La "Danse macabre", op. 40, a été écrit comme un
poème symphonique pour orchestre en 1874 par le
compositeur français Camille Saint-Saëns. Il a
commencé en 1872 comme une chanson d'art pour la voix
et le piano avec un texte en français par le poète
Henri Cazalis, qui est basé à Une vieille
superstition française. En 1874, le compositeur
élargi et remanié la pièce dans un poème
symphonique, en remplacement de la ligne vocale avec un
violon solo. Normalement entendu comme une perfo...(+)
La "Danse macabre", op. 40, a été écrit comme un
poème symphonique pour orchestre en 1874 par le
compositeur français Camille Saint-Saëns. Il a
commencé en 1872 comme une chanson d'art pour la voix
et le piano avec un texte en français par le poète
Henri Cazalis, qui est basé à Une vieille
superstition française. En 1874, le compositeur
élargi et remanié la pièce dans un poème
symphonique, en remplacement de la ligne vocale avec un
violon solo. Normalement entendu comme une performance
symphonique, cette pièce est inhabituel comme un
concerto pour orgue cependant, j'ai créé cet
arrangement à souligner les éléments macab et la
gamme dynamique unique de l'orgue à tuyaux. J'ai pris
licence libérale dans mon interprétation de la
partition originale, et en tant que telle, cette
disposition est unique ma "vision" de la façon dont
cette pièce doit sonner.
Selon l'ancienne superstition, «la mort» apparaît
à minuit chaque année à l'Halloween. La mort a le
pouvoir de convoquer les morts de leurs tombes pour
danser pour lui, alors qu'il joue son violon
(représentées par des chaînes sur la houle avec son
"E-chaîne" à l'écoute d'un "E-flat" dans un exemple
d'optimisation de scordatura) . Ses squelettes danser
pour lui jusqu'à la première pause de l'aube, quand
ils doivent retourner dans leurs tombes jusqu'à
l'année suivante.
La pièce s'ouvre avec le MIDI Chimes jouer une seule
note, D, douze fois pour signifier minuit heure qui
sonne