Jouée à peu près sur les notes de “Ah, vous
dirai-je, maman”, c’est une des chansons les mieux
connues de la Goliardie italienne du XX siècle. Le
texte en latin macaronique, encore que peu édifiant,
représente le témoignage d’une attitude insouciante
avant l’époque des “contestations”
universitaires. |