Dieterich Buxtehude (c. 1637-1639) était un organiste
allemand-danois et compositeur de la période baroque.
Ses œuvres pour orgue représentent un élément
central du répertoire d'organes standard et sont
fréquemment exécutées à des récitals et dans les
services religieux. Il a composé dans une grande
variété d'idiomes vocale et instrumentale, et son
style fortement influencé de nombreux compositeurs,
dont Jean-Sébastien Bach. Buxtehude, avec Heinrich
Schütz, est considéré aujo...(+)
Dieterich Buxtehude (c. 1637-1639) était un organiste
allemand-danois et compositeur de la période baroque.
Ses œuvres pour orgue représentent un élément
central du répertoire d'organes standard et sont
fréquemment exécutées à des récitals et dans les
services religieux. Il a composé dans une grande
variété d'idiomes vocale et instrumentale, et son
style fortement influencé de nombreux compositeurs,
dont Jean-Sébastien Bach. Buxtehude, avec Heinrich
Schütz, est considéré aujourd'hui comme l'un des
compositeurs les plus importants d'Allemagne du milieu
du baroque.
Ce choral met l'hymne macaronique du XIVe siècle "In
Dulci Jubilo» (Le texte est à la fois en latin et en
allemand). Le texte du premier verset dit: «Dans la
gaieté douce maintenant chanter et se réjouir: La
joie de notre c'ur se trouve dans une mangeoire, et
brille comme le soleil au sein de sa mère, il est
l'alpha et l'oméga.». Les deux derniers versets de la
fin hymne avec l'expression de la volonté d'avoir
effectivement été là quand tout cela est arrivé.
Buxtehude met la mélodie hymne à la soprano, comme il
le fait fréquemment dans ses traitements de chorals,
et il déploie avec l'embellissement libérale. Lorsque
le texte parle de la joie, Buxtehude utilise quelques
trucs avec le déplacement d'octave de brosser un
tableau de la célébration extraverti. Comme le
prélude de choral sur Puer natus à Bethléem, cette
pièce est en 3/2 temps.
Bien que créé à l'origine pour un choral-cantate en
1683 pour soprano, alto et basse accompagnée par deux
violons et continuo (BuxWV 52) et ici comme un prélude
de choral pour orgue (BuxWV 197) c. 1690, je me suis
adapté ce travail pour un quatuor à vent
non-traditionnelle (flûte, hautbois, cor anglais et
basson) pour accentuer leurs tons chauds riches.