Symphonic piece No. 5 Denys Vignon Symphonic Orchestra |
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Composer | Vignon, Denys (1957 - ) | ||||
Instrumentation | Symphonic Orchestra | ||||
Style | Contemporary | ||||
Copyright | Domaine Public | ||||
Added by denys-vignon, 08 Nov 2014 Donate to Vignon, Denys | Apocalypse |
Strange, contemporary, smoked screen, an exciting writing, a shard of glass ... Stopping ... recovery with other congested road noise, a transfiguring news driven with tearing crescendo. Beucoup former sounds distorted space. The sound is the sound of a harmonium with crazy rattles. The smell of sulfur, the court of miracles or laugh cures the ailing noise. One Dies Irae swirls its stained flag. A dull wonder. A long held that ... the extreme low of a toad ophicléide holds spellbound a swallow, a fairy, a slave, a twig. Life wakes up from chahos and dies soon ... then resumes. The pizzicato try battrent their breasts on the shrill shriek of the flute unbearable, intolerable ... A masterful work, dazzling in the footsteps of Charles Ives who he only needs double or triple orchestral or vocal choirs . Just beautiful. FXJ on 11/13/14 |
Etrange, contemporaine, un écran de fumé, une écriture passionnante, un éclat de verre ... L'arrêt ... la reprise avec d'autres bruits de routes embouteillées, une actualité transfigurante animée d'un crescendo déchirant. Beucoup d'anciens sons déforment l'espace. Le son est le son d'un harmonium avec des crécelles de fous. L'odeur du souffre, la cour des miracles ou rient ne guérit que le bruit souffreteux. Un Dies Irae tourbillonne son drapeau taché. Une merveille sourde. Une longue tenue où ... l'extrême grave crapeau d'un ophicléide tient en haleine une hirondelle, une fée, un esclave, une brindille. La vie se réveille du chahos et se meurt aussitôt ... puis reprend. Les pizzicati essayent de battrent leur coulpe sur le hurlement strident du suraigu de la flûte insuporté, insurpertable ... Une oeuvre magistrale, éblouissante, marchant sur les pas de Charles Ives à qui il ne manque plus que les doubles ou triple choeurs orchestraux ou vocaux. Simplement magnifique. FXJ, le 13/11/14 |
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Le langage est essentiellement chromatique,
je voudrais dire atonal, néanmoins je ressent des polarisations et des instants modaux.
La pièce est composée de 2 parties qui entretiennent le suspens,
mais elles sont néanmoins contrastées,
chacune pouvant être le contrepoids de l'autre.
Pour la première partie, je ne peux m'empêcher de faire un parallèle avec "Pacific 231" de Arthur Honegger,
dans la construction progressive, par les effets de tuilage, de densité.
Au fil de cette partie on a l'impression d'un puits sans fond.
Autours de 3min30, une citation claire d'un thème grégorien apparaît,
au climax de la 1ere partie (thème utiliser entre autre par Berlioz dans sa "Symphonie fantastique").
La 2eme partie est beaucoup plus dépouillée, le langage est plus contenu, mais tout aussi expressif.
La pièce s'évapore pour finir, la tension est maintenue même la pièce finie.
Une pièce symphonique ayant la prétention de décrire l'apocalypse de Jean dans la première partie et "l'après" dans la seconde partie.Je ne sais pourquoi, cela m'a paru indispensable. Vanité?