à cette époque, l'idée de la mort l'épouvantait. Je
le vois encore demander à ma mère de lui dire la
bonne aventure et de lui faire savoir combien de temps
il lui restait à vivre. Il lisait un livre
d'Artsibashev qui avait fait sur lui une terrible
impression. "On ne peut pas vive si c'est pour mourir
[disait-il]. Comment pouvez-vous supporter la pensée
que vous êtes mortels ?"( Marietta Chaginian)
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