Udo Zimmermanns
Kammeroper ,,Weisse Rose,
in: Die Tonkunst 11
(2017), pp. 368-377.
Rheinlander , Matthias:
Im Osten nichts Neues?
Ostalgie ohne Kitsch am
Beispiel von Udo
Zimmermanns Oper Die
weisse Rose, in: Musik
und Unterricht, Heft 73
(2003), pp.
34-40.
World
premiere: Hamburg,
February 27, 1986DV 1140
Awarded the German Music
Edition Prize. $165.95 - Voir plus => AcheterDélais: 3 to 4 weeks | | |
| All Together Orchestre d'harmonie [Conducteur et Parties séparées] - Facile De Haske Publications
Concert Band/Harmonie/Fanfare Band - Grade 3 SKU: BT.DHP-1145612-015 Comp...(+)
Concert
Band/Harmonie/Fanfare
Band - Grade 3 SKU:
BT.DHP-1145612-015
Composed by Peter Kleine
Schaars. De Haske Easy
Band Series. Set (Score &
Parts). Composed 2014. De
Haske Publications #DHP
1145612-015. Published by
De Haske Publications
(BT.DHP-1145612-015).
English-German-French-
Dutch. All
Together is a
sparkling piece that is
suitable for various
playing levels, and
offers the ideal
motivation for young
musicians within your
society. Peter Kleine
Schaars wrote this
composition especially
for (combined) ensembles
withdifferent playing
skills. Musicians can
display their abilities
at their own level and in
between, they all play
together. The
‘grade three
parts’ contain all
levels in cues, so that
this composition can also
be played by the large
band only.
Een
spetterend stuk dat voor
meerdere speelniveaus
geschikt is en bovendien
de ideale motivatie biedt
aan jonge muzikanten van
uw vereniging: dat is
All Together.
Peter Kleine Schaars
schreef deze compositie
speciaal voor
(gecombineerde)ensembles
met uiteenlopende
speelvaardigheid. Dankzij
separate partijen voor de
blokfluitklas, het
jeugdorkest en het grote
orkest kunnen alle
muzikanten op hun eigen
niveau spelen en
tussendoor gezamenlijk
muziek maken!
Ein
prächtiges Stück,
das sich für mehrere
Spielniveaus eignet und
obendrein der ideale
Motivationsschub für
die jungen Musiker Ihres
Vereins ist: das ist
All Together.
Peter Kleine Schaars
schrieb diese Komposition
speziell für
(kombinierte)Ensembles
auf unterschiedlichen
Spielniveaus. Dank
separater Stimmen für
die Blockflötengruppe,
das Jugendorchester und
das große Orchester
können alle Musiker
ihre jeweiligen
Fertigkeiten zu Gehör
bringen und zwischendurch
gemeinsam
spielen!
All
Together (Tous
ensemble) est une
pièce rayonnante de
bonne humeur, écrite
plus précisément
pour les ensembles
composés d’une
mosa que de
compétences multiples.
L’œuvre de
Peter Kleine Schaars
apportera la motivation
idéale aux
jeunesmusiciens de votre
orchestre, et conviendra
parfaitement toute
ouverture ou clôture
de concert, mettant
toutes les formations de
votre société sous
les feux de la
rampe.
All
Together è un
brano che trasuda buon
umore, un brano scritto
espressamente per
ensemble composti da un
mosaico di musicisti di
livello diverso.
L’opera di Peter
Kleine Schaars dar la
giusta motivazione ai
giovani musicisti della
vostrabanda. All
Together si presta in
modo ideale ad essere
eseguito
all’inizio o alla
fine del vostro
concerto. $118.95 - Voir plus => AcheterDélais: 2 to 3 weeks | | |
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