für Violoncello und Orchester-Schnittke?s first cello concerto was written during a near fatal time in his life after having suffered a severe stroke in 1985 during which his heart stopped three times. Upon recovery he completed the concerto the music becoming more dissonant and discordant with the melodies more contorted.The first cello concerto was a monumental endeavor for large orchestra and approximately 40 minutes in duration. The work was written for Schnittke?s close friend Russian cellist Natalia Gutman. The solo part is most feverish and virtuosic exhausting the performer both technically and emotionally. The last fourth movement creates an unusual structuralprogression ending in what feels like a celestial hymn-like prayer. Schnittke himself said: Suddenly I was given this finale from somewhere and I?ve just written it down.Available here is the study score for Schnittke?s emotionally and technically demanding Cello Concerto No.1. This Sikorski edition study score is well presented and provides an excellent resource for study or perusal use.

Haydn composed the C Major Cello Concerto between 1762 and 1765 almost certainly for cellist Joseph Weigl of the Esterházy Orchestra. The complete autograph score has never been found but orchestral parts were discovered in 1961 in the Prague National Museum.

Haydn composed the C Major Cello Concerto between 1762 and 1765 almost certainly for cellist Joseph Weigl of the Esterházy Orchestra. The complete autograph score has never been found but orchestral parts were discovered in 1961 in the Prague National Museum.

Haydn composed the C Major Cello Concerto between 1762 and 1765 almost certainly for cellist Joseph Weigl of the Esterházy Orchestra. The complete autograph score has never been found but orchestral parts were discovered in 1961 in the Prague National Museum.

Après Altius (1999) pour violoncelle et 16 instruments et Huit à l'infini (2001) pour octuor de violoncelles et orchestre, Horizons réflexes est ma troisième oeuvre de nature concertante écrite pour le violoncelle.Au début de la composition de cette pièce, dédiée à Gary Hoffman et commandée par le festival Automne en Normandie, j'avais à l'esprit l'idée quasi picturale d'un paysage étrange, constitué de lignes se développant horizontalement et de verticalités presque régulières qui se rencontrent, se trouvent, se dérobent ou se métamorphosent.Non seulement le vers du poète Alexis Pelletier 'Un matin, je fus saisi par l'évidence des horizons réflexes' m'a donné l'idée du titre de la pièce, mais il m'a également permis de conceptualiser la plastique sonore que je souhaitais développer au long des six sections enchaînées que compte cette composition.Dans la plupart de mes oeuvres concertantes - et c'est de nouveau le cas dans Horizons reflexes, le soliste devient la 'voix supérieure' d'une matière sonore en mouvement prolongée par un orchestre 'résonateur' qui sait aussi se montrer éloquent. (...)Dominique Lemaître / Violoncelle Et Orchestre

La composition tripartite ' la Vierge '(Nativité, la Vierge à l'enfant - Pietà, la Vierge et le crucifié, BEL 499 - triptyque de Pâques, la Vierge par la Croix, BEL 497) est l'une des oeuvres tardives de Mouravieff. Trois pièces peuvent être joués ensemble ou séparément. Mouravieff était très intéressé par la tragédie grecque antique, et cela l'a amené à tenter de faire revivre l'art grec antique du mouvement. En plus de concevoir des rythmiques avec battements forts et faibles, il a continué à faire usage de rythmes grecques antiques et plus tard appliqué ses réflexions au rythme de la respiration. Il décrit cette en termes de battements longs et courts (1,5 et 1 longueur) avec une césure approprié. Par le biais de cette dualité, qui correspondent à des patrons de respiration ou l'impulsion (certains musiciens peuvent aujourd'hui trouver cela plutôt difficile), Mouravieff a tenté d'une manière idiosyncratique d'utiliser pleinement l'élément important du rythme de la musique. / Violoncelle Et Orchestre De Chambre

Le Concerto pour violoncelle Enjott Schneider reprend la légende sumérienne de la divinité oiseau 'Dugud 'dans les scènes archaïques. La légende raconte que la princesse Emeshe a été imprégné par l'hermaphrodite - moitié aigle, moitié faucon - dans un rêve et fonde avec ses Álmos fils, qui avait ainsi été conçus, la dynastie royale hongroise.En images musicales expressives, Schneider décrit la lutte dark-érotique d'imprégnation ainsi que le chant de l'enfant à naître. Planant au-dessus de tout, c'est la vision de la vie en toute liberté comme un oiseau.L'oeuvre a été créée par le violoncelliste hongrois László Fenyö en 2011. Merci à la partition de piano écrite par le compositeur, le travail peut désormais être étudiés et réalisés par un duo. / Violoncelle Et Orchestre